Plusieurs personnalités de la diaspora malienne de France se sont retrouvées le dimanche 14 avril 2013 dans une salle prestigieuse de Paris, pour lancer un appel à la candidature de Tiébilé Dramé, un des poids lourds de la classe politique du Mali.
Devant une assistance venue nombreuse dans la salle ABC de Paris, les initiateurs de cette rencontre ont passé en revue les problèmes cruciaux du pays et rappeler l’engagement de rares hommes politiques maliens pour affronter les difficultés actuelles. Le contexte actuel du Mali se caractérise par une crise sécuritaire et institutionnelle jamais vécue dans ce pays. La situation nationale connaît un profond délitement de la cohésion sociale et un manque chronique de confiance entre les différentes composantes de la Nation malienne. Le Mali d’aujourd’hui est complètement à terre, et des menaces graves planent sur son existence.
Le prochain président du Mali doit relever le Mali et donner une perspective à la jeunesse et à tout le peuple malien à travers des reformes vigoureuses et courageuses.
Le prochain président du Mali doit rassembler tous les maliens sceller l’unité nationale pour affronter les défis de l’avenir.
Pour avoir fait preuve de sa stature d’homme d’Etat et jouissant de la confiance des communautés maliennes dont celles des régions du Mali, ce prochain Président devrait être Tiébilé Dramé. Car, c’est une des personnalités qui a toujours défendu l’intérêt de son pays dans le strict respect de principes républicains.
Ainsi, dans la déclaration qui a été lue devant une assistance complètement conquise suite aux différents témoignages, les personnalités réunies à cette occasion ont appelé à la candidature de Tiébilé Dramé à l’élection présidentielle de 2013 au Mali.
Dans l’attente de la réponse favorable du futur candidat Dramé, les participants ont décidé de prendre les devants en lançant une campagne d’inscription de toutes les personnes susceptibles de mobiliser l’électorat de France à plébisciter M. Tiébilé Dramé en 2013.
A KONE
Arrestation du journaliste au Mali : Le Comité de Soutien de Tiébilé Dramé condamne
34 jours |
Habiba Konaté : Vice Présidente du Comité de Soutien France à la Candidature de Tiébilé Dramé
Les interpellations du Fondateur du journal le Républicain monsieur Tiébilé
Dramé Président du Parena , et de monsieur Boukari Dao Directeur de
Publication du Républicain par la Sécurité d’Etat est une atteinte grave à la
liberté chèrement acquise à la faveur de la révolution de Mars 1991.
Elle est un droit constitutionnel voté par le peuple malien en février 1992.
Le comité de soutien France à la candidature de Tiébilé Dramé condamne
avec vigueur cette arrestation et cette détention arbitraires et injustifiées.
Le comité rappelle au gouvernement son devoir constitutionnel de protection et de promotion des droits et libertés.
Le comité de soutien demande le retrait définitif de la junte militaire sur la scène politique.
Le comité de soutien à la candidature de mon
Presidentielle du 7 Juillet 2013 : Que d’incertitudes, selon Tiébilé Dramé
Par Le Prétoire – Date: 18 Mars 20133 réactions
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De l’avis du président du Parena, à seulement 112 jours de la date annoncée pour le premier tour de l’élection du nouveau président de la République, il y a plus de questions que de certitudes sur la tenue de ce scrutin. Il a fait cette déclaration samedi, à la faveur d’une conférence-débat organisée par Jamana.
«Quel Mali après les élections de juillet 2013 ? ». Voici le thème du débat auquel l’espace d’expressions plurielles Jamana nous conviait le 16 mars dernier à la Maison de la presse. C’était dans le cadre du 24è anniversaire de son édition quotidienne : notre confrère «Les Echos». Pour mieux aborder ce sujet aussi passionnant que d’actualité, les organisateurs de la conférence avaient fait appel aux riches expériences de certaines grosses pointures de la scène politique nationale. Il s’agit en l’occurrence de Tiébilé Dramé, président du Parena, Konté Fatoumata Doumbia, maire de la Commune I et présidente des femmes Adéma, Dr Bréhima Kaména, secrétaire politique du Cnid et Sékou Diarra, président de la Cad-Mali et membre du parti Sadi. La présidence de la cérémonie était assurée par le Pr Salikou Sanogo, représentant le Président de l’Assemblée nationale, tandis que le Dr Naffet Keïta assurait la police des débats.
