Dans un mémorandum dont une copie a été envoyée à notre rédaction, l’Adema Pasj fait une analyse de la forme et du fond du projet de feuille de route du Premier ministre Cheick Modibo Diarra. Comme remarques, le parti de l’abeille trouve que cette feuille de route ne correspond pas à ce qui est attendu, que le document vient à un moment inopportun, qu’il est incomplet, et comporte de graves omissions. Signé du Premier Vice-président du parti de l’abeille, Iba N’Diaye, le document conclut que «Cette feuille de route n’est acceptable ni dans sa forme, ni dans son fond. C’est la raison pour laquelle elle doit être refusée par toutes les forces politiques et sociales du pays». Nous vous le proposons en intégralité.
1. NOS REMARQUES SUR LA FORME
a) le document ne correspond pas à ce qui est attendu
b) le document vient à un moment inopportun
c) le document est incomplet
2. NOS REMARQUES SUR LE FOND
a) Le document manque de précision
b) le document comporte de graves omissions
NOTRE CONCLUSION
Le Gouvernement du Premier Ministre Cheick Modibo Diarra a publié sur le site de la Primature, le lundi 16 juillet 2012, le projet de feuille de route du Gouvernement de transition. Vu l’importance du sujet, la Direction du Parti ADEMA PASJ a demandé au Secrétariat politique de prendre en charge la production d’une note d’analyse et d’observations.
3. NOS REMARQUES SUR LA FORME :
Pour rappel, en temps normal, selon la pratique instaurée, le Président de la République adresse au Premier Ministre-Chef du Gouvernement une lettre de cadrage (une vision et des orientations) qui s’en inspire pour proposer une déclaration de politique générale (DPG) soumise à la validation de l’Assemblée Nationale. Le Gouvernement élabore ensuite en interne un programme de travail gouvernemental (PTG) avec un mécanisme de suivi évaluation interne. Nous sommes tous d’accord que nous ne sommes pas dans ce contexte normal et qu’un Gouvernement de transition comme son nom l’indique par vocation gère une situation de crise et dans l’urgence.
D’où l’exigence d’une feuille de route qui, après une analyse succincte du contexte, fixe le ou les objectifs précis et claires pour la sortie de crise, les principales priorités qui en découlent, la stratégie arrêtée, les actions à entreprendre, le chronogramme et les moyens qu’il faut pour la réalisation des objectifs (le budget et les sources de financement). Force est de reconnaître que le document du Gouvernement ne respecte complètement aucune de ces exigences.
a) le document ne correspond pas à ce qui est attendu.
Tous les protagonistes nationaux et internationaux de la crise s’attendent à une feuille de route pour une sortie de crise et non à un programme de travail gouvernemental. Le contenu du document est une compilation simple de l’ensemble des plans d’action des différents départements ministériels sans aucun effort de mise en cohérence. A sa lecture, on a l’impression d’avoir affaire à un gouvernement d’une période normale et non d’un gouvernement de sortie de crise.
b) le document vient à un moment inopportun.
Cette feuille de route est venue quelque peu en retard et à un moment non opportun car tout le monde demande et attend un gouvernement d’union nationale plus consensuel qui est en gestation. Le Premier Ministre qui devrait attendre la mise en place de ce gouvernement est dans son habituele “fuite en avant” qui peut nous mener à une nouvelle crise.
La feuille de route a été présentée aux partenaires extérieurs avant la moindre concertation avec les forces politiques et sociales internes du pays. Cette pratique est aussi devenue une habitude chez un Premier Ministre qui aime bien mettre ses interlocuteurs devant les faits. Cette attitude ne facilite pas la recherche du consensus si utile dans cette situation de crise que nous vivons.
c) le document est incomplet
On ne retrouve pas dans le document l’ordre des priorités. On a l’impression que toutes les actions se valent. Le chronogramme des actions est vague. Pour une période de transition qui doit être courte et vu l’urgence de certaines actions, ce point doit être un élément fondamental d’appréciation. La feuille de route ne dit aucun mot sur certaines questions majeures de l’heure comme le respect des libertés publiques et de l’Etat de droit. Les idéaux du 26 mars 1991 ne sauraient être passés sous silence même en situation de crise.
Le document n’évoque même pas l’indispensable interaction du gouvernement avec les autres institutions de la République et les différents corps intermédiaires (politiques et sociaux). Or, plus que jamais le gouvernement doit montrer sa volonté de rassembler autour de lui toutes les forces vives dans le but de travailler ensemble pour restaurer les valeurs de la République et de la démocratie pour redresser le pays.
