Même s’il n’est pas officiellement encore investi par son parti, l’Union pour la République et la démocratie, qu’il dirige, Soumaïla Cissé semble déjà bien calé sur les startingblocks…
… à trois mois de l’élection présidentielle malienne, prévue le 7 juillet prochain. Pour l’ex-Président de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), la situation qui prévaut au Mali doit être dépassée, après une élection libre et transparente, dans un contexte marqué par la présence d’armées de plusieurs pays, dont la France, ancienne puissance colonisatrice. Tournée depuis 2003, la page de l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (ADEMA/PASJ), parti dont il fut le secrétaire général, Soumaïla Cissé, en séjour à Dakar depuis quelques jours, décortique sous toutes ses facettes, la crise malienne. Pour ce candidat malheureux de la présidentielle malienne de 2002, tout est à reconstruire : les Institutions, le rapport du citoyen au bien public, l’unité nationale et l’Armée malienne. Il évoque dans cette interview exclusive accordée à Enquête tous ces sujets, avec un brin de réalisme et de lucidité. Bien loin de tout discours nationaliste et sectaire…
Enquête : vous êtes rentré dans votre pays, après une longue absence liée au coup d’Etat militaire du 22 mars 2012. Comment s’est passé votre retour à Bamako que vous aviez quitté dans des conditions difficiles ?
Soumaïla Cissé : Il faut dire que j’avais quitté mon pays, le Mali, dans des conditions vraiment dramatiques. J’ai été agressé (Ndlr, par des militaires) de façon violente au moment du coup d’Etat. Je suis parti sur une civière, ensuite j’ai été interné dans un hôpital à Paris où des soins m’ont été administrés. J’y suis resté en convalescence pendant plus sept mois. On m’avait blessé à la tête et j’avais la main déchiquetée. Ensuite j’étais entre Dakar et Paris. Mais comme la situation politique et sécuritaire semblait s’améliorer, je suis revenu pour une quinzaine de jours à Bamako. Nous sommes en état d’urgence et donc on m’a réservé un accueil très simple, le plus sobre possible parce qu’il faut tenir compte de la situation actuelle dans mon pays.
Vous avez été agressé, comme vous dites, lors des événements du 22 mars 2012. Vous avez donc expérimenté la violence dans votre chair. Comment avez-vous vécu psychologiquement tout cela ?
Psychologiquement, il faut un bon psychologue pour vous le dire (Rires). Disons que cela faisait presque une dizaine d’années que j’étais hors de mon pays. J’étais président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA). Je suis rentré au Mali en décembre 2011, le coup d’Etat est arrivé en mars 2012, donc je ne me sentais en rien concerné par tout ce qui s’était passé avant. Ni de façon positive, ni de façon négative.
Donc pour nous, ça a été une surprise totale. Mais j’avais mis ça sur le compte de la confusion, parce que le 22 mars, tous les responsables politiques ont été violentés. Et après ça, je me suis d’ailleurs réfugié à l’ambassade du Sénégal durant quelques semaines, puis j’en suis ressorti. J’ai participé ensuite aux discussions de Ouagadougou. Mais à mon retour, j’ai encore été agressé. Cette foi-ci, j’ai pensé que ce n’était pas un hasard et j’ai été sérieusement blessé. J’ai été arrêté et gardé à la cargaison de Kati pendant quelques jours. Après, j’ai été évacué dans des conditions très difficiles pour des soins en France.
Aujourd’hui, quelle est la situation réelle au Mali ?
Il faut analyser la situation selon plusieurs volets. Sur le plan de la guerre et de la situation sécuritaire, avec l’intervention française, je peux dire qu’il y a un chemin d’espoir. Petit à petit, on peut penser maintenant que la crise militaire va aller vers sa fin et que le combat contre les jihadistes est sur le point d’être gagné définitivement. Cela n’empêchera pas peut-être quelques poches d’insécurité, avec des éléments qui vont encore résister, mais je pense honnêtement que le gros du travail est fait et qu’il a besoin d’être consolidé par les troupes africaines et l’armée malienne.
Après cela, il faut ramener le problème à la crise politique et sociale au Mali. Et pour ça, il faut régler le problème d’abord à travers un dialogue politique pour trouver les solutions. Une commission est en train d’être mise en place. Il faudra faire en sorte que les communautés puissent se parler, s’accepter, se pardonner. Il faut vraiment définir une bonne charte pour vivre ensemble, pour qu’on se retrouve sur les mêmes bases, qu’on ait les mêmes réflexes, ça c’est important.
Le Mali est-il réellement engagé sur cette voie-là ?
(Avec fermeté). Je pense qu’il n’y a pas d’autre voie que celle-là. Cela interpelle tous les Maliens et ce n’est pas l’affaire d’un groupe ou d’un autre. Chacun de nous doit s’y mettre, chacun doit pouvoir agir là où il a un minimum d’influence. Je pense que c’est possible, que c’est faisable. Cela peut prendre un temps, mais il n’y a pas d’autre issue, si on veut vraiment reconstruire le pays tel qu’on l’a connu avant. Ensuite, il faut bien sûr se lancer dans les élections, les faire le plus rapidement possible, pour nous remettre sur nos pieds et communiquer de façon normale avec la communauté internationale. Et reconstruire le tout.
Le Mali est historiquement connu pour être un pays très fier de lui-même. Où est donc passé la fierté malienne, avec l’intervention de l’Armée française sur les terres d’un héros comme Soundjata ?
Vous savez, pour parler du Mali, il faut des semaines pour le faire parce qu’il faut savoir quand cela commence. C’est un vieux pays, qui a de vieux réflexes, qui a un passé glorieux et vous avez raison. Il y a une certaine fierté qui se dégage. Mais je crois que dans l’histoire du monde, l’histoire de tous les pays, vous avez des périodes de creux et des périodes qui sont plus fastes. Ce qui est important, c’est d’arriver à les dépasser, de faire en sorte que les populations puissent se mobiliser, les leaders se mettre devant, pour dire que ce n’est qu’une parenthèse et qu’il faut vite la fermer. C’est comme cela qu’il faut voir les choses. Se faire aider par d’autres pays n’est pas un crime, l’important est de ne pas rester dans cette dépendance. Il faut pouvoir en sortir et prendre les choses en main soi-même, que ce soient nos propres forces qui puissent nous propulser vers l’avant.
On insiste. Comment les Maliens, les intellectuels, les élites politiques ont perçu par exemple les images d’un François Hollande se promenant dans un pays dans le désarroi avec des populations qui criaient : “Vive le France”. On a l’impression d’être retourné à la colonisation ?
(La mine grave). Je crois que ce sont des choses qu’il faut dépasser. La preuve, nous sommes habillés en Français, nous sommes en train de nous exprimer en Français. Il faut savoir comment gérer son histoire. Notre histoire n’est pas toujours forcément l’histoire de Samory ou de Soundjata Keïta. Nous sommes des contemporains de François Hollande. Nous puisons dans le savoir mondial et ce savoir mondial est aussi notre histoire. Je ne ressens aucun complexe dans le fait de se faire aider pour dépasser une situation qui n’est pas bonne. Ce ne sont pas des colonisateurs.
