Embrasement sécuritaire au Mali : Où est donc passé le Président IBK ?

Par
Le Prétoire
-
90
Son Excellence Ibrahim Boubacar Keita
Son Excellence Ibrahim Boubacar Keita

Aujourd’hui, l’insécurité a atteint son paroxysme. Mais le Président de la République est invisible là où il doit être vu. Il est aussi inaudible. On se contente des communiqués de condoléances du porte-parole du gouvernement qui commencent à crever les tympans des citoyens.

La gestion de la crise sécuritaire est sans nul doute un des facteurs qui a favorisé l’élection d’Ibrahim Boubacar Keïta à la tête du Mali.                           Car, outre l’image d’homme d’Etat, intègre et sans pitié face à l’ennemi qu’il s’est forgée, son slogan de campagne était aussi attractif. Il s’agit de « Pour l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens, le Mali d’abord». Au cours de ces différents meetings de campagne, il avait promis d’infliger aux fauteurs de troubles les sanctions à hauteur de leur forfaiture. Pour rappel, au lancement de sa campagne présidentielle, il affirmait : «Désormais, aucun groupe terroriste ou criminel ne franchira la frontière du Mali sans trouver devant lui les forces armées nationales en position de combat». En vertu de ce discours de bonne intention, bien beau à entendre, les Maliens ont cru en IBK. D’où son score à la soviétique avec plus de 77% à l’issue de l’élection.

Mais une fois au pouvoir, la réalité semble être toute autre.  On commence à voir un autre IBK à l’œuvre. Lui qui avait annoncé qu’il ne se hissera jamais à la hauteur d’un rebelle pour discuter d’égal à égal autour d’une table de négociation a fini par se faire représenter par Modibo Keïta, l’actuel Premier ministre, aux discussions d’Alger. Toutefois, cette capitulation a abouti à la signature d’un accord pour la paix qui peine à être appliqué. Pire, le pays est embrasé, l’insécurité  qui était jusqu’à présent contenue dans les régions du nord se généralise. Aucune région du Mali n’est épargnée.

A chaque jour,  son lot de malheur. Ces derniers mois, les terroristes contredisent la promesse électorale d’IBK. Ils sont partout au Mali, surprenant presque chaque fois l’armée qui n’est pas en position de combat. Les attaques deviennent quasi quotidiennes. Après celles de Nara, de Misseni, de Fakola au sud du Mali, les terroristes sèment à nouveau la terreur au nord et au centre du pays. Dans le seul mois d’aout, ils ont attaqué plusieurs localités. Le 3 août, ils ont frappé  le camp militaire de Gourma Rharous causant la mort de 11 de nos soldats. La veille, le 1er août, ils avaient assailli nos forces armées sur l’axe Nampala-Diabaly faisant 2 morts. Avant qu’on ne finisse de faire le deuil de ces soldats, le vendredi 7 août, les terroristes ont tenté d’attaquer un camp militaire à Sévaré avant de se retrancher dans un hôtel face à la résistance de l’armée malienne. Là encore, ils ont fait une prise d’otages qui s’est soldé par un carnage. On dénombre plus de 15 morts dont 4 du côté de nos forces armées. Le lendemain, ils ont signalé leur présence aux environs de Bamako en attaquant la gendarmerie de Baguinéda, situé à 30 Km de la capitale faisant d’importants dégâts matériels. Dans la même foulée, les « fous de Dieu » ont assassiné une dizaine de personnes dans le village de Gabérie, dans le cercle de Gourma Rharous. Encore le lundi 10 août, l’armée a perdu 3 de ses éléments dans  l’explosion d’une mine au passage de leur véhicule dans le cercle de Ténenkou.

En dépit de cette tragédie que vit le pays, le gouvernement continue curieusement sa vacance. C’est vrai que le ministre de la Défense s’est rendu à Sévaré pour rendre hommage aux vaillants soldats tombés sur le champ de l’honneur, mais au regard de la gravité de la situation, le peuple s’attendait à la présence du Chef suprême des armées  sur les lieux. Mais, visiblement, il préfère les zones plus ou moins sécurisées. Il a choisi Koulikoro pour célébrer la sortie de la promotion Koké Dembélé de l’Emia (Ecole militaire interarmes).

Faut-il le rappeler, il a fallu que l’opposition critique le régime pour que le Chef de l’Etat donne l’impression que la question militaire demeure sa principale préoccupation. Ainsi, il s’est rendu le weekend dernier, à Kati, au chevet des militaires blessés de Sévaré, où il a remis à l’armée des corbillards, pardon, des ambulances.                          A part cela, le citoyen malien se contente de compter ses morts tous les jours. Et de méditer sur les communiqués de condoléance du gouvernement qui commencent à tympaniser les oreilles.

