Il avait déjà la fâcheuse réputation d’être un homme sans étoffe, mais de là à apparaitre aujourd’hui comme un esclave, une véritable marionnette entre les mains de l’ex-junte qui dirige, en réalité, le Mali, il y a lieu de se poser la question de savoir ce qui a pu bien arriver à notre cher “président mal aimé”, Dioncounda Traoré.
Il a assisté faiblement à la hâblerie du premier gouvernement Cheick Modibo Diarra imposé à lui par ce dernier au nom d’un soi-disant “pleins pouvoirs“, un titre ronflant, creux qui voulait simplement dire que Cheick Modibo Diarra, un Premier ministre de crise, possède du même pouvoir qu’un Premier ministre en temps normal.
Dans la quête du pouvoir, qui était devenue une obsession pour eux, c’est-à-dire à Cheick Modibo Diarra et à l’ex-junte, le président Dioncounda était devenu un homme encombrant. Son agression de façon facile, le 21 mai 2012 jusque dans son bureau au Palais de Koulouba, par des badauds infiltrés par des militaires habillés en tenues civiles au cours d’une marche savamment planifiée et surtout financée par Kati était une façon de se débarrasser définitivement de lui. Il avait été laissé pour mort après l’agression. Bien que cela n’ait pas été le cas, le président Dioncounda en est sorti grièvement blesser jusqu’une évacuation sanitaire s’en est suivi à Paris.
Au cours de son absence, d’autres se la coulaient douce à Bamako et se prenaient comme le centre des intérêts dans l’exercice d’un pouvoir centralisé entre leurs mains. Il a fallu que les partis politiques significatifs regroupés au sein du FDR tirent la sonnette d’alarme en interpellant la CEDEAO face à l’immobilisme du gouvernement. Résultat : A l’issue du sommet des chefs d’Etat membres du groupe de contact de la CEDEAO, tenu à Ouaga le 7 juin 2012, le Mali est sommé d’engager des concertations avec l’ensemble des forces vives de la nation en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale, crédible et capable à même de faire face à la double crise sécuritaire et institutionnelle que connait le pays depuis le malheureux coup d’Etat du 22 mars 2012, et par la suite organiser des élections crédibles.
Un fait nouveau dans le communiqué final de la CEDEAO : C’est le président Dioncounda qui doit mener les consultations pour la formation du gouvernement d’union nationale et non le chef du gouvernement comme d’habitude. Un cinglant désaveu pour le “Premier ministre de pleins pouvoirs” qu’était Cheick Modibo Diarra dont les partisans sont demeurés très actifs contre le président Dioncounda. Ils sont allés jusqu’à vouloir faire des sacrifices sataniques afin que Dioncounda ne puisse pas conduire la transition.
L’opération de l’immolation de bœufs devant l’Assemblée nationale, suivie de la récitation de la sourate “Yassin” pour sceller son sort (envouter) par Yéréwolo ton ou encore de la présence d’une haute autorité de la transition au cimetière de Ségou à 3 heures du matin en disent long sur la volonté de certains de nuire au président Dioncounda par des moyens occultes. Pour la formation d’un gouvernement d’union nationale, le Premier ministre, Cheick Modibo Diarra a continué à défier le président Dioncounda en soutenant qu’il n’est pas question pour lui de démissionner dans la mesure où il ne savait pas à qui remettre sa démission. Résultat : il est arrivé, non seulement, à se maintenir à la tête du gouvernement malgré son inaptitude et son inadaptation à ce poste, aussi, il est parvenu à sauver la tête de beaucoup de ses protégés. Mieux, il a même fait augmenter le quota de l’ex-junte par l’arrivée d’un troisième colonel, en plus d’un général dans le gouvernement. Tout cela, avec l’influence du Haut conseil islamique avec qui il a conclu un marché. La suite est un secret de polichinelle, surtout avec la création d’un ministre des Affaires religieuses et du culte, une première dans l’histoire du Mali.
