A propos du Conseil National des Jeunes du Mali en France :rn« La page de Ismaël Sacko est tournée », dixit un sage

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Suite à notre article de la semaine dernière intitulé : « CNJM/France : Ismaël Sacko charge, Kaïser et consorts se défendent… », les réactions ne se sont pas fait attendre. Et non les moindres : des intellectuels, présidents d’associations, même administratives. La plupart des internautes et autres personnes qui nous ont appelé, tous accusent Ismaël Sacko de ne pas être consensuel afin de permettre aux franco-maliens de faire leur entrée dans le bureau du CNJM/France. En réalité la mise place d’un bureau réclamé par la majorité des jeunes et s’est intervenu en août 2006 au lieu de 2007, comme cela nous avait dit par une source, la plus part des personnes qui ont intervenu accuse Ismaël Sacko d’incompétence et impulsif. Ce qui de nature ne favorisait pas une ouverture aux atres jeunes très dynamiques et qui sont des maliens.

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« De nos jours, cette question de Ismaël Sacko, nous l’avons dépassé et nous nous consacrons au travail allant d’interventions pour nos compatriotes qui ont des problèmes de papiers à régler, ou mis en place de projets générateurs de revenus tant au Mali qu’en France », martèle un cadre de la communauté sous couvert de l’anonymat. « Vous savez, depuis la mise en place de notre bureau en août 2006, après moult tractations afin de ramener à la raison notre camarade Sacko, l’homme a été isolé. De nos jours, il travaille avec un groupuscule. Ce que nous déplorons, c’est qu’après un an que notre bureau a été mis en place, c’est maintenant profitant d’un séjour de la place à Paris que Ismaël fait de la délation et de l’intoxication. Pourtant, la quintessence des présidents d’association, des personnes ressources ont tenté de ramener le camarade à la ra      ison, il n’en fait qu’à sa tête. Sinon, l’élection de Yaya Traoré dit Kaïser dont la candidature a été déclarée à la dernière minute, a été une bonne chose. Car, elle a évité aux jeunes de graves dissensions pour la simple raison qu’il y avait au moins une dizaine de prétendants. Le choix porté sur Kaïser était bien vu », nous confie un proche du président. « Tous ces propos ne sont autre que des manœuvres pour tenter de noyer le poisson dans l’eau car, je peux dire que nous avons été victime d’une vraie cabale de la part du CNJM national, de certains leaders politiques tant en France qu’au Mali. Mieux, en aucun cas, il était prévu de changer de président plutôt, l’assemblée ordinaire d’août 2006, prévoyait un élargissement du bureau que je dirige. La suite vous la connaissez », nous confiait à Paris Ismaël Sacko. Un autre proche à lui, regrette l’immixtion des politiques dans leu « jeu ». Car, « en tant que jeunes, ils ont tout fait pour éviter d’être contaminé par la maladie des divisions et des querelles de personnes existantes au CMF ». Le camp de Kaïser réplique en ces termes : « La légitimité est dans notre camp. Et pour cause, nous travaillons avec l’ambassade, le Consulat, les associations maliennes vivant en France dans leur majorité tout comme avec les jeunes des provinces contrairement à ce que laisse entendre le camarade Ismaël, qu’il a le soutient des jeunes maliens des villes intérieures françaises ». Cette personne ressource, personnage respecté chez les jeunes de renchérir en ces termes : « Ismaël est un camarade aux jeunes. De ce fait, ils ne sauraient être des ennemis. Seulement, il y a eu des incompréhensions et lui ne veut pas reconnaître qu’il a perdu et qu’il doit s’associer aux autres  pour qu’ils  travaillent pour notre pays. En guise de rappel, lorsqu’il a été élu, nous avons tous contribué à son élection mais, après quelques moins, nous nous sommes rendus compte et après plusieurs remarques et témoignages que l’homme ne pouvait diriger le bureau du CNJM/France. A partir de ce constat, les jeunes du Mali en France, toute tendance confondue ont décidé de le changer. C’est ce qui s’est passé l’année dernière. Il est temps que Ismaël Sacko se rende à l’évidence qu’il joue à sa perte en persistant dans son travail solitaire. Cela ne rime à rien».

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Enfin, à en croire la majorité de maliens de France, le dossier Ismaël est classé, place est au travail. Qu’à cela ne tienne, un travail de sape doit être mené afin de rapprocher les deux camps. Sinon, le fait que Yaya Traoré et Ismaël Sacko, se dénigrent au près souvent, des autorités françaises, sont des comportements aux conséquences gravissime même pour le CNJM/France. Et pour l’image du Mali. C’est là que réside tout le problème. Autrement dit faire cesser ces agissements et que dans la mesure où selon nos informations « Kaïser et ses camarades sont reconnus par les autorités maliennes et même françaises », le camp Ismaël Sacko, devra pour l’intérêt du Mali, mettre la balle à terre.

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