Je crois qu’aujourd’hui, on a les moyens de régler la marche de notre pays vers un avenir meilleur. On accepte cela sans complexe, même si on aurait bien voulu le faire nous-mêmes. Même ceux qui nous aident, Hollande et son armée, se font aider par d’autres. Je crois que c’est cela l’histoire du monde et qu’il faut vivre avec son temps, comprendre qu’avec son temps, il y a des défis qui sont des défis mondiaux. Si tous les pays africains viennent, c’est une solidarité africaine, mais tous ces pays sentent aussi la menace. Donc ce défi devient un défi mondial. A partir de là, il faut aborder les choses le plus simplement possible et essayer de faire face à la situation.
La menace terroriste n’a-t-elle pas été exagérée vu la rapidité avec laquelle les troupes françaises et africaines ont avancé sur le terrain et neutralisé les groupes actifs dans le Nord Mali ?
Non, non…. Je crois que nos armées sont mille fois plus faibles que l’Armée française. La plupart de nos armées, même si elles ont les hommes, n’ont pas le matériel, n’ont pas la logistique qu’il faut. Alors que ceux qui sont en face sont revenus de Libye avec du matériel très sophistiqué, des armes bien sûr, mais aussi de la nourriture et tout ce qu’il faut pour attaquer. Donc, il ne faut pas penser que la menace n’était pas sérieuse. Même les Français ont fait face à une résistance beaucoup plus sérieuse qu’ils ne le pensaient eux-mêmes. Il y a eu des avions Rafales qui ont quitté le Tchad pour venir au combat, il y a eu des hélicoptères de combat qui étaient là. Il a fallu du matériel sophistiqué de détection, des lunettes pour voir la nuit, etc. Aucun de nos pays ne dispose de ces outils de guerre.
L’élection présidentielle est prévue le 7 juillet 2013. Cette date serat-elle maintenue dans le contexte de crise actuelle ?
Je ne peux pas répondre à la place du gouvernement. Le gouvernement doit avoir des éléments pour fixer la date, en tenant compte du niveau de préparation technique, des ressources financières disponibles. Tout ce que je peux dire, c’est qu’il y a un certain nombre de défis qui sont importants à relever et qui me paraissent des conditions à remplir pour avoir une élection crédible, crédible pour les Maliens, crédible pour la communauté internationale. Je pense honnêtement qu’il faut d’abord essayer de mettre cette élection sous un mandat international, que ce soit l’Onu ou l’Union africaine, pour qu’il y ait une sorte de certification internationale.
La deuxième chose, il faut que les conditions de sécurité existent, pour que les candidats eux-mêmes puissent faire campagne et qu’ils ne restent pas dans leur salon.
La troisième chose qui me paraît indispensable, c’est que puisse voter une masse critique de citoyens, faire voter les gens des grandes villes, faire voter dans des lieux sécurisés, faire en sorte que le maximum de réfugiés puissent rentrer, pour que vraiment l’élection ne soit pas une élection uniquement au Sud, pour que l’unité nationale s’en ressente. Ensuite, il y a les problèmes techniques, la carte électorale, les affiches électorales, que l’ensemble des acteurs se sentent concernés et acceptent ce schéma et ce cadre global. A partir de là, les élections pourraient se faire. Ce qui est important, c’est qu’elles se fassent le plus rapidement possible.
Tout le monde s’est engagé pour le mois de juillet, mais je ne peux pas vous dire si ce sera maintenu. Je crois qu’il faut avoir des points de contrôle, avoir une feuille de route, un agenda bien précis et au fur et à mesure, voir ce qu’il y a lieu de corriger et s’il faut décaler ou pas. Ce sera, dans tous les cas de figures, une élection sous haute surveillance militaire. Tout dépend du niveau sécuritaire qu’on aura atteint d’ici là. Car, quand on est à l’extérieur, on s’imagine plus les choses que quand on est devant la réalité. A Bamako, on ne sent même pas la présence de troupes. Mais je pense qu’à Gao, il y a des jours avec et des jours sans. L’important, c’est que le jour de l’élection, on ait une fluidité réelle. On va faire avec l’armée. Que ce soit avec l’armée malienne ou avec les casques bleus, il est sûr que les conditions de sécurité sont extrêmement importantes à garantir pour avoir un bon scrutin.
L’armée ne sera-t-elle pas un frein au retour à la démocratie ?
Je crois qu’il y a un état réel de coup d’Etat qui date d’un an. On ne peut pas faire comme s’il n’y avait pas eu de coup d’Etat. On s’est battu pour revenir à une légalité constitutionnelle, ce qui nous vaut aujourd’hui d’avoir un président intérimaire, d’avoir une Assemblée nationale qui fonctionne. Donc il nous faut aussi régler ce problème-là. Il est évident que l’armée a aujourd’hui intérêt qu’on aille aux élections, elle en fait partie, la junte est partie prenante. Plus concrètement, l’armée malienne va-telle accepter de retourner dans les casernes ? L’armée doit retourner dans les casernes. Il faut l’y aider.
Et si elle ne le veut pas ?
Si elle ne veut pas, je n’en sais rien. Il faut l’y aider. Je crois qu’aujourd’hui, il faut les valeurs de la République, il faut une armée républicaine, il faut travailler à cela. C’est ce qui est souhaitable. On va tous travailler à cela.
L’ancien président malien, Amadou Toumani Touré, est là au Sénégal. L’avezvous rencontré ?
Le président ? Oui, il est là. Je pense qu’il se repose. C’est tout ce que je peux dire.
Pourra-t-il jouer un rôle dans le futur, dans la résolution de la crise politique ? Et quel rôle, le cas échéant ?
C’est un Malien comme les autres. C’est à lui d’apprécier ce qu’il peut faire et aux Maliens de savoir s’ils ont besoin de lui ou pas. Je ne peux pas répondre.
On évoque pourtant son niveau de responsabilité dans ce qui est arrivé…
Je crois que quel que soit le président, lorsqu’il y a un coup d’Etat contre lui et qu’il perd le pouvoir, il est responsable parce qu’il n’aura pas su garder le pouvoir. Ce qui est important aujourd’hui, c’est de voir comment se projeter dans l’avenir. Qu’est-ce qu’il faut faire pour que la situation antérieure ne revienne pas ? Qu’est-ce qui a manqué ? Qu’est-ce qu’il faut corriger pour éviter au Mali de connaître à nouveau cette situation ? Je crois que c’est cela qui nous interpelle aujourd’hui. C’est très facile, une fois qu’on a perdu le pouvoir, de dire c’est telle raison ou telle autre.
