Dans le cadre de la coopération bilatérale entre l’Allemagne et le Mali, la ministre allemande de la défense, Ursula Von Der Leyen est en visite au Mali. Après une audience avec le président de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Keita, la ministre a confirmé l’augmentation prochaine du nombre des instructeurs allemands au sein de l’EUTM (mission de formation de l’Union européenne au Mali).
C’est à la tête d’une forte délégation composée de députes, d’agents du département allemand de la défense et de journalistes que Von Der Leyen est arrivée, le jeudi 6 février 2014, au Mali. Elle a, aussitôt, été reçue en audience par le président de la République IBK. A sa sortie d’audience, la ministre a tenu un point de presse avec à ses côtés son homologue Malien, Soumeylou Boubeye Maiga. Selon elle, le Mali et l’Allemagne entretiennent des relations de longue durée. « Notre coopération civile et militaire avec le Mali est très bonne », a-t-elle déclarée. Voilà pourquoi, dira-t-elle, on va augmenter le nombre de nos formateurs ici dans le cadre de l’EUTM. Par la suite, elle ajoutera que le matériel pour la formation sera, aussi, augmenté pour un succès dans le travail. De son avis, l’Allemagne compte intensifier sa coopération de longue date avec le Mali, surtout sur le plan de la formation militaire. « Nous sommes ici avec les Nations Unies, mais notre spécialité est d’améliorer la formation militaire au Mali. C’est important pour les jeunes générations », a indiqué la ministre. La ministre insistera sur la nécessité que le Mali soit en mesure d’assurer la sécurité du pays.
Pour sa part, le ministre de la defense, Soumeylou Boubeye Maiga a soutenu que cette visite de son homologue allemand confirme l’excellence des relations entre l’Allemagne et le Mali. « Cela confirme notre volonté de consolider et de diversifier notre coopération. Nous allons poursuivre notre coopération à travers l’EUTM au sein de laquelle des instructeurs allemands jouent un rôle essentiel au côté de nos instructeurs. Tout cela pour dire que nous avons une coopération exemplaire, fructueuse et qui est dénuée de tout enjeu géopolitique » Cette coopération, expliquera le ministre, contribue à renforcer nos capacités et à faire en sorte que nous puissions reconstruire progressivement l’autorité militaire pour garantir la souveraineté de l’Etat malien et contribuer avec nos partenaires à la stabilité et à la sécurité sous régionale et internationale.
La séance de travail entre les deux parties a été sanctionnée par une déclaration de Dr Ursula Von Der Leyen faisant état de la bonne coopération entre la République Fédérale d’Allemagne et le Mali. Après ces échanges, la ministre allemande de la Défense est annoncée à Koulikoro à 60 kilomètres de Bamako, pour rencontrer les instructeurs allemands de l’EUTM.
Madiassa Kaba Diakité / Hadama B Fofana
Merci Mme le ministre vous êtes d’un grand pays l’Allemagne contrairement à la Suisse la Belgique l’Italie … . Vous construisez mais pas détruire. Continuez à nous à assister comme vous l’avez toujours fait étant le premier pays à reconnaitre le MALI indépendant.
Je sais que je suis hors sujet, mais pourquoi Bamako est aussi sale et moche ?
Ca ne choque que moi ?
Personne n’a envie d’y foutre des poubelles et de commencer à penser à un plan d’urbanisme ?
La feuille de route Kassin pour le nord!
1. Définir clairement les modalités concrètes de la décentralisation telles que arrêtées par les états généraux de la décentralisation tenus à Bamako.
En y précisant clairement les compétences, les prérogatives et les ressources à transférer aux communes décentralisées urbaines et rurales avec à la clé des exigences de résultats sur le plan du développement économique et social.
RESPONSABILITÉ RIME AVEC RENDRE COMPTE!
Cela passe par:
a) une redéfinition des rôles dans la chaîne de gouvernance:
-Le rôle des gouverneurs et des préfets dans la gouvernance décentralisée
-Le rôles des maires et des élus locaux.