La superpuissance du Premier ministre Cheick Modibo Diarra ne s’arrête pas là. Pour la publication de la liste des membres du gouvernement, il a osé falsifier le décret présidentiel (un fait passible de poursuite judiciaire). Toute chose qui est à la base de la cacophonie qui a régné autour du gouvernement. N’a-t-on pas vu un décret additionnel permettant d’intégrer d’un nouveau ministre ? Sans compter la fausse guéguerre d’un autre ministre a mené contre un autre autour d’un département qu’il voulait vaille que vaille gérer pour des raisons inavouées. Malgré tout, le président Dioncounda continu de croire naïvement à son Premier ministre. Pour la petite histoire, lors du tout premier Conseil des ministres du 24 août 2012 Dioncounda est apparu comme un courtisan devant son Premier ministre. Il a prononcé au moins une dizaine de fois, le nom de son Premier ministre dans son mot de bienvenu aux ministres. Le plus souvent avec des phrases dignes d’un griot telle que “Restez soudés derrière Cheick Modibo Diarra, avec lui le Mali va gagner” ou que sais-je encore.
Le dernier acte de mépris que l’ex-navigateur interplanétaire de la NASA a posé à l’encontre du président Dioncounda est la modification du discours qu’il devait lire lors de la 67ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies à New-York, le 27 septembre dernier. Ainsi, on a beau ne pas aimer Cheick Modibo Diarra à cause de ses mille défauts, force est de reconnaitre qu’il demeure un homme fort devant un président faible comme Dioncounda Traoré.
Face à la pression de la CEDEAO et de la communauté internationale notamment la France et les Etats-Unis d’Amérique, le capitaine Amadou Haya Sanogo, celui-là même qui a pris la lourde responsabilité de prendre la tête d’un malheureux coup d’Etat du 22 mars 2012, a abandonné ses désirs. Cependant, il continue de dicter sa volonté au président Dioncounda Traoré qui obéît. Les récentes promotions des pro-putschs au sein de la police qui continuent de couler beaucoup d’encres et de salives constituent autant de preuves que le président Dioncounda est une véritable marionnette entre les mains de l’ex-junte.
Pour tout, il est un homme possédé. C’est pourquoi, il passe de compromis à compromission. La tentative d’assassinat dont il a fait l’objet le 21 mai 2012 lui a fait perdre la raison en plus de son envoûtement par des détracteurs qui estiment avoir scellé son sort à travers l’immolation d’un bœuf, suivie la lecture de la sourate “Yassin”. Selon des indiscrétions, le président Dioncounda ne doit son salut, aujourd’hui qu’à l’écharpe blanche qu’il porte permanemment au cou.
Alassane DIARRA
Monsieur DIARRA vous amusez la galerie. Il est temps que vous come les autres pseudos journalistes lâchent les bottes des gens pour parler des choses sérieuses maintenant. LA PRESSE EST UN MAL DE NOTRE SOCIETE. VOUS DENIGREZ LES AUTRES
Tout cela n’est que verbiage . Si égorgé un bœuf et lire yassin pour envoûter quelqu’un est une évidense, alors , pourquoi n’est égorgé des centaines de bœufs et invité tous les imams du Mali a lire yassin pour que les bandits armés abandonne nos régions occupées? Ce sont des histoires. Ce que Dioncounda n’a ni le charisme, ni la tête d’un président qu’il faut en cette période.
La triste réalité est que notre sort est désormais aux NU qui prend tout son temps temps pour financer notre guerre. Les USA semblent se moquer pour le moment de nos coups de fouets, viols, profanations et autres assassinats. Mais ils doivent sûrement craindre un autre 11 septembre. Quant à nous, nous n’avons rien. Nous ne pouvons rien.
Diongounda remet toi a Dieu avec confiance,un boeuf egorge est un animal qui est Fait pour etre egorge .Yasin est la sourate du coran!pour tous les musulmana en bien.
