Le président élu, Ibrahim Boubacar Kéïta, prête serment après demain 4 septembre. Et prendra aussitôt (officiellement) fonction. Cette date du 4 septembre marquera-t-elle la fin du cauchemar des Maliens après tant de temps de souffrance? Tout le monde prierait pour qu’il en soit ainsi.
Des moments intenses de faim, de peur, de souffrances et de soumission, épreuves plus dures et/ou atroces les unes que les autres : voilà ce que les populations maliennes ont vécu au cours dix sept derniers mois. Des mois marqués par la rupture de la légalité constitutionnelle avec le putsch du 22 mars, l’occupation des 2/3 du territoire national par des terroristes islamistes, l’embargo économique, l’affrontement entre militaires et entre policiers, l’insécurité, l’agression du président par intérim, le front politique en ébullition, l’inflation, la hausse des prix du carburant et du gaz, la restriction des libertés individuelles, des catastrophes routières, aériennes et naturelles et des revendications socioprofessionnelles ; bref une crise sans précédent dans l’histoire du pays.
Dans ce flot de malheurs, il faut mettre fondamentalement l’accent sur les atrocités subies par nos populations du nord : lapidation, amputations, flagellation, assassinats, viols, vols, agressions barbares. Toutes choses qui ont conduit les populations à fuir leurs localités pour se constituer déplacées à l’intérieur du pays ou réfugiées hors de nos frontières.
Si les Maliens ressassent le film de tous ces événements énumérés plus haut, ils appellent de tous leurs vœux que ces épreuves ne soient plus que de mauvais souvenirs.
Pour cela, il va falloir aller tout de suite à la réconciliation nationale à tous les niveaux. D’abord, entre les populations maliennes, noires et blanches. Ensuite, entre militaires. Enfin, au sein de la classe politique.
Ceci suppose que le dialogue et les négociations auront déjà été engagés entre les nouvelles autorités et les groupes armés de Kidal.
Au plan politique, le nouveau régime doit faire un savant dosage entre ceux qui l’ont soutenu et les partis membres du Fdr restés fidèles au Front.
Au plan économique, tout devrait s’arranger avec le retour des partenaires techniques et financiers.
Alors, demain, le cauchemar ou l’eldorado ?
S TAMBOURA
Arrêtez de rêver IBK n’est pas un homme nouveau .il a montre ses limites .si vous vouliez le changement il fallait vraiment changer.wait and see
On traite pas une plaie sans la débarrasser du pus qu’elle contient; le mali ne fera pas exception. Il faut d’abord une justice saine pour qu’il est réconciliation.Tout les maliens ne sont pas comme Dioncouda pour donner un trophée à leur torchionnaire.
Le monde n’est pas un fleuve tranquille.
On vit avec des dificultés.
Tous les pays du monde vivent avec des difficultés.Cela fait partie de la vie.
Le problème pour le Mali c’est qu’il puisse vivre avec ses difficultés comme tout le monde.
DIEU bénisse le MALI.
Monsieur le président de la république Ibrahim Boubacar Keïta
Grand passionné de Maliweb a nommé au poste de premier ministre :
Monsieur Tienimango Dogon Koréqua
Sur proposition du premier ministre sont nommés :
Ministre de l’intérieur : Bougo Balini 3 à zéro
Ministre des affaires étrangères : Nouveau French Pseudo
Ministre des finances : Coco Ben Aime Hélèna
Ministre du budget : Djeden
Ministre de la justice : Le Sablier Gardien du Temps
Ministre de la santé et de l’écologie: Leila Diva (la) Bamakoise
Ministre des affaires cultuelles : Ali Mohamed DOUCARA
Ministre de la défense : Soldat Raté ben Fuyard
Ministre de l’éducation nationale : Yugubane Dabanani
Ministre des universités et des anciens combattants : Capi la Lumière
Ministre de la réconciliation : Moussa Ag Macache Azawad
Ministre de l’industrie et du commerce : Koudis des Barlouches
Ministre de l’agriculture : Chauvin Delachine
Ministre de la recherche : Onate Desètes
Ministre de la fonction publique : Evil Devil Diablotin
Ministre de la chasse aux lapins : Lynx22
Ministre de la pêche et de la (mer) : Mel Ange Gazeux
Ministre des catastrophes naturelles : Blanche Neige
Ministre de la presse porte parole du gouvernement : Boubacar Sakado
Une distribution de médailles est prévue dès l’entrée en fonction des nouveaux ministres, après il sera trop tard.
Le premier ministre monsieur Tienimango rassure ceux qui n’ont pas vu leur nom apparaitre dans cette liste, ils seront nommés lors du prochain coup d’état qui ne saurait tarder avec une telle équipe au gouvernement.
😆 😆 😆 😆 Ce gouvernement imaginaire est demis de ces fonctions avant meme sa nomination 😆 😆 😆 aucun ministre imaginaire de ce gouvernement fantome ne repond au premier critere qui est : d’avoir reside’ a Tessalit pendant au moins une annee et avoir particite’ pleinement a la liberation du pays aux cotes des Lions du TCHAD (les tche mine tche ) 😆 😆 😆 😆
A demain l’eldorado et la fin du cauchemar inchaallah .
LE MALI D’ABORD.
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