-Le rôles des chefs coutumiers
-Le rôles des leaders d’opinions
-Le rôle des ONG et associations
-Le rôle des organisations féminines
-Le rôle de la jeunesse
-La place de armée malienne dans les communes décentralisées et la nouvelle carte militaire pour le nord du Mali et pour les 100 prochaines années.
b) La définition claire de la politique sécuritaire du pays et sa déclinaison dans les communes décentralisées du pays eu égard aux menaces permanentes erratiques et imprévisibles sur la stabilité et la sécurité du Mali.
c) La définition claire des modalités de coopérations des communes décentralisées avec l’extérieur et particulièrement les pays limitrophes.
d) La place et le rôle des services de sécurités et du renseignement du pays.
e) La relecture du code pénal et du code de procédure pénal du Mali eu égard aux agissements des voyous armés au nord du Mali
f) La place et le rôle des juridictions du pays au nord du Mali dans le combat contre l’insécurité et le banditisme armé et les trafics de stupéfiants
g) La place des médias publics et locaux dans la gouvernance décentralisée
h) La place et le rôle des écoles publiques et privées dans la sensibilisation et l’information aux exigences d’un état de droit et du caractère intangible de la forme républicaine de l’Etat malien un et indivisible.
i) La place et le rôle des communes décentralisées dans l’éducation des masses populaires aux valeurs de la république du Mali.
2. Réunir à Bamako tous les chefs coutumiers, élus locaux, membres de la société civiles et leaders d’opinion pendant un séminaire d’un mois pour expliquer de fond en comble la nouvelle politique de décentralisation dans ses aspects de la gouvernance décentralisée (compétences, prérogatives, relations entre institutions, ressources transférées aux structures décentralisées, obligation d’éducation et de sensibilisation, droits et devoirs dans la république, modalités de coopération extérieure, aspects sécuritaires, aspects juridiques et pénaux de la gouvernance décentralisée etc).
Une fois les leaders locaux formés à la gouvernance décentralisée, il faut définir un calendrier et un chronogramme de transferts des compétences et des ressources.
Une structure de contrôle des transferts et de l’avancement de la feuille de route de la décentralisation poussée doit être mise sur place.
L’aspect sécuritaire et économique doit faire l’objet d’un Observatoire National de la gouvernance décentralisée.
Le dialogue inclusif demandé par l’ONU ne doit être fait qu’avec les leaders locaux formés par la république du Mali à la gouvernance décentralisée telle que définie et mise sur place par le Mali.
Les propositions d’amélioration de cette gouvernance décentralisée doivent être adressées à l’Observatoire National sur la gouvernance décentralisée, constitué à cet effet et logé à l’Assemblée nationale du Mali.
Tous les autres groupes armés et organisations ou associations parallèles n’ayant pas été prévus dans la gouvernance décentralisée est un ennemi de la république à combattre comme tel jusqu’au dernier sans autre forme de procès.
LA CONFUSION EST LA PIRE ENNEMIE DE LA RÉPUBLIQUE
L’action militaire et judiciaire doit être permettante tant que des menaces du banditisme armé sévit sur le territoire malien.
LE MINISTRE DE LA DÉFENSE DOIT MENSUELLEMENT PRÉSENTÉ UN RAPPORT SÉCURITAIRE À L’ASSEMBLÉE NATIONALE SUR LA SÉCURITÉ DANS NOS COMMUNES DÉCENTRALISÉES!
C’est une soupape de sécurité, car on n’est jamais prudent!
Aucune négociation ne doit être faite avec aucun groupe armé illégal au Mali.
À cet effet il faut déchirer, toute de suite et maintenant, l’accord préliminaire bidon de Ouagadougou du 18 juin 2013, parce qu’il ne sert à rien.
C’est un nid de banditisme armé et rien d’autre.
L’ONU s’en sert pour se donner de la valeur sinon elle sait mieux que nous que c’est du caca nerveux.
Une attaque armée contre un symbole de l’état malien doit être requalifiée juridiquement en crime imprescriptible contre le peuple malien et punie d’une peine de condamnation à mort par pendaison.
La guerre contre le banditisme armé et les rébellions armées doit être la raison d’être de l’armée malienne (qui doit pour refroidir l’ONU et sa bêtise, sans tarder renouer une dense coopération militaire avec la Russie et la Chine) dont la présence doit être multipliée par 100 au nord du Mali pour les 100 prochaines années.
QUI VEUT LA PAIX AU MALI APPLIQUE SCRUPULEUSEMENT CE QUI PRÉCÈDE.
Wa salam!
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