De toutes les façons, force est de reconnaître que les Maliens ne sont pas satisfaits de la gestion de cette crise sécuritaire. A la place des communiqués de condoléances, ils veulent des actions visant à équiper nos soldats afin que cessent les décomptes quotidiens de nos morts.

Oumar KONATE 

Commentaires via Facebook :

SUR LE MEME SUJETAUTRES ARTICLES DU MEME AUTEUR

90 COMMENTAIRES

  1. Un bon dirigeant est celui qui sait choisir ses collaborateurs en fonction de sa vision politique.
    Ainsi,AOK en 1994,confronté à une crise,à su faire émerger un certain IBK pour mettre fin à une situation qui l’empêchait de dormir.
    Cette vision de choisir quelqu’un à un moment donné pour un problème donné ne manque t elle pas à IBK?
    Tous les cadres révélés par AOK ont fait et font l’honneur du MALI dans leur domaine respectif.Dix ans après son départ ces cadres continuent à animer l’échiquier politique et économique du pays.
    Ne constatez vous pas qu’IBK choisit ces cadres pour leur rendre service.Ces cadres l’ayant aidé pendant sa campagne présidentielle.Qu’importe leur compétence.Ainsi,ces cadres au lieu de servir leur pays,préfèrent se servir.
    AOK a su Qu’IBK était bon cadre d’exécution des décisions élaborées par la présidence.Mais pas un homme politique visionnaire capable de prendre une bonne décision à un moment donné.

    Ce qui manque à IBK aujourd’hui c’est son mentor AOK à ses côtés.Les faits sont têtus,pendant deux ans de pouvoir il n’arrive pas à sortir ce pays de l’ornières.Et pourtant en 1994 vous avez été beaucoup à dire qu’il a sauvé le pouvoir AOK alors qu’il n’arrive pas à sauver son propre pouvoir.
    C’EST AOK QUI A SU SAUVER SON POUVOIR EN SACHANT CHOISIR UN HOMME POUR UN PROBLÈME DONNÉ À UN MOMENT DONNÉ.

  2. “Faut-il le rappeler, il a fallu que l’opposition critique le régime pour que le Chef de l’Etat donne l’impression que la question militaire demeure sa principale préoccupation. Ainsi, il s’est rendu le weekend dernier, à Kati, au chevet des militaires blessés de Sévaré, où il a remis à l’armée des corbillards, pardon, des ambulances.” Quelle foutaise ! Je savais qu’il n’allait pas terminer d’écrire son article sans ramener le nom de l’opposition. Qu’est ce que l’opposition fait comme participation à la gestion de l’Etat ? Je n’en vois pas. Alors dis nous autre chose que les bêtises que nous sort là. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

  3. Éliminer les terroristes n’est pas une affaire d’un jour ni d’une ou deux années. Les terroristes se déplacent sans l’ombre d’une trace. Pour finir avec eux nous devons nous donner les mains.

  4. Les autorités maliennes ne négligent rien. On ne peut pas dire qu’un Etat qui subit des attentats comprend des autorités négligentes. Ce n’est ni juste pour le journaliste spéculateur et les cybers activistes pseudo intello du mali.
    Demandez juste aux maliens qui ont vendu leur âme au Diable d’arrêter de distraire et d’intimider les populations.

  5. L’insécurité n’a pas atteint son paroxysme, arrêtez de de faire usage d’hyperbole ou il n’y a pas lieu d’être. Vous allez remarquer comme moi avec un peu de votre intelligence que les actes sont des actes isolés. Aucun groupe n’a revendiqué les attaques. Demandez aux opposants de se calmer. 2018 n’est plus loi. J’ai dit et je le redis. Ils sont en train de mettre les bouchers doubles pour mettre en mal la gouvernance d’IBK. Le jeu n’échappe à personne.

  6. MOUSSOU-MOUSSOU tu sais le vrai problème avec les maliens est que nous voulons toujours accuser les autres à notre place. Il se trouve que Dieu n’aiment pas cela. Il faut savoir assumer ses responsabilités.

  7. Sans l’aide de la population, il serait vain de chercher à combattre ce phénomène. Les populations doivent participer à la résolution de l’insécurité que nous sommes en train de vivre. Nous devons pas tout attendre du Président. Où mettons notre part de responsabilité ?

