Formation d’un gouvernement d’union nationale : L’ancien navigateur interplanétaire dans un dilemme

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Suite à la demande formulée par  la cédéao lors de son mini-sommet du groupe des chefs d’Etat tenu à Ouaga le 7 juillet dernier de former un gouvernement de large d’ouverture d’ici au 31 juillet prochain, le premier ministre de pleins pouvoirs, l’astrophysicien Dr. Cheick Modibo Diarra est dans un dilemme car il est a appelé à se séparer de certains de ses actuels collaborateurs que lui-même avait choisi afin de permettre à d’autres de rentrer dans le gouvernement. Une séparation qui s’annonce déjà très difficile car comme dirait l’autre, on ne peut pas faire des omelettes sans casser les œufs. 

Cheick Modibo Diarra, Premier ministre malien

Désorganisée, désorientée et n’ayant plus d’espoir de gouverner le pays comme avant suite  au coup d’Etat militaire du 22 mars dernier par l’ex-junte, une bonne partie de la classe politique malienne devient de plus en plus exigeante. Il s’agit selon leurs agissements la dissolution du gouvernement Cheick Modibo Diarra formé le 25 avril dernier au profit d’un gouvernement d’union nationale comme stipulé dans l’accord cadre du 6 avril dernier pour leur permettre de participer à la transition. Un cri qui s’expliquerait d’une part de l’envie d’avoir la main dans la patte durant la transition politique et d’autre il n’y a pas de démocratie sans les partis politiques. Mais qu’à cela  ne tienne,  pendant que les autres songent à la libération des trois régions du nord sous occupation des bandits armés notamment le MNLA, les islamistes radicaux d’Ançar Dine et de MUJAO et autres trafiquants d’armes et de drogues, certains s’acharnent contre les autres en remettant en cause tout un système de gouvernance et réclament la dissolution d’un gouvernement déjà en place et qui a commencé à mener des actions pour une sortie de crise telle souhaitée par les maliens comme si c’était la seule solution pour libérer les trois régions du nord. Ce qui pourrait quand même constituer un recul dans la résolution de la crise. Cette exigence de la classe politique d’ouvrir le gouvernement aux autres est de nature à mettre en mal le chef du gouvernement et en même tant le mettre dans un dilemme puis qu’il est appelé à se séparer de certains de ses actuels collaborateurs. Un exercice à la fois difficile et  périlleux qui ne dépend plus de la seule volonté du chef de gouvernement. D’abord, il sera obligé de se séparer de certains de ses actuels collaborateurs qui n’ont rien fait pour mériter un tel sort après seulement trois petits  mois d’activités gouvernementales. Alors, quels sont les ministres qui seront concernés par ce départ forcé ? Comment le premier ministre va procéder à ce changement sans fondement réel ? Ce qui est sûr, aucun ministre ne va quitter le navire pour insuffisance de résultats. Donc un choix qui s’annonce très délicat pour Cheick Modibo Diarra. Ensuite, en acceptant de former un gouvernement ‘’ inclusif et plus représentatif’’ comme souhaité par des hommes politiques, on va-t-il imposer des hommes ou des femmes au chef du gouvernement ?   En tout cas, ce serait quand même absurde de replonger le sud dans une autre crise politico-institutionnelle et laisser les populations du nord entre les mais des bandits armés et autres islamistes radicaux qui continuent de s’attaquer à celles-ci impunément avec à la clé la destruction des lieux sacrés. Certes, certains diront que l’Etat est une continuité mais il serait bon de savoir que le Mali vit dans une situation exceptionnelle. De toutes les façons, la formation d’un gouvernement inclusif et plus représentatif comme réclamé par des  hommes politiques ne devrait pas être une priorité en cette période cruciale pour notre pays. Le plus important pour tous les maliens devrait être comment libérer les 2/3 de notre territoire sous occupation des bandits armés depuis quelques mois.

