Garalo, Foulaban, Manancoro et Kodjougou : Les femmes optent pour la vision 2030 de Modibo Sidibé

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Après la région de Ségou la semaine passée, Modibo Sidibé, le candidat des Fare était le week-end dernier dans les cercles de Bougouni et Yanfolila. C’était le samedi 15 et le dimanche 16 juin 2013. La délégation était composée de Modibo Sidibé lui-même ; de Zoumana Mory Coulibaly, premier-vice président des Fare ; d’Amadou Togola, ancien Dg des douanes ; de Satigui Sidibé dit Diarani Satigui, Sidibé Kourian Sidibé, Mamery Sidibé, Fousseeiny Diakité, Amadou Cissé et Mamadou Ivan Diallo, président de l’Association Faso Den Gnouma.

 

Modibo Sidibe  touLa délégation a quitté Bamako très tôt le matin en mettant le cap sur le cercle de Bougouni, plus précisément à la frontière Mali-Côte d’Ivoire dans le village de Manancoro. Ici, Modibo Sidibé et sa délégation ont été reçus par les populations, avec à  leur tête, les responsables du parti Fare du cercle de Bougouni, Baba Sidibé et ses hommes. Après l’accueil par les chasseurs et les jeunes, Modibo Sidibé est allé à la rencontre de la population. Sur la plaque publique, les jeunes, femmes, les imams et chefs de village ont pris la parole un à un, mais tous se retrouvent avec la même doléance : l’état de leur route.

 

 

Chaka Konaté, au nom des jeunes, a demandé la construction de la Medersa et la finition des travaux de leur mosquée, ainsi que l’aménagement de la plaine, afin de faciliter la culture du riz. Les femmes, par la voix de leur doyenne, Hadja Sitan Samaké, a fait savoir que les femmes travaillent la terre ; elles font des travaux domestiques, mais quand elles tombent enceintes, pour les amener à Bougouni, c’est un calvaire, car il n’y a pas de route. Les femmes de Manancoro pensent que les choses doivent changer, parce que cela fait plus 50 que leur route est dans cet état délabré.

 

Auparavant, Amadou Cissé avait présenté la délégation, avant de revenir sur la présentation du candidat, Modibo Sidibé qui est, avant tout, un enfant de Manancoro. Car, il est du Wassoulou. Amadou Togola a abondé dans le même sens en mettant en exergue la chance qu’ils ont, en recevant un candidat comme Modibo Sidibé qui est l’unique candidat à venir jusqu’à eux.

 

Pour Modibo Sidibé, il est venu par la route, il a vu l’état de la route, et connaît la potentialité économique et agricole de la zone. Il dit avoir pris bonne note des doléances. Il a demandé aux femmes, aux jeunes, d’aller voir le travail de la Commission administrative et se préparer pour les élections à venir et surtout, de sortir massivement le 28 juillet pour aller voter. Le candidat des Fare pense que tous les Maliens sont égaux en matière de vote, car personne n’a une voix de plus que l’autre. De ce fait, chacun doit alors exprimer son choix.

 

Il a en outre parlé de son projet Horizon 2030, basé sur le développement local et la prospérité des populations, en leur dotant des moyens adéquats pour vivre sur place, sans aller ailleurs. Avec le développement de chaque secteur de la vie de façon durable, avec plus de citoyenneté et de suivi et contrôle de la population. Il a pris l’exemple sur un enfant de 7 ans qui, avant d’atteindre la majorité à l’horizon 2030, doit pouvoir faire des études, sa formation et s’installer chez lui.

 

 

Pendant toute la journée, partout il est passé, Modibo Sidibé a insisté sur le vote et son projet pour les Maliens à Horizon 2030. De Manancoro à Garalo, en passant Kolodjou et Kondjougou, les femmes ont dit avoir bien compris ce projet qui peut assurer l’avenir de leurs enfants. Bintou Camara de Kondjougou qui était très déçue des hommes politiques, pense qu’avec des messages d’avenir à partir des réalisations à la base, les femmes font confiance à Modibo Sidibé. La présidente des femmes de Garalo s’est dit émerveillée par la vision, car elle ne savait pas qu’un candidat connaît la potentialité agricole de Garalo, surtout le fait qu’il a mis l’accent sur le rôle important que les femmes jouent au niveau des foyers, leur participation économique dans la gestion de la famille qui peut être une chaîne de transformation économique pour les femmes du village. Et à Modibo Sidibé d’ajouter que rien de durable ne pourra se faire sans les femmes. Et que dans la zone de Manancoro, sans la route, aucune activité ne sera durable.

