Élections communales et régionales : L’opposition dénonce la fuite en avant du gouvernement et quitte le cadre de concertation

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opposition malienne (photo archives)

Le cadre de concertation ministère de l’Administration territoriale et présidents des partis politiques s’est tenu hier, mardi 12 avril 2016 au département de l’Administration territoriale sous la présidence du ministre, Abdoulaye Idrissa Maïga. Deux points majeurs étaient à l’ordre du jour : les discussions sur la relecture de la loi électorale et la charte des partis politiques et les discussions sur l’agenda électoral. Mais force est de reconnaitre que les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique ont boycotté cette rencontre tout en quittant la salle. Avant de quitter la salle, une déclaration des partis  politiques de l’opposition républicaine et démocratique a été lue devant le ministre par le secrétaire général du Parti pour la renaissance nationale (Parena), Djiguiba Keïta alias PPR au nom du chef de file de l’opposition, l’honorable Soumaïla Cissé, président de l’Union pour la république et la démocratie (Urd). Dans cette déclaration, l’opposition dénonce la fuite en avant qui caractérise l’action gouvernementale et affirme son retrait au sein du cadre de concertation administration-partis politiques. « Nous vous annonçons, Monsieur le Ministre, que nous quittons le Cadre de concertation que vous présidez. Nous y reviendrons le jour où les questions institutionnelles, politiques et électorales seront mises discussion dans une vision globale », a dit PPR.

« Monsieur le Ministre, l’ordre du jour de la réunion de ce mardi, 12 avril 2016, (loi électorale, charte des partis, agenda des élections, chronogramme des élections etc.) démontre éloquemment le refus de votre gouvernement de tirer les leçons des tentatives antérieures d’organiser les communales et les régionales en faisant fi de la situation sécuritaire générale du pays et des engagements pris par ce même gouvernement dans le cadre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger », a indiqué Djiguiba Kéita secrétaire général du Parena et non moins ancien ministre, en face du ministre de l’Administration territoriale, Abdoulaye Idrissa Maïga .

Ce constat dénote la politique de fuite en avant qui caractérise l’action gouvernementale au Mali depuis deux ans et demi, poursuit-il. Et l’ordre du jour de cette réunion montre à suffisance l’incapacité du Gouvernement à avoir une vision d’ensemble des questions institutionnelles et électorales, a avisé PPR au nom du chef de file de l’opposition, l’honorable Soumaïla Cissé, président de l’Urd. Avant d’ajouter que « les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique décident solennellement qu’à partir d’aujourd’hui, ils n’accepteront plus de s’associer à une quelconque concertation qui ne prend pas en compte les vrais problèmes politiques et institutionnels du pays ».

L’opposition face à la presse ce matin

« Dix mois après la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger, le gouvernement est toujours au stade de tâtonnement et de tergiversation là où  il a pris des engagements explicites pour l’adoption de textes réglementaires, législatifs voire constitutionnels, et pour la révision de la loi électorale de manière à assurer la tenue d’élections au niveau local, régional et national permettant la mise en place et le fonctionnement du nouveau cadre institutionnel prévu par l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger », a souligné le secrétaire général du Parena, PPR.

Par ailleurs, les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique exigent la résolution immédiate des questions relatives aux 900 000 cartes NINA qui, selon le Vérificateur Général, sont de trop et l’introduction de la biométrie dans le système électoral comme c’est le cas dans la plupart de nos pays voisins. Selon l’opposition, « en lieu et place d’une approche globale pour sortir le pays de l’immobilisme, les Maliens assistent à de petits arrangements sur fond de calculs politiciens électoralistes. En conséquence, nous vous annonçons, Monsieur le Ministre, que nous quittons le Cadre de concertation que vous présidez. Nous y reviendrons le jour où les questions institutionnelles, politiques et électorales seront mises à discussion dans une vision globale », a conclu PPR.

L’opposition veut marcher

A noter que l’opposition sera face à la presse ce mercredi matin à 10h à la maison de la presse pour évoquer son retrait du cadre de concertation, la saisine de la cour constitutionnelle du Mali pour l’annulation de la loi sur les autorités intérimaires, et la marche de l’opposition prévue le 23 Avril.