Il est beaucoup question de la corruption des élites politiques et militaires maliennes…
Moi, je ne suis pas juge. Vous savez, entre ce qui se dit dans la rue et ce qui est réel, moi je ne rentre pas dans ces considérations, parce que ce sont des jugements de valeur. Dire qu’un tel est corrompu, qu’un tel ne l’est pas. Je ne dis pas que c’est vrai ou que c’est faux. Je ne rentre pas dans ces choses-là. Je ne peux pas dire que c‘est vrai ou c’est faux. Je ne rentre pas dans ces détails-là.
Le niveau de pauvreté au Mali favorise quand même la corruption.
Ça, je peux en parler. C’est deux choses bien différentes. Nos pays sont très pauvres et dans toute l’Afrique de l’Ouest, il n’y a qu’un seul pays émergent, c’est le Cap-Vert, alors qu’il y a le Nigeria, la Côte d’Ivoire. Vous voyez ! Faut-il alors dire que tout le monde est corrompu ?
En tant qu’ancien ministre des Finances, ex-président de l’Uemoa, vous ne pouvez pas nier que la déliquescence de nos économies a un impact sur les crises qui affectent nos institutions…
(Il coupe…). Oui, on a des difficultés réelles, il faut bien l’avouer. Je vous donne l’exemple de nos armées. J’ai été ministre des Finances. Nous sommes dans des programmes d’ajustement depuis une trentaine d’années. Pendant ces trente ans, on privilégie quoi ? On privilégie l’Education, la Santé, les Infrastructures, etc. Nous limitons les déficits budgétaires à 3, 4, 5% et quand on arrive au bout du compte, il reste quoi pour les dépenses de souveraineté que sont Affaires étrangères, Justice et Armée ? Environ 3% du budget ! Et pendant 30 ans, nos armées n’ont été ni formées ni éduquées. Et forcément elles se retrouvent en situation de déliquescence réelle, parce que nos priorités étaient ailleurs. Et chacun de nous a pensé pendant longtemps que nos armées n’ont presque pas de raison d’être, parce qu’il n’y a pas de menace extérieure et elles ne vont pas se battre entre elles. Vous voyez ainsi comment on a laissé filer un certain nombre de choses.
Oui mais la corruption ?
Cela dit, les problèmes de corruption et autres, il faut les régler. Je crois que dans chaque pays, il existe un cadre pour cela. Au Mali, existe une structure très forte de vérificateurs, calquée sur le système canadien. Dans chaque pays, il y a une Inspection générale d’Etat, une Inspection des finances. Les éléments et les lois sont en place. Au Mali, quand vous détournez 10 millions, vous êtes passible de la peine de mort. Ce qui nous interpelle, c’est la gouvernance elle-même. Il faut qu’elle se fasse, que la justice soit une justice propre, que chaque citoyen se sente concerné par la marche globale de la société. Quand on brûle un feu rouge, quand on donne mille francs à un policier ou à une infirmière, personne ne pense à la corruption. C’est une corruption qui mine la société, que nous voyons dans toutes les rues de nos villes. Ce qui est clair, ce qu’on dénonce, c’est l’appel d’offres mal fait. Mais nous sommes en train de nous asseoir sur le lit de la corruption. Il faudrait une enquête de proximité pour bien analyser le phénomène, savoir ce qui s’est passé, qu’est-ce qui a fait que les choses qui nous paraissaient les plus solides ont pu éclater à un moment donné. Ce recul-là, il faut se le donner pour pouvoir mieux expliquer le phénomène. Vous voulez un papier, avec 1000 ou 2000 francs, vous l’obtenez. Ça, c’est un problème qui mine toutes les sociétés africaines et il faut aussi y faire face. Ce n’est pas seulement l’élite…
Si vous êtes élu, vous allez vous intéresser à ces causes profondes et essayer de leur trouver solution ?
Je crois qu’il faut d’abord attendre pour voir comment ça va se passer. Je suis dans un groupe, je suis dans un parti. Il faut d’abord savoir qui sera candidat et qui ne va pas l’être. Il le sera sur la base d’un programme qui sera là, ce programme sera soumis aux électeurs. Et de là, tout sera déroulé en fonction du choix des électeurs. Que je sois candidat ou pas, c’est une question qui m’interpelle en tant que Malien, parce que j’en ai souffert dans ma chair, j’en ai souffert dans ma tête et je continue à en souffrir, parce que c’est mon pays. Donc, à partir de là, chacun doit s’intéresser aux causes profondes qui ont conduit l’Etat malien à cette déliquescence.
Mais en même temps, je me dis que ce qui est arrivé au Mali peut arriver à d’autres pays, qu’il y a des pays dans des situations beaucoup plus graves. Il y a des pays qui ont disparu. Donc, à un moment donné, il faut considérer cela comme un accident, arriver à l’arrêter, à le circonscrire et trouver les moyens pour repartir. C’est cela qui est le plus important que continuer à pleurnicher sur notre sort. Il faut trouver les moyens de sortie de crise, les moyens de donner de l’espoir et continuer d’avancer.
Nettali
C’est le voleur typique
vous n’êtes honnête,sinon il fait partit des gens qui ce sont fait des millards sur le dos du pauvres malien.
Le Mali n’est jamais tombé aussi bas depuis le début de son existence. Une armée inexistante, une économie à genoux, le 1/3 du Pays qui échappe complètement à Bamako, je peux encore citer nos maux. Dieu merci la France est venue nous redonner l’espoir maintenant à nous de jouer, où? Bien évidement dans les urnes! Il ne faut pas se voiler la face, aujourd’hui les présidentiables sont: Dédé (Adéma), IBK et soumaila.Je trouve que Dioncounda est mou et incapable de prendre des bonnes décisions donc non à Adema, IBK a était un très bon premier ministre mais malheureusement il m’a bcp déçu par son comportement avec Sanogo. Moi je suis pour la démocratie, la laïcité et un Mali prospère. Pour cela, il nous faut un homme d’expérience ayant un statut international. Soumaila a travaillé en France, à été plusieurs fois ministres son passage à UEMOA a été un grand succès. Son envi de protéger le mali de la dictature lui a valu une agression. Donc voter Somi pr moi ça serait vmt un vote intelligent!
Merci Mba vous avez parfaitement raison. Le vote pour Soumi est une evidence car cet homme a tant oeuvré pour que notre pays puisse être sauvé entre les mains des bandits armées, Il a toujours garder sa ligne de conduite, il c’est comporté en vrais homme d’etat responsable, et a beaucoup oeuvré pour le rettablissement de nos institutions,pendant que d’autres organisaient des manifs bidon,et maniganssaient l’agression d’un prèsident de la Republique, tous ses voyoux sont connu, en tout cas les donneurs d’ordres ne sont que IBK,MARIGo,la copam, et tous ses associations de caniveaux qui sont les yeréwolotons,c’est vraiment des vrais déchets de la nature.A tous ceux qui ne veut pas voir notre pays descendre aussi bas,doivent se porter sur le vote pour Mr Soumaila Cissé, car c’est l’homme qu’il faut pour tirer notre pays de loint et reconstruire tout ceux qui ont détruit par ses voyoux, ennémis de notre pays.
