Pour défendre sa position ‘’intraitable’’ sur le maintien de son projet de révision constitutionnelle, le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita fait de son cheval de bataille, l’application de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali. En atteste l’interview diffusée par l’ORTM, le mardi soir (aout) au cours du Jt, dans laquelle, il a été question du projet de loi portant révision de la constitution du 25 février 1992. Le Président IBK, a réaffirmé sa volonté de voir le processus de révision aller à son terme. La finalité recherchée à travers les consultations qu’il a engagées, est « le consensus, l’apaisement et nous souhaitons toujours à ce qu’une décision prise au nom de la Nation, dans l’intérêt bien compris de la Nation, soit partagée par cette Nation-là », a déclaré IBK. Mais n’y a t-il pas lieu de craindre que ces efforts ne soient tardifs, sachant qu’ils seraient plus productifs en amont qu’en aval?
Le Président IBK sait bien et l’affirme que « depuis qu’on est entré dans ce projet de révision constitutionnelle, de la voie référendaire, il y a beaucoup de mouvements, beaucoup d’agitations ». De son côté, le Président a sa lecture de son rôle : « nous avons eu comme mandat du peuple malien d’explorer toutes les voies, tous les chemins qui peuvent conduire à la paix. Les consultations auxquelles je me consacre en ce moment sont de l’ordre de convenance qu’en cas de besoin, le chef de l’Etat rencontre telle ou telle catégorie sociale, telle ou telle catégorie de citoyens, rien que de plus normal dans une démocratie ». En effet, IBK a rencontré les Institutions de la République et les partis politiques, des notaires et des avocats. « Nous leur avons expliqué notre démarche qui ne souffre d’aucune malice, elle entre simplement dans le cours de l’action gouvernementale », explique le chef de l’Etat.
Cependant, sait on que la question de la révision constitutionnelle est la cause immédiate de ces consultations, que d’aucuns peuvent trouver assez tardives, pour n’être intervenues qu’après que la situation ait été trop corsée entre les partisans du « Non », la Plateforme Antè A banna- Touche pas ma Constitution et ceux du « Oui An sonna », autrement dit entre le pouvoir et l’opposition.
Pour le Président IBK, « le constat a été fait qu’au sortir de l’Accord pour la paix et la réconciliation, il y a des attendues au plan institutionnel, notamment comment faire en sorte que certaines catégories et couches sociales puissent être dans la décision nationale, couches et catégories dont le concours s’est avéré utile dans la médiation intercommunautaire. C’est le cas des légitimités traditionnelles (chefferies et autres) que nous avons dû solliciter », a déclaré IBK au cours de cette interview accordée à l’Ortm. Selon le Président IBK, la voie de la création d’un Sénat a paru la plus idoine pour ce faire. « Pour beaucoup, cela devrait être convié dans le cadre d’un quota que le chef de l’Etat pourrait gérer à hauteur de souhait et avec des critères d’accord parties pour que les personnalités en questions soient les plus représentatives possibles, poursuit-il. Et également aussi voir certaines choses qui, au cours de l’application de la Constitution de 92, se sont avérées difficiles ou impossibles ».
Les raisons du projet, selon IBK
Ainsi, IBK qui a longtemps gardé le silence sur le projet de révision constitutionnelle n’a pas raté l’occasion des consultations avec les avocats et les notaires, ce mardi 8 aout, pour s’étendre abondamment sur ses motivations, tout en soulignant qu’« une Constitution, comme toute œuvre humaine, est perfectible. Il est bon qu’au bout d’un moment, l’on puisse revoir la copie et convenir les changements opportuns à apporter ». C’est cela qui a motivé ce projet de révision constitutionnelle qui est de la prérogative du chef de l’Etat et de l’Assemblée nationale, ajoute-t-il. Ce point de vue du Président ne l’éloigne pas de l’opposition, dont certains leaders indiquaient lors de débats télévisés, que la Constitution n’était pas comme la bible ou le coran, et à cet effet elle est sujette à révision. Mais ce que l’opposition ne partage pas avec le Président IBK, c’est la manière solitaire de la révision constitutionnelle, sans tenir compte des points de vue concertés des autres composantes de la société civile et des partis politiques. Dans son interview, IBK a invoqué le consensus et l’apaisement, toutes choses qui semblent avoir foutu le camp de notre pays, et dont il faut franchement s’atteler au retour, en mettant l’accent sur ce qui nous unit, le Mali en partage, sans diviser nos compatriotes en « bons maliens » et les autres.
IBK intraitable ?