  8. Si le Mali est plongé aujourd’hui dans l’insécurité ce n’est certainement pas la faute à IBK. Il n’est pas à éviter de dire c’est du à Alpha et à ATT. Ces deux hommes sont les premiers ennemis du Mali.

  9. Ibk a promis de lutter contre le terrorisme, il le fera. Mais nous devons savoir que combattre le terrorisme n’est pas une affaire d’un seul homme ni d’un seul pays. Il faut les pays de la sous région se donne la main pour exterminer ce fléau qui ne fait que prendre une grande ampleur chaque jour.

  10. Le terrorisme est un fléau très difficile à cerner. Pas que MALI seulement, le terrorisme sévit partout dans le monde entier. Malgré les mesures misent en place par les autorités maliennes, le terrorisme reste incernable. Tant que la société civile ne s’engage pas a aidé l’Etat cette lutte restera incertaine et vaine.

  11. Il faut que les gens prennent au sérieux les mesures de sécurité. Les terroristes sont des imprévisibles et sont prêts à se sacrifier pour atteindre leurs objectifs. Ils n’ont rien à faire de leur vie. C’est pourquoi j’appelle les maliens à la vigilance.

  12. Tu as raison mon frère, la politique de gouvernance d’IBK reste la meilleure. Le président est un homme, comme nous tous, il peut faire des erreurs mais en général le pays est très bien gouverner. Tous les maliens sont satisfaire et le soutiennent dans tous ses actions.

  13. Concernant l’insécurité à la veille du terrorisme les efforts misent en place selon ses moyens du gouvernement deviennent vaine. L’Etat met tout en œuvres pour protégé son territoire et sa population.

  14. En tant que jeune malien, au nom de tous les maliens, je lance un grand appel à la communauté international, pour aider le Mali à faire face au terrorisme. Le Mali seul ne dispose pas de moyen adéquat pour empêcher les nombreuses attaques djihadistes.

  15. Concernant la sécurité de la nation, cela ne dépend pas du président de la République car nous avons tous notre part de responsabilité à jouer ici. IBK n’est pas le seul responsable de tout ce qui a trait à la sécurité. Il faut que nous nous y mettons tous pour ne plus donner place à l’insécurité sur notre territoire. La sécurité est une affaire de tous.
    😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉

  16. IBK et son gouvernement arrivent par leurs propres dispositifs à sécuriser le pays. Engager dans sa lutte contre l’insécurité, il est bien décidé à protéger sa population. Le gouvernement a fait la commande de nombreux avions de guerre qui pourront faciliter la protection de nos frontières et toute l’étendue du territoire national.

  17. Le Mali est un pays très fragilisé, par l’incapacité des régimes passé. Le MALI se retrouve aujourd’hui à faire face à l’une des menaces les plus ardents que le monde fait face aujourd’hui.
    Le gouvernement malien ainsi que la population malienne doivent se mobiliser, se prêter mains forte pour mieux lutter contre ce fléau international.

  18. La lutte contre le terrorisme est une lutte universelle, le Mali n’est pas le seule pays à faire face à cela. Les grandes puissances sont plus ciblées et ils ont tous les maux à se protéger de ces méfaits. Malgré la haute capacité de leur sécurité et leurs vigilances intelligente. Ce même fléau continue de causer de nombreux dégâts.

  19. Les rebelles et les djihadistes attaquent avec des motos et des véhicules et comme par hasard les mêmes véhicules ont été découverts dans la cachette sécrète de Modibo Sidibé. Le gouvernement doit interpeller Modibo pour des explications bien détailler et raisonnable.