Sur la corruption, avez vous remarqué qu’il reste évasif? Pour les mesures de corruption que le journaliste lui pose, il dit qu’il ne sait si c’est lui qui sera candidat ou pas? Mais de qui se moque t on?
Il ramène la corruption au niveau de 1000 f ou 2000 f qu’on donne si et là et escamoter le détournement ingénieux mis en place par les partis et dirigeants politique.
Ce Monsieur se paye la tête des maliens, c’est à nous de lui faire montrer que nous avons appris de nos passés, de nos erreurs et de leur gestion des 20 dernières années.
vous avez notre soutien Mr le Président
vous serez élue au yeux de tous les jaloux aigris du mali.
voleur voleur ils n’ont que ça à dire. Quand vous étiez super Ministre comme ils disent, mais IBK était Premier Ministre, surtout qui venait de nul part.
Grâce a leur critique nous voyons claire.
Quand vous avez à la CMDT, le mali était 1er Producteur du monde de Coton.
Quand vous avez étiez à l’ACI le pays à vue le développement accrut d’où les retombés à nos jours.
Quand avez étiez à l’UEMOA l’Afrique à vue un meilleur jour.
Mais le Mali à sombré pendant 10 an. pour rien au monde nous seront pas ingrat pour votre devoir citoyen.
je voterai pour vous, car vous êtes le meilleur dans ce pays de mediocres.
jugeons les hommes en fonction de leur qualité non de leur race ni religion. aujourd’hui nous avons besoin d’un homme fort avec des idées non preconçues et qui peut projété pour le Mali des projets vitaux de developpement global . baillah, peulh, sonrhai, dogon, bambara senoufo .. l’intelligence et la force de caractère existent partout et dans chaque communauté au Mali. OUI pour tourner la page OUI pour un Mali NOUVEAU. Désormais ayons l’espritet le reflex de voter pour un programme de société fiable et non pour les hommes c’est qui a entrainé un echec du Mali. Evitons les querelles raciales pour ne pas mettre de l’huile sur du feu…… le nord appartient autant aux sudistes que le sud aux nordistes nous sommes tous dans un mêmme et seul pays le MALI .(point)
le futur presi du MALI sans faute
A lui de le prouver et comme aussi aux autres d’en faire autant. TOLERANCE ZERO chacun a desormais les yeux ouverts et saurait lire aux travers de chaque ligne et cahque parole………… On se fera plus berné par quique ce soit ….il a certe des qualités mais on ATTENDS le reste.
jugeons les hommes en fonction de qualité non de leur race ni religion. aujourd’hui nous avons besoin d’un homme fort avec des idées non preconçues et qui projété le Mali vers des projtes vitaux . ballah, peulh, sonrhai, dogon .. l’intelligence et la force de caractère existe partout et dans chaque communauté. oui pour tourner la page oui pour un Mali fort. désormais ayons l’esprit de voter pour un programme de société non pour les hommes c’est qui a entrainer un echec du Mali. evitons les querelles raciales pour ne pas mettre de l’huile sur du feu…… le nord appartient autant aux sudistes que le sud aux nordistes nous sommes tous dans un mêmme et seul pays le MALI .(point)
pourquoi Mr Cisse ne reconnait pas sa part de responsabilité dans la déconfiture de notre pays. il a été ministre pendant de longues années
il est dans les rouages du pouvoir depuis plus de vingt ans, il est lié directement ou indirectement à tous les gouvernements qui ont fait du mal à ce pays
ces genres de politiciens ont fait ce qu’ils peuvent ils ont montré leur limite nous devons les remercier et les envoyer à leurs chères études
aujourd’hui il s’agit d’imaginer le mali de demain; pour ce faire nous devons nous passer des papys politicards qui ont rouler leur godasse par tout et pour tout le monde
exigeons le meilleur pour notre pays, débarrassons nous de cette classe politique corrompus et incapable de relever les défits qui se posent à nous.
Soumi n’est plus Ministre du Mali depuis des années. ET vous tiefin, vous étiez citoyen depuis tout ce temps. Quel est votre responsablité?
Petit bailah cisse c’est un voleur qui a vole l’argent des cultivateur ne sera j’aimais president au mali
Petit bailah cisse ne sera j’aimais president au mali
Tu n’est qu’un raciste chez nous des gens comme toi n’a pas leurs places, en plus Soumaila Cisse n’est pas un bella, il est tout simplement un Malien qui a le coeur d’aider son pays.
Trop hautain pour être Président du Mali.
Vive SOUMAILA CISSE cet homme est d’une grandeur d’esprit incroyable, avec tout ceux qu’il a vécu comme agréssions et la haine de nombreuses personnes,il est resté humble et très concilliant ça c’est vraiment un grand homme.Je ne le connaissait pas à partir de maintenant je mobiliserais tous mes amis indécis à lui apportez notre vôtes.Car notre pays à besoin d’abord d’un homme averti,patriotique et intelligent.avec beaucoup d’expériences MR CISSE est vraiment cet homme, je suis convaincu qu’avec lui nous irrons de loint.
bizarre ce soumi: ton parti l’uRD soutient ATT et toi tu ne te sens en rien concerné par la gestion d”ATT? et que dire des 10 ans d’Alpha?
il a travaille a ibm france il etait milliardaire avant d,arriver au mali ……comme si on ne le connaisait pas…..les maliens n,ont plus les yeux bande vous serez tres surpris par le resultat de la prochaine election….aucun voleur a colle blanc ne se fera passe pour un saint …..cet poltron bavard s,en etait tire avec l,argent des coton culteurs mais aujourdhui certaines personnes veulent le transformer en prophete…….il est aussi un menteur car il s,etait blesse en tentant d,escalade le mur du voisin personne ne l,avait touche…si soumi devient president cela veut dire que le mali est un pays maudit …..
N’importe quoi. Quand il travaillait en France dans les annees 1980 il ne pourrait meme pas s’epargner 50 millions de cfa toute sa carriere. Arretes de nous prendre pour des abrutis. Cest le feu Dr. Sada Sy qui l’a integre a la CMDT où il aurait fait sa fortune illicite.
Serval cherche toi un autre pseudo car vous faites honte à la bienfaisance de la France pour nous sortir du trou que vos copains pountchistes et touts ses bandes de voyoux de Oumar Marigo.Ibk et toutes ses pseudos associations de mérdes nous avaient laissés.Seul Soumaila CISSE est resté sur digne accompagner du FDR,il a demandé de l’aide de la CEDAO,il a passé tout son temps à solliciter en France auprès de toutes les autorités Française pour qu’ils viennent nous libérer de ses bandits armées.Il à rencontré Barak OBama,pour aidez notre pays.Et pendant ce temps tes copains foutaient du bordélle à BKO,avec des manifs bidons pour désorganiser notre pays.QUELS HONTE!!!!.Allez mr CISSE LE PEUPLE EST AVEC VOUS.
en tout cas moi je ne voterais pas pour soumi, ni pour Ibk, ni pour mara qui est un poltron qui a soutenu le putsch et qui ne merite pas d’etre koulouba. Mara a vendu son jeune capital politique à vil prix aux yeux de tous les observations avertis… ## cependant, à chacun son choix
Tu penses qu’en France un salarié peut être milliardaire?