4. NOS REMARQUES SUR LE FOND
La description du contexte est incomplète. Mieux, ce contexte n’est même pas analysé. L’occupation d’environ 2/3 du territoire national est évoquée sans en mentionner les raisons. L’impasse est faite sur le coup d’Etat du 21 mars 2012 (réduit à une simple mutinerie au sein de l’armée) et ses conséquences sur l’Etat et la Nation. Les raisons et les éléments constitutifs de la crise sont occultés. Les grands défis que le pays en entier doit relever, la vision proposée par les autorités de la transition et la stratégie arrêtée pour la sortie de crise, tout ce qui justifie une transition et donc la mise en place du gouvernement de transition n’est pas affiché.
a) Le document manque de précision
Ce dont notre pays a besoin en ce moment de son histoire c’est un Gouvernement de mission pour la sortie de crise et non d’un Gouvernement réformateur ou refondateur qui viendra après la transition.
La lecture de cette feuille de route laisse l’impression que le gouvernement est la seule institution qui existe. Les autres institutions de la République, notamment la Présidence de la transition, les acteurs politiques, économiques et sociaux et les attentes en leur direction et leur rôle pour la réalisation des objectifs de la feuille de route sont ignorés. C’est comme si le gouvernement seul suffit pour sortir le pays de la crise. Cela dénote d’un esprit de suffisance assez mal à propos pour cette période qui a plutôt besoin de mobilisation.
Les objectifs liés à la gestion de la crise dans le Nord et à l’organisation des élections, sont indissociables des objectifs listés au point 11.2 intitulé “Autres objectifs“. En y regardant de près, on se rend compte que plusieurs des “autres objections” sont des conditions et parfois des étapes à franchir pour arriver à certains objectifs de la gestion de la crise du nord et aux élections. Par exemple ” – appuyer le redéploiement de l’Administration dans les Régions du Nord-Mali ; ” (point 11.2) est indissociable de ” assurer le retour de l’Administration dans les zones reconquises ; ” (Point 1.1.1). C’est même une répétition qui n’a pas lieu d’être dans un document simple qui va droit au but.
Aucun lien n’est fait entre les deux missions principales du gouvernement de la transition. On a l’impression que la gestion de la crise dans le Nord et l’organisation des élections n’ont aucun lien, ni interaction.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, le document dans ses 9 premières pages occulte un pan entier de la mission du gouvernement de transition : l’organisation des élections législatives, présidentielles et communales et même les communales parce qu’en 2013, nous serons à la veille des élections communales (mars 2014). Le document n’y consacre que 2 lignes (une longue phrase). Il n’y a aucune clarté sur la nature du fichier électoral choisi (biométrique ou mise à jour du RACE). Cette remarque est essentielle car c’est un choix qui détermine bon nombre de choses par la suite.
Une feuille de route pour cette période doit s’articuler autour de :
i) la reconquête de l’intégrité territoriale, la restauration des administrations (centrales et décentralisées) et la sécurisation des personnes et des biens sur toute l’étendue du territoire national ;
ii) la préparation, l’organisation et la gestion des différents scrutins électoraux libres, démocratique et transparents, la certification du vote par les instances internationales.
Tous les autres objectifs identifiés dans les 9 premières pages peuvent valablement trouver leur place dans ces deux objectifs majeurs. Et celles qui n’auront pas leur place doivent être élaguées de la feuille de route. Ce n’est pas parce que je dois faire quelque chose qui entre dans mes attributions et objectifs que cela doit nécessairement paraître dans mes priorités. Et ce n’est pas parce que j’ai des priorités que je vais oublier mes attributions normales. Il y a là une confusion entre ce qui doit être fait et ce qui est prioritaire, ce qui donne, à la lecture de cette feuille de route, un sentiment de fourre-tout.
b) le document comporte de graves omissions
II ne dit rien sur l’état des comptes publics et comment le Gouvernement entend financer toutes les actions citées. Les financements sont-ils disponibles ou il faut aller les chercher ? Les prévisions sont bâties sur des espérances ou des certitudes de rentrée de fonds.
Cette question devient stratégique quand on sait qu’au titre de l’exercice 2012, l’Etat a un manque à gagner au trésor de 600 milliards de F CFA (source Banque mondiale) soit 1/3 du budget. A cela s’ajoute la suspension de la quasi-totalité des aides bilatérales ou multilatérales. Il aurait été plus cohérent de faire ressortir le budget disponible, l’allouer aux priorités de la transition et prévoir les fonds supplémentaires (pour le financement non disponible) pour les actions secondaires.
