La salle de réunion du Conseil de Cercle de Bougouni a servi de cadre pour la concertation du 1er vice président du parti Alliance pour le Développement et pour la Paix (ADP-Maliba), M. Cheikna Hamala Bah avec des responsables de MPLUS Ramata à Bougouni dont Soumaïla Baba Coulibaly et Bakary Sangaré, ex-maire de la commune de Kologo. C’était le dimanche 14 avril dernier.
Aux dires de M. Cheickna H. Bah, l’ADP cherche à collaborer avec MPLUS Ramata dans le dessein d’implanter ses propres structures. Dans les localités du cercle de Bougouni où il n’y a pas de structure de l’ADP, cette dernière s’appuiera sur le MPLUS Ramata dans la gestion des questions électorales. Pour ce faire, les charges activités électorales pèseront équitablement sur les deux partis, ajouta-t-il. Suite à une brève présentation du parti aux militants de MPLUS Ramata, ces derniers ont posé beaucoup de questions concernant les idéaux de leur futur partenaire et sa moralité. M. Bah a rassuré les militants de Bougouni de leur honnêteté politique.
A noter que l’Alliance pour le Développement et pour la Paix (ADP-Maliba) est un parti politique crée le 20 janvier 2013 dont le président est le DG de la mine de Woussoulou or, M. Alou Diallo
S KONE
La République du Mali va rentrer dans une période cruciale pour son avenir, les élections qui conduiront à la nomination d’un nouveau Président de la République devront être exemplaires. La magistrature suprême ne saurait s’abandonner à la médiocrité, la veulerie, la fraude et l’affairisme.
Le prochain chef d’état devra être bien élu, par un peuple adulte et impliqué. La tache sera immense, un homme seul n’y suffira pas.
Les gens de la classe politique traditionnelle ont failli à leur mission, ils sont la cause de la grave crise qui a plongé le pays dans le chaos. Les militaires, les forces de sécurités ont été démotivées, incapables de répondre à l’agression des bandits du nord.
Le Mali est un pays riche de son histoire, de sa jeunesse. Son sous sol regorge de source de richesses qui équitablement gérées deviendraient le moteur du développement et de la croissance de ce pays.
Le choix des Maliens est simple, soit faire confiance à un homme politique patiné par le pouvoir, qui a déjà été aux affaires (avec le résultat que l’on sait) soit conduire au palais de Koulouba, un homme neuf. Le Mali est un bateau sans capitaine, il faut une reprise en main de la barre. Le programme est connu, il faut faire la paix. Il s’agit aussi de mettre en place le partage des richesses, l’accès aux soins, l’éducation de la jeunesse, la lutte contre la corruption et le clientélisme, la remise à niveau de l’armée, le renforcement de la justice et des forces de police.
J’espère vraiment que le peuple Malien ne vendra pas sa voix, qu’il votera pour son avenir meilleur, qu’il votera pour ALIOU BOUBACAR DIALLO.
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