Le Mali vit des moments difficiles et sûrement les plus critiques de son histoire. En effet, depuis 2012, le pays est plongé dans une crise multidimensionnelle dont les effets et conséquences sont incalculables pour sa survie en tant nation. Malgré les efforts consentis aux plans national et international, la situation demeure des plus préoccupantes et affligeantes notamment pour les populations.
Dans un tel contexte, 2018 se présente comme une année charnière aux défis et enjeux immenses pour notre pays, dont le moindre n’est assurément pas l’élection à la présidence de la République. Tous s’accordent aujourd’hui à reconnaître et à appeler de tous leurs vœux une nouvelle légitimité et une nouvelle gouvernance à la tête de l’Etat.
C’est donc en prélude à cette échéance capitale que les forces, notamment politiques, se mobilisent et se préparent à se soumettre à la sanction du vote des Maliens de l’intérieur et de l’extérieur. En effet, il ne se passe quasiment plus une semaine sans qu’un candidat potentiel ne déclare son intérêt en vue de briguer la magistrature suprême du pays.
De prime abord, ceci peut paraître d’un certain dynamisme ou d’une certaine vitalité démocratique. Mais que nul ne s’y trompe. La situation actuelle du Mali est si difficile, complexe et compliquée que n’importe qui ne peut logiquement aujourd’hui prétendre à l’exercice d’une telle si haute fonction de première Institution de la République.
Toutefois, le dernier mot reviendra toujours au peuple souverain, à condition que l’ensemble du processus électoral et particulièrement le vote du citoyen ait un sens et qu’il soit respecté après avoir été sécurisé et totalement transparent. Aussi, importe-t-il que le peuple exerce ce droit en toute responsabilité et en toute connaissance de cause sur les défis, les enjeux et les tenants et aboutissants du contexte particulier du moment.
Car, notre pays, à l’issue de ce processus, n’aura plus aucun droit à l’erreur. D’où la nécessité pour chaque citoyen de faire preuve de lucidité et de clairvoyance absolue dans le choix final de l’homme qui aura la lourde charge de présider aux destinées du pays et de la nation durant les cinq (5) prochaines années (2018–2023).
Parmi les prétendants déjà déclarés et ou potentiels, le candidat des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE An Ka Wuli), l’ancien Premier ministre d’Amadou Toumani Touré (ATT), monsieur Modibo Sidibé, semble être aujourd’hui le mieux indiqué pour relever tous les défis auxquels le pays est confronté. En effet, pour beaucoup d’analystes et d’observateurs, ce choix est guidé par 10 bonnes raisons objectivement vérifiables. Ce sont notamment :
- Un homme d’Etat stratège pour qui l’efficacité et l’efficience ne sont pas que de vains mots
Modibo Sidibé incarne aujourd’hui le candidat idéal pour restaurer et rétablir l’Etat malien dans la plénitude de ses prérogatives en termes de souveraineté nationale et internationale. Il présente le meilleur profil ; il a la carrure, le prestige, l’intelligence et la prestance d’un véritable homme d’Etat. Pour lui, la méthode, l’efficacité et l’efficience doivent aller ensemble et de façon indissociable.
- Une expérience unique
Sa riche expérience acquise dans l’exercice de hautes charges de l’Etat, après avoir gravi les échelons de son corps et occupé différentes fonctions administratives, constitue à n’en point douter un atout incontestable dans la situation actuelle du pays. En effet, il fut ministre de la santé, de la solidarité et des personnes âgées ; ministre des affaires étrangères, de la coopération internationale et des Maliens de l’extérieur ; secrétaire général de la présidence et enfin Premier ministre. Cette expérience dans la gestion des affaires publiques fait de Modibo Sidibé le mieux à même d’apprécier et de trouver les meilleures réponses possibles aux nombreux défis du moment et à venir.
- Une connaissance et une maîtrise parfaites des dossiers
La parfaite connaissance des atouts, des défis et des enjeux du Mali de 2018, fondée sur son expérience acquise durant des années au service exclusif de l’Etat et de la nation à des niveaux élevés de responsabilité, fait de Modibo Sidibé le mieux placé pour apprécier les potentialités du pays au moment où se joue son avenir. Il clame à chaque occasion sa ferme conviction dans les capacités des populations de ce pays à prendre leur destin en main, à s’affirmer pleinement au sein des nations modernes et civilisées et aussi à jouer entièrement et totalement leur partition dans la stabilité et la préservation de la paix dans la sous-région, en Afrique et dans le monde.