Une des grandes faiblesses de ce document est le traitement qu’il fait de l’économie. Sans une relance économique les objectifs ne seront pas atteints. Une bonne partie du budget national est mobilisée sur les recettes intérieures (fiscalité de porte et fiscalité intérieure). Sur le sujet, nous préférons évoquer les questions suivantes :
* Quelles sont les mesures pour l’indemnisation des opérateurs économiques ayant subi des dégâts pendant les événements du 22 mars ?
* Quel est le plan de sauvegarde des secteurs économiques aujourd’hui en danger ? Tourisme, restauration, le secteur financier en général, BTP, industrie, etc. Ces secteurs ont engagé un plan de licenciement massif de leur personnel pour faire face à la crise.
* Quelles sont les dispositions prises pour la relance des grands projets “structurants” qui sont aujourd’hui suspendus : Aéroports du Mali, Projet sucrier de
Markala, aménagements agricoles en zone office (Malibya, MCCA) Barrage de Taoussa, Chemins de fer Bamako-Dakar, etc.
* Que compte faire le Gouvernement de transition au sujet de la dette intérieure qui occasionne de gros problèmes de trésorerie au niveau des opérateurs privés ?
* Quelle initiative pour la relance des investissements directs étrangers (IDE) ?
* Quelles sont les mesures pour la relance du financement bancaire ? Les banques ont fermé leurs agences dans les régions ou ne les alimentent quasiment pas.
A toutes ces questions fondamentales pour stabiliser le cadre macro économique, préserver les recettes intérieures et éviter un chômage massif, la feuille de route ne donne pas de réponse.
5. NOTRE CONCLUSION :
Cette feuille de route n’est acceptable ni dans sa forme, ni dans son fond. C’est la raison pour laquelle elle doit être refusée par toutes les forces politiques et sociales du pays. On ne peut même pas l’améliorer, donc il faut la repenser. La vision, les objectifs et la méthode d’approche (stratégie) sont insuffisants et inadaptés au contexte du pays et aux vrais enjeux.
On peut affirmer (avec peu de risque de se tromper) au sujet de l’actuel Premier Ministre que nous sommes en face d’une “erreur de casting“. Logiquement sa non reconduction à ce poste est la décision qui s’impose, s’il ne démissionne pas. Car, il n’a ni les qualités humaines, ni les compétences techniques, ni l’expérience de gestion des affaires publiques qu’il faut pour conduire un gouvernement dans cette période de crise que vit notre pays. Il est disqualifié d’office, car le gouvernement actuel qui est son produit a montré toutes ses limites. Au Mali aujourd’hui, l’essentiel est dans la détermination d’agir pour sortir notre pays de ce bourbier en assumant avec courage ses responsabilités et en prenant les décisions qu’il faut, rapidement. Car chaque jour qui passe nous enfonce d’avantage. L’histoire fera son jugement. Nous sommes tous comptables et notre responsabilité individuelle et collective est engagée. Pour nos enfants, pour notre propre dignité et celle de la patrie, l’union sacrée est plus que jamais une exigence pour réussir le sursaut général qu’exige la reconquête de l’unité et la restauration des valeurs fondamentales, comme la laïcité qui fondent notre nation.
Bamako, le 25 juillet 2012
Pour l’Adema PASJ
Le Premier Vice-Président
Ibrahima N’Diaye
ADEMA-PASJ
MON CHERS J AITOUJOURS DIT SA L ADEMA EST CONSTITUER UNIQUEMENT PAR DES APPATRIDES
dite ce que vous voulez vous êtes pas le seul parti au mali allez y vous faire voire ailleurs le mali c est pas pour vous.depuis 20ans vous êtes la entrain de nous volé .L ADEMA est un parti qui n est même pas sérieux regarde quelle jour TAPO est venus dans l adema pour prendre un place aussi importante que ça alors que vous vous etes déchiré a cause de MODIBO SIDIBE qu il n est pas de l ADEMA hypocrite les membres du CE .vous allez tous en prison bande de traite. IBK as été trahi SOUMAILA la meme chose .et alpha depuis la crise quelle as été sa rection un ex-président qui n est pas écouté dans un pays ou il as dirigés pendant 10ans ce qui ve dire qui il n y as pas de sérieux aux siens de votre partie combien de partie politique sont issus de l adema un nombre incalculable .
j etais partisant de ADEMA ,mais apres ces evenements,je vois que le peuple etait trahi depuis 20 ans par ce parti.a lheure actuelle que ADEMA sache qu elle a perdu touts ses bases,dont n est plus majoritaire.
le mieux pour ce parti ,c est de taire et de se resaisir pour demander pardon au peuple malien.
Lettre ouverte au président de la république par intérim .