                                            Par Zakariyaou  Fomba

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17 COMMENTAIRES

  1. L’angle de vue: la crise au Mali et un petit cours de stratégie

    “Si les États-Unis veulent la guerre, alors nous nous retrouverons en enfer”.
    Rassurez-vous mes chers amis, la phrase n’est pas la mienne, mais celle de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Comité central du parti communiste de l’URSS au coeur de la crise des missiles de Cuba.
    En installant des missiles à tête nucléaire sur l’île de Cuba de Fidel Castro en 1961, pointées sur le sol américain à quelques heures de vol d’oiseau des côtes de la Floride, le dirigeant soviétique venait de mettre le jeune président américain John Fitzgerald Kennedy dans une situation inédite de dilemme sauvage de l’existence.
    Comment assurer la sécurité intérieure des États-Unis sans prendre la responsabilité de déclencher une guerre nucléaire (qui conduirait sans nulle doute l’humanité à sa perte) tout en gardant la tête haute en temps que superpuissance mondiale?
    Quatre options s’offraient au président Kennedy:Invasion, Embargo sur l’île ou Blocus, Bombardement et négociation.
    Les conseillers du président Kennedy analysent de long en large les pour les contre de chacune des quatre options et le président Kennedy choisit le blocus.
    Les sous marins nucléaires russes se dirigèrent vers Cuba pour faire sauter le Blocus américain, l’Amérique de Kennedy ne bougea pas d’un iota, finalement Khrouchtchev renonce et fait demi tour.
    En contrepartie l’Amérique prend l’engagement (qu’elle tient encore) de ne pas envahir Cuba et Moscou retire ses missiles.
    Kennedy venait de gagner la bataille décisive de la guerre froide.
    Cette épilogue de la crise des missiles de Cuba est enseignée dans les grandes écoles de stratégie car elle était la seule porte de sortie et Kennedy ne l’a pas loupé.
    Chapeau maître!
    C’est pour cela qu’il est considéré comme l’un des plus grands présidents des États-Unis.
    En effet il a subtilement glissé sous les pieds de Nikita Khrouchtchev la responsabilité de déclencher la guerre nucléaire.
    Et croyez moi mes chers amis cette responsabilité est très lourde même pour un vieux russe flanqué de l’armée rouge et du KGB.
    Mes chers amis souvent il y’a des décisions qui changent le cours de l’histoire et il faut des hommes d’envergure pour les prendre.
    La crise que le Mali traverse n’est pas la seule crise que les hommes ont connue sur terre, mais sans la bonne décision nous ne rentrerons jamais dans l’histoire.
    Cela fait près de quatre mois que le nord de notre pays est coupé du sud, je n’ai pas vu de décisions d’envergure à la hauteur de notre nation millénaire.
    Mais j’ai vu un président tabassé par des manifestants escaladant nos bâtiments officiels comme des fourmis magnans.
    J’ai vu des soldats de l’armée malienne s’entretuer à balles réelles dans les ruelles poussiéreuses de Bozola, Samè et Djikoroni.
    J’ai vu la bourse de travail et Koulouba en feu, des manifestants couchés sur le tarmac de l’aéroport Bamako Senou.
    J’ai vu une classe politique divisée, des députés élus par les maliens empêchés d’accéder à l’assemblée nationale du Mali.
    Et etc. etc.

    Alors que, comme Kennedy en 1961, les options qui s’offrent à nous en 2012 dans cette crise, sont claires et sont les suivantes:
    1. S”unir et se renforcer au sud pour ensuite aller conquérir le nord,
    2. Se diviser au sud et créer une crise institutionnelle inopportune et laisser pourrir la situation au nord.
    3. Tendre la main la communauté internationale pour nous aider à libérer le nord en respectant toutes ses conditions.
    4. Renoncer carrément au nord et répondre devant l’histoire.
    Mes chers amis, point n’est besoin d’aller étudier à Harvard ou à Yale pour savoir que l’option 1 est la meilleure pour le Mali, mais les acteurs politiques maliens, la société civile malienne et l’armée malienne ont une la prouesse technique de choisir l’option 2.
    Impressionnant! Non vous ne trouvez pas?
    C’est pour cela que j’ai appelé à former un gouvernement d’union nationale en incluant toutes les sensibilités politiques du Mali, une sorte de “Mali Famille” qui regroupera tout le monde autour de l’essentiel:
    LE MALI.
    Et ce malgré les fautes antérieures de la classe politique, voire de la société civile.
    Dans cette optique, malgré les erreurs de départ du Docteur Cheick Modibo Diarra, j’ai appelé à son maintien comme premier ministre.
    Mais un premier ministre qui doit écouter les autres membres du ” Mali Famille”.
    J’appelle aujourd’hui à libérer tous les militaires en détention et organiser une prière géante de réconciliation dans l’armée à la coupure du jeûne pendant ce mois béni du ramadan en regroupant tous les grands imams du pays dans le stade du 26 mars avec tous les membres de l’ex CNRDRE, des membres du 33ème bataillon du régiment des commandos parachutistes de Djikoroni et des familles des victimes de cette sale guerre.
    Mes chers amis si nous faisons cela, ne soyez pas étonnés que les islamistes libèrent le nord avant même qu’on ne livre bataille.
    Parole de Kassin.

