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La salle Balla Moussa Keita du Centre International des conférences de Bamako a servi de cadre le samedi 31 mai 2014 au forum des femmes de l’Alliance pour la Solidarité du Mali (ASMA). La cérémonie d’ouverture de la rencontre était présidée par le Président du parti, Soumeylou Boubeye Maïga, en présence de la présidente des femmes, Niangadou Raky N’Diaye.
Le thème retenu pour cette activité, qui devrait se dérouler depuis 2012, portait sur « Le rôle et la place des femmes dans le processus de la paix ». L’objectif de ce forum était de créer un cadre d’échange et de partage d’expériences pour les femmes du parti dans le processus de la consolidation de la paix et de la réconciliation nationale. Une seule intervention a marqué l’ouverture des travaux de cette cérémonie : l’Allocution de Soumeylou Boubeye Maïga. A l’entame de son propos, le président de l’ASMA a fait savoir que le rôle des femmes leaders est capital dans le tissu économique et social.
Selon lui, ce forum se tient dans un contexte où les enjeux pour le Mali demeurent importants. Il s’agit donc de préserver l’unité du Mali dans sa diversité politique et sociale.
Parlant de la tragédie qui est survenue à Kidal, Soumeylou Boubeye dira que « l’histoire rétablira les faits un jour. Quand nous sommes en responsabilité publique, si on a l’obsession d’être bien vu tout le temps, et par tous, souvent on oublie ce qu’on a dit et fait. « Dès le lundi (ndlr : aujourd’hui), nos députés à l’Assemblée Nationale vont saisir leur collègue de tous les groupes parlementaires et le président e l’Assemblée pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire afin que les choses soient éclaircies. En ce moment là, je serai prêt à aller témoigner devant la commission, à mettre à sa disposition toutes les communications, tous les SMS qui ont été échangés, entre les gens et ceux qui sont sur le terrain. A partir de là, on saurait qui a dit quoi. Et qui a été le dernier à leur parler. Mais aujourd’hui, il ne faut pas qu’on se trompe d’enjeu. Nous devrons travailler à l’unité du pays, à une union nationale. Nous sommes et restons clairement dans le projet pour le Mali. Nous avons soutenu le candidat IBK à un moment où le vent ne lui était pas favorable. Nous sommes unis sur la vérité. Nous ne laisserons personne qui pense qu’il pourra tirer un gain politique personnel de la tragédie qui vient de se passer. Dans cette tragédie, notre problème n’est pas d’essayer à sauver notre tête. Nous, nous appartenons à notre pays. Aujourd’hui, pour sauver notre pays, nous devons préserver l’unité malgré les diversités », a laissé entendre SBM, en substance.
Jean GOÏTA
« ..preuves matérielles seraient détenues par la Force Serval dont certains responsables ne sont point contre leur publication pour faire la lumière sur cette affaire.. »
MR LE JOURNALISTE VOUS PARLEZ DE QUELLES PREUVES MATÉRIELLES ???
UN SMS N’EST PAS UNE PREUVE MATÉRIELLE CAR
1- SON ENVOYEUR ET SON ACCUSEUR DE RÉCEPTION PEUVENT ETRE N’IMPORTE QUI, IL
SUFFIT D’ETRE AU BON LIEU ET AU BON MOMENT.
2- TOUT CE PROCESSUS D’ENVOIE ET DE RÉCEPTION PEUT ETRE ÉMULÉ ET SIMULÉ
TECHNIQUEMENT PAR L’AUTORITÉ DE GESTION TECHNIQUE DE L’INFRASTRUCTURE
MUNÉRIQUE ET HAUTEMENT INFORMATISÉE DE TÉLÉCOMMUNICATION, DANS NOTRE
CAS PRÉCIS C’EST LA FRANCE, OUI LA FRANCE.
« NALOMA » DE JOURNALISTE, DE QUELLES PREUVES MATÉRIELLES VOUS PARLEZ ??
VOULEZ ETRE RADIO « MILLE COLLINES » AU MALI ?
FAITES ATTENTION Á CE QUE VOUS ÉCRIVEZ, CAR LE TEMPS EST GRAVE, TRES GRAVE…. . POINT.
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