- Des aptitudes à être immédiatement opérationnel
Modibo Sidibé est l’un des rares candidats potentiels ou déclarés à l’élection présidentielle de 2018, à n’avoir besoin d’aucune période d’adaptation ou d’imprégnation des grands dossiers du moment avant de se mettre au travail. Connu et reconnu comme un homme de méthode et d’action, Modibo Sidibé a une vision claire et précise des enjeux de la stabilité et du développement harmonieux de notre pays dans un espace régional et sous-régional intégré et un environnement international concurrentiel en perpétuelle évolution.
Le temps jouant contre le Mali au sortir de la terrible crise que le pays connaît actuellement, on ne peut se permettre de confier sa destinée à un novice qui aura besoin d’un temps précieux pour s’acclimater ou de s’imprégner d’abord des dossiers prioritaires de l’heure pour se mettre éventuellement au travail. Le temps nous est compté pour asseoir les bases de notre retour à la normalité et pour enclencher le processus d’un développement équitable et incisif, tenant compte des réels besoins des communautés et des exigences de l’Etat de droit. Modibo ne perdra donc pas de temps en apprentissage de la gestion de l’Etat.
- Une probité morale et intellectuelle à toutes épreuves
Même ses pires adversaires lui reconnaissent ses qualités exceptionnelles d’homme intègre et viscéralement soucieux et respectueux de la chose publique et de l’intérêt général. À ce sujet, tous ses collaborateurs et autres anciens collègues assurent qu’il n’a jamais été et ne sera pratiquement jamais partisan du moindre effort, de la médiocrité et de l’affairisme d’Etat. Le sens de l’Etat et du bien commun est si élevé chez lui que certains «profiteurs» n’ont pas hésité, dans un passé encore pas lointain, à tenter de lui coller toutes sortes de mauvais caractères. Ces mensonges, émanant généralement d’adversaires politiques supposés ou avérés, visaient essentiellement à salir l’homme et à le discréditer aux yeux de ses compatriotes dans des buts purement politiciens.
- Une vision claire et novatrice
La vision novatrice, que Modibo Sidibé décline dans son projet de société «Mali Horizon 2030», rompt avec les pratiques traditionnelles de la gouvernance habituelle, notamment actuelle. En effet, il propose à ses concitoyens un catalogue d’actions concrètes immédiatement «enclenchables» sous forme de programme dénommé «Mali Horizon 2030». Il s’agit notamment pour le Président des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE An Ka Wuli), de se projeter résolument en avant en proposant un véritable programme de développement social, économique, culturel et technologique, structuré, pour faire du Mali un pays à économie intermédiaire d’ici à la fin de la prochaine décennie (2030).
- Un candidat qui rassemble et rassure
Modibo Sidibé est le candidat qui rassure et qui rassemble parce qu’il se situe à la charnière de générations de politiques dans notre pays. C’est le candidat qui sait mieux que quiconque l’avantage à rassembler les énergies pour combiner harmonieusement les expériences des seniors ; l’intelligence, le dynamisme, la créativité et l’audace de la jeunesse en veillant à ne pas rompre la chaîne entre générations dans la transmission du témoin dans l’œuvre de la construction nationale.
- Un homme d’équité et de justice sociale
Modibo Sidibé est un pur produit de la famille et de la société africaine. À ce titre, il apparaît comme l’un des rares candidats, sinon le seul actuellement sur l’échiquier politique, à n’être animé d’aucun esprit revanchard et capable de se passer de toutes considérations partisanes afin de promouvoir véritablement l’équité et l’égalité de tous les citoyens à tous les niveaux sur la seule base des droits et ou des compétences. En plus, Modibo Sidibé n’a jamais été mêlé à quelles que querelles politico-politiciennes de 1992 à nos jours, malgré sa participation active aux gouvernements successifs des Présidents Alpha Oumar Konaré (AOK) et Amadou Toumani Touré (ATT).