M. CISSE, pour qui je dois beaucoup de respect en tant qu’humain, semble ignorer la cause principale de l’effondrement du Mali: la corruption.
Ce fléau que nous avons connu pendant deux décennies, a été initié par les gouvernement successifs d’AOK et entretenu par ceux d’ATT. Nous avons vu des événements s’organiser pour fêter le troisième ou le quatrième milliard de FCFA gagnés honnêtement par des fonctionnaires maliens. C’est facile pour un fonctionnaire malien de les gagner. Il suffit de faire payer tous les services publics par les usagers de l’administration, comme le dit M. CISSE dans son intervention, 1000FCFA, 2000FCFA,ou 3000 FCFA Je reste sur ma faim s’agissant du détournement de fonds publics qui n’a pas été abordé dans cette interview. C’est peut-être un sujet de MOINDRE IMPORTANCE pour LA MUTATION.
MODE ,le Mali a trop souffert des médiocrités comme vous .Si vous passez votre temps à mentir et déformer les propos des gens ,on va pas construire notre pays de cette facon.Moi j’ai bien visionné la vidéo ,il donne des leçons d’économies aux étudiants de sciences po paris qui étaient tous charmés par sa compétence .
Les Maliens sont plus intelligents que tu ne le penses,tes mensonges ne les induiront pas en erreur.
Soumaila est le seul capable de mener à bien la reconstruction du pays.
Voici le lien de la vidéo ,verifiez par vous même
http://www.youtube.com/watch?v=avcirtyWWMM&feature=share&list=UUHjUjPUuV4U89gcl7TFdEfw
Personne n’a de la haine contre Mr Cissé, seulement sa crédibilité pose problème d’autant plus qu’il a été dans les gouvernements de remplisseurs de poches. Vous avez du remarquer que même dans cette interview il a manqué de fermeté pour condamner la corruption. Je suis désolé mais ce n’est pas un gars comme lui qui va se battre contre la corruption puisqu’il s’est enrichi lui même dans la corruption avant de devenir ce qu’il est aujourd’hui. Mes chers compatriotes, soyons très vigilants pour ne pas permettre aux délinquants recyclés de revenir au pouvoir!
Au lieu de t’aveugler de haine gratuite, vas consulter le passé de Mr Cissé. Il a travaillé à IBM- France depuis les années 80 et il était milliardaire avant de rentrer au Mali. Mais votre problème est connu; ça ne peut se dire ouvertement et vous ne trompez que vous mêmes
Merci Kadi vous êtes une femme intelligente, ne vous méttez pas au même niveau que ses gens issus au fond du caniveau.SOUMAILA CISSE sera le président du MALI,car nous sommes des millions de Maliens silencieux qui attendent avec beaucoup d’inpatiences les elections pour faire taires tous ses supos de casseurs de notre pays.Un jour ils vont tous repondre de leurs trahisons envers notre pays,Inchallaw.
J ai bien dit que je ne suis pas un egoiste et je ne suis contre personne car un ministre du Mali n est pas bien paye que le petit qui ecrit ici. Mais si jetais a leur place j allais prefere la mort que me presenter encores. Merci
Ta mine sur la photo, contraire à la crise , montre que tu n’as aucune ambition pour le Mali.C’est pas aujourd’hui que tu vas nous faire des propositions de sortie de crise.Le Mali est en crise depuis que tu étais super ministre sous ALPHA.Ce pays n’a plus besoin de toi.
lekesse et compagnies vous vous nourissez de haines de mépris.Continuer d’allez fouiner au fond du caniveau.vos mépris envers Soumaila Cissé sont à la hauteur de vos cerveaux.Cela ne vous a jamais echapper que Soumaila Cisse a travaillé toute sa vie et,a surtout occuper des postes très importants.Je ne comprend pas du tout votre acharnement,qui vous a payés à rester planter devant un PC à cracher vos vénins de serpent sur,celui qui est le meilleur candidat pour sortir notre pays,de l’ornières.Mais soyez rassurés vous allez avoir des surprises.Vive SOUMI CHAMPIOIN.
Je nesuis pas un egoiste et je ne suis contre personne car j’ai le prix de mon condiment sans l’apport d’un politicien. Mais ces anciens dirigeants candidats devaient avoir honte de se présenter encore parcequ’ils ont échoué. Mais quelqu’en soit comme c’est le Mali, au moment ou ATT a fait dix ans meme le plus cancre des cancres peut diriger ce pays.
Il a bouffé l’argent de la CMDT, de l’ACI 2000. C’est le premier milliardaire fonctionnaire du Mali sous le regime Alpha.
S’il passe comme President, c’est foutu pour le Mali.Et, je quitterai le pays jusqu’à ce qu’il soit remplacé.
Oh Mr. S’il est déjà milliardaire , il n’aura plus besoins de voler l’Etat. C’est une autre manière de rembourser ce qui est du aux contribuables .
Le “Give back to the open society”(Civicus).
Ne soyez pas aussi riducule vous ne connaissez pas son compte en Banque,Soumaila n’a jamais été un milliadaire comme vous prétendez,si c’est seulement de la jalousie cela n’est pas grave,mais de la mechancetté gratuite,ça c’est grave!!! mais de quoi avez vous peur???
A moins qu’il ne soit Gargantua ou Pantagruel. Mais je crois quand même que Soumi fera un meilleur Président que le bébé de l’Adema. Puisqu’il n’y a que ces deux.
Tu prends ta haine comme mode de vie, tu es vraiment en retard pauv’con. Au lieu de “quitter le pays”, pourquoi ne pas te suicider une bonne fois. Ce sera un taré de moins
Le Président du Parti pour la Renaissance Nationale (Parena), Tiébilé Dramé, était le mois dernier face au personnel du Bureau régional de la Banque Mondiale au Mali. Dans son discours, il a lancé les jalons de la future réforme politique que notre pays devrait entreprendre pour ne plus retomber dans ses travers. Parmi ses propositions, et pas des moindres, la rédaction d’une nouvelle constitution, la refondation des forces de défenses et de sécurité, le passage du régime présidentiel au régime parlementaire.