Monsieur le Président de la république par intérim,
Je vous écris ces quelques lignes en tant que malien soucieux de l’avenir de mon pays face à la double crises actuelles(le Nord du Mali et la crise politique à Bamako).
Je vous souhaite bienvenu au pays Monsieur le Président et prompt rétablissement.
C’est suite à l’attitude perplexe, des mesures radicales du FDR (front anti-putsch) que la tension monte de jour en jour au sud du pays ,mais vous le savez comme moi que sans la stabilité sociale et politique à Bamako toute tentative de récupération de l’intégrité territoriale est vouée à l’échec .
Je vous rappelle Monsieur le Président que le choix porté sur vous pour diriger l’intérim était légitime parce qu’il émane directement de la constitution suite à la démission du Président Amadou Toumani Touré, mais le prolongement de votre mandat au-delà des 40 jours de l’intérim pour une transition d’un an est une décision unilatérale de la CEDEAO sans consultation de l’Assemblée nationale du Mali ni la cour constitutionnelle .
Cette décision unilatérale de la CEDEAO est un affront au peuple Malien et une violation de notre souveraineté si vous convenez avec moi que l’ordre constitutionnel est rétabli .c’est ce qui a suscité la colère chez une partie du peuple malien .Mais Monsieur le président ,dans le soucis d’apaiser le climat politique et social le peuple malien a décidé de vous accepter mener cette transition .
Aujourd’hui le FDR demande la démission de Dr Cheick Modibo Diarra et son équipe sous prétexte qu’ils n’ont pas fait de progrès dans le processus de sortie de crise politico-militaire. Mais Monsieur le Président ,pouvons nous juger un gouvernement nommé il y a juste trois mois sur un bilan d’une année dans un tel contexte ?
Vous le savez comme moi Monsieur le président que le Mali seul est incapable de combattre les irrédentistes conjugués aux terroristes parce que la situation géographie et climatique du nord nous imposent des contraintes et un besoin nécessaire de coopérer avec nos voisins à savoir l’Algérie, la Mauritanie ,le Burkina Faso et le Niger .Or Monsieur le Président ,sans être diplomatique nous savons que l’Algérie ,la Mauritanie ,le Burkina Faso jusqu’à présent ont adopté des positions floues dans la volonté de combattre les terroristes et les irrédentistes ( Un hélicoptère Burkinabé a exfiltré tout récemment un chef du MNLA blessé pendant des accrochages avec MUJAO à Gao .Donc si le Burkina Faso est attaché à l’unité du Mali comme il le prétend ,est il normal qu’il secourusse nos ennemies ?Les conditions de libération des diplomates Algériens sont floues et à en croire à des sources bien informées une rançon d’environ une dizaine de millions d’euros serait versée à MUJAO via Burkina Faso pour libération des otages occidentaux…Les portes paroles politiques du MNLA résident en Mauritanie …)
Les grandes puissances disent qu’il faut privilégier le dialogue pour dénouer cette crise .Donc Monsieur le président, l’enjeu diplomatique était une tache prioritaire que le gouvernement de Dr Diarra devait faire la mise au point ,raison pour laquelle nous avons suivi la tournée du voyage diplomatique de Dr Cheick Modibo Diarra.
Monsieur le Président ,vous savez comme tous les maliens que la chaine de commandement de l’armé a été détruite suite au évènement du 22 Mars 2012,à cela s’ajoute un manque d’armement et un traumatisme des soldats après les
après les massacres de Aguelok et Téssalit.Le gouvernement de Dr Diarra avait comme mission prioritaire de restructurer l’armé et rehausser le moral des soldats.
Tout ce que j’ai énuméré dessus Monsieur le Président prend un minimum de temps et n’est pas visible comme effort consenti par l’actuel gouvernement .Si l’armé n’a pas déclarer une guerre actuellement les motifs relèvent de la fragilité diplomatique entre le Mali et ses voisins stratégiques et le conseil des sécurités des nations unies .
Ceux qui réclament alors la démission du gouvernement actuel ,ont-ils vraiment des motifs valables pour demander cela ?
Monsieur le président le déploiement d’une force étrangère à Bamako n’est pas bénéfique pour notre pays .Toute mission menée par l’ECOMOG depuis sa création jusqu’aujourd’hui a été échouée sans exception ,donc tenant compte de la complexité de notre crise le Mali n’a pas besoin d’une force militaire expérimentale .Le Sud de notre pays survit grâce à une magnanimité fragile ,si une éventuelle arrivée d’une force étrangère y crée des bavures notre pays serait paralysé et une voie de « Somalisation » va s’ouvrir .