Aguibou Sogodogo

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49 COMMENTAIRES

  1. L’opposition, étant donné qu’elle aspire au pouvoir, doit élaborer et diffuser ses propositions dans chacun des domaines de la vie nationale (l’exemple anglo-saxon de Shadow Cabinet)

  2. Le sens et le rôle de l’opposition en démocratie sont perçus.
    Quelques droits et devoirs de l’opposition sont connus.
    L’opposition comme facteur essentiel de la démocratie.
    En démocratie, il n’est pas indispensable qu’il y ait unité, consensus ou unanimité, l’important est qu’une majorité se dégage. Toutefois, la minorité a des droits.

  3. L’OPPOSITION MALIENNE FAIT LE CONTRAIRE A CE QUE LES DISPOSITIONS DU STATUS DE L’OPPOSITION DISPOSE.

  4. L’accès aux médias publics et privés est garanti. Le devoir des partis politiques de l’opposition est d’agir dans le respect de la Constitution, des lois et des règlements de la République en tous lieux et en toutes circonstances. Dans le sens du renforcement de l’idéal démocratique et du progrès, l’Opposition politique a le devoir de suivre l’action gouvernementale, de la critiquer de façon objective et constructive.

  5. , le droit à l’Opposition politique est reconnu à tout parti politique ou groupement de partis politiques. Ainsi, Tout parti politique de l’Opposition peut participer au gouvernement ou soutenir l’action gouvernementale.

  6. AU MALI L’OPPOSITION A PERDU SON SENS COMPTE TENU DE SA REACTION VIS AVIS AU GOUVERNEMENT.

  7. En se focalisant sur la définition de l’opposition, le but, le devoir, le droit, et le rôle, tous ceux-ci permettent à l’opposition de jouer pleinement son rôle concernant la situation du pays, mais l’opposition ne joue aucun rôle pour maintenir la paix et la sécurité.

  8. Vraiment on demande à l’opposition de jouer pleinement leur rôle et arrêter de faire de reproches inutiles pour renforcer la démocratie, la laïcité et le multipartisme. On constate maintenant que les opposants sont des principaux ennemis du pays.

  9. Le premier ministre a évoqué il y a de cela quelques temps le problème de financement qui plombe la mise en œuvre des accords de paix. Il ne suffit pas de prendre des décrets et autres lois pour qu’elles restent dans les tiroirs c’est pourquoi le gouvernement ne peut pas aller vite. Ces personnes comme Soumaila cissé et sa bande veulent toujours se donner de l’importance donc ils boycotteront les actions gouvernementales.

  10. La démocratie est le meilleur modèle de gouvernance qui existe car il permet de prendre en compte les aspirations de toutes les couches de la société mais vu les agissements des politiques surtout des opposants on se demande si les états africains sont prêts pour le jeu démocratique. On peut être dans l’opposition mais quand il s’agit de la nation on doit tous regarder de manière objective dans la même directions mais ce n’est pas le cas avec nos opposants qui ne voient que leurs intérêts.

  11. L’attitude l’opposition ces jours-ci se comprends aisément. Au niveau de la mise en place des autorités intérimaires; elle a boycotté le projet de loi simplement parce qu’elle suppose que cela va détruire ses bases mais quand on est sûr de sa popularité cela ne doit pas être un problème et c’est cette même situation qui motive leur refus de participer aux discussions sur l’organisation des élections locales parce qu’elle est en manque de popularité. Il n’y a pas d’autres justifications. Comment cette opposition peut mettre en avant ses intérêts au détriment du retour de la stabilité politique?

  12. L opposition ne veut plus de stabilité dans ce pays. Nous comprenons le chef de fil. Il veut prendre le pays en otage à des fins personnelles et cela contre la démocratie et le développement. Il n ya pa de démocratie sans élections et pas d élections sans perdant. Le Mali a besoin d élection démocratique.