Selon Tiébilé Dramé, au vu du tremblement de terre que nous avons connu en 2012 (rébellion, effondrement de l’armée, coup d’Etat, effondrement de l’État, occupation des 3/4 du territoire national), le prochain président de la République, quel qu’il soit, doit être un Président de Transition qui doit inaugurer un quinquennat de réformes. Fort de la légitimité conférée par le suffrage populaire, le futur président organisera des États Généraux de la Nation au cours desquels les forces vives du pays débattront des causes profondes de l’effondrement du Mali : pourquoi sommes-nous tombés ainsi ? Où étaient l’Assemblée Nationale et les autres Institutions ? Qu’ont-elles fait pour éviter qu’on en arrive là? Où étaient les partis politiques et la société civile ? Les institutions, les partis politiques, la société civile ont-ils joué leur rôle quand AQMI s’installait au Teghar-ghar, dans le Timetrine, se promenait sur les rives du Faguibine ou bivouaquait dans la forêt du Wagadu ? Qui a dit quoi quand le narco-trafic prenait l’Etat en otage ? Qui a demandé des explications au Président et au Gouvernement quand, un matin de novembre 2009, un Boeing calciné à été découvert dans le désert à Tarkint ? Qu’avons-nous fait quand la morale publique était en danger et que la corruption se répandait ? Pourquoi les partenaires ont-ils continué à encenser notre processus démocratique alors que nous nous trouvions au bord du précipice ? Autant d’interrogations auxquelles le peuple entier devra apporter des réponses appropriées. Pour Tiébilé Dramé, la réponse à toutes ces questions posera les fondations du renouveau démocratique. Egalement, le prochain Président devra re-fonder une nouvelle armée nationale, professionnelle, républicaine, bien formée, bien équipée et dont les membres observeront scrupuleusement le principe républicain de soumission du militaire au pouvoir politique civil. Il devra professionnaliser la Police, la Gendarmerie et les Services et les adapter aux exigences des temps modernes. Il devra s’atteler, aussi, à mettre en place une nouvelle Constituante pour re-fonder la République malienne en rédigeant la Constitution de la 4ème République, plus démocratique, plus solidaire, plus sociale et plus juste. En tirant les leçons des dysfonctionnements des institutions, des dérives autocratiques constatées depuis l’avènement de la démocratie et en particulier la personnalisation du pouvoir qui a causé tant de ravages, le projet de Constitution de la IVème République veillera à réduire le nombre d’institutions, à les rationaliser, à les renforcer. Une IVè République rationnelle et moderne verra la suppression de l’élection présidentielle, l’élection du président de la République par un parlement monocaméral, la suppression de la fonction de Premier ministre, l’élection de l’Assemblée Nationale sur la base du scrutin proportionnel avec listes régionales et l’élection des gouverneurs de régions. Toujours selon le Président du Parena, le futur président de la République engagera la reforme de l’Administration, afin de la moderniser et de la motiver en réhabilitant et en revalorisant le mérite. La réforme, la modernisation de la justice et le renforcement de son indépendance afin qu’elle protège les droits du citoyen et lutte efficacement contre la corruption et le narco-trafic seront des tâches prioritaires. Le futur Président devra également entreprendre l’audit des principaux projets/chantiers/services engagés aussi bien pendant la Transition que durant les deux derniers quinquennats. Les cessions de terres agricoles, notamment à l’Office du Niger, les permis de recherche et les titres miniers feront l’objet d’audit et, le cas échéant, de révision. Autre aspect non moins important abordé par le président du bélier blanc, les échéances électorales de 2013 prévues pour le mois de juillet prochain. Sur ce point, le Parena souligne quelques préoccupations. A en croire son président, Tiébilé Dramé, à moins de quatre mois de la date annoncée du 1er tour de la présidentielle, il existe plus d’inconnues que de certitudes sur la tenue du scrutin. C’est pourquoi, Il est urgent, à ses yeux, d’instaurer un dialogue avec la classe politique sur le fichier qui peut être raisonnablement utilisé pour les prochaines élections, sur le vote des réfugiés, celui des déplacés internes, sur le ré-déploiement ou le non redéploiement de l’Administration dans les régions libérées. Au regard de ces préoccupations, Tiébilé Dramé invite l’ONU à soutenir l’organisation du scrutin présidentiel. «La résolution du Conseil de Sécurité qui permettra la mise en place de la future mission de stabilisation au Mali devra également prévoir le soutien au processus politique y compris l’organisation de l’élection présidentielle », a-t-il souhaité. Avant de conclure que les partenaires du Mali en général, la Banque Mondiale en particulier, devraient soutenir un ambitieux programme de reconstruction pour appuyer le processus de paix et les réformes institutionnelles et politiques envisagées. Les projets susceptibles de promouvoir l’état de droit et la bonne gouvernance ainsi que ceux favorisant l’intégration nationale devraient recevoir une attention particulière (routes Niono-Tombouctou, Gao-Kidal-frontière Algérie, Ansongo-Ménaka-Andéranboukane-frontière Niger, aérodrome de Kidal, aéroports régionaux, lycées et écoles supérieures dans les grands centres urbains au Nord, au Sahel occidental, au centre et au Sud du pays).
Abdoulaye Ouattara
Moria!!!!!!!!!!!!C’est aujourd’hui qu’il est devenu Malien? Il a fait combien d’année dans l’Assemblée et d’autre!! Des opportunistes, prostitués politiques.
C’est ridicule d!avoir de la haine contre mr Cisse qui est le meulleur homme politique de notre pays et croyez moi il serait le prochain président de notre pays.Cela est déjà écrit mes chers amis.
SOUMI PERDANT L’INTERVIEW :
LA : On vous a accusé d’être allé à la pêche aux voix en faisant un appel du pied à Amadou Toumani Touré, l’actuel chef de l’Etat et à Alpha Oumar Konaré, son prédécesseur.
SC : (Rires) Où est ce que vous êtes allé chercher cette insinuation ? J’ai dit que j’assumais la succession, non pas comme une rupture, encore moins une double rupture, mais comme un double héritage. De 1992 à 2002, j’ai participé à l’action gouvernementale, je demeure donc comptable de ces dix années de gestion du pouvoir jusqu’à être le candidat officiel de mon parti d’alors l’ADEMA PASJ (Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice) après une convention et des primaires homériques…
De la même manière, depuis 2003, mon parti participe à l’action gouvernementale. Fidèle à mes convictions, j’assume également ce bilan.
L’un des capitaines ayant emmené le bateau MALI au naufrage veut reprendre les commandes, maliens vs êtes prêt?
OPÉRATION MALI PROPRE EN MARCHE
ADEMA / URD / FDR = 20 ANS DE GESTION DU POUVOIR SANS DISCONTINUER
POUR LE BIEN DE LA DÉMOCRATIE AU MALI
UN PETIT PEU D’OPPOSITION LEUR FERAIT LE PLUS GRAND BIEN
LE TEMPS DE REMETTRE DE L’ORDRE DANS LA MAISON
OPÉRATION MALI PROPRE EN MARCHE
VIVE SOUMANA SAKO
VIVE L’HOMME AU DESSUS DE TOUT SOUPÇON
VIVE UN MALI POUR TOUS DES CHANCES ÉGALES POUR CHACUN
L’Homme de Sarkozy et de Blaise ,President du Mali!
Des candidats qui devraient etre diaqualifies car ils auront beaucoup de difficultes a prouver leur loyaute au Mali a cause de leur alliances exterieures.Avec de tels Leaders,le pays ,au lieu d’avancer ,va regresser.Ils vont vendre tout ce qu’ils peuvent vendre pour asseoir leur pouvoir.Et faire de “l’equilibrisme politique”.
