A l’occasion de cette année qui s’achève, le meilleur que l’on puisse souhaiter pour le monde des affaires au Mali est le retour du calme et de la sérénité et pour cause. L’année
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Dans les deux cas, les mêmes causes -élections consulaires- ont produit les mêmes effets, ceux de la division voire même de la haine. Le tout a été exacerbé par le comportement d’un Etat incapable de faire face à ses responsabilités premières. Parce que, quand même, l’Etat est représenté dans chacune de ces institutions majeures où il assure le secrétariat général.
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Que deux structures phare du monde malien des affaires s’enflamment, l’une après l’autre, sans que l’Etat puisse rien entreprendre pour éteindre le feu ! Que dire de cette passivité excessive de l’Etat malgré la gravité de la situation, sinon qu’elle sous-entend une réelle complicité par rapport à ce qui est arrivé.
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Laisser à eux-mêmes c’est-à-dire entre eux, chacun des commerçants, industriels et chargeurs maliens a fait ce qu’il croit devoir faire. Poussant les attitudes et les propos jusqu’au-delà des limites légales et règlementaires. La loi ne vaut que par la volonté de celui a en charge de la faire respecter. Il en est de même des décisions de justice, pondues à profusion à la faveur de ces deux crises mais sans qu’aucune d’elle ne puisse connaîtra même pas un début d’application. Face ces crises qui durent, l’Etat malien n’est pas seulement en panne d’autorité ; il est en manque de persuasion et de crédibilité.
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Affaire judicaire Cmc : l’épilogue ?
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Selon toute vraisemblance, on s’achemine vers l’épilogue judiciaire d’un conflit qui dure depuis mars 2007 au Conseil malien des chargeurs. En effet, sollicitée,
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Un arrêt qui sonne comme l’épilogue judicaire de cette affaire. Puisqu’en effet, le juge de la section administrative de
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