  2. Cheick Modibo Diarra n’est pas l’homme de la situation. A ce titre, il doit partir dans la dignite. Ce monsieur avec son manque criard d’autorite a plonge Bamako dans une crise sans precedent. Franchenment, Modibo Diarra est la seulement pour l’apparat du pouvoir autrement, il n’a pas le sachant. Il n’est pas un politique.
    Ibkhalil

  3. Nous disons que le président actuel de la CEDEAO a 1gouvernement d’union la présence d’1force étrangère sous mandat de l’ONU mais depuis plus d’1an il n’arrive pas résoudre le problème des rebelles milices dans l’ouest de son pays et de l’insécurité

    Nous disons que les cas du Kivu de l’Afaganistan de l’Irak sont également là pour prouver que ni la présence d’1force étrangère sous mandats ni 1gouvernement d’union sont nécessaires pour mettre fin à la rebellion et l’insécurité

    Nous disons lorsqu’il y a 1gouvernement commando et 1armée nationale bien équipée la rebellion est vite matée car dans 1pays les gens se connaissent et savent qui est qui et qui a fait quoi Et le gouvernement commando travaille concentré et efficacement car il a des objectifs précis à réaliser dans 1temps bien précis Ainsi avec le gouvernement commando de Kagamé et son armée nationale bien équipée on entend plus parler de rebelles Hutus et avec son gouvernement ils sont en train d’atteindre tous leurs objectifs

    Nous disons que les letrrés mutans maliens ou Satan faits humains des Front de défense de Rebelles(leurs amis) et Front de Refus de la Démocratie vraie ou FDR comme tous les lettrés mutans africains ne pensent qu’à leurs “mangement ou bouffaille”des deniers publics dont ils ne peuvent se passer

    Nous disons la rentrée dans les écoles et universités occidentales arrive à grands pas ils ont besoins de “blés” pour leurs nombreux
    “rejetons” qui y sont donc 1 raisons pour user de malices et d’astuces des plus sataniques aux fins qu’il y ait 1gouvernement d’union dont ils espèrent faire partie pour “voler” l’argent des contribuables comme ils le faisaient au paravant

    Nous disons comme le 1er ministre aux pleins pouvoirs a fait ses preuves de bon gestionaire chez les “autres” ces lettrés mutans maliens ou Satan faits humains du FDR ne veulent pas sentir voire ainsi le 1er ministre qui risque bloquer toutes leurs tentatives de “vol” des deniers publics Ils souhaitent se retrouver entre eux comme au paravant dans 1gouvernement de “bouffeurs”

    Nous disons comme tous les lettrés africains mutans ou Satan faits humains ils s’enfoutent éperdument des intérêts de leurs peuples

    Nous disons donc aux maliens et maliennes fiers honnêtes aimants leur Mali de s’opposer à leur rentrée dans 1gouvernement dit d’union qui ne fera que retarder la reconquête des zones occupées et la tenue des élections libres transparentes démocratiques ouvertes à tous

    Nous disons qu’avec leur gouvernement se sera 1retour en arrière avec des zones “vendues” en monnaies sonnantes et trébuchantes 1armée sous équipée par vol de l’argent destiné au renouvellement de l’arsénal militaire par l’introduction de leurs amis rebelles comme “cheval de Troie”

    Nous disons qu’il faut laisser le 1er ministre et son gouvernement commando aller au terme de leur mandat qui n’est plus que de neuf mois et apprécier(les féliciéter s’is réussissent et les blâmer s’ils n’atteignent pas les résultats attendus)

    Nous disons aux membres du FDR ce qu’ils n’ont pas pu faire de bon pour le peuple malien pendant plus de 10ans de leur règne aveuglés par la défense de leurs privièges égoïtes ce n’est pas en quelques mois qu’ils changeront et feront de bonnes choses pour le Mali

    Nous disons ils ont du mépris pour le peuple et son armée qu’ils prennent pour des “idiots heureux”

    Nous disons ils sont incapables de présenter humblement leurs excuses au peuple malien et à son armée car ceux sont des Satan faits humains

  4. kg=asterix= la plus lâche des gaulloise selon l’aveu même de cesar

    I dagandeh ouloudeh toubaboudeh ne ti toyeh!!!