Kassim TRAORE, envoyé spécial

 

 

Yanfolila, Sido et Keleya : des adhésions sans faille

Seydou Keita Yanfolina
Seydou Keita Yanfolina

Le dimanche 16 juin 2013, après avoir fait le trajet Bougouni-Manancoro, Modibo Sidibé a rencontré à Bougouni, les communautés des cercles de Yanfolila, Kolondièba et Bana. Le matin, il a été reçu par la famille Diakité de Bougouni. L’imam et le chef de village y étaient présents. Pendant plus d’une heure de temps, les sages de Bougouni faisaient, tour à tour, des témoignages sur le fils du capitaine Sidibé et sur son grand-frère Mandé. Dans le vestibule, le patriarche des Diakité a dit que Modibo Sidibé est chez lui à Bougouni, car il n’est pas à sa première fois dans le «blon».

 

Après les notables de Bougouni, c’était le tour des ressortissants de Bana d’échanger avec Modibo Sidibé. Plusieurs personnes d’âge mûr ont pris part à la rencontre, qui a surtout été marquée par l’importance du vote et la participation des populations de Bana. Au nom des ressortissants du cercle de Kolondièba, Sibiri Touré,  a échangé avec Modibo Sidibé. Ceux-ci avaient fait une grande mobilisation à la veille, le samedi, mais malheureusement, la délégation de Modibo Sidibé n’était pas informée. Ils ont promis de soutenir Modibo Sidibé pour les élections à venir.

 

La dernière communauté a été celle du Wassoulou, avec des témoignages et des mots de soutiens. Certains ont demandé que le candidat des Fare se rende dans leur village, alors qu’il avait fait déjà deux visites chez ces mêmes personnes. Mais, compte tenu du programme chargé et surtout que la délégation continuait sur le même Wassoulou, cela n’a pas été possible. La première étape, c’était les villages de Balena, Djeguenia et Bounoukou, avant de mettre le cap sur Yanfolila ville. Dans ces villages, l’accueil était à la hauteur et riche en couleurs avec des chants et danses.

 

À Yanfolila, devant la maison du chef de village Zoumana Sidibé, Modibo Sidibé a été accueilli par une chorégraphie aux couleurs nationales, exécutée par des jeunes filles et garçons dont la moyenne d’âge n’atteint pas 16 ans. Dans le Wassoulou, personne ne pouvait réguler le temps de parole, car chacun s’exprimait en sa façon, mais le tout se retrouvait en faveur d’un seul homme : le candidat des Fare. L’union sacrée autour de Modibo Sidibé se renforce, car même les indécis, avant le coup d’Etat, commencent à comprendre que la candidature de leur frère est du sérieux. Selon certains jeunes, il n’a rien perdu au Wassoulou ; au contraire, ce sont des jeunes qui viennent chaque jour à la coordination mise en place par le président du Conseil de cercle, Seydou Diakité.

 

 

Le chef de village de Yanfolila est le chef d’orchestre des notables, chefs coutumiers et gardiens du temple. Ici, les populations et les villages visités dans le cercle de Yanfolila pensent que c’est la délégation qui est venue, sans quoi, pour eux, le candidat des Fare même, sait comment ils travaillent. Pour la présidentielle, ils entendent jouer la carte Modibo gagne dans tout le Wassoulou. «Nous avons les moyens, les femmes et les jeunes, pour le faire élire…», a laissé entendre Seydou Diakité, président du Conseil de cercle. Il est à pied œuvre pour la validation des listes électorales.

En somme, c’est un Modibo Sidibé très satisfait qui a quitté Yanfolila pour venir saluer les jeunes, les femmes et les notables de Sido et Keleya, qui sont tous d’accord pour le soutenir. Après Keleya et Sido, la délégation est rentrée à Bamako.

Kassim TRAORE, envoyé spécial

 

 

Sitan Samaké de Manancoro

Sitan Samaké
Sitan Samaké

«Depuis Modibo Keïta en 1962, je n’ai pas vu un homme politique de votre rang à Manancoro. J’avais décidé de me retirer totalement, c’est mon petit-fils qui est avec vous. Donc, je suis obligée de vous suivre, tout comme les femmes de Manancoro. Les jeunes vont nous suivre. Votre programme de campagne répond à la prise en charge des problèmes des femmes. Le développement local avec des moyens de base, nous rassure. Moi, je vous donne rendez-vous au petit soir du 28 juillet prochain et on en parlera».