Dans des communications relativement pertinentes, chacun des conférenciers a tracé les contours de ce qu’il pense devoir être le Mali de demain, se prononçant, pour certains, sur la possibilité de respecter l’échéance de fin juillet pour la tenue des élections comme indiqué par les autorités de la transition.
Dans son exposé, le président du parti du Bélier blanc a estimé qu’au regard de la crise multidimensionnelle à laquelle nous faisons face depuis 2012, «le prochain président de la République, quel qu’il soit, doit se concevoir et doit être perçu comme un président de transition qui doit inaugurer un quinquennat de réformes. Fort de la légitimité à lui conférée par le suffrage populaire, il devra organiser les états généraux de la nation afin de permettre aux forces vives de débattre des causes profondes de l’effondrement du Mali. Mieux, le futur président de la République doit faire la paix dans le Nord du Mali en scellant un nouveau pacte national de paix et de réconciliation qui devra être adopté par des assises nationales». Aussi, M. Dramé a souhaité que les futures autorités refondent les forces armées et de sécurité afin qu’elles deviennent plus professionnelles et républicaines.
Comme autres reformes suggérées par le président du Parena après les élections de 2013, ce sont la refondation de la République malienne à travers la rédaction de la Constitution de la 4è République ; la reforme de l’Administration et de la justice. Mais, pour qu’il y ait un nouveau président ou des reformes, a-t-il fait savoir, il faut qu’il y ait des élections. Or, craint M. Dramé, à un peu plus de trois mois de la date donnée pour le premier tour de la présidentielle, il y a encore plus de questions que de certitudes sur la tenue du scrutin, le 7 juillet 2013. Au fait, sur la base de quel fichier le vote aura-t-il lieu ? Où voteront les réfugiés et les déplacés internes ? Quid du redéploiement de l’Administration dans les zones libérées ? Existe-t-il un dialogue avec la classe politique sur ces sujets ? En voilà des interrogations qui, vraisemblablement, suscitent le doute chez le président du Parena.
Par ailleurs, il a fait remarquer la cohabitation entre la Constitution et le coup d’Etat. De son avis, en observant les évènements des dernières semaines, on constate que le coup d’Etat, loin d’être résorbé, est en train de prendre le dessus sur la constitution. Toute chose qui, dit-il, prête à confusion et entrave l’action des pouvoirs politiques. Pire, cette situation ternit l’image de notre pays au moment où nous sommes l’objet d’une attention internationale accrue. En faisant allusion à l’arrestation du directeur de publication de « Le Républicain » et bien d’autres, il a regretté le fait que la Sécurité d’Etat soit détournée de sa mission de sécurisation du pays en devenant un immense commissariat de police politique. «On aurait aimé voir la SE montrer le même zèle au moment de l’attaque contre le Président en mai dernier », a-t-il lancé.
Pour le Dr Kaména, la réussite des élections est un préalable au débat sur l’avenir du pays. Exprimant les mêmes inquiétudes que le président du Parena, il a souhaité que tout soit mis en œuvre pour éviter des conflits postélectoraux. Quant à la présidente des femmes Adéma, elle veut que l’engagement de tous les acteurs électoraux et le dialogue social et politique soient des préalables aux élections. Elections qui devraient nous permettre, selon Mme Konté, à donner un nouvel élan à la démocratie. En tout cas, estime Sékou Diarra de Sadi, il faut s’assurer que toutes les conditions sont réunies pour la tenue des élections en juillet car le futur président ne doit être au pouvoir que par le vouloir du peuple.
«Mais, comment construire du nouveau avec de l’ancien ?», interroge Ibrahima Ly du haut de ses 66 ans. Pour lui, il importe que notre pays se dote enfin du sang neuf en mettant à l’écart tous ceux qui nous ont dirigé jusque-là. Car, estime M. Ly, ils sont à la base de la situation que nous connaissons en ce moment. En tout, cas, nous ne connaîtrons jamais le changement auquel nous aspirons tous tant que nous resterons indifférents à la gestion de la chose publique, a prodigué Tiègoum Boubèye Maïga, chef de Cabinet du Ministère du Commerce et de l’Industrie et par ailleurs directeur de publication de « La Nouvelle République ».
