Des jeunes, venus des six communes du district de Bamako, ont créé un mouvement dénommé ‘’ 2018- An ko Soumaila Cissé ’’. L’objectif, mobiliser les électeurs à l’intérieur comme à l’extérieur du Mali pour l’élection de l’honorable Soumaila Cissé à la magistrature suprême lors des élections à venir.
Un membre que nous avons rencontré nous a tout expliqué sur le mouvement, ses objectifs et ses prochaines actions dans le cadre de la sensibilisation pour l’élection de l’honorable Cissé à la magistrature suprême lors des prochaines échéances électorales. Il a déclaré que la création de ce mouvement leur était nécessaire pour qu’il y ait de l’alternance en 2018. « Nul ne peut douter de l’échec du président IBK. Il nous faut une vraie alternance cette année », justifie-t-il. Aux yeux des membres du mouvement’’2018-An ko Soumaila Cissé’’, leur mentor est le seul homme politique capable de terrasser le régime en place. « Pour nous, le seul homme démocratiquement mieux placé pour battre le régime en place, c’est Soumaila Cissé », avance notre interlocuteur. A ses dires , le président de l’URD est celui avec qui l’espoir de la jeunesse renaitra. « Nous estimons que c’est lui l’homme qu’il faut pour sortir le Mali dans ce trou. Pour l’espoir du Mali, nous nous engageons pour son élection », a-t-il promis.
Selon les membres fondateurs, le seul objectif du mouvement est l’élection de l’honorable Soumaila Cissé à la magistrature suprême lors des élections présidentielles à venir. Notre interlocuteur nous apprend que le mouvement est composé des jeunes, filles et garçons, venus de toutes les communes du district de Bamako.
S’agissant des prochaines activités de soutien à l’honorable Cissé, les jeunes comptent implanter leur mouvement à l’intérieur comme à l’extérieur du Mali. « Nous continuons à mettre en place nos bureaux dans les différents quartiers et communes du district de Bamako. Dans les jours à venir, nous allons travailler pour la mise en place des bureaux à l’intérieur comme à l’extérieur du Mali », nous informe notre interlocuteur.
Aux dires des membres de ‘’2018 An ko Soumaila Cissé’’, l’élection de Soumaila Cissé serait une chance pour la jeunesse malienne vue sa compétence et son esprit de créativité. « Soumaila Cissé est l’espoir de la jeunesse du Mali. Si nous lui faisons confiance, il peut sauver ce pays », a-t-il espéré.
BoureimaGuindo
😊LE MALI N A PAS BESOIN D ESPOIR MAIS DE FAITS TRAVAIL DEVELOPEMENT😊
Un voleur reste un voleur. Le voleur certifié comme président de ce pays que le seigneur nous en garde. Ce n’est qu’une utopie et tu le sais très bien. Cependant ce n’est pas mauvais de chercher à manger. Que le voleur te paye tes services maintenant car les promesses de postes quand il sera président ne sont que des leurres.
VoleurAméricain$ surtout…
Le mali est composé des bambaras, senofos,minienka bobos bozos peulhs sonrhaï Tamacheick sonike malinke etc .construisons notre maliba.et sounevez vous de la définition d’une nation.
Que ça soit clair pour tous, aucun sonrhaï, ni peulh ne sera président au Mali !
Ça nous a suffit avec le traître ATT !!!
La plus grosse bêtise de Moussa Traoré fut le fait d’avoir instaurer par ignorance ou par calculs stratégiques égoïstes, cet apartheid tribaliste qu’on vit ajourd’hui au Mali.
En effet, après l’échec du coup d’État de Kissima Doukara, Thiècoro Bagayoko, Karim Dembélé et Soungalo Samaké, Moussa Traoré était dévenu si paranoïaque qu’il eut cette sale idée de favoriser l’émergence de certaines communautés ethniques dans la hiérarchie militaire et administrative. C’est ainsi que le ministère de l’intérieur fut confié au peulh Sékou Ly, l’homme à la base de l’arrestation de Tiècoro et Kissima il y aura 40 ans jour pour jour dans 3 semaine (28/02/1978-28/02/2018) !!!
L’aide de camp de Moussa Traoré est devenu un autre peulh Oumar Diallo, dit Bruce. Et en fin, le commandant du Camp Para de Djicoroni est devenu le sonhraï Amadou Toumany Touré.
Il y eut beaucoup d’autres nomminations de peulhs et de sonrhaïs à différents postes statégiques dans l’armée, la police et la gendarmérie après les évènements du 28 février 1978.
Et comme les peulhs et les sonrhaïs sont naturellement racistes, tribalistes et très solidaires envers les membres de leurs communautés, ils ont profité de cette opportunité pour imposer les membres de leurs communautés un peu partout dans la hiérarchie militaire, sécuritaire et administrative. Comme il s’agissait d’une dictature militaire, alors les peulhs et les sonrhaïs ont facilement mis la main sur l’administration et le secteur de l’économie étatique. C’est ainsi que l’apartheid tribaliste a pu s’installer en douceur au Mali sous le tyran Moussa Traoré.
Et mes camarades, regarder comment le proverbe Bamanan s’est bien démontré en mars 1991, quand Moussa Traoré fut trahi par sa main droite, le peulh Oumar Diallo dit Bruce, et le sonrhaï Amadou Toumany Touré dit ATT !
C’est ainsi que la sagesse bamanan dit: “kôlon djugu bè kari a sénh baka yèrè kôrô !”
Moussa Traoré fut la première victime de cet apartheid tribaliste qu’il a lui-ai même contribué à instaurer au Mali après le coup d’État manquer de Tiècoro Bagayoko et Kissima Doukara en février 1978, soit exactement quarante ans en arrière.
Le Mali n’existe plus et les vieux vautours sont entrain de partager les restes de viande pourrie du Grand Hippopotame Sacré.
La solution passe par la création d’États ethniques au Mali et ailleurs en Afrique. Les ethnies pareusseuses crèveront de faim et de soif, tandis que les ethnies bosseuses créeront un nouvel eldorado admiré par le monde entier.
Chacun pour soi, le travail pour tous !
Votre mal est incurable..
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