Les élections législatives du 29 mars prochain verront certainement l’entrée de plusieurs caciques politiques à l’Assemblée nationale. En plus du défi de désignations des candidatures, les différentes formations politiques sont confrontées aux enjeux des alliances électorales.
Les élections législatives, scrutin décisif pour les partis politiques de mesurer leur poids politique sur l’ensemble du territoire, vont définir la configuration politique de la nouvelle majorité présidentielle et de l’opposition à l’hémicycle. Pour ce faire, les grands partis politiques comme le RPM, l’URD, l’ADEMA n’hésitent pas de nouer des alliances et de miser sur les candidatures des anciens ministres, députés et des chefs de partis pour conserver leurs positions à l’Assemblée nationale.
Les six communes du district de Bamako en passant par le cercle de Koulikoro et d’autres se sont fait des alliances : du RPM, ASMA-CFP, ADEMA (majorité) de l’opposition l’URD qui se multiplient.
En commune I de Bamako, l’ancien ministre Mamadou Frankaly KEÏTA, figure emblématique du RPM, est candidat sur la même liste que l’ancien député, Oualy Diawara, de Adéma PASJ pour les élections législatives. Ils seront opposés à une alliance Yelema-PRVM Fasoko et celle de l’URD-ASMA-CFP ainsi que celle de la CMAS de l’imam Mahmoud Dicko et la CODEM. Si en commune I la lutte pour la conquête de l’Hémicycle s’annonce déjà décisive, en commune II le duo Karim Keïta (RPM) et Hadi Niamkadou (MPM) a plus de chance de l’emporté dès le 1er tour tant les deux partis manquent de challenger à leur dimension.
Par contre, en commune IV, avec le duo de l’ancien premier ministre Moussa Mara et l’élu communal Hassane Sidibé, la victoire aux élections prochaines semble à la portée de main. Ce, à cause de la bonne implantation du parti Yelema. Ce parti a emporté deux fois consécutive les élections communales. Dans les autres communes du district, aucun cacique n’a pas encore officialisé sa candidature au moment où nous mettons en ligne sauf le premier vice-président de l’Assemblée nationale, Moussa Timbilé, qui est candidat à sa propre succession.
A l’intérieur du pays, il nous revient que le charismatique maire URD de Koulikoro, Eli Diarra et l’actuel président l’hémicycle, Issiaka Sidibé, iront sur la même liste. Ce qui nous amène à une alliance URD-RPM que beaucoup d’observateurs de la scène politique malienne qualifient d’alliance contre nature.
Dans le cercle de Djénné, le secrétaire général du RPM non moins ministre de l’intégration africaine, Me Baber Gano, serait le candidat du parti présidentiel. Selon des sources, il serait sur le point de démissionner du gouvernement pour répondre à l’appel de sa section qui a jeté son dévolu sur lui pour ces législatives. A Kolondiéba, c’est l’ancien ministre de la communication, le journaliste Sidiki N’Fa Konaté qui défendra les couleurs du RPM, nous confirme une source. Sa candidature sera officialisée dans les prochains jours. Il était candidat aux élections législatives avortées en 2018. Cet ancien ministre sera opposé à la liste de l’honorable Oumar Mariko.
Soumaïla Cissé et Bocary Treta non candidats
Le chef de l’opposition Soumaïla Cissé ne briguera pas certainement un second mandat à l’Assemblée nationale dans le cercle de Niafunké. Interrogé récemment sur la question, il n’a pas voulu répondre à la question alléguant qu’il laisse le soin à la section de Nianfunké de décider. Mais des sources indiscrètes rapportent d’ores et déjà qu’il ne le sera pas. Lors des législatives en 2018, Soumaïla Cissé n’était pas candidat et avait soutenu la candidature du fils d’un de ses défunt compagnon politique.
Quant au président du RPM, Bocary Treta dont la candidature en commune V avait fait une véritable polémique en 2018 au point d’imploser la section RPM, aurait renoncé à son ambition de devenir député, puis président de l’Assemblée nationale. Des proches rapportent que le Chef de l’Etat est intervenu personnellement pour apaiser les tensions en rassurant Bocary Treta avec une proposition alléchante au sein de l’appareil de l’Etat.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
IL SERAIT BON QUE TOUT LE MONDE APPRENNE SI LE MINISTRE DU BUDGET , MME SYLLA BARY A AVERTI LE PREMIER MINISTRE , OU A AVERTI LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE LA SIGNATURE D UN PROCES VERBAL DE CARENCE ETABLI PAR LE JUGE DRAMANE COULIBALY …LE 13 JUILLET 2006 ….CONTRE BHM SA …
PARCE QUE DAME SYLLA BARRY DEVRAIT AVOIR AVERTI DE CE A QUOI SON FRERE ET SON EPOUX ONT ASSISTE …EN 2006 ….ETANT AVOCATS DE BHM SA ..ET COMMIS TOUS DEUX A LA TACHE DE DEFENDRE LA BANQUE ….
CELA FAIT 14 ANS …ET LA DETTE DE BHM SA A AUGMENTE DE FACON EXPONENTIELLE …
ET ELLE A ETE AUGMENTE PAR UNE FAUSSE SAISIE DES HALLES DE BAMAKO …IL FAUT SE RENSEIGNER ..CAR LES HALLES ONT ETE SAISIES A UN FAUX PROPRIETAIRE ! ! ! !
ET L AVOCAT MAITRE BASSALIFOU SYLLA EST PARFAITEMENT AU COURANT DE LA CHOSE CAR JE LUI AI FAIT SERVIR LE 22-08-2007 AINSI QU A LA BANQUE LE LENDEMAIN PAR ME SYLVAIN MAKAN KEITA LE CERTIFICAT DE PROPRIETE DES HALLES ETABLI PAR ME SOGOBA …NOTAIRE A BAMAKO LE 7 JUIN 2007 …
JE RAPELLE QUE LE TITRE DE PROPRIETE A ETE ETABLI SUR PRESENTATION D UN DOCUMENT D EXONERATION ETABLI LUI LE 13 MAI 2002 ….DOCUMENT QUI A EGALEMENT SERVI A TOUS LES CLIENTS DU MARCHE DES HALLES …
ET ….ET …ET …IL Y A AUSSI LE VERIFICATEUR SIDI SOSSO DIARRA …MELE PARALELLEMENT A CETTE SAISIE …A CE QUE L ON DEVRA APPELER LE DETOURNEMENT DE TOUS NOS TERRAINS …
ET LA …LES CONSEQUENCES EN SONT TERRIBLES …! ! ! !
JE PENSE QU IL EST URGENT …SI PERSONNE NE S EST OCCUPE DE CETTE AFFAIRE …QUE QUELQU UN LE FASSE …CAR L ETAT N A RIEN EN COMMUN ,COMME A ESSAYE DE LE FAIRE CROIRE LA MINISTRE DU BUDGET , AVEC UNE BANQUE QUI ELLE AGIT DANS LE DOMAINE DU COMMERCE … …
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