 

Djénéba Tangara de Konlougou

«C’est notre première fois de voir Modibo Sidibé chez nous. Ce qu’il a dit ne pourra se concrétiser que si on vote pour lui. Les femmes de Konlougou  ont pris l’engagement, devant lui-même. Donc, la suite, on verra. Je trouve que c’est un homme de parole, parce que j’ai une amie à Nioro du Sahel et c’est Modibo Sidibé qui a construit là-bas le centre de santé. Alors, s’il vient chez nous ici, il a tout vu et entendu, il sait qu’on va voter pour lui. La balle est dans son camp»

Drissa Sangaré, maire Cnid de Blandié

«Je suis là pour soutenir Modibo Sidibé. Nous allons travailler avec ses gens pour qu’il soit élu. Je suis du Cnid, mais pour la présidentielle, nous allons travailler pour Modibo Sidibé. Nous sommes 4 maires dans la zone ici. Parce que nous avons travaillé l’année dernière avec Yanfolila pour qu’il soit le président de la République du Mali, cela n’a rien à voir avec nos partis politiques. On soutient Modibo Sidibé, c’est pourquoi toutes les communes sont venues à Garalo pour l’accueillir»

 

Seydou Diakité, président du conseil de cercle de Yanfolila

«Nous sommes les initiateurs de la candidature de Modibo Sidibé, dans le Wassoulou. Les 12 communes travaillent pour la victoire de Modibo Sidibé. On doit lui prouver qu’il est d’ici. En 2002, personne n’a battu Mandé Sidibé ici dans le Wassoulou. Cette année, nous allons faire mieux qu’en 2002, parce que nous sommes là-dessus, ça vaut deux ans. On a eu le temps. On a une commission ici à Yanfollia et on travaille correctement avec Bamako et avec tous les responsables, afin que le Wassoulou soit au rendez-vous le 28 juillet prochain»

Commentaires via Facebook :

12 COMMENTAIRES

  1. Quand je vois ce voleur,indigne mauvais patriote 👿 👿 👿 👿 qui était le bras droit de ATT quand ATT dirigeait notre pays vers la dérive, fait le tour du monde pour essayer de convaincre les Maliens a voter pour lui, me donne envie de vomir 😥 😥 😥 😥 .

    Modibo Sidibé toi tu n’a pas honte sinon tu disparaître de la scène politique.

  2. Monsieur le journaliste c’est pas commeça qu’ont écrit le nom des villages.Il y’a que des fautes

  3. Pour l amour de dieu,pour l amour a ton pays ,pour l amour a tes freres et soeurs du mali, toi modibo, soumaila, IBK. ( retirez -vous) s.v.p , merci pour les efforts fournient pour ce pays, nous voulons un autre mali maintenant…..un mali koura..