  13. Ce sont les opposants qui manquent de responsabilité et font de la fuite en avant en faisant obstacles à tout ce que le gouvernement décide de faire de nos jours. Il faut que le gouvernement puisse les écarter de la gestion des affaires et faire avancer les choses. Ils rentrent dans la tergiversation car ils n’ont rien à dire.

  14. Ce sont les mêmes qui disent que le gouvernement ne fait rien pour mettre les accords de paix et les autres programmes fondamentaux pour la bonne marche de notre pays. Lorsque l’état entreprends des démarches; ce sont ces opposants encore qui les boycottent sans pouvoir réellement se justifier. Est ce que c’est ça une opposition?

  15. Ces opposants peuvent saisir qui ils veulent on s’en fout éperdument non! Le bug avec ces gens c’est que même étant en erreur; ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs.
    L’article 2 qui pouvait présenter des dangers pour l’intégrité de notre pays a été retiré mais où est le problème encore?
    Qu’ils arrêtent de nous distraire là il ne faut pas rejeter pour rejeter mais il faut en donner les motivations avec des preuves solides.

  16. Nos opposants n’ont absolument plus rien à dire ni à défendre raison pour laquelle ils s’adonnent à des boycottent de part et d’autres. Si le gouvernement a décidé de faire revenir l’histoire des élections communales sur la table; c’est pour permettre de trouver des solutions aux blocages et cela ne peut pas se faire sans prises en compte des aspects sécuritaires. Le Mali avancera avec ou sans eux!

  17. Ces opposants font bien de quitter le cadre de concertation établit par le cadre de concertation établit par le gouvernement car ils n’y ont pas d’importance. Toujours des scandales pour la moindre bêtise et vous voulez que ces gens apportent quoi au développement du pays si ce n’est des embrouilles ?
    L’opposition même est souvent à la base des différents scandales fictifs qui secouent toujours la société malienne car ils n’ont pas de preuves de ce dont ils parlent. Comment peuvent-ils aider à la résolution des problèmes de notre pays ?

  18. Tout pouvoir normal a besoin impérativement d’un contre-pouvoir mais jusqu’à présent nous n’avons pas d’opposition dans notre pays. Des personnes qui sont dénudés d’objectivité, des spécialistes de la critique politicienne. Mais comme on le dit: on ne peut pas cacher le soleil de la main. Ils peuvent bien faire leurs manigances mais les faits parleront!

  19. C’est bien de faire de la critique pour l’avancement d’un pays mais il faut de la critique constructive. Force est de constater que dans notre pays sur 20 déclarations de la part des opposants 18 sont des déclarations diffamatoires. Dans ce cas ça devient de la critique politicienne qui n’est pas du tout objective et c’est ce qui est de nos jours l’apanage de notre opposition et des “organisations farfelus”.

  20. Les opposants de cette nation n’ont absolument aucun sens de l’État. Au lieu d’aider et accompagner, en cette période exceptionnelle, les teneurs du pouvoir, ils préfèrent s’isoler dans leur camp d’opposition véreuse et affameuse du pouvoir. Peu importe les conséquences de leurs actes, la seule chose que ces opposants veulent, c’est le pouvoir.

  21. Je ne sais où je trouve quand je vois Soumaïla Cissé et sa bande d’incapables en train de critiquer les actions du président de la république et de son gouvernement ? C’est ce Cissé, chef de file de l’opposition politique et non moins président de l’Urd, qui a plongé notre industrie dans le chaos sous Alpha et ATT.

  22. Le projet de loi instituant les autorités intérimaires n’est pas ce que les opposants en pensent. La constitution malienne n’est pas contre la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. La cour constitutionnelle ne peut pas statuer pour anti-constitutionnalité dudit projet déjà adoptée. Car l’accord de paix n’a pas été sanctionné comme étant anticonstitutionnel.

  23. La constitution du 25 février 1992 devrait être révisée pour que l’accord de paix d’Alger ne soit pas violateur d’un texte fondamental. Mais les choses ont fait que cette révision ne pouvait pas avoir lieu au temps voulu, voilà pourquoi l’accord a été adopté malgré la présence de cette constitution. Mais une fois que les choses seront mises en place, on procédera à cette révision. Donc les autorités transitoires seront mise en place dans les régions du nord pour faciliter l’application de l’accord de paix. La Cour Constitutionnelle déboutera cette opposition ‘’républi-conne’’, républicaine je voulais dire.