Bakary SOGODOGO
Source: Le Prétoire
Le Président du Parti pour la Renaissance Nationale (Parena), Tiébilé Dramé, était le mois dernier face au personnel du Bureau régional de la Banque Mondiale au Mali. Dans son discours, il a lancé les jalons de la future réforme politique que notre pays devrait entreprendre pour ne plus retomber dans ses travers. Parmi ses propositions, et pas des moindres, la rédaction d’une nouvelle constitution, la refondation des forces de défenses et de sécurité, le passage du régime présidentiel au régime parlementaire.
Selon Tiébilé Dramé, au vu du tremblement de terre que nous avons connu en 2012 (rébellion, effondrement de l’armée, coup d’Etat, effondrement de l’État, occupation des 3/4 du territoire national), le prochain président de la République, quel qu’il soit, doit être un Président de Transition qui doit inaugurer un quinquennat de réformes. Fort de la légitimité conférée par le suffrage populaire, le futur président organisera des États Généraux de la Nation au cours desquels les
Tout Sur l’Algérie (TSA), le premier quotidien électronique algérien d’actualités a publié le 24 novembre une interview exclusive de Tiébilé Dramé, Premier vice-président de la Coalition pour le Mali, et non moins président du Parti pour la Renaissance du Mali (Parena). La réaction du gouvernement algérien ne s’est pas fait attendre. En effet, TSA a publié à la même date, la réponse d’Alger portée par le porte-parole du ministre algérien des Affaires étrangères. Nous publions ici l’intégralité de l’interview de Tiebilé Dramé qui dénonce « l’ambiguïté » de la position algérienne dans la crise au Nord Mali. Il soutient la nécessité d’une intervention militaire pour rétablir « l’ordre républicain et laïque » et libérer une partie du territoire malien occupée par les « groupes terroristes ». Nous publions également la réponse d’Alger publiée par TSA.
Comment expliquez vous le report des assises nationales qui étaient tant attendues pour le règlement de la crise malienne ?
C’était très sage comme décision. Ces assises ont été mal préparées du début jusqu’à la fin. Le Premier ministre a mis en place un comité d’organisation complètement déséquilibré. Il était composé de 49 personnes dont 12 membres de son cabinet et 8 membres du front pro putsch. Le front anti putsch était représenté par deux personnes uniquement. Leur objectif était de sortir de l’ordre constitutionnel et de parachever le coup d’État. C’est pour ça qu’on a décidé de ne pas participer. Une bonne partie de la classe politique et des forces vives n’y auraient pas participé. Les conclusions auraient conduit à la division du pays. On ne va pas faire des assises pour approfondir ces divisions. Le Mali donne de lui-même au monde l’image d’un pays divisé alors qu’il y a une mobilisation extraordinaire autour du Mali, l’image d’un pays qui ne prend pas la mesure de la gravité de la situation.
Les négociations avec le MNLA et Ansar Dine sont donc également reportées ?
Il n’était pas prévu qu’ils participent. Ils ne figuraient pas sur la liste des participants et je n’ai entendu personne au Mali dire qu’il faut les inviter. En fait, le président avait proposé que les assises mettent en place une Commission nationale de négociations avec le MNLA et Ansar Dine. Et je pense qu’avant les négociations, le Mali doit mettre en place une structure de gestion de la crise au nord.
Quel compromis aura à négocier cette commission de négociations avec le MNLA ou Ansar Dine ? Quelle réponse aura le Mali quant à l’application de la Charia à Kidal ou sur l’autodétermination de l’Azawad ? Il faut que cela soit discuté au Mali. Le MNLA doit renoncer publiquement à sa déclaration d’indépendance et présenter des excuses pour les actes qu’il a causés contre le Mali et revenir sincèrement dans le giron de la République.
La tenue des négociations avec ces deux groupes rebelles pourrait elle marginaliser l’option militaire ?
La majorité des Maliens sont pour l’intervention militaire. Plus grave, on sent une radicalisation de l’opinion vis-à-vis du MNLA et d’Ansar Dine. Il y a une profonde exaspération au sein de la population qui croit que ces deux groupes sont responsables de la crise actuelle.