    👿 👿 👿 👿 👿 👿

  5. Maliweb est bel et bien un site pro FDR ( les plus voleurs du Mali). Ce site est entrain de perdre sa crédibilité. Mes commentaires aussi qui ne contiennent aucune injure est censurée. C’est cela la démocratie?

  6. Le PM aurait simplement demandé officiellement l’arrivée des troupes de la CEDEAO que personne n’aurait rien trouvé à redire, puisque la balle serait dans le camp de la CEDEAO actuellement en négociation avec les Nations Unies qui trainent le pied pour financer la guerre. Mais il a préféré choisir de protéger le pouvoir des armes de Sanogo en refusant l’arrivée des troupes de la CEDEAO, en se mettant à dos la classe politique et la société civile pour se jeter dans la gueule du loup de Sanogo. Or ce dernier et ses copains tiennent absolument à garder le pouvoir de leurs armes pour terroriser la population (cf Dioncounda, Soumaila, Saouti et autres journalistes tabassés). Là où la CEDEAO demande de l’argent pour la guerre, serait-ce le pauvre Mali qui aurait les moyens de la faire?

  7. COMPTER SUR SOI-MÊME MAIS IL ÉTAIT NÉCESSAIRE DE S’ACCORDER AVEC TOUT LE MONDE ET D’AVANCER ENSEMBLE POUR VAINCRE LE TERRORISME AU NORD MALI

    Bonjour,

    C’est dommage, le comportement de certains Maliens, qui, au lieu d’essayer d’aider à trouver la solution à la crise, contribuent plutôt à l’aggraver.

    Vu la situation dans laquelle était le Mali, il y a cent jours, avec d’UNE PART :

    (1) les forces de défense et sécurité qui n’avaient pas les moyens et qui n’étaient pas motivées pour faire la guerre compte-tenu de la déroute subie et (2) le terrorisme qui prend de l’ampleur au Nord Mali,

    et d’AUTRE PART :

    (1) la proposition de la CEDEAO/UA de négociation dont l’échec générerait une intervention militaire (toujours en attente du feu vert de l’ONU), et (2) le bouillonnement politique au sud Mali sans convergence de points de vue,

    Il fallait bien que le gouvernement de transition du Mali prenne le temps nécessaire pour échanger avec les pays partenaires et amis de cette situation avant de prendre une décision définitive et éclairée qui n’affecte pas que le Mali car une telle décision, compte-tenu du terrorisme, pourrait aussi impacter la région sahel et le monde.

    Aujourd’hui, la position adoptée par le gouvernement de transition au Mali, félicitations pour ce faire, correspond à celle de la communauté internationale à savoir la nécessité de la négociation, et en cas d’échec l’option militaire.

    En mettant en avant les forces de défense et sécurité du Mali, renforcées plus tard par le contingent de la CEDEAO/UA/ONU, le Mali doit maintenant, de façon urgente, mettre en œuvre la solution retenue (négocier avec les communautés) sans tarder et surtout sécuriser les populations Maliennes en attendant la stabilité complète.

    J’ai proposé de faire intervenir les communautés du Mali et les Maliens non terroristes à travers des conférences de compromis étendues à toutes les régions du Mali. Ces dernières doivent être aussi sécurisées.

    Tous les Maliens et toutes les communautés Maliennes doivent aider le gouvernement à la mise en œuvre d’une telle solution au lieu de disperser les énergies, certains à travers des milices qui pourraient être contre-productives (provoquer d’énormes dégâts sans atteindre l’objectif visé) et d’autres à travers des amalgames et des divisions.

    La contribution de tous les Maliens et de toutes les communautés est nécessaire pour mettre fin à cette crise qui mine le Mali et le met au bord de l’implosion.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
    E-mail: Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

  8. Le Retour du président par intérim n’est pas le problème en soit.

    Mais toutefois, s’il vient pour mettre en pratique le souhait ardent de sa famille politique de faire partir le PM alors là ça serait très grave pour nous tous, car je sais pas ce qui va arrivé.