Les demandes du FDR ne tiennent pas compte de toutes ces éventuelles bavures des soldats de la CEDEAO ,mais plutôt pour sécuriser quelques individus et leurs biens .Nous craignons que notre pays bascule dans une éventuelle guerre civile Monsieur le Président .
Les réformes institutionnelles sont perçues Monsieur le Président comme un espoir chez le peuple malien ,une chance pour vous de se racheter .Nous espérons que ces démarches continueront pour un Mali prospère de demain .
Monsieur le président ,je vous prie de faire un choix objectif au nom du peuple malien qui a placé sa confiance en vous .Vous avez déjà manifesté votre volonté de rassembler ce peuple en pardonnant officiellement et publiquement vos propres agresseurs ,alors j’espère que quelques individus ne vous conduiront pas dans l’erreur Monsieur le Président.
Que Dieu vous accompagne Monsieur le Président ,
L’expression de mes considérations les plus distinguées .
Que Dieu bénisse le Mali !
Hey adema tu veux quoi où plutôt tu rêves de quoi
assez c’est assez
C’est cet imposteur soit disant Martien qui doit disparaitre de la cene politique.
C’EST UNE PHOTO DES ARCHIVES. C’EST TRES MALHONNETE DE CHOISIR LADITE PHOTO QUI MONTRE DJONCOUNDA TRAORE’ AVEC LES AUTRES DIRIGEANTS DE L’ADEMA! LE CHOIX DE LA PHOTO DEMONTRE UNE MAUVAISE FOI DE CEUX QUI L’ONT CHOISIE CAR DJONCOUNDA EN TANT QUE PRESIDENT DE LA TRANSITION, EST PRESIDENT DE TOUTES LES MALIENNES ET DE TOUS LES MALIENS. IL NE PEUT PLUS JOUER LES JEUX PARTISANS. IL EST NEUTRE ET NE PEUT PAS ETRE CANDIDAT A’ L’ELECTION PRESIDENTIELLE!!! SI DJONCOUNDA VEUT DES AMELIORATIONS AU PLAN, IL LES DISCUTERA AVEC LE PM CMD ET LES MEMBRES DU GOUVERNEMENT!
Quand l’instinct animal se reveille chez le noir il faut le laisser seul en ce moment ,c’est ce qui arrive aux maliens,il y a un desir de destruction qu’on sent chez les maliens,ils veulent detruire leur pays et rien ne peit satisfaire ce desir,il faut qu’il y ai destruction massive et sanglante pour que l’instinct animal s’en aille,il faut que les maliens s’entretuent par milliers d’abord avant qu’ils ne comprennent qu’ils sont dans l’erreur.ceux qui sont en train de pousser les gens contre les politiciens doivent savoir qu’au mali il n’y a que 2 sortes de persones:LE CORRUPTEUR ET LE CORROMPU,qui vaut mieu que qui? Pour sortir de cette crise il faut que tous les maliens s’acceptent entre eux,il n’y a ni bon ni mauvais maliens,nous sommes tous pareils.
Pourquoi ne pas apporter cette contribution à Dr Diarra au lieu de saboter tout ce qu’il fait ?
C’est vous, l’adema, le vrai probleme pour une sortie de crise. En voulant tout avoir, vous riaquerez de tout perdre tot ou tard et vous serez poursuivis pour vos actes commis depuis plus de 20 ans. Croyez moi. Le peuple ne dort pas et fera son jugement.