Le President Mr D. Traore a la carrure d’un homme competent et integre pour gouverner une nation.Mais dans ces circonstances rocambolesques il doit reinventer son leadership pour etre un agent de changement. Il possede des “idees” et a des potentialites. Bref, il doit prendre son “baton de commandement”.
un homme d’Etat s’assume ou il dégage. Si Dioncounda, un homme que l’on sait sans charisme et sans decision , à qui Dieu a quand meme donné la responsabilité d’etre le premier d’entre nous et de decider en notre nom veut en finir avec le Mali, qu’il continue à signer des decrets I.M.BECI.LEs dans le seul but de plaire à des ecervélés, trouillards et laches de cette junte de fuyards de l’obscure et l’incompétent cpt Sanogo..L’injuste et le honteux decret de nomination à la police doit etre annulé vaille que vaille. Vive le Syndicat des commissaires qui s’oppose à cette fourberie sans nom!
LA QUEUE DE LA CHEVRE NE PEUT MEME LA PROTEGER ELLE MEME, COMMENT PEUT ELLE PROTEGER OU SERVIR QUELQU’UN D’AUTRE. NOUS AVONS BESOIN DE LA QUEUE D’UN CHEVAL AU MALI PAS CELLE D’UNE CHEVRE MONSIEUR ALASSANE DIARRA.
ALASSANE DIARRA C’EST DU BIDON, DU BARATIN ICI. VENEZ AVEC QUELQUE CHOSE DE PLUS IMPORTANT. PROPOSEZ NOUS LES MALIENS ET LE RESTE DU MONDE COMMENT SORTIR DE LA CRISE ACTUELLE. NOUS N’AVONS PAS BESOIN D’OPPONION PERSONNELLE SORDIDE QUI N’APPORTE PAS DE REPIS A LA SOUFFRANCE NATIONALE ET PARTICULIEREMENT CELLE DE NOS COMPATRIOTES AU NORD.
MERCI. SOYONS BEAUCOUP PLUS PATRIOTIQUE QUE DE CHERCHER A ETALER COMBIEN NOUS MAITRISONS LA LANGUE DE VOGELA; UNE LANGUE QUI NE SERT MEME PLUS SON PAY D’ORIGINE.
seule la verité finit par triompher le journaliste n’a dit que la verité
dioncounda nous déçoit tous les jours!! a croire qu’il est vraiment envoûté!!!!
Dioncounda est une catastrophe pour le Mali. malheuresuement, il est à l’image même de nos intellectuels maliens prêts à tout pour le “tagnini”. Ce pays est malade de ses propres enfants.
Le président n’est pas le seul posséder face à cette situation. Les politiques ont heureusement compris, et cela très tôt, que le coup d’état au Mali n’est que la suite de la deuxième alliance des soutiens du MNLA avec le diable!!! Toute les mascarades de façade n’est que diversion. C’est pourquoi les démocrates ont choisie de faire profil bas, cela à commencer par l’ancien président, ce n’est pas une faiblesse, mais la seule manière d’éviter le pire au Mali.
Même si nous devons tous être d’accord sur la faiblesse affichée par Dioncounda, un tel article ne fait pas honneur à la réputation du journal L’Indépendant.
Faites-nous l’honneur d’écrire des articles qui poussent à la réflexion et à l’action intelligente.
Incroyable nos journalistes !!! Qu’est ce que vous voulez donc ??? Que Dioncounda prenne un fusil bazooka pour descendre dans la rue et exploser tout sur son passage, c’est ça n’est ce pas ??? Pourquoi vous avez cette sacrée façon de tenter de monter les habitants les uns contre les autres ??? On n’a vraiment pas besoin des articles comme ça en ce moment sur Dioncounda !!! Vous les journalistes « A yé sabali sa… » 👿 👿 👿
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