Il y a donc un consensus au sein de la classe politique et de la population autour de l’intervention militaire ?
La classe politique et la société civile malienne sont favorables à une intervention militaire pour permettre au Mali de se libérer des groupes armés étrangers. Je pense que l’assistance militaire et diplomatique étrangère doit permettre au Mali d’exercer sa souveraineté sur chaque centimètre carré du territoire malien. Nous avons œuvré pour que la communauté internationale adopte cette résolution. Nous avons fait du lobbying pour obtenir la résolution 2071 du Conseil de sécurité de l’ONU.
Mais l’Algérie reste opposée à ce choix…
L’Algérie doit sortir des ambiguïtés dans la gestion de la présente crise. Il faut éviter que les négociations apparaissent aux yeux des Maliens comme des manœuvres dilatoires pour empêcher l’action militaire. Tous les gens au Mali se demandent si l’Algérie souhaite réellement que l’État malien exerce sa souveraineté dans le nord. Il faut que les Algériens sachent qu’il y a beaucoup de récriminations dans ce pays vis-à-vis de l’Algérie. Ce n’était pas le cas il y a quelques mois. Elle doit dissiper vraiment les malentendus.
Quel rôle devrait elle jouer, selon vous ?
L’Algérie devrait être claire et ferme en ce qui concerne la souveraineté et l’intégrité du Mali. Les divers accords de paix signés sous l’égide de l’Algérie en 1991, en 1992 et en 2006 ont un dénominateur commun : l’allègement du dispositif sécuritaire, le cantonnement des troupes. La mise en application de ces accords a créé un vide au nord du Mali et des zones grises où l’État n’existait plus.
Ça a commencé avec les trafiquants de cigarettes, les trafiquants de drogue et puis l’installation du GSPC et d’Aqmi. Ce que le Mali a accepté sous médiation algérienne, l’Algérie ne l’acceptera jamais. Elle n’acceptera jamais de renoncer à exercer son autorité militaire sur une région de son territoire. À ce qu’il n’y ait pas de militaires à Tamanrasset, à Reggane.
Bamako, envoyée spéciale de TSA : Hadjer Guenanfa
ventre affamée n’a pas d’oreilles et le disque dur se satisfait de tout
vote moussa ag for president………il va mettre le goudron en haut et en bas dans tout le mali ..il va faire venir l,ocean a adrebucane..une autoroute bamako alger ..il va nomme 30 ministres dont 25 femmes .qui dit mieux…….vive notre futur president moussa ag…. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
puff les amis de Tieble Dramé et sa famille en france ont lancé un appel à la candidature de tieble dramé. ok sinon pas les diaspora maliens
Tieble Drame est pourtant un homme politique plein de projets de societe et de strategies , qui n’a jamais cessé , depuis que les ont evennements commencé de donner son avis d’une manièer publique sur la situation socio-politique du Mali , ainsi , en atnt que nordiste Songhoi , je lance un appel à tous les freres du nord à se preparer pour voter Tieble Dramé President
il nous aime et nous l’aimions aussi
Desormais , le nord doit bloc pour voter au candidat qui va defendre nos interets . Que Dieu entend nos voeux , Ameen …!
VIVE MR. DRAME … SINON bamako2012 va atteindre 2012 commentaire en un jour ….
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Election Présidentielle 2013 : La diaspora malienne de Maliweb lance un appel à la candidature du Capitaine Bivalve de Maliweb avec ses diplômes 6 Universités …
Ce sera d’une pierre … deux coups ….. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,… WALLAYE ILS VONT S’ENTRETUER CETTE FOIS CI….
Slt mon frère, juste une question… Quelle est la différence entre des maliens vivant dans une banlieue parisienne et la diaspora malienne à Paris ??? Que veut dire diaspora ??? Ils sont au nombre de combiens nos parents vivant à Paris et alentours ??? 😆 😆 😆 😆
Salut Koudis…
J’espère que tu te portes bien…
Pour la réponse à ta question qui est très pertinente … je dirais qu’ils sont au nombre de 10 ou 15 mais c’est quand même suffisants pour gagner des élections chez nous…. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Pas que j’accuse Tieble Drame de quoi que ce soit …mais ça te fait entre 20 et 30 mains pour remplir les urnes non…??? 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,…qui insiste à ce que Koudis se présente aux ÉLECTIONS DE JUILLET …mais fais gaffe car Sanogo cassera la figure au prochain PRÉSIDENT s’il ose toucher à sa rançon …
la dispora est est estimée à 220 000 maliens dont plus de 80 000 sans carte de séjour et non sans papiers .