Nous disons que ces membres du FDR aujourd’hui Satan faits humains n’ont que du mépris pour le peuple et l’armée qu’ils prennent pour des “imbéciles heureux”
Nous disons qu’ils sont préoccupés par la défense de leurs privilèges primaires égoïstes au détriment de ceux des peuples
Nous disons que la rentrée dans les écoles et universités occidentales est pour bientôt ils ont besoin de “blé” car leurs nombreux “rejetons” y sont donc 1raison pour user de malices et d’astuces des plus sataniques aux fins qu’il y ait 1gouvernement d’union dont ils espèrent faire partie pour “voler” comme ils le faisaient avant
Nous disons comme le 1er ministre a fait ses preuves de bon gestionaire chez les “autres” ces mutans maliens duFDR ne veulent pas l’avoir dans leurs “basques” et les empêcher de “voler”
Nous disons ils souhaitent se retrouver entre eux comme avant dans 1gouvernement de “bouffeurs impénitents” car ils s’enfoutent de ce qu’aviendra le Mali
Nous disons comme tous ces lettrés mutans africains ils ne pensent qu’à leurs “mangements bouffailles” des deniers public dont ils ne peuvent se passer
Nous disons ils sont comme des microorganismes qui parasitent leurs hôtes et si on les en débarrassent ils meurent Ainsi quand les peuples mettent fin à leur parasitage du pouvoir ils ne peuvent plus vivre
Nous disons aux membres duFDR que ce qu’ils n’ont pas pu faire de bon pour le peuple et l’armée pendant plus de 15ans de règne sans partage car avueglés par la défense de leurs privilèges primaires égoïstes ce n’est pas en quelques mois qu’ils changeront et feront de bonnes choses pour le Mali
Nous disons il faut laisser le 1er minsitre et son gouvernement aller au terme de leur mandat qui n’est plus que de neuf mois après quoi apprécier et juger
Nous disons que le président actuel de la CEDEAO a 1gouvernement d’union 1armée étrangère sous mandat de l’ONU mais depuis plus d’1an il n’arrive pas à règler les problèmes des rebelles milices à l’ouest de son pays et de l’insécurité Peut être veut il que Mali soit dans la même situation
Nous disons que les cas du Kivu Afaganistan Irak sont là aussi pour prouver que ni 1la présence d’1force de l’ONU ni 1gouvernement d’union sont nécessaires pour mettre fin à la rebellion et l’insécurité mais prolonge éternellement la situation
Nous disons quand il y a 1gouvernement commando et 1armée bien équipée la rebellion et l’insécurité sont “matées” car dans lpays les gens se connaissent et savent qui est qui et qui a fait quoi et le gouvernement commando travaille concentrer car il a des objectifs précis à réaliser dans 1lapse de temps précis Ainsi avec le gouvernement commando de Kagamé et son armée bien équipée(ayant refusé la présence d’1armée sous mandat)on n’entend plus parler de rebelles Hutus la sécurité y est et ils sont en train d’atteindre tous leurs objectfs contre vents et marées
Nous disons qu’1gouvernement d’union et la présence d’1armée sous mandat conduiront donc le Mali dans 1situation de non récupération des zones occupées et au retour d’1gouvernement de “bouffeurs impénitents” se souciants uniquement à la défense de leurs privilèges primaires égoïstes au détriment de ceux de peuple
Nous disons que si les maliens et maliennes fiers honnêtes aimants leur Mali veulent 1telle chose qu’ils disent OK sinon ils ont l’obligation le devoir de faire oppostion aux fins de ne pas être complices de la déliquescence du Mali qu’ils regretteront de leur vie pour toujours et à jamais
Qu’est que tu veux ma soeur, ceux sont eux qui sont les vrais problemes dy pays plus que ces bandits occupant le nord.
Écoute une fois le ( nous ) a joué son rôle
Bravo ma sœur
L’ADEMA A PRIS 20 ANS POUR ELABORER DES FEUILLES DE ROUTE POUR LE MALI. A’ LA LUMIERE DES RESULTATS ON A JETE’ UN AUTRE COUP D’OEIL SUR LES DOCUMENTS ELABORE’S PENDANT 20 ANS; NOUS NOUS SOMMES RENDUS COMPTE QU’IL S’AGISSAIT D’UNE GRANDE FEUILLE DE…DEROUTE POUR LE MALI!!!
My captain what do you waiting to finish your unfinished job for our country Mali, don’t forget it’s new age bracket should take over!!!! Those robber so call “ADEMA” old prank anti maliens destroyed Mali for last 20 years, they don’t have a solutions….divergent they are part of the problems we are living now mon Captain and you personally know it. Remember Sanogo what you use to said when you was young officer about poor people suffering in Mali and only few are getting benefit from and that’s wrong. You was right back then and right where we are now my captain. It’s the same group of crooks trying to destroy Mali you love HAYA, please let them pay what they did to people of Mali, and what they’re trying too! May GOD save us from those disgraces ADEMA & FDR in this blessing month of Ramadan Mubarak, Amin!!!!!!! GOD BLESS MALI, CMD & HIS GOVERNMENT, HAYA, AND ALL OF US AGAINST “ADEMA & FDR” AMIN!!!!!!!
Nous tentons par tous les moyens d’etre tolerants et de reconcilier les maliennes et les maliens avec eux memes mais nous restons tres vigilents!!! Ceux qui veulent destabiliser notre Fasso doivent se rappeler de la sagesse Bamanan qui dit: ” KO MOGHO TE’ BOLI IKA SOKONO GNINA NO FE’!”
