Au nom d’une soi-disant politique de préservation des fonds publics, les différents agents de l’administration, singulièrement de la Cité, n’avait même plus droit aux appels téléphoniques. Ils n’étaient autorisés que pour l’interphone pour l’ensemble, tandis qu’au reste n’était autorisé que des responsables triés sur le volet. Moussa MARA parti, les choses semblent tacitement retournées à l’ordre ancien parce que la mesure y afférente n’est plus respectée et le nouveau Premier ministre ne semble nullement y prêter une quelconque attention. Avec naturellement les dérives et usages abusifs qu’on sait, mais pour le plus grand bonheur des contempteurs tandis que d’autres raisonnent en faveur de la restriction.
Feu vert
Plus proche d’IBK, loin
Certaines mauvaises langues l’avaient présenté comme un gênant fardeau, pour la peccadille d’avoir été cité à tort ou à raison dans le rapport du Vérificateur Général. Moustapha Ben Barka – c’est de lui qu’il s’agit – avait opté lui-même pour un départ du gouvernement, nonobstant la volonté d’IBK, son principal employeur. Ce dernier continue néanmoins de faire usage de ses services car l’ancien ministre en charge des investissements et du secteur privé fait office désormais de conseil spécial dans le même domaine auprès du président de la République. Curieusement, on entend plus les mêmes récriminations fuser sur sa personne comme s’il suffisait d’être plus proche d’IBK pour être épargné. Selon nos sources, il bénéficie d’ailleurs de tous ses avantages gouvernementaux y compris le droit à des gardes de corps. Son utilité au rouage régalien en vaut la peine.
A quand la nouvelle génération de maliens qui auront à cœur ce pays?A ce rythme nous allons droit au mur
la Grèce nous donne l'exemple de jeunes politiques engager résolument à sauver l'honneur du peuple grecque….Seul le travail et l'amour de la patrie compte.
Comments are closed.