Selon les constats, les huit premiers mois du quinquennat d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) n’ont pas été à la hauteur des espérances suscitées par son élection. La plupart des grands chantiers du nouveau Mali en sont restés à la pose de la première pierre. À commencer par le plus emblématique d’entre eux, la lutte contre la corruption. On se rappelle que le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, avait déclaré 2014, l’année de la lutte contre la corruption. Malgré les multiples tentatives de mettre certains délinquants financiers hors d’état de nuire, l’on est encore loin, très loin, de la République irréprochable promise lors de la présidentielle.
Depuis septembre 2013, divers faits sont venus jeter le doute sur les promesses de rigueur et d’intégrité faites avant et après l’investiture du chef de l’État. Karim Keïta, fils du président, a été parachuté à la tête de la commission défense de l’Assemblée nationale. De même, la décision d’acquérir un nouvel avion présidentiel pour près de 20 milliards de Fcfa, selon les propos du Premier ministre Moussa Mara, ou celle de rénover le palais de Koulouba (sinistré après le putsch de 2012) pour la bagatelle de 10 milliards de Fcfa, paraissent en profond décalage avec les urgences des Maliens. Loin d’être des priorités pour un pays qui se relève à peine des conséquences d’une profonde crise multidimensionnelle, le président IBK s’est aventuré sur d’autres terrains où il n’était pas attendu logiquement. Il s’agit notamment de l’achat d’un avion présidentiel pour près de 20 milliards de Fcfa qui a créé un scandale auprès de ses concitoyens et au niveau du FMI qui selon des informations s’apprête à demander des comptes au gouvernement. Le président IBK aurait pu accorder une attention particulière aux souffrances des populations qui croupissent sous le poids de la cherté de la vie et surtout l’épineuse question de Kidal, une des raisons de son élection.
En tout cas, au regard des faits, ces huit premiers mois de mandat ne sont guère brillants si l’on considère la question, cruciale, de la réconciliation nationale. Selon l’accord de paix préliminaire inter-malien de juin 2013, les négociations avec les représentants de toutes les communautés du nord de notre pays, y compris ceux des groupes armés (à l’exception des jihadistes et de ceux qui prônent la partition du pays), auraient dû commencer soixante jours après l’investiture du nouveau président. Or, non seulement ces négociations n’ont toujours pas démarré comme souhaité, mais elles promettent d’être ardues. Cependant, depuis mi-avril, avec la nomination de Zahabi Ould Sidi Mohamed au ministère de la Réconciliation nationale, puis celle de Modibo Keïta comme haut représentant du président IBK dans les pourparlers pour une sortie de crise, la situation semble évoluer dans le bon sens. Mais l’opinion, intransigeante, ne veut faire aucun compromis et se montre de plus en plus impatiente sur cette question.
En attendant, les groupes armés terroristes en profitent pour reconstituer leur capacité de nuisance. Au-delà de leur portée symbolique, les récentes opérations jihadistes contre les villes de Ménaka, Gao et Kidal attestent de la capacité des mouvements islamistes à jouer les trouble-fête.
Cependant, malgré toutes ses difficultés que rencontre le pouvoir public après huit, doit-on jeter le bébé avec l’eau ? Difficile. Pour autant, il serait inexact de penser aussi qu’IBK a totalement perdu la main. Il dispose cependant de toutes les cartes et ses récentes décisions témoignent de sa volonté de rectifier le tir. Son premier atout réside dans sa grande connaissance des rouages de l’État. Conseiller présidentiel, ambassadeur, ministre des Affaires étrangères, Premier ministre, président de l’Assemblée nationale. Il faut également reconnaître le courage politique dont le locataire de Koulouba a fait preuve au cours des premiers mois de son quinquennat. Il a lancé l’opération à hauts risques du démantèlement de la «République de Kati», qui a permis la neutralisation d’Amadou Haya Sanogo et des putschistes de mars 2012. Il a aussi décidé de remanier l’équipe gouvernementale.
Pour la suite, IBK pourra compter sur les 3,5 milliards d’euros d’aide de la communauté internationale, annoncés en mai 2013 à Bruxelles. Un démarrage hésitant n’annonce pas forcément un mandat laborieux. Surtout lorsqu’on est surnommé Kankélétigui.
R. Diakité
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J’ai regrete pourquoi j’ai voté pour toi. Vraiment tu n’es pas l’homme de la situation
C’est pourquoi qu’on dit qu’il faut toujours se méfie de l’apparence ,tu es venu juste pour s’enrichire dans le dos des maliens le fait même d’entendre ton nom me donne mal au ventre Alpha et Att ne voulaient pas que tu gagnes tous les maliens leurs donne raison aujourd’hui grâce à Sanoko tu es président ,mais malheureusement tu la trahi mais Dieu est grand ton tour viendra un jours .avec ton sal vendre soulard que tu es
Il était une fois le menteur et le mégalomane!
-Eh petit j’ai acheté en douce un avion pour faire la fête, mais je ne sais pas comment faire pour l’intégrer au budget d’état.
J’ai compté sur Bakary Tatam Ly mais il est parti. Un traître!
-Mais ça c’est facile ça IBOUKA!
-Ah bon?
Comment ça facile, Moro Mara?
-D’abord il faut faire les “10 commandements” pour que les ministres te jurent fidélité et loyauté.
Puis je passerai à l’assemblée nationale avec un livre de 70 pages.
Quand les “déboutés du peuple” auront sommeil, je glisserai l’avion dans les dépenses publiques avec le montant que tu veux.
Et c’est bon, le tour sera joué!
-T’es trop fort petit!
T’as étudié quoi et où?
-J’ai un diplôme d’expert-comptable menteur et commissaire aux comptes de surfacturation et de dénigrement de documents juridiques spécialité aviation décroché en France avec fracas et brio!
-Très bien Moro Mara!
Tu es désormais premier ministre avec rang supérieur à Karim Keita et à Mami.
-Comment ça rang supérieur à Karim et à Mami?
-Non parce que Bakary Tatam Ly était premier ministre mais avec rang inférieur à Karim et à Mami.
Donc pour toi c’est une promotion!
Et il n’y a plus qu’à mentir maintenant pour mériter tout cela!
-Sans problème IBOUKA, sans problème.
“problème Taala”!
-Inchalaouuuuu!
-Aminaaaaa!
“An bè gnongon sôrô missiri la”!
-À tout à l’heure petit, ta barbe est très bien, c’est ça l’islam!
“Allaou soubahana Watalla”!
ces huit mois ont été pour qu’il nous expose ses mauvaises habitudes et non régler quoi que ce soit au Mali
au contraire il est entrain de chiffonner le Mali,tout est délabré aujourd’hui au Mali:les infrastructures,les services publiques.le monde rural est aujourd’hui impitoyable car c’est l’abandon total
IBK est tout simplement pas a la hauteur de nos espérance ou a l’espérance du Mali
je ne crois plus que IBK soit celui qui fera traverser ce désert la,le Mali
par ce qu’il n’est pas exemplaire.pour mener cette tache la a bien il faut être soit même irréprochable
(dala toulouma tès touyafo) il est lui meme trempé
SOS le cherche un bon dirigeant !!!! merci d’avance
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