  20. Historiquement, les régimes précédents ont livré leur patrie aux ennemis. Pourquoi cette affirmation?
    Tout d’abord sous le régime d’Apha Konaré, plus de 10ans le Mali n’avais disposé de nouveau armement, le président Alpha refuse l’achat catégorique d’armement. Il brule aussi les armes dont disposait le Mali, soit disant la flamme de la paix. Ne dit-on toujours pas qui veut la paix prépare la guerre, comment préparé une guerre si l’armées est défavorisé sur tous les plan de combat. Mais la guerre est perdue d’avance. L’échec de l’armée malienne début sous ce régime.
    ATT accepte d’accueillir des bandits armés en provenance de la Lybie et sans les désarmés et les reçoit en décembre 2012. En plus de cela, ATT leurs offres comme par courtoisie la sommes de plus de 50 millions pour s’installer, cependant, il trahi sa propre nation. ATT sous son régime à vider les caisses de l’Etat « faux et usage de faux ; délinquance astucieuse ; détournements et recèle de deniers publics ; enrichissement illicite et bien mal acquis ; escroquerie en bande organisée et abus de bien sociaux ; corruption d’agents publics ; passation frauduleuse de marchés publics de gré-à-gré » Seule la corruption était au sommet.
    Les bandits armés accueillit à l’époque par ATT sont les djihadistes qui sèment la panique, provoque la terreur, crée l’insécurité partout dans le Mali.
    Soulignons aussi après le coup d’Etat militaire en 22 Mars 2012, débuté par les femmes pour de diverses raisons, ensuite suivra les militaires pour déloger ATT. Après les multiples arrestations et celui de l’ancien premier Ministre MODIBO SIDIBE, une enquête résulte à une découverte de plusieurs motos et plusieurs véhicules et plusieurs encore. Aujourd’hui, les mêmes rebelles et les mêmes djihadistes disposent de ses mêmes engins et œuvrent contre le Mali avec cela. Je pense que cela n’est pas dû au simple hasard, la justice malienne doit enquêter sur ce dossier.
    Après succession de ses 2 régimes l’armée malienne se retrouve sans armes pour défendre son territoire. L’armé est faible sur tous les plans en générale. Les militaires maliens se battent avec le courage et le bon sens de patriotisme. Le président IBK a hérité de prédécesseurs d’une patate très chaude, mais part sa compétence de bonne gouvernance, il fait de son possible pour protéger le Mali de ses atrocités.
    Nous remarquons qu’après, la signature du 20juin, les attaques djihadistes se multiplient dans le sud du Mali, proche de Bamako. La population doit se mettre et aider le gouvernement malien à mieux riposter aux attaques. Ces attaques ont pour but de sème la terreur au sein de la population, pour ensuite intimider le gouvernement, les maliens ne doivent pas céder.

  21. En effet, face à cette situation très délicate, le président devait avoir des hommes endurcis, engagés et décidés à relever les défis. Malheureusement, il sera déçu de ses premiers choix. Alors, il sera lui-même finalement démobilisé. Pour éviter le pire, il est aujourd’hui contraint de faire avec certains des cadres du Rpm. Afin d’éviter un fiasco à la fin de son mandat.

    Cependant, est-il possible de faire des omelettes sans casser des œufs ? Si c’est non, le président, après avoir choisi trois Premiers ministres ne venant pas de son parti, doit pouvoir choisir des hommes capables de réaliser son rêve. Il s’agit de se débarrasser de tous ceux qui gênent ou qui dérangent. D’avoir des hommes qui ont un carnet d’adresse bien fourni. Ceux-ci pourront permettre l’équilibrisme des forces sur le terrain et à tous les niveaux. Sinon, à ce rythme, il lui sera très difficile voire impossible d’atteindre ses objectifs. Puisqu’il semble se battre seul contre tous.

  22. Le président Ibrahim Boubacar Kéïta est sur la sellette, après seulement deux ans de gestion. Tout le monde veut que les problèmes soient résolus et tout de suite. Face à cette furia de ses compatriotes et le fardeau des problèmes, le mandé massa n’a pas encore eu les hommes justes. Malgré sa bonne foi et son amour pour sa patrie, il est obligé de faire avec. Alors, il souffre. Que faire donc pour se sortir de la gueule du loup ?

    Au vu de son âge et de son expérience, IBK a été presque plébiscité. Chacun voyant en lui l’homme de la situation. Sans décevoir, il se trouve confronté à d’énormes problèmes de gestion. Aussi bien des ressources humaines que celles des finances.

    Qu’à cela ne tienne, il se bat selon ses moyens. Mais, il est difficile de se tirer d’affaires lorsque ceux supposés être tes amis sont tes ennemis. Le Mali, après les événements successifs malheureux connus, se devait de se faire une nouvelle santé. Malheureusement, il fut trahi par ses amis et ses propres fils. Toutes choses qui vont freiner l’élan patriotique d’IBK. C’est vrai qu’à son début, il a pataugé, il a pris certaines décisions insensées, mais au fil du temps, il s’est ressaisi. D’abord, en se débarrassant de certaines pourritures de son entourage également de certains ministres incapables de gérer même leur cabinet. Où se trouve le problème ?