- Une politique de proximité plaçant le citoyen au cœur de l’action publique
Modibo Sidibé et les FARE An Ka Wuli ont été les premiers, sinon les seuls acteurs politiques, à proposer dès l’éclatement de la grave crise qui secoue le pays depuis 2012, de remettre les citoyens au centre du processus des pourparlers et de négociation en vue d’une sortie durable de la crise (Déclaration en guise de contribution du SEN en prélude à l’ouverture des discussions inter-maliennes d’Alger). Modibo Sidibé n’a de cesse de prôner l’impérieuse nécessité et l’exigence absolue de recevabilité des Gouvernants vis-à-vis des citoyens dans l’exercice de leurs missions de services publics. Il estime que c’est là l’une des conditions sine qua non pour le renouveau de notre système démocratique et de la gouvernance de l’Etat.
- Un projet de société cohérent, réaliste et objectif
Modibo Sidibé, au contraire de bien d’autres prétendants à la magistrature suprême du pays, a présenté, dès l’élection présidentielle de 2013, un Projet de société cohérent, réaliste et objectif, prenant en compte l’ensemble des défis et enjeux temporels et spatiaux en vue d’un développement harmonieux du pays (réforme de l’Etat ; aménagement structuré du territoire national ; complémentarité entre générations de citoyens ; défis économique, social, culturel et environnemental ; etc.).
Au regard de toutes ces raisons, Modibo Sidibé présente, à notre humble avis, le meilleur profil de présidentiable à la tête du Mali à l’issue de l’élection du président de la République prévue en juillet et août 2018. En sus de ces quelques raisons énumérées, il convient de souligner également les nombreuses initiatives et autres actions de proximité que l’homme a entreprises, tant dans l’exercice de ses fonctions étatiques que sur le terrain politique en vue de répondre efficacement aux préoccupations et aspirations profondes des populations de Diboli (région de Kayes) à Tessalit (extrême nord du pays).
Encore une fois, faudrait-il que le processus soit totalement transparent, juste et crédible ; que le citoyen soit suffisamment préparé et mieux outillé à exercer en toute quiétude son droit de vote et que le Gouvernement et l’ensemble des partenaires du Mali veillent à la sécurisation et au bon déroulement du scrutin partout sur le territoire national. Ce qui n’est pas au-dessus des moyens si la volonté y est et partagée par tous.
B. SIDIBE
Vous avez vu juste … c’est curieux ces hommes prédateurs qui n’ont aucun sens de dignités et de morale. Voilà ce type qui a passé son temps à piller le Mali et les maliens, se présente aujourd’hui comme un bienfaiteur, un sauveur, le messi, etc.
Modibo Sidibé n’a t’il pas été aux affaires en 18 ans ?
Qu’est-ce qu’il a apporté aux maliens ?
Dégrace respectons nous SVP.
Ce monsieur B. SIDIBÉ qui est l’auteur de cet article est sûrement corrompu, vous avez reçu combien ?
Pour Rappel :
De avril 1993 – Septembre 1997 :
Ministre de la Santé, de la Solidarité et des Personnes âgées.
Septembre 1997 – Juin 2002 :
Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.
Juin 2002 – Septembre 2007 :
Secrétaire général de la présidence de la République.
Septembre 2007- Avril 2011 : Premier ministre
En 18 ans aux affaires, qu’est ce qu’il a apporté au peuple malien ?
c’est surement le manifeste de fare anka wile qui nous est servi dans ce journal. Modibo est la pire espèce de politiciens prédateurs. Il a fait 20 ans à sucer du miel et du nectar dans me pauvre mali. Il a orchestré une grande opération de vol avec l’opération riz. Un homme asocial qui n’a montré aucune preuve de compétence dans aucun domaine sauf dans celui de rester scotché à ses différents postes pendant 20 ans. Permettre au PéDés de tenir un congrès à l’hôtel olympe est le sommet des sommets à moins d’être soi même comme les gens le disent. Il est temps qu’on trouve d’autres gens pour une gouvernance, des vieux ou des jeunes peu importe mais des gens compétents.
Ce qui est bien dans ce pays c’est que tous les hommes politiques ont eu à faire ses preuves dans ce pays et sont donc suffisamment connus des maliens. Modibo Sidibe n’a fait rien que voler les milliards destinés au projet riz quand il était à la primature. Son parti n’existe que de nom dans ce pays. Entendre ces gens parler de comment le pays doit être géré est vraiment marrant. Tous ce que les maliens retiennent du passage de Modibo Sidibe à la primature c’est vol et soutien à l’homosexualité. Comme dirait l’autre on se connait dans ce pays.
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