  24. L'opposition malienne croit que le pays est pour elle. Le cadre de concertation à laquelle elle s'est retirée comme elle l'a fait lors des votes sur la loi modifiant la loi électorale et mettant en place des autorités intérimaires. Le ministre de l'administration territoriale ne doit pas prêter attention aux actes de l'opposition malienne.

  25. La mise en place des autorités transitoires est une obligation pour le gouvernement malien qui veut du retour de la paix et de réconciliation nationale et qui est fidèle à ses engagements contenus dans l’accord qu’il a signé avec les groupes armés. Ces autorités transitoires représentent une disposition de l’accord de paix. C’est dommage pour l’opposition qui veut l’annulation d’une loi qui ne le sera jamais. La communauté internationale est derrière cette loi.

  26. La Cour Constitutionnelle déboutera l’opposition dans cette affaire. C’est dommage pour l’opposition de ne rien fait lors des votes et de prétendre avoir annulation de la loi sur les autorités intérimaires en saisissant la Cour Constitutionnelle pour anti constitutionnalité de cette loi. La constitution n’a pas été violée et ne le sera pas.

  27. Une opposition digne de nom n’est pas celle qui boycotte tout dans un pays. Soumaïla Cissé et ses collègues sont dans une logique de boycotter tout et rien du régime en place. Ils sont en train de mener leur combat pour les élections présidentielles de 2018. C’est de la follie de boycotter cette concertation.

  28. Soumaïla et ses collègues opposants qui ont refusé de voter la loi sur les autorités intérimaires ont tout d’abord fait preuve d’incapacité en quittant la salle lors des votes. Donc ce fait je pense que cette opposition incapable ne peut pas dénoncer cette loi jusqu’au point de saisir la Cour Constitutionnelle. Et hier encore ces mêmes opposants ont boycotté le cadre de concertation ministère de l’Administration territoriale et présidents des partis politiques

  29. Le palais de la Cour Constitutionnelle n’a pas son temps à perdre dans cette affaire. Si l’opposition veut que cette loi soit annulée, elle doit d’abord saisir la même cour pour ‘annulation de l’accord de paix qui est impossible car celui est déjà en train d’entrer en vigueur. Que dalle cette opposition déplorable que nous avons dans ce pays !

  30. Cette saisine de la cour constitutionnelle sur la loi adoptée par le gouvernement et modifiant la loi sur les collectivités territoriales n’aboutira pas. La constitution malienne de 1992 n’est plus à la hauteur des attentes de la nation. Si Soumi et ses collègues pensent que cette loi sera annulée, ils se trompent. Les autorités intérimaires seront mise en place dans le nord.

  31. L’opposition quitte le cadre de concertation.Cela ne surprend guère car elle a toujours été contre tout ce qui va dans la bonne marche du pays.Je pense que le pays peut bien fonctionner sans elle.On avance donc.

  32. Nous sommes en temps de paix et de réconciliation, alors le pays actuel a besoin la contribution de tout un chacun.Je pense donc que l’opposition malienne ferait mieux de se mettre avec le gouvernement pour la construction du pays.

  33. Toujours des critiques inutiles, toujours le même slogan, vraiment cela fait la honte de l’opposition, un mauvais patriote, un ingrat, toujours fuir quand il faut construire le pays.

  34. AU MALI L’OPPOSITION A PERDU SON SENS COMPTE TENU DE SA RÉACTION VIS AVIS DU GOUVERNEMENT.MAIS ON S’EN FOU D’ELLE ET ON AVANCE.

  35. De toute les façon notre opposition telle qu’elle se comporte est semblable aux ennemi de la paix dans notre pays.Les autorités intérimaires est une une disposition spéciale et non définitive.Je vois donc pas où se situe le problème dans cette loi.

