Élection présidentielle 2013 Réussir ou échouer ensemble…

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Les locaux de l’hôtel Laico de l’Amitié ont abrité un atelier le jeudi 21 février dernier portant sur le processus électoral et ses perspectives. La cérémonie d’ouverture a  été présidée par le ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire Moussa Sinko Coulibaly.

Moussa Sinko Coulibaly, ministre de l'Administration, de l'aménagement
Moussa Sinko Coulibaly, ministre de l’Administration, de l’aménagement

Dans son discours d’ouverture, le ministre a déclaré : ” Je me réjouis sincèrement de la rencontre d’aujourd’hui, qui est révélatrice du nouveau climat de collaboration que nous voulons instaurer pour conduire ensemble l’organisation des élections de 2013″. Etaient présents à cet atelier en plus du ministre, le représentant du PNUD Maurice Dewulf, le président de la CENI, le délégué général aux élections et plusieurs autres cadres du pays. L’objectif de cet atelier était de faire l’état des lieux pour déceler les insuffisances des activités déjà menées afin de les résoudre pour organiser des élections libres et transparentes. Il s’agissait aussi pour les participants d’examiner les perspectives, convenir des mesures idoines pour la confection du fichier biométrique, la distribution des cartes NINA qui doivent être produites dans les jours à venir. D’après le ministre Moussa Sinko Coulibaly, cela permettra de résoudre définitivement la question récurrente de l’identification de l’électeur.

En effet, l’un des défis majeurs à relever pour le gouvernement de transition est la tenue le plus vite possible d’élections libres et transparentes.

Le représentant du PNUD Maurice Déwulf a tenu à assurer l’assistance du soutien indéfectible des Etats Unis au Mali pour l’accompagner dans le bon déroulement des élections qui, d’après lui sont une phase importante pour notre pays  qui a traversé et traverse des moments difficiles de son histoire. Il a aussi souligné la situation des déplacés du nord qui selon lui  doivent participer pleinement à ces élections  dont la réussite sera un aboutissement heureux  de la crise. Les travaux de cette journée permettront aux structures concernées d’organiser des élections transparentes et au Mali de redorer son blason sur la scène internationale. Le ministre a aussi tenu à rappeler que la complémentarité ou même la complicité ne doivent pas leur manquer car ils doivent réussir ou échouer ensemble dans cette mission qui leur a été confiée par le gouvernement.

                                Aissata Fodé SAMAKE, stagiaire

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5 COMMENTAIRES

  1. Vous etes en echec depuis le debut, je ne sais pas quelle reussite on peut avoir avec les putchistes. quant c’est les autres qui sont front a votre place mon cher moussa sinko et son ami SUPER CAPIAFORMER de l’armée qui n’existe plus dont vous avez detruit, le peuple malien n’attende rien de positive venant de votre groupe, d’echec en echec, jusqu’à la disparition de notre nation. s’il vous plait respecter les maliens,prenner votre retraite tranquillement avec ceux que vous avez pris lors des braquages chez les pauvres citoyens maliens et avec les pillages des caisses de l’etat que vous avez a votre disposition depuis votre coup de force a un mois des elections. vous avez parler d’election monsieur sinco moussa et vos amis, pourquoi le coup de force? 60 milliards pour votre mascarade d’election que gagne le pauvre citoyen election ou pas? si des gangsters comme vous s’amuse a faire des coup de force a chaque fois, le malien a besoins de manger, de se soigner,eduquer les enfants.

  2. Mais que font encore ces militaires ventripotents et climatisés 24×24 à Bamako ? Ils devraient être à la tête de la “vaillante armée” pour chasser les djihadistes.Sauf erreur, être militaire n’a jamais préparé à faire de la politique.

  3. je ne comprend pas qu’au moment ou les officier d’autres pays vienne mourir pour le Mali les notre sont entrain de jouir des climatiseur à Bamako , actuellement le Mali compte plus de 50 officiers qui sont former dans des grandes écoles de Guerre et la plus part d’entre eux sont mojor de leurs promotion mais ils sont tous planqué à Bamako dans les bureaux et ne veulent pas aller au front ,je dit que c’est une honte ,mais qu’il sache qu’ il est encore temps pour eux d’aller front car mieux vaut tard que jamais sinon qu’il sachent que toute la population malienne est entrain de mijoter Bas ce que moi je dit haut ! Il viendras un jour ou c’est le peuple qui iras les extraire manimilitatri pour le envoyés au front.
    A bon entendeur Salut !!!

  4. Les galons de certains officiers superieurs maliens,ne brillent que dans les cameras,et non sur les champs de bataille.Cette oeuvre,n´est autre que du soldat anonyme qui expose sa vie devant les fous de dieu.En voyant ce monsieur,m´est arrivée á l´esprit une frase assassine du president Béninois dans jeune Afrique,qui preconisait l´envoi de Sanogo au front,car dit-il,il a fomenté un coup-d´etat sous pretexte de vouloir liberer son pays.Moi pour ma part,je suggere aux autorités maliennes de vider les bureaux,et envoyer tous les officiers aux front,pour prouver leur merite d´acceder á leur grade.La recréation doit prendre fin pour Sanogo et compagnies,si place ils ont,c´est dans le desert,et non les climatiseurs qui fonctionnent encore á Bamako.

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