    Un président doit savoir qu’il n’est pas président d’un parti bien que c’est grâce à eux qu’il se trouve au pouvoir.

    Mais une institution qui représente tous le Peuple du Mali.

    Et à ce titre, je lui souhaite d’avoir la sagesse nécessaire. puisse Dieu lui en inspiré.

    Jeune du Mali, soyez fort et prêt à défendre votre avenir.

    Que Dieu nous sauvegarde.

  9. COMME DIRAIT L’AUTRE CE SONT DES GENS QUI SONT NEES AVANT LA HONTE HA LA POLITIQUE QUEL SAL BOULOT TOUJOURS A MARCHER SUR DES CADAVRES POUR LEUR PROPRES INTERET C’EST DOMMAGE POUR CE BEAU PAYS.
    QUE LA VERITE DE DIEU ECLATE AU GRAND JOUR AMEN.

  10. Je commence à déviner que le site MALIWEB est dirigé et contrôlé par les membres du FDR. Si non, je ne comprend pas pourquoi on refuse d’afficher mon commentaire qui ne comporte aucune injure ou manquement grave. Ce qui est sûr, vous ne pourrez jamais empêcher la vérité de clore. C’est comme si vous cherchez à empêcher avec vos mains, la lumière solaire d’éclairer une partie du monde. La vérité finit toujours par triompher. Sachons raisons gardées. Dans des situations de ce genre, évitez d’afficher votre position.

    • Cher ami, tu n’as rien compris ou tu gagnes avec eux ? Le seul métier de certains politiciens maliens est le vol, le détournement, la délinquance financière et le pillage de nos maigres ressources (ou sont passés les fonds de l’ONU – SIDA et de l’initiative riz pour ne citer que ceux-ci ?). Aujourd’hui, grâce aux actions combien salutaires de Amadou Haya SANOGO et son équipe, le peuple a tout compris et le peuple réclame le changement total de mentalité et de comportement. Oui, nous voulons un autre Mali qui sera construit sur la base de la vérité et rien que la vérité pour que nous puissions connaitre enfin un développement durable dans la dignité et dans la fierté retrouvée. Sachons raisons gardées pour que vive un Mali prospère avec une vraie démocratie ou toutes les fautes et erreurs graves seront sanctionnées avec la dernière rigueur.

  11. le mali est toujours en crise rien n’est réglé rien du tout;

    des milliers d’entreprises, d’ONG de projets sont fermés,
    le nord est toujours occupé;
    les aides sont suspendus;

    sachons garder raisons les maliens !

    le mali est un pays pauvre, très pauvre d’ailleurs, alors faire cavalier seul est un suicide collectif!!!

    tout la communauté internationale ne peut être folle et que nous maliens soient les seuls à détenir la vérité!!

    réfléchissons
    réfléchissons; le mali a besoin des partis politiques quoi qu’on pense et quelque soit la solution envisagée à l’interne ou à l’externe.

    • A Zakaiyahou Fomba d’abord?
      Pourquoi tu ne peux pas prendre une bonne photo de notre Premier ministre ? Ce n’est pas digne de ta part. Ton père a toujours choisi les photos qui sont bien presentable pour des choses qui sont vues par le public.
      D’autre part, je viens à Tiefari pour lui dire que tous les partis ne sont pas utils à l’heure ou nous sommes.
      Par rapport au problème du nord, si tu es pressé, il faut aller t’inscrire comme volontaire dans l’armée. Dans ce cas on s’aura que tu es pressé de cette gestion du nord

  12. le mali devenu un pays impermiable à l’ethique du à la corruption qui est devenue une fierté desormais au vu et au su de tout le monde ,le sujet d’un gouvernement inclusif c’est donc donner la chance à tout le monde de pier l’etat si nous sommes sur de ne pas pouvoir se redresser,mais tout ce que je sais pas dans l’interet du pays

  13. Ils font ce qu’ils savent mieux faire: la lutte pour le pouvoir afin d’être en position de remplir leurs poches; la corruption, la malversation, le détournement de fonds..sont les principaux problèmes de plusieurs pays Africains y compris le Mali. La fin de cette crise n’est sûrement pas pour demain. C’est vraiment dommage.

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