  36. Le gouvernement malien fait tout cela pour les populations maliennes.Tout développement est illusoire sans paix.La paix conditionne toute activité économique.L’Etat malien fait pour qu’on ait la paix.

  37. L’opposition malienne n’a jamais été pour le bien du Mali.Cette loi des autorités intérimaires rentre dans le cadre de la recherche de la paix pour notre pays.Et ces opposants s’opposent à cela.Mais on avance.

  38. L’opposition malienne s’est mise toujours au travers des actions susceptibles de faire avancer le pays.C’est pourquoi elle tient des propos aussi ignorants qu’irréel.Cette loi a été votée par l’assemblée nationale et sera mise en oeuvre pour le bien être de notre pays.

  39. Ces opposants ne sont que des irresponsables qui sabotent toujours les actions du gouvernement.C’est parce que le gouvernement les concerte qu’ils se font le malin plaisir de dire et de faire du n’importe quoi.Je pense qu’il ne faut pas les associer dans les prises de décision de notre pays.

  40. Tu as raison, le gouvernement vaut simplement faire respecter les principes de la démocratie. Mais s’il s’avère que cela peut conduire à d’autre problème qui peut nuire à la sécurité et à la stabilité. Et cela n’est pas ambition du gouvernement rechercher pour son peuple, ils veulent tout à fait le contraire.

  41. Ta as raison, cette du concertation du ministère de l’Administration est dans le cadre de l’avancement de notre pays dans la crise dont elle traverse. Les discussions sur la relecture de la loi électorale et la charte des partis politiques et les discussions sur l’agenda électoral sont des sujets brulant dont l’opposition devrait vraiment affronter le gouvernement pour trouver ensemble une solution.

  42. Voilà que le gouvernement appel les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique sur des sujet brulantes comme les discussions sur la relecture de la loi électorale et la charte des partis politiques et les discussions sur l’agenda électoral, et l’opposition ce permet de boycotté la concertation du ministère de l’Administration territoriale. Je me demande si l’opposition malienne veut vraiment voir le Mali sortie de cette crise.

  43. J’invite l’opposition à participer à la gestion du pays. Le faite de s’adonner aux critiques ne signifie pas faire de la construction du pays ou de boycotté les rencontres n’est pas une solution. L’opposition malienne utilise la mauvaise manière pour ce faire entendre, l’opposition empêche le pays aller de l’avant.

  44. De nos jours l’opposition à faillir à son devoir. L’opposition malienne a perde toute sa crédibilité car elle ne fait que attaquer le régime en place mais ne propose rien de concret. L’opposition ne doit pas que critiquer mais proposer des solutions pour une sortie de crise et bonne gouvernance du pays.

  45. les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique ont boycotté cette rencontre tout en quittant la salle, ce n’est pas ainsi qu’on pourra trouver des solutions aux multiples crises dont travers le pays. Si l’opposition est aussi patriotique qu’elle le prétend elle devrait rester dans la concertation du ministère de l’Administration territoriale pour défendre ses idées.

  46. Ce n’est pas en boycottant les rencontres qui permettent de faire avancer le pays que l’opposition malienne aura gain de cause. Je pense que toute l’opposition malienne a très mal agi en boycottant la concertation du ministère de l’Administration territoriale.

  47. Vue l’instabilité actuelle qui persiste dans le pays, la tenue des élections communales et régionales mérite mur réflexion. Le gouvernement est en train de tous mettre en n’œuvre pour que cette élection puisse avoir lieu dans le délai et dans la transparence. Si l’opposition a vraiment tord de boycotté la concertation du ministère de l’Administration territoriale.

  48. C’est ensemble que nous pouvons trouver des solutions aux maux dont traverse le pays. Si l’opposition se permet de boycotté toutes les rencontre alors, je ne voit pas le rôle primordiale dont elle jour dans la politique malienne.

  49. Je pense que l’opposition n’appelle pas à la concertation nationale mais plutôt à la haine et à la violence. Le gouvernement ne fait rien sans que la population ne soit imprégner de la situation, nous sommes dans un État démocratique avec le régime le plus démocratique que le pays n’est jamais connu.

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