Ils permettent à des millions de maliens de l’intérieur de tenir et même de survivre , ils participent à la construction d’écoles et de centres de santé,de chateaux d’eau. la diaspora fait plus que la coopération Française espérant que vous êtes éclairé , diaspora veut dire les ressortissants d’un pays expatrié autrement Tounkarankè en bamanan.
Le Président du Parti pour la Renaissance Nationale (Parena), Tiébilé Dramé, était le mois dernier face au personnel du Bureau régional de la Banque Mondiale au Mali. Dans son discours, il a lancé les jalons de la future réforme politique que notre pays devrait entreprendre pour ne plus retomber dans ses travers. Parmi ses propositions, et pas des moindres, la rédaction d’une nouvelle constitution, la refondation des forces de défenses et de sécurité, le passage du régime présidentiel au régime parlementaire.
Selon Tiébilé Dramé, au vu du tremblement de terre que nous avons connu en 2012 (rébellion, effondrement de l’armée, coup d’Etat, effondrement de l’État, occupation des 3/4 du territoire national), le prochain président de la République, quel qu’il soit, doit être un Président de Transition qui doit inaugurer un quinquennat de réformes. Fort de la légitimité conférée par le suffrage populaire, le futur président organisera des États Généraux de la Nation au cours desquels les forces vives du pays débattront des causes profondes de l’effondrement du Mali : pourquoi sommes-nous tombés ainsi ? Où étaient l’Assemblée Nationale et les autres Institutions ? Qu’ont-elles fait pour éviter qu’on en arrive là? Où étaient les partis politiques et la société civile ? Les institutions, les partis politiques, la société civile ont-ils joué leur rôle quand AQMI s’installait au Teghar-ghar, dans le Timetrine, se promenait sur les rives du Faguibine ou bivouaquait dans la forêt du Wagadu ? Qui a dit quoi quand le narco-trafic prenait l’Etat en otage ? Qui a demandé des explications au Président et au Gouvernement quand, un matin de novembre 2009, un Boeing calciné à été découvert dans le désert à Tarkint ? Qu’avons-nous fait quand la morale publique était en danger et que la corruption se répandait ? Pourquoi les partenaires ont-ils continué à encenser notre processus démocratique alors que nous nous trouvions au bord du précipice ? Autant d’interrogations auxquelles le peuple entier devra apporter des réponses appropriées. Pour Tiébilé Dramé, la réponse à toutes ces questions posera les fondations du renouveau démocratique. Egalement, le prochain Président devra re-fonder une nouvelle armée nationale, professionnelle, républicaine, bien formée, bien équipée et dont les membres observeront scrupuleusement le principe républicain de soumission du militaire au pouvoir politique civil. Il devra professionnaliser la Police, la Gendarmerie et les Services et les adapter aux exigences des temps modernes. Il devra s’atteler, aussi, à mettre en place une nouvelle Constituante pour re-fonder la République malienne en rédigeant la Constitution de la 4ème République, plus démocratique, plus solidaire, plus sociale et plus juste. En tirant les leçons des dysfonctionnements des institutions, des dérives autocratiques constatées depuis l’avènement de la démocratie et en particulier la personnalisation du pouvoir qui a causé tant de ravages, le projet de Constitution de la IVème République veillera à réduire le nombre d’institutions, à les rationaliser, à les renforcer. Une IVè République rationnelle et moderne verra la suppression de l’élection présidentielle, l’élection du président de la République par un parlement monocaméral, la suppression de la fonction de Premier ministre, l’élection de l’Assemblée Nationale sur la base du scrutin proportionnel avec listes régionales et l’élection des gouverneurs de régions. Toujours selon le Président du Parena, le futur président de la République engagera la reforme de l’Administration, afin de la moderniser et de la motiver en réhabilitant et en revalorisant le mérite. La réforme, la modernisation de la justice et le renforcement de son indépendance afin qu’elle protège les droits du citoyen et lutte efficacement contre la corruption et le narco-trafic seront des tâches prioritaires. Le futur Président devra également entreprendre l’audit des principaux projets/chantiers/services