Les responsables du Parti Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (Fare An Ka Wuli) annoncent leur 1er congrès pour les 15 et 16 mars au Palais de la Culture Amadou Hampaté. Ils l’ont fait savoir ce lundi, lors d’un point de presse au siège du parti.
Le point de presse était animé par : la 2e vice-présidente du parti, Mme Traoré Oumou Traoré, assisté de la 6e vice-présidente, Mme Gakou Salimata Fofana et du 3e secrétaire chargé des questions électorales, Mahamadou Keita. Un congrès qui vise, selon le secrétariat exécutif national, la consolidation systémique et organisationnelle du parti.
Et pourtant, des divergences existent entre certains responsables du parti. Même si les conférenciers soutiennent mordicus que le congrès a été convoqué dans les règles de l’art. On se rappelle qu’entre les deux tours de l’élection présidentielle, les responsables n’étaient pas d’accord sur le choix du candidat qu’il fallait suivre pour le second tour. Le secrétaire général, Farouk Camara, a d’ailleurs claqué la porte le 3 février dernier.
Lors du point de presse, la 2e vice-présidente déclare que la porte reste ouverte pour tous ceux qui sont partis. « Ça sera un congrès d’apaisement, d’unification et de clarification. Mais chacun est libre de son choix politique. Il faut qu’ils reviennent à des meilleurs sentiments et qu’ils rejoignent le parti.
On a dit qu’on veut faire la politique autrement, donc il faut joindre l’acte à la parole », a-t-elle dit. Selon le 3e secrétaire chargé des questions électorales, Mahamadou Keita, les camarades qui se sont mis en marge du parti, doivent revenir et faire prévaloir de façon démocratique leurs idées.
Madiassa Kaba Diakité
Ce type d’article, qui essaye de monter en épingle des divergences de points de vue au sein de ce parti pour en faire “une affaire d’Etat” , nous connaissons: c’est la méthode d’intoxication classique utilisée par certaines personnes pour intimider, voire faire du chantage au sein de leur formation politique, pour se faire entendre, ou arraiver à imposer leur point de vue aux autres membres du parti. La stratégie, c’est de faire croire que Modibo Sidibé est fragilisé, que sa base ne le suit pas, qu’eil est isolé au sein de son parti et que très probablement, il devra choisir entre abandonner le parti et rester sur sa position, soit au contraire suivre ce qu’on veut présenter comme “la tendance majoritaire” du parti et se ralier à IBK. Cela ne marchera certainement pas, pour la raison simple que le parti FARE doit beaucoup de sa notoriété très rapide à la figure de Modibo Sidibé et à la décision très digne qu’il a prise de faire honneur à la signature du parti, en apportant son soutien à Soumaïla Cissé. Honneur et dignité, voilà certainement des qualités qui ne se retrouvent pas du côté de ceux qui crient à “la trahison de Modibo Sidibé”. Le Mali nouveau n’a que faire de ces pratiques politiques anciennes du tube digestif!
Les agitations actuelles de celui qu’ont présente complaisamment comme la tête de file de la rébellion au sein des FARE, donnent malheureusement le triste spectacle d’un homme aux convictions à géométrie varaiable: comme les girouettes, il suit la direction du vent.
C’est triste et navrant.
Chez les FARE nous ne connaissons pas de dissidence
Je t’invite le stagiaire en journalisme de rehausser le niveau de tes écrits et se passer de recevoir pour le moment des pécules pour diffamer.
Modibo SIDIBE incarne l’humilité et le bon sens.
C’est un article du Républicain. Madiassa Kaba Diakité est un journaliste qui écrit pour le quotidien “le Républicain”.
Farouk, Zoumana Mory Coulibaly et le fantomatique président des Fare, Alou keita, le dernier des idiots, ont fait de la politique la chose la plus répugnante aux yeux des maliens, à un moment où le peuple attendait de sa classe politique un autre comportement. Si faire de la politique consistait à bafouer tout ce qu’une vie a servi à bâtir, alors, nous autres resterons à l’écart sans regret. Mieux vaut rester soi-même que de devenir n’importe quoi. Les Fare c’est Modibo Sidibé. Sans Modibo sidibe ce parti n’est qu’une coquille vide et inutile. Ce qui semble d’ailleurs avoir été compris du côté du RPM. Qui, malgré les gesticulations éhontées des alimentaires, ne leur accorde que dédain, mépris et humiliations à chaque occasion.La prostitution politique a un coût, dont tout ça!
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