Si la Plateforme Touche pas ma Constitution lance un ultimatum au Président lui demandant de retirer son projet de révision constitutionnelle, lui, reste immuable sur sa position et les deux positions parallèles ne se rencontrent pas. Pour IBK, « jusqu’à preuve du contraire, l’arrêt de la Cour constitutionnelle n’est pas susceptible de recours. Voici la phase dans laquelle nous nous retrouvons aujourd’hui. La Cour constitutionnelle a estimé que la révision est tout à fait constitutionnellement recevable, mais que ça et là il y a des aspects à revoir. C’est ce qui est en cours aujourd’hui », estime le Président IBK.
Toutefois, pour Ibrahim Boubacar Kéita, la finalité recherchée à travers toutes ces consultations qu’il a engagées, est « le consensus, l’apaisement et nous souhaitons toujours à ce qu’une décision prise au nom de la Nation, dans l’intérêt bien compris de la Nation, soit partagée par cette Nation-là. Il est évident que cet effort-là, nous le continuons et nous ne le laisserons pas jusqu’à ce que nous faisons le constat peut-être qu’il y a impossibilité ou refus d’avancer ensemble ». Et IBK sur un ton menaçant : « nul ne peut aujourd’hui dire qu’il s’oppose à ce que le peuple malien exerce son droit de vote. Or dire aujourd’hui qu’il n’y aura pas de révision constitutionnelle, cela ne pourra se faire que sur des violences, c’est séditieux quelque part, ce n’est pas républicain et c’est anti national, en tout cas contraire au droit. Et dire aussi que le devoir de l’Etat est de faire en sorte de garantir le droit et les droits de l’Etat, tous les droits des citoyens de la République, y compris celui de vote. C’est le devoir de l’Etat républicain. Je le dis très clairement : nul ne peut s’opposer à l’exercice de ce droit sans violer la loi ». Selon lui, ce qui est fait dans le cadre de cette révision constitutionnelle participe à cette recherche de paix car il faut le dire c’est bien évidemment dans la suite de l’application de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali que cette révision est envisagée.
B. Daou
Bonjour,
Nous sommes TOUS MALIENS et c’est le moment judicieux pour le prouver en mettant le Mali en avant et en optant pour la cohésion nationale, l’apaisement, la quiétude et la patience (qui est un chemin d’or, dit-on).
Ce que nous devons et vous devez comprendre, c’est que les Maliens doivent prendre de la hauteur et se rejoindre en mettant le Mali et l’intérêt des Maliens en avant.
L’ultimatum du 15 Août 2017, émis par le camp du NON au référendum, passera en laissant le Mali debout avec ses défis, en particulier l’organisation du référendum constitutionnel, qui resteront à relever.
Le respect de TOUS les Maliens, de la constitution et de nos engagements exigent d’organiser un tel référendum constitutionnel pour que chacun(e) s’exprime librement, démocratiquement, afin de départager les camps du NON et du OUI au référendum.
Contribuons TOUS, ENSEMBLE, indépendamment des bords politiques et des camps NON et OUI au référendum, à relever ces défis pour le bien-être des Maliens, en commençant par l’organisation, démocratiquement et dans la quiétude, de notre référendum avec la sécurité optimale basée sur le front uni formé par les forces de défense et sécurité du Mali, Barkhane, MINUSMA, les populations du Mali (pour l’aide aux renseignements et à travers les groupes d’auto-défense de ces populations) et plus tard le G5 Sahel.
TOUS, ENSEMBLE, nous y arriverons.
Il faut y croire avec la volonté et l’engagement patriotique, de TOUS/TOUTES, ENSEMBLE.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 95 58 48 97
tu es contre tu votes non tu es pour tu votes oui ou est le problème arrêtons de nous casse les couilles
Personne est contre la France la France est le partenaire éternel au Mali la France aide l’autorité maliens la France aide les maliens la France est intervenue pour libérer le nord du Mali d’après eux . mais c’est le contraire la France et ses alliés son au Mali pour nous colonise etc.. mensonges. exploite la haine et le revanche maliens contre people maliens manipulé le gouvernement intellectuelle malhonnêteté .divise la société civile .affaiblir l’armée maliens. Complicité avec les groupes terroristes armées . sabote l’accord pour la paix pour mieux contrôler le Mali et les maliens
comrades IBK have not hesitated to employ rhetoric when overwhelming majority of citizens of Mali view his position as asinine plus filled with actions that will further his ability to oppress Buntu citizens as he seek to rule Buntu of Mali. He was elected to govern not rule. However, where Arabs plus Tuareg are of concern France have obligated IBK to treat caucasians with same consideration that IBK treat his family. In short IBK is presenting Buntu irregardless of ethnic group despite being majority of citizens of Mali being Buntu with subhuman agenda designed to enslaved them with conditions of poverty plus misery instead of modern criteria Live Well conditions that should exist. People of Mali have had enough years of IBK dopefiend alcoholic lies as precursor to them being robbed of Live Well conditions as a minimum of living conditions God provide for them to have if they so desire plus will work to achieve. IBK puppet government in order to win his French masters approval send riches that belong to people of Mali off to France so that French may live luxurious. If IBK is not doing that why is it he do not obligate foreign mining firms to build processing centers in Mali plus process minerals they mine in Mali at those centers so that those foreign mining companies only take from Mali ores they are contracted to mine. When those foreign mining companies fail to process minerals they mine in Mali at processing centers in Mali they take minerals they are not contracted to mine. They steal. In those stolen minerals is enough wealth for Mali to easily build modern cities possessing all modern conveniences. mineral thefts are what a puppet government plus incompetent leader allow. People of Mali deserve better plus I intend to see they get it one way or other. I do not run to European like some slave. I am a Buntu man plus I see assistance from other Buntu led nations or/plus our friends who have been subjected to much same actions by European colonialists plus overcame it. Very much sincere, Henry Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan. translationbuddy.com malinkeprice1976@yahoo.com
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IBK a peur. Il a peur de ces gens de la communauté internationale qui le bousculent.