Que Ibah N’dIAYE AILLE SE FAIRE FOUTRE. Ce gars ne connait rien. Il n’est qu’un pauvre type. Qui a passé tout son temps à truander au Mali…
En tant que fils de malien né à l’étranger,je suis choqué par le comportement de ces soit disant ”intéllectuels”.Un pays qui est envahi et occupé par des narcotrafiquants dont ces mêmes politiciens qui sont à l’origine de leur création durant les vingt ans de leur règne; c’est choquant et humiliant de leurs entendre parler de démocratie alors qu’il n’en était pas une.Ils n’ont pas eu le courage de dénoncer cette carence
de démocratie qu’ils faisaient subir aux maliens.Je pense en mon humble avis qu’il revient au peuple malien souverain de prendre le destin du Mali en main sinon vous allez vivre un naufrage collectif et sans précédent.Que tous ces politiciens qui se disent défenseurs de la démocratie puissent demain passer devant une cour pénale à la malienne.ça nous permettra de faire un bilan des vingt ans de la démocratie et de procéder au renouvellement de la classe politique et j’invite également la jeunesse et surtout la gent féminine à prendre ce pays qui nous est si cher à tous; pour que demain nos enfants et petits enfants puissent hériter d’un havre de pays en paix.
svp arrete d’enerver les Maliens dans ce mois beni!!! vs adema et fdr vs etes l’enemies numberone de notre pays. il ft faire tres attention, si non le pure viendra au Mali…
Ah! le ridicule ne tue pas dans ce pays. Ils ont ainsi recouvre leur capacite d’analyse.Le medecin apres la mort. S’ils avaient ces visions sous ATT on ne serait pas la ou on est aujourd’hui.
Est ce que ces individus ont de leçon à donner aux autres après leur gestion calamiteuse.
Mes chers amis de l’ADEMA, les soient disant leaders politiques, revenez sur terre, rien de serait comme au paravent, ont ne peut plus tromper les maliens et on ne gérera plus le Mali comme vous l’avez fait, vous avez à faire à une peuple qui a changé de mentalité, on ne suivra plus dans votre politique de destructeur, vous avez pas pitié de votre peuple,pourvu que vous ayez vos place. Comment comprendre dans un pays en crise qu’on se permette d’entreprendre des actes qui ne fait que de nous mettre en retard, au lieu de critiquer pour le plaisir de critiquer si la feuille de route proposée a des insuffisance, en tant que citoyen malien pourquoi ne pas faire de proposition d’amélioration, personne ne vous suivra dans vos agissement inutile. Vous oubliez que vous n’avez plus de crédibilité au niveau du citoyen lambda….
Laisser les honnetes gens travailler apres 20 ans de gabegie vous n,avez pas honte de juger quelqu’un a 4 mois seulement d’exercice?
L’angle de vue: la crise au Mali et un petit cours de stratégie
“Si les États-Unis veulent la guerre, alors nous nous retrouverons en enfer”.
Rassurez-vous mes chers amis, la phrase n’est pas la mienne, mais celle de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Comité central du parti communiste de l’URSS au coeur de la crise des missiles de Cuba.
En installant des missiles à tête nucléaire sur l’île de Cuba de Fidel Castro en 1961, pointées sur le sol américain à quelques heures de vol d’oiseau des côtes de la Floride, le dirigeant soviétique venait de mettre le jeune président américain John Fitzgerald Kennedy dans une situation inédite de dilemme sauvage de l’existence.
Comment assurer la sécurité intérieure des États-Unis sans prendre la responsabilité de déclencher une guerre nucléaire (qui conduirait sans nulle doute l’humanité à sa perte) tout en gardant la tête haute en temps que superpuissance mondiale?
Quatre options s’offraient au président Kennedy:Invasion, Embargo sur l’île ou Blocus, Bombardement et négociation.
Les conseillers du président Kennedy analysent de long en large les pour les contre de chacune des quatre options et le président Kennedy choisit le blocus.
Les sous marins nucléaires russes se dirigèrent vers Cuba pour faire sauter le Blocus américain, l’Amérique de Kennedy ne bougea pas d’un iota, finalement Khrouchtchev renonce et fait demi tour.
En contrepartie l’Amérique prend l’engagement (qu’elle tient encore) de ne pas envahir Cuba et Moscou retire ses missiles.
Kennedy venait de gagner la bataille décisive de la guerre froide.
Cette épilogue de la crise des missiles de Cuba est enseignée dans les grandes écoles de stratégie car elle était la seule porte de sortie et Kennedy ne l’a pas loupé.
Chapeau maître!
C’est pour cela qu’il est considéré comme l’un des plus grands présidents des États-Unis.
En effet il a subtilement glissé sous les pieds de Nikita Khrouchtchev la responsabilité de déclencher la guerre nucléaire.
Et croyez moi mes chers amis cette responsabilité est très lourde même pour un vieux russe flanqué de l’armée rouge et du KGB.