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      Tribune
      Reconstruire et rassembler
      Par Modibo Sidibé
      « Il vaut mieux regarder devant soi que se retourner sur l’endroit où l’on a trébuché ». La sagesse malienne est grande. Et toujours source d’inspiration. Regarder devant soi, pour ne pas risquer à nouveau de tomber. Regarder devant soi pour identifier les chantiers à ouvrir. Les programmes à lancer. Les objectifs à se fixer. Les horizons à se donner.
      Reconstruire, c’est vouloir tirer les enseignements du passé. Et non rétablir le passé. Reconstruire, c’est savoir faire la part de ce qui a fonctionné. Tout en étant conscient  de ce qui a échoué. Reconstruire, c’est avoir la prudence de celui qui sait le sol fragile, et c’est l’audace de l’homme dont l’espoir porte les convictions. Reconstruire, c’est enfin avoir la volonté de rassembler, d’associer, de réconcilier…
      Un journaliste me demandait récemment ce qui n’était pas à reconstruire au Mali. Ce qui n’est pas à reconstruire, lui ai-je répondu, c’est l’idée que les Maliens se font d’eux mêmes. Celle d’un peuple. Du patrimoine qu’ils portent. De la culture dont ils sont les héritiers. De ce qui les soude, au delà d’une crise dont nous devons collectivement sortir plus forts, plus sages, plus responsables. Les Maliens doivent retrouver ce souffle qui fera d’eux les acteurs de leur propre changement. Tous ensemble, nos aînés comme notre jeunesse, nous devons travailler à resserrer les liens de la nation, d’où le programme que je propose, basé avant tout sur la priorité donnée à la cohésion sociale, sur l’implication de tous, des autorités traditionnelles jusqu’au plus haut de l’Etat.
      La cohésion sociale a pour préalable la cohérence de notre système démocratique et la refondation  de ses institutions dans lesquelles chaque Malien doit pouvoir se retrouver. En qui chaque Malien doit pouvoir se reconnaître. Sur qui chaque Malien doit pouvoir compter pour défendre ses valeurs, ses droits et faire prendre au pays les bonnes directions. Qui doivent enfin inspirer à chacun l’envie de les servir. De les respecter. De les défendre.    
      Il n’est pas ici question de se voiler la face, ni de jouer la politique de l’autruche : notre démocratie doit faire face comme nombre d’autres à des insuffisances, à des plaies qui la fragilisent. Il nous faut réinventer une autre façon, plus vertueuse, plus efficace, de faire de la politique. Afin qu’elle cesse de donner le pauvre spectacle d’un pré carré ou s’affrontent des intérêts catégoriels, des ambitions personnelles, où se développent de petites stratégies de court terme sans grand rapport, le plus souvent, avec l’intérêt général. Le propos n’est bien sûr pas de remettre ici en cause, d’une quelconque façon, le pluralisme qui est l’une des conditions du débat démocratique. Mais le nombre de nos partis frise par exemple le ridicule et apporte la démonstration que le trop peut être l’ennemi du bien. Sachons davantage nous réunir et moins nous disperser, au prétexte de divergences artificielles et égoïstes qui ne sont parfois que le masque d’une prétention personnelle. Sachons ne pas regarder nos formations politiques comme de simples armes de conquête du pouvoir mais comme les outils de la démocratie, du contrôle de la démocratie, les contre pouvoirs dont nous ne saurions nous passer. La démocratie ne se mesure pas au nombre des partis mais à l’intelligence collective de ceux qui représentent ou dirigent la Nation. Et nous avons trop de raisons urgentes de nous rassembler et de nous parler sans nous opposer en permanence pour des raisons qui n’ont souvent rien à voir avec l’attention portée au pays.
      Car notre objectif, notre vocation c’est de rassembler. Pas de se  réunir autour d’une ambition personnelle et de quelques idées opportunistes comme trop souvent notre pratique partisane semble l’illustrer. Non. Il ne s’agit pas davantage de réunir des intérêts, de regrouper des forces, de mettre artificiellement des individus les uns à côté des autres. Non, cela va bien plus loin. Il ne s’agit pas seulement d’abandonner une façon désuète de faire de la politique ou des méthodes de gestion dépassées. Non là encore, cela va au delà.  Notre propos est autre. Il s’agit de rassembler des volontés. Il s’agit d’être les initiateurs d’un véritable renouveau démocratique, les artisans d’une véritable refondation que mérite le pays qui nous est cher, le pays que nous aimons, que nous avons vu vaciller et que nous voulons défendre, car ce pays ce n’est pas un parti, un  groupe, un clan, ce pays, c’est un peuple, une nation, des Maliennes et des Maliens qui aspirent à la modernité, qui ont droit au meilleur et dont l’avenir ne se conçoit que si nous savons tous nous rassembler.
      La modernité…pourquoi nous en priverions nous ? N’en serions-nous pas dignes ? Y aurait il quelque chose qui ferait que le Mali n’y aurait pas droit, condamné à se satisfaire du mauvais spectacle donné par des luttes de clan le plus souvent incompréhensibles du plus grand nombre, des querelles de « préau d’école », des débats artificiels entre partis groupusculaires que seuls font naître des intérêts bien réels ceux-là mais pas forcément ceux du peuple. Y aurait-il une fatalité, une prédisposition qui rendrait le Mali incapable de se donner des institutions stables et durables, des alternances pacifiques, une maturité démocratique exemplaire ?
      Je sais que rien de tout ce que je viens d’évoquer ne se décrète pas. Mais se construit.  Il y a là affaire de prise de conscience et de volonté. Aujourd’hui, j’en appelle à tous ceux qui aiment notre pays comme je l’aime. Aujourd’hui j’en appelle à tous ceux qui ne se reconnaissent pas dans une façon dépassée et inadéquate de faire de la politique. Aujourd’hui j’en appelle à tous ceux qui ont une ambition pour leur pays. Et plus d’ambition pour leur pays que pour eux mêmes… J’en appelle à tous ceux qui entendent, comprennent, soutiennent une idée simple qui pourrait, qui devrait être une évidence : la politique et l’exercice du pouvoir ne sont que caricatures s’ils ne sont fondés sur une éthique, sur ces valeurs dont tous les Maliens doivent se sentir dépositaires, solidaires, et dont leurs enfants et petits enfants seront les héritiers… Notre conviction  à nous, elle se nourrit des principes républicains, des valeurs démocratiques, du respect qu’inspirent des institutions que nous nous sommes données, et qui nous ressemblent. Du respect de l’homme. De ses droits. De sa pensée. De ses libertés. De ses mérites. De ses valeurs culturelles.
      Rassemblons-nous dans un nouveau pôle politique, un pôle politique émergent, porteur de ces valeurs, d’une nouvelle gouvernance des partis politiques, d’une citoyenneté plus active, plus engagée.
      Tel est le dessein du projet Mali Horizon 2030, un pacte d’avenir, véritable contrat avec les Maliens que j’ai la seule ambition de rassembler, de conduire et d’intégrer à la marche de la civilisation industrielle, scientifique et technologique du 21ème siècle. Sans crainte, et en toute confiance parce que nous savons d’où nous venons.