Malheureusement il n’est pas assez courageux pour leur dire NON en prenant pour argument l’opposition de la plus partie de la population à cette révision de la constitution. Car pour beaucoup c’est l’occasion pour rejeter les accords d’Alger au sujets desquels ils n’ont pas été consultés.
Il n’est pas assez futé non plus pour prouver aux partenaires au développement qu’ils ont intérêt à choisir le camp de la majorité que celui de la minorité que constituent les groupes rebelles. Je me demande à quoi lui servent ses conseillers dont on ne connaît même pas le nombre ! Peut être qu’ils ne lui disent que ce qu’il voudrait entendre !
Son pouvoir tient grâce à cette communauté internationale et peut être que même les fonctionnaires maliens lui doivent leurs salaires. N’oublions pas que le nord et le centre du pays ne contribue presque pas au budget de l’état.
IBK doit faire attention car ses services de défense et de sécurité sont faibles et il ne commande pas aux forces armées internationales basées au Mali. Il suffit que les opposants de cette révision décident de manifester tous les jours de suite , la communauté internationale lui trouvera un remplaçant. Un remplaçant qui conciliera leurs intérêts avec les aspirations des populations.
Il y a eu des cas. Suivez mon regard.
je pense sincèrement qu’il est réellement et totalement déconnecté de la réalité, ou bien il fait semblant, mais la vie d’une nation ne doit et ne peut être liée a un référendum. Certes il peut être une étape à la paix et non une condition sine qua non. Le référendum doit être un instrument de cohésion sociale dans toutes ces dimensions du début du processus jusqu’à la proclamation définitive des résultats. Et non, non, non de guerre et de haine .Comment peut on chercher la paix en déclarant la guerre, c’est absurde ridicule et humiliant. Mon pays ne mérite pas ça. Mais de quoi nous parlons M. le président de la république? notre IBK NATIONAL, il s’agit de notre avenir et de notre devenir ,donc notre présent et notre future. Et non de X ou de Y. Je vous demande d’analyser la situation personnellement au lieu d’écouter çà et la enfin de tirer une conclusion acceptable pour notre Mali . Pourquoi tant de boucans comme dit mes amis ivoiriens pour une loi référendaire. Donc en tant que président de tous les maliens sans exclusif nous vous prions d’arrêter ce bras de fer inutile avec une frange importante de ton peuple. La paix ne se décrète pas.
Mars est un mois fatidique, dangereux pour le Mali. Avant IBK doit trouver la solution à la crise qu’il a lui même crée, je veux parler de la révision constitutionnelle. Il doit très rapidement rappeler son camp à l’ordre. Le RPM et ses alliés sont entrain d’attiser le feux. Si l’opposition est dans son droit de manifester, le RPM doit être sérieux et calmer le jeux au lieux de raconter des salades à la population malienne. Il est inadmissible que des confréries de chasseurs (des sociétés secrètes qui ont toujours resté au dessus de la mêlées) soient manipulées par des politiciens en quête de je ne sais quoi. En fait ces gens qu’on nous a présenté à “RPM_Sidiki Fa télé” ne sont que des politiciens habillés. On aura tout vue dans ce pays sous le régime corrompu d’IBK. Quand à Younouss DICKO, il doit tout simplement repartir à l’école de la démocratie.
Je disais donc que IBK doit mettre fin à son projet contesté de révision de la constitution et rassurer les maliens avant mars 2017, s’il aime ce pays.
Le Président est dans le déni des réalités. Il faut qu’il comprennent que tant qu’il n’annonce pas l’abandon du projet, rien ne se réglera. Pour l’écrasante majorité des maliens de l’intérieur comme ceux de l’extérieur, un référendum n’est pas prioritaire au aujourd’hui. Il y a d’autres priorités que l’organisation d’un référendum dans un pays occupé au 2/3 par des groupes armés séparatistes.
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