Au sortir de cette crise,le Mali aura besoind’un veritable partenariat strategique pour s’engager dans un processus de croissance et developpement economiques soutenu et vibrant.
vouloir ou ne pas vouloir, si chacun pouvais jouer son rôle.
le voleur vole, l’empêcheur empêche.
arrêtons de critiquer ou de pleurnicher, passons aux actes.
allons dans les partis, créons des partis si nous voulons, mais la solution dans ces phrases.
Avec la question de la corruption, notre cher soumi n’était pas à l’aise et il a fait une fuite en avant. Je ne rente pas, je n’en sais rien.Quelqu’un qui ignore autant des maux de ce pays peut-il prétendre le diriger.Ou se moque-t-il de nous?Malheureusement, il finit par la définir ou du moins évoquer certaines pratiques similaires comme le fait de donner un sou à un policier c’est quoi? S’il avait été le meilleur ministre du Mali, il aurait terminé sa carrière aufmi ou à la banque mondiale.Mais ces deux institutions sont venus vérifiés ici et le rapport est dormant quelque part au palais présidentiel.Ensuite il disait qu’on ne pouvait pas faire une route entre Kayes et BKO parce que très couteux à cause la nature du parcours (trop cours d’eau)et tout le monde ne peut pas vivre à bko etc…Autant des déclarations que soumi semble oublier ou ignorer. Nous, nous n’avons pas oublié.Le Mali et les Maliens ont soif de la justice pour préjudice subi.Et alors politiciens repondez?
MTC
Ce qui est embêtant avec Soumaïla CISSE, c’est qu’il est resté tout le temps en exil jusqu’au jour où la date des élections présidentielle a été fixée. Ce qui est encore troublant c’est qu’il est le candidat de Blaise et de Sarkozy. Pauvre Mali voilà ces genres d’apatrides qui prétendent te gouverner.
C’est pacque vous avez tenté de le tuer en lui infligeant des blessures graves qu’il a été obligé de se faire soigner en France.
Soumaila n’a jamais fui son pays ,c’est un homme courageux.
-Il a été le premier à avoir dit non au coup d’état à la bourse du travail dès les premières heures
-il a été le premier à demander l’intervention militaire de la communauté internationale pendant que IBK,MARIKO,AMION GUINDO et leurs copains faisaient manifestation sur manifestation dans les rues de Bamako pour s’opposer à cette intervention.
-De son lit d’hôpital il s’est battu auprès des pays amis pour sauver le Mali.L’histoire lui a donné raison.
Non ,ceux qui ont trahi le Mali ( IBK et autres ) ne peuvent prétendre venir le gouverner.
Pas vrais,il na pas ete le premier a condamner le coup d etat….ensuite il. A ete le premier a feter son milliard parmiis les autres voleurs de la republique…donc qu il ne vient pas nous dire du n importe quoi…je suis du nord. Aussi comme lui…
Madani ou etait tu descend un peu ici.Soumaila cisse a été l’une des premières personne à condamner le coup d’état,ce qui lui valu cette agression d’ont il a bien été victime et cela d’une manière lâche et indigne,car ses personnes etaient armés jusqu’au dent contre un homme de surcroit un homme politique qui a donné tant pour son pays. Ce qui est, nous sommes des millions de Maliens qui croient en l’homme, ses compétences et croyez moi il serait le prochain president du Mali.
Si la CMDT a presque disparue c’est à cause de leur clan
Soumaila Cissé a fait ses preuves dans tous les postes qu’il a eu à occuper.Il a été le meilleur ministre des finances que le Mali n’ai jamais eu avec un taux de croissance qui frôlait les 7-8% ,la modernisation de l’économie du Mali.
Le travail qu’il a fait à l’UEMOA a été unanimement salué par tous.
Il n’a jamais trahi son pays au moment ou le Mali était menacé dans son existence même ,trahison dont IBK et ses copains se sont illustrés en manifestant contre l’intervention militaires des pays amis pour sauver le Mali.
On peut voir que soumi n’est pas trop comfortable sur la question de la corruption. “Quand on brûle un feu rouge, quand on donne mille francs à un policier ou à une infirmière, personne ne pense à la corruption” dit Soumi. Mais en fait, quand on donne 1000 f a un policier qui est tres mal paye et qui doit verser un quota a son chef assis dans son bureau etc… cela n’est pas corruption (pour ni le policier ni le donneur des 1000f)!!! Cest une anomalie dans le systeme….quand on brule un feu rouge cest de l’incivisme…tous cela n’est que les retombees de la corruption au sommet. Soumi essay ainsi de justifier la veritable corruption etablie au sommet sur argument que le bas peuple aussi soit immergé dans la malhonnetete journaliere. Je lui rappelle que les pauvres ont 100% le droit d’etre malhonnetes pour survivre. La corruption naît, grandit et acouche au sommet…le poisson pourrit par la tête. Le 100% de la corruption au Mali est l’acte des ses dirigeants:
– Les Maires (80% milliardaires 20% multi-millionnaires)
– Gouverneurs (60% milliardaires 40% multi-millionnaires)
-Prefets ( 45% milliardaires 55% multi-millionnaires)
– Presidents (100% multi-milliardaires)
-Ministres ( 15% milliardaires 75% millionnaires)
-DG de la police et de la gendarmerie (5% milliardaires [dû au drug deal]
Vous déformez de façon très malhonnête sa pensée ,la vidéo est claire et se trouve sur son site. Tout le monde peut aller le vérifier sur youtube ” Soumaila Cisse “.
L’idée générale était que s’il ya corruption ,c’est parcequ’il y a un corrupteur et un corrompu. Si le policier te demande 1000f ,c’est parcque t’as grillé un feu.Alors pour éviter que la relation de corruption ne s’installe ,il faut respecter les règles et ne pas griller le feu rouge, ainsi il n’aura pas à te demander les 1000f
Soumaila est le seul capable de relever le défi qui attend le Mali : la réconciliation nationale,la reconstruction ,le progrès économique et le développement social.
“Alors pour éviter que la relation de corruption ne s’installe ,il faut respecter les règles et ne pas griller le feu rouge, ainsi il n’aura pas à te demander les 1000f” ah ah ! Si on grille le feu ce n’est pas 1000f qui remedie a ca…En prenant 1000 f on perpetue le crime… le policier prend 1000 f parce qu’il est affame par son salaire et aussi son chef lui demande un quota journalier de 5000 f /policier. Encore une fois, la logique des dirigeants comme Soumi cest de comparer la malhonnetete journaliere des gamins de la rue a la pourriture au sommet de l’etat d’où les fonctinnaires de l’etat resortent milliardaires chaque annees. A commencer, vu ses arguments, Soumi n’est meme pas convaincu que les pillages des biens publiques, passation illegale des marches publique, manipulation de la part de l’etat etc.. par les haut cadres de l’etat constitue l’integralite de la corruption…tout le reste etant leur by-product. Si on veut un vrai changement, a mon opinion, ce n’est as Soumi(je rappelle que je n’ai rien contre lui…mais seulement qu’il ne convainc a rien encore). Les maliens doivent voir entre les suivants:
-IBK,
-Zoumana Sacko
-Moussa Mara,
Cest mon conseil aux maliens soucieux de notre pays.