Mes chers amis souvent il y’a des décisions qui changent le cours de l’histoire et il faut des hommes d’envergure pour les prendre.
La crise que le Mali traverse n’est pas la seule crise que les hommes ont connue sur terre, mais sans la bonne décision nous ne rentrerons jamais dans l’histoire.
Cela fait près de quatre mois que le nord de notre pays est coupé du sud, je n’ai pas vu de décisions d’envergure à la hauteur de notre nation millénaire.
Mais j’ai vu un président tabassé par des manifestants escaladant nos bâtiments officiels comme des fourmis magnans.
J’ai vu des soldats de l’armée malienne s’entretuer à balles réelles dans les ruelles poussiéreuses de Bozola, Samè et Djikoroni.
J’ai vu la bourse de travail et Koulouba en feu, des manifestants couchés sur le tarmac de l’aéroport Bamako Senou.
J’ai vu une classe politique divisée, des députés élus par les maliens empêchés d’accéder à l’assemblée nationale du Mali.
Et etc. etc.
Alors que, comme Kennedy en 1961, les options qui s’offrent à nous en 2012 dans cette crise, sont claires et sont les suivantes:
1. S”unir et se renforcer au sud pour ensuite aller conquérir le nord,
2. Se diviser au sud et créer une crise institutionnelle inopportune et laisser pourrir la situation au nord.
3. Tendre la main la communauté internationale pour nous aider à libérer le nord en respectant toutes ses conditions.
4. Renoncer carrément au nord et répondre devant l’histoire.
Mes chers amis, point n’est besoin d’aller étudier à Harvard ou à Yale pour savoir que l’option 1 est la meilleure pour le Mali, mais les acteurs politiques maliens, la société civile malienne et l’armée malienne ont une la prouesse technique de choisir l’option 2.
Impressionnant! Non vous ne trouvez pas?
C’est pour cela que j’ai appelé à former un gouvernement d’union nationale en incluant toutes les sensibilités politiques du Mali, une sorte de “Mali Famille” qui regroupera tout le monde autour de l’essentiel:
LE MALI.
Et ce malgré les fautes antérieures de la classe politique, voire de la société civile.
Dans cette optique, malgré les erreurs de départ du Docteur Cheick Modibo Diarra, j’ai appelé à son maintien comme premier ministre.
Mais un premier ministre qui doit écouter les autres membres du ” Mali Famille”.
J’appelle aujourd’hui à libérer tous les militaires en détention et organiser une prière géante de réconciliation dans l’armée à la coupure du jeûne pendant ce mois béni du ramadan en regroupant tous les grands imams du pays dans le stade du 26 mars avec tous les membres de l’ex CNRDRE, des membres du 33ème bataillon du régiment des commandos parachutistes de Djikoroni et des familles des victimes de cette sale guerre.
Mes chers amis si nous faisons cela, ne soyez pas étonnés que les islamistes libèrent le nord avant même qu’on ne livre bataille.
Parole de Kassin.
Tu as le droit de dire tout ce que tu veux mais le peuple attend son moment.
Je respecte ton analyse qui fait du sens. C est difficile de pardonner et reconciliation mais c est la seule solution definitive a ce probleme. Qu Allah nous guides vers une sortie definitive de crise.
J’accuse cette organisation fantoche qu’est la CEDEAO car elle nous a causé un grand tort.Si Sanogo avait continuer son job,tous ces délinquants véreux ne seraient pas là aujourd’hui à nous plluer encore l’air,ils étaient déjà en prison mais voilà,ils ont retrouvé de la voix et comme ils n’avaient pas assez volé,ils veulent encore revenir aux affaires pour piller tout ce qui reste.Je suis écoeuré,dégouté même
analyse pertinente……cmd+sanogo et compagnie sont NULS …..ils doivent tous être dégagés …..
Maintenant on sait qui a et veut detruire le mali. Si le coup d´etat de Sanago etait effectif, il devrait interdire l´ADEMA (Alliance pour le DEstruction du MAli).
ADEMA est composé de voleurs et hipocrites et anti-mali.
Vive la patrie a bas les destructeurs
Vous devriez faire ”toutes ces remarques dans le temps passés”.
Es ce que vous avez un brin de conscience?
Aimez vous reelment ce pays?
Il est temps pour vous de faire votre propre MEA- COULPA.
QU’ALLAH BENISSE MON MALI
Mieux vaut tard que jamais
chers maliens aujourd hui je ss redevenu malien ds l ame car les democrates maliens l ADEMA en tete ount eu raison des dictateurs dadi en tete
Comments are closed.