      Modibo Sidibé

      Candidat à l’élection présidentielle de 2013

       

  4. Vous les maliens vous passez votre temps à vous attaquer à l’homme et non à ces idées.
    Essayez de proposer de bonnes idées pour votre pays. Si vous voyez que ce n’est pas facile alors écoutez ce que disent les autres.

  5. comme on dit la verite n’appartiens pas aux petits blogueur d’internet qui sirottent du coca derriere leur ecran , on veux des gens qui n’hesitent pas a aller voir le bas peuple et discuter , on veux pas des president qui survolent les villages et leurs problem avec des helicopters ni ceux qui sont KAN TCHAMAN TIGUI … des camelon qui vont la ou le vend les emportent par aviditer
    JE DIS OUI A MODIBO SIDIBE , tout le monde connais ton serieux dans le travail , le mensonge est comme la braize , sa brille mais sa s’eteint tjr rapidement

  6. Chers/es lecteurs
    Je pense qu’il est temps et grand de voir la réalité en face,
    Modibo n’est qu’un Malien rien de plus. Ou sont les évidences de mauvaise gestions ou de gouvernances de Modibo, j’ai rien vue moi, Ni de forêt, ni de bulletin de vote dans les urnes.
    Mais j’ai vue les centres communautaires du Mali qui sont toujours opérationnels avec la créations des emplois, Assurances Maladies aujourd’hui pas de place dans le rang de ce qui sont intéresses par cette carte d’assurance, les pharmacies et centre de sante peuvent vous en dire plus, Opérations riz manquent d’acteurs ce jour ci car c’est or qui fait le beau jour, si non le succès est au vue de tout le monde voir les financement continus et d’autre volets s’ouvre.
    Le niveau de vie d’un malien moyen: voir la maison, et chez le capitaine Sidibe au badialan.
    Merci Modibo !!!

  7. Ce qui me sidère chez le malien c’est a chaque fois qu’on parle de certains hommes on entend voleur de la république sans nous apporter des preuves . je comprend maintenant la méchanceté gratuite de certains maliens ou c’est de l’aigreur , travaillez et produisez au lieu de passer votre vie sur maliweb en déversant votre aigreur sur des honnêtes gens

  8. Le peuple confirmera le 28 juillet le choix que Dieu lui-même a déjà décidé. Modibo, ne prête aucune attention aux méchants, aux égoïtes et aux aigris, car Dieu recommande “Aimes ton prochain quel qu’il soit”. Le reste, c’est LUI et LUI seul qui décide en premier et dernier ressort. Qui veut avancer regarde devant et non derrière.

    • Les voleurs sont à Bamako-Coura à la maison d’arrêt. Tous les vrais descendants du Manding de Soundiata à aujourd’hui, de Diboly à Kidal, de Nioro du sahel à Zegoua s’abstiennent de diffamer, de mentir ……. voici les vrais vices que notre société n’accepte pas .

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