engagés aussi bien pendant la Transition que durant les deux derniers quinquennats. Les cessions de terres agricoles, notamment à l’Office du Niger, les permis de recherche et les titres miniers feront l’objet d’audit et, le cas échéant, de révision. Autre aspect non moins important abordé par le président du bélier blanc, les échéances électorales de 2013 prévues pour le mois de juillet prochain. Sur ce point, le Parena souligne quelques préoccupations. A en croire son président, Tiébilé Dramé, à moins de quatre mois de la date annoncée du 1er tour de la présidentielle, il existe plus d’inconnues que de certitudes sur la tenue du scrutin. C’est pourquoi, Il est urgent, à ses yeux, d’instaurer un dialogue avec la classe politique sur le fichier qui peut être raisonnablement utilisé pour les prochaines élections, sur le vote des réfugiés, celui des déplacés internes, sur le ré-déploiement ou le non redéploiement de l’Administration dans les régions libérées. Au regard de ces préoccupations, Tiébilé Dramé invite l’ONU à soutenir l’organisation du scrutin présidentiel. «La résolution du Conseil de Sécurité qui permettra la mise en place de la future mission de stabilisation au Mali devra également prévoir le soutien au processus politique y compris l’organisation de l’élection présidentielle », a-t-il souhaité. Avant de conclure que les partenaires du Mali en général, la Banque Mondiale en particulier, devraient soutenir un ambitieux programme de reconstruction pour appuyer le processus de paix et les réformes institutionnelles et politiques envisagées. Les projets susceptibles de promouvoir l’état de droit et la bonne gouvernance ainsi que ceux favorisant l’intégration nationale devraient recevoir une attention particulière (routes Niono-Tombouctou, Gao-Kidal-frontière Algérie, Ansongo-Ménaka-Andéranboukane-frontière Niger, aérodrome de Kidal, aéroports régionaux, lycées et écoles supérieures dans les grands centres urbains au Nord, au Sahel occidental, au centre et au Sud du pays).
Abdoulaye Ouattara
Tiébilé Dramé (en photo ci-dessous) est un ex-ministre des Affaires étrangères du Mali et président du Parti pour la renaissance nationale (Parena).
« N’an laara, an saara » (« Si nous restons passifs, nous serons anéantis »), selon Joseph Ki-Zerbo. De loin, j’aurais préféré que la mission qu’accomplissent les soldats français au Mali soit assurée par une armée africaine. Mais la mise en place d’une telle opération aurait pris un temps que la coalition jihadiste allait mettre à profit pour s’emparer de la base militaire de Sévaré, dotée d’un aéroport, et de la ville de Mopti. Les conséquences psychologiques et politiques d’une telle déroute auraient été désastreuses.
La prompte intervention de l’armée française a empêché le Mali de plonger dans le chaos qu’aurait entraîné le renversement programmé du président de transition, Dioncounda Traoré, par une coalition hétéroclite de partis populistes et d’organisations extrémistes. La simultanéité de l’agression terroriste et des activités séditieuses et déstabilisatrices à Bamako laisse perplexe.
Disons-le haut et fort, l’intervention française au Mali n’est pas une guerre coloniale. Elle n’est pas non plus une guerre néocoloniale dans la pure tradition de la Françafrique. C’est une guerre juste visant à affranchir tout un peuple opprimé et humilié, et à libérer les trois quarts du territoire d’un État souverain tombés sous le contrôle de groupes armés étrangers qui y instaurent une dictature obscurantiste de type moyenâgeux : viols, mariages forcés, femmes « épousées » par plusieurs miliciens, amputations, lapidations jusqu’à la mort, privation des libertés, destruction du patrimoine culturel, plusieurs centaines de milliers de déplacés et de réfugiés…
Tel est le sombre tableau du Mali sous occupation. Aider les Maliens, dont l’armée et l’État se sont effondrés, à rompre les chaînes de l’oppression et de la barbarie est un acte de liberté et de démocratie. Et bientôt, l’armée française sera rejointe par les armées africaines décidées à verser leur sang pour la libération du Mali. Le Mali sera alors réunifié. L’autorité et la souveraineté de l’État seront à nouveau exercées sur toute l’étendue du territoire grâce à une mobilisation sans précédent de l’Afrique et de la communauté internationale.