IBK a failli en trahissant son pays pour ses ambitions personnelles.Il a été président de l’assemblée nationale pendant 5ans et donc deuxième personnage de l’état après ATT.
IBK est coresponsable du chaos que le Mali connaît maintenant.Il est disqualifié et les Maliens n’oublieront jamais ses prises de positions graves ,qui n’étaient autre que la trahison du Mali
Zoumana Sacko n’est pas à la hauteur du défi qui attend le Mali ,on ne veut pas d’amateur ,on veut un homme qui a fait ses preuves,qui a un vrai projet pour le Mali et cet homme ,c’est Soumaila Cissé.
Mara a encore du chemin à faire ,il est trop jeune et manque d’expérience pour relever le défi.
Soumaila Cissé vous fait trembler parcequ’il est tout simplement le meilleur.Si vous aimez votre pays ,souhaitez lui le meilleur ,et le meilleur c’est Soumaila Cissé
Tous les jours dans ce pays nos dirigeants nous disent, Qu’il sont corrompus parce que tout malien l’est et il ne font rien d’autre. Comme tous les maliens ne peuvent pas diriger ensemble le pays alors le problème n’a pas de solution. Les maliens, les vrai sont majoritairement corrompu peut être mais détestent la corruption. C’est ce qui explique qu’au départ une bonne partie de la population était contente(ce qui n’est pas normal) du coup d’état du 22 mars qui a renversé le régime d’ATT. Les dirigeants maliens imposent la corruption à la population et finissent par dire nous sommes corrompus parce que les électeurs le sont. Pour justifier tout cela ils disent que le policier , le marabouts, les enseignants et tous les autres sont corrompus. C’est ce Soumi semble dire ici. Nos politiciens veulent préparer le deuxième mandat dès le début du premier. Pour eux la meilleur façon d’obtenir un second mandat c’est de corrompre le peuple mais par la suite le même peuple finit par leur reprocher cela. Si nos dirigeants acceptaient de bien faire un seul mandat, non seulement la corruption allait considérablement diminuer mais en plus le peuple, le vrai peuple les réélirait et même financerait leur campagne. Le problème est qu’on ne peut pas bien faire un mandat et devenir milliardaire au bout de 5 ans. Pour être donc réélu ils n’ont d’autres choix que de corrompre les électeurs. L’origine du mal est bien l’homme politique qui entraîne la population dans le cercle vicieux de la corruption. A bon entendeur vote bien!
Nous restons unis derrrière l’ URD pour elir Soumaila CISSE à la magistrature suprème du Mali.
Mme N’DIAYE Aissé KEITA
Je propose dans le gouvernement, si l’URD viens au pouvoir:
Oumar MARIKO au ministère des domaines fonciers (solutionner le problème de parcelles voler)
Zoumana SACKO au ministère des finances (pour une très bonne gestion de l’argent de l’ETAT )
Moussa MARA au ministère du budget ( bonne gestion des ressources de l’ETAT )
Malick COULIBALY à la justice ou un malien bon comme Malick
Poulo au Affaires sociales
Chatto née Mme HAIDARA promotion feminine
Aminata DRAMANE ministère de l’agriculture ( pour aider les agricultes dans la gestion des intrants.
Konimba SIDIBE ministère de l’education.
la jeunesse malienne faite des propositions
kader
Ou est ce que t’as vu qu’on melange feu et eau? Soumi-Zou? 🙄
justement malien faché,
si Zou travaille a côté de Soumi sa va marché pour le Mali. Ils vont se bruler
rires!!!!!!!!!!!!!!!
Les maliens vous n’avez vraiment pas honte! Vous osez encore donner du batôn pour vous faire battre en écoutant des discours de personnes aussi indignes? J’ai l’impression qu’au mali il n y a que des amnésiques et des Sado Mazo! Pauvres maliens
YES HE CAN.
SOUMI: est un homme. “Machavels” dans le paysage politique malien. Il est capable de remettre le pays sur les rails si et seulement si il n’a pas été politiquement exposé à la gestion anterieure des affaires du défunt régime.
Les maliens vous n’avez vraiment pas honte! Vous osez encore donner du batôn pour vous faire battre en écoutant des discours de personnes aussi indignes? J’ai l’impression qu’au mali il n y a que des amnésiques et des Sado Mazo! Pauvres maliens
L’indigne c’est toi mal élevé que tu es!tu t’ abrites derrière un clavier pour insulter les gens espèce de lâche si tu n’as pas d’arguments pour étayer tes accusations fallacieuses fermes la tu n’as de leçon à donner à personne aigri et égoïste que tu es
Hommes de mes couilles c’est plutôt toi qui manque de dignité et de discernement pour venir insulté tout un pays,c’est vraiment dommage.Et tu serais surpris car Soumaila cisse sera le prochain president de notre pays.
VOTER POUR ADEMA, LE SUL PARTI MIEUX IMPLANTER DANS TOUT LE GRAND MALI ET VOTER POUR LE CHARISMATIQUE DRAMANE DEMBELE,IL EST VISIONNAIRE , AUDACIEUX,INTELLO ET BIEN FRIQUER.
AU CAS DRA PASSE, VOICI BRIEVEMENT LA COMPOSITION DU GOUVERNEMENT, CHER LECTEURS AIDER NOUS A BIEN COMPLETER CE GOVT.
1°) 1ER MINISTRE HIS EXCELLENCY PROFESSOR OUSMANE SY
2°) MINISTRE DES AFFAIRES RELIGIEUSES ET DES PENSIONS DE LA RETRAITE IBA NDIAYE
3°) MINISTRE DE LA PROMO FEMININE ET DU MARIAGE FATOUMATA SIRE DIAKITE
4°) MINISTRE DES AFFAIRES FONCIERES DU CADASTRE ET DES DOMAINES DE L’ETAT ADAMA SANGARE
5°) MINISTRERE CHARGE DE L’AMBIANCE ET DE LA DETENTE A DIANE SEMEGA ( A RAPPELER DE DAKAR)
6°) GRAND CHANCELIER DE L’ORDRE NATIONAL AMADOU TOUMANI TOURE
7°) MINISTRE CHARGE DES ELECTIONS & CONTENTIEUX ELECTORAUX
Me KASSIM TAPO
8°) MINISTRE INFO & COMMUNICATION SY SOLOMANE SY
LE RESTE DE POSTES A POURVOIR
ALLELUIA ADEMA NEW LOOK ET QUE VIVE LA PAIX AU MALI
AVEC CE CANDIDAT L’adema sera
le dernier des derniers
ont veut plu aucun bande de detouneur Degageééééééééééééé sa vous soufi c’est que vous avez dejas voler!!!
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