  23. « De toutes les façons, force est de reconnaître que les Maliens ne sont pas satisfaits de la gestion de cette crise sécuritaire. A la place des communiqués de condoléances, ils veulent des actions visant à équiper nos soldats afin que cessent les décomptes quotidiens de nos morts. »

    Tu ignores dans quelle guerre tu es en train d’inciter toute la nation. Il appartient aux intellectuelle de discuté sur une table de négociation et au Analphabète comme toi de se jeter dans un combat sans merci.

  24. Ce n’est pas possible que la presse malienne devient aussi pourrie que ça,
    Ce n’est pas juste que des journalistes profitent des mauvaises situations des maliens pour se ironisé de ces mêmes maliens,
    Cet article est sans sens,
    Cet article et son auteur doivent être bannis de toute publication.
    Il y’a un moment pour toute chose, en ce moment le pays a besoin des soutiens non pas des critiques.

  25. Merci SALIA vous avez raison. Souvent quand je lis ces pauvres journalistes j’ai envie de cessé de m’informer.

  26. Ces malheurs que vous êtes en train de cité sont ceux des maliens, pas seulement du président IBK.
    Si des militaires maliens sont mort, ou que des civiles ont été victimes des exactions de la part des individus voulant saboter les accords, ceci sont des malheurs de tous les maliens.
    Journaliste de malheur que tu es…

  28. De nos jours les journalistes deviennent de plus en plus inintelligents au Mali.

    « Faut-il le rappeler, il a fallu que l’opposition critique le régime pour que le Chef de l’Etat donne l’impression que la question militaire demeure sa principale préoccupation. »

    C’est ça le rôle d’une opposition dans un pays, elle se doit de rappeler ce que le régime oublie comme action à faire.

  29. Ne mettons pas tout sur le dos du président de la République, il n’est pas fautif de ce qui arrive à ce pays. Si d’autres ont eu le courage de vendre le Mali au diable, il est celui qui l’aide à voir un nouveau soleil. La signature de l‘accord ne veut pas dire que la guerre est fini, car toutes les parties n’ont pas adhéré à cet accord. Raison pour laquelle, notre pays est toujours confronté à ce fléau.

  30. Malgré les différents critiques faites par les différents journalistes et opposants le Mali d’IBK reste toujours soudé et la devise du Mali restera toujours UN PEUPLE, UN BUT, UNE FOI et la couleur de la bande restera 3 c’est-à-dire VERT, OR, ROUGE, la population restera aussi les mêmes.

  31. Le gouvernement fait tout son possible pour mettre un terme à cette insécurité qui anime notre pays. Force est de reconnaitre, que les djihadistes sont très difficiles à combattre. Sinon, l’armée malienne a fait preuve de bravoure lors des récents évènements de Savaré.

  32. Le Mali a besoin du tribut de tous ces fils pour pouvoir faire face aux djihadistes. Ce phénomène est très difficile à combattre, la forte mobilisation et participation de la population pourront faciliter la tâche. Cependant, on doit rester vigilant et calme. Les U.S.A ont passé des années et des années sans trouver une solution définitive à la question terroriste. Ils ne réunissent jamais pour mener leurs actes, chose qui rend très difficile leur traque.

  33. La vérité est dure, mais c’est la vérité, dit un adage. La clé de la réussite de ce pays repose sur les maliens. On a tendance à changer du langage du jour au lendemain sans pour autant réfléchit. Elu avec 77% des voix électorales, le président IBK est lucide et connait la lourdeur de la tâche qui lui est confié. Mais pour arriver à ses fins, chacun de nous est appelé à lui apporté notre contribution à l’édifice nationale.

  34. L’accord de paix et la réconciliation issue du processus d’Alger a été une réussite pour le gouvernement Malien et une véritable réussite pour le gouvernement Malien.
    Cet accord permet, de garantir la sécurité de l’Etat. Il permet aussi de garantir le développement économique, social et culturel.
    Tous ceux qui critiques l’accord sont des principaux ennemis du pays, et qui sont contre le bonheur des Maliens.

  35. Au cas vous l’ignorez monsieur, le gouvernement fait tout son possible pour mettre un terme à cette insécurité qui anime notre pays. Force est de reconnaitre, que les djihadistes sont très difficiles à combattre. Sinon, l’armée malienne a fait preuve de bravoure lors des récents évènements.

  36. On sait que c’est le régime précédant qui a tout mélangé, le plus précisément celui d’ATT qui a mis le Mali dans cette situation d’insécurité.
    Mais grâce à IBK, le Mali a connus une bruyante avancé sur le pan sécuritaire, le DPG du PM est un exemple de cela.

  37. Le gouvernement malien est le parfait dynamique de lutter contre les djihadistes. Je ne sais pas ce qui vous aient passé par la tête, mais je vous informe que la lutte contre le terrorisme est un combat de tous les jours. Considéré comme la première puissance mondiale, jusque-là les Etats Unis n’ont pas trouvé une solution à ce phénomène.

  38. On sait que la population Malienne est consciente de ce que le gouvernement faite, concernant la lutte contre le terrorisme.
    Ce sont tout simplement des individus qui cherchent à mettre le feu dans le pays.

  39. L’accord de coopération signé entre le Mali et la France est une véritable stratégie pour renforcer la sécurité et la défense de l’Etat.
    Les auteurs de ces actes sont des principaux ennemis du pays.

  40. « Pour l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens, le Mali d’abord». Ce slogan est tout fait réel, par contre c’est nous qui sommes impatient. La patiente est un chemin d’or. Soyons patient et donnons du temps au président élu avec 77% des voix électorales. Il est conscient de ce qu’il fait. 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  41. VIVE IBK
    VIVE LE GOUVERNEMENT
    VIVE LA SECURITE
    VIVE LA DEFENCE
    ABAS L4INCURITE
    ABAS LES TERRORISTES
    ABAS LES JOURNALISTES QUI CRITIQUENT IBK

  42. Depuis que l’accord a été signé le 20 juin dernier la situation sécurité est devenue stable.
    La mort de WADOUSSENE est un exemple de lutte contre le terrorisme.
    Avant l’intervention de l’armée française sur le sol Malien, tout le monde sait que c’était l’armée Malienne qui contrôlait la situation sécuritaire du pays.
    Actuellement l’armée Malienne est capable de contrôler la totalité du territoire.

  43. La population Malienne sait qu’ATT est le véritable fautif concernant l’insécurité du pays. C’est ATT qui a permis l’accès des rebelles sur le sol Malien. Mais il a été toujours à la disposition des rebelles Cette rébellion a commencé il y a longtemps, pendant près de 10 ans, ATT n’a jamais pu trouver une solution et la situation sécuritaire s’aggrave du jour en jour. En un mot ATT est à la base de tous ceux qui nous arrivent maintenant.

  44. L’insécurité grandissante qui anime notre pays, existe depuis trois ans maintenant, or le président IBK est exclusivement à moins deux ans de son quinquennat. Cette énorme bêtise connue par l’Ex président ATT en acceptant les bandits armés au Mali, est l’unique prétexte qui a donné un plus à ce fléau. Aujourd’hui, force est d’avouer, les efforts fournis par le régime actuel dans la résolution de la crise du nord. Autrement, sans quoi l’insécurité allait envahir tous les couches du Mali. Certes le pays n’est pas totalement pondéré, mais nos gouvernants ont déjà fait un grand pas vers le retour définitif de la paix sur notre territoire. Le seul obstacle qui s’oppose actuellement c’est la traque d’Iyad Ag Ghali, pour cela nous avons le soutien des U.S.A. Bientôt, nous attendrons plus parlé de ce criminel. Avec la mort de Wadoussène, personne n’est prêt à recevoir une promesse sévère d’IBK. Comme il a si bien dit lors de la signature de l’accord le 15 mai, le Mali est un pays tolèrent, mais pas lâché. Tout individu qui comprend le sens de cette phrase, n’osera jamais jouer avec les paroles du président IBK.

  45. Les FAMA doivent s ‘ adapter le plus vite possible à la nouvelle donne des attaques en développant davantage le renseignement et la complémentarité avec les populations de toutes les zones de KAYES à KIDAL. Une déstabilisation du pouvoir centrale est à éviter à tout prix en ce temps extrêmement difficile qui donnerait du fil à retordre à quiconque d ‘ autre que IBK. Au niveau national la prise de conscience et la participation de tous sont absolument nécessaires toutes tendances confondues. C’est notre patriotisme qui est plus que jamais à l ‘ épreuve et cela dépasse de loin les promesses électoralistes. Seul un mouvement positif de masse permettra de venir à bout de cette forme nouvelle de combat qui ne cesse d ‘ inquiéter les plus grandes puissances de la terre ! ! De IBK à la base et vice versa il est demandé à tous de l ‘ engagement , du courage et de l ‘ action pour maintenir la patrie debout. Les confrontations entre les visions politiques seront lancées seulement après la victoire et l ‘ expérience permettra d ‘ éviter les erreurs connues. Victoire pour un Mali indivisible pour ” UN PEUPLE , UN BUT, UNE FOI “.

Comments are closed.