Alors viendra l’heure de vérité pour les Maliens qui n’auront plus droit à aucune erreur, la disponibilité et la patience du monde n’étant pas sans limites. Ils devront immanquablement, sous la forme d’un dialogue national, apporter des réponses aux questions suivantes : comment s’est brisée la « vitrine » de la démocratie africaine ? Pourquoi l’armée et l’État se sont-ils effondrés ? Où étions-nous quand la gangrène de la corruption métastasait ? Qu’avons-nous fait et dit quand le narcotrafic prenait l’État en otage ? Qu’avons-nous fait pour empêcher l’installation de groupuscules jihadistes dans les montagnes de l’Adrar ? Où étions-nous quand les colonnes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) descendaient du Timétrine et se promenaient sur les rives du lac Faguibine et dans la forêt du Wagadu ?
Si nous ne jouons pas à l’autruche du désert, un nouveau pacte national définissant les relations entre toutes les communautés, égales en droits et en devoirs, et un nouveau pacte de refondation de la République régiront les contours d’un nouveau Mali, qui émergera de l’annus horribilis qu’a été 2012.
22/01/2013 à 16h:08 Par Tiébilé Dramé
Source: Jeune Afrique
Tiébilé Dramé du Parena et Moussa Ag Assarid du MNLA.© AFP/styeb (www.flickr.com/photos/styeb/)
L’ancien ministre malien des Affaires étrangères, Tiébilé Dramé, ne cache pas son hostilité à la rébellion du MNLA, par qui la crise est arrivée.
Débats animés, le 28 février à Paris, lors d’un colloque consacré au Sahel. Président du Parti pour la renaissance nationale (Parena) et ancien ministre malien des Affaires étrangères, Tiébilé Dramé s’en est pris avec vigueur au Mouvement national de libération de l’Azawad et à Moussa Ag Assarid, son représentant en Europe, qu’il n’a pas hésité à pointer du doigt. Il a aussi rappelé l’ensemble des concessions faites depuis plus de vingt ans par les autorités du Mali aux Touaregs, aujourd’hui bien représentés dans les instances politiques et au sein de l’armée. « Nous avons négocié avec les groupes armés au début des années 1990 et en 2006, cela n’a rien résolu, ils ont préféré pactiser avec le diable [Ansar Eddine et
23/03/2010 à 10h:39 Par Pierre-François Naudé
L’ancien ministre des Affaires étrangères est désormais lavé de tout soupçon.© DR
La procédure engagée contre l’ancien ministre des Affaires étrangères a été classée sans suite.
Il aura fallu trois ans et demi pour que la justice malienne lève enfin les soupçons qui pesaient sur Tiébilé Dramé, fondateur du Parti pour la renaissance nationale (Parena). La décision de justice notifiée le 11 mars par Sombé Théra, le procureur du tribunal de la commune III de Bamako, est sans appel. « Mon parquet a procédé au classement sans suite de la procédure d’enquête de la brigade économique financière de Bamako […] relative à la gestion des fonds mis à la disposition du Comité d’organisation du 23e Sommet Afrique-France », peut-on lire dans ce document, dont Jeune Afrique a obtenu la copie (fac-similé, ci-dessous).
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : L’honneur retrouvé de Tiébilé Dramé | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
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À l’initiative du Parti de la renaissance nationale (Parena de Tiébilé Dramé), une concertation sur les crises du Sahel a réuni à Bamako, les 10 et 11 décembre, de nombreux responsables des pays de la sous-région : société civile, élus locaux ou nationaux et représentants de partis au pouvoir ou dans l’opposition. Le constat est amer et le désengagement de l’État malien fortement critiqué.
Une trentaine de députés, quelque 200 maires et élus locaux des trois régions du Nord-Mali, ainsi qu’une vingtaine de représentants d’organisations indépendantes ont débattu pendant deux jours des problèmes d’instabilité et d’insécurité qui sévissent au Sahel. Les échanges ont été vifs, parfois violents. Des divergences communautaires ont éclaté et l’État malien a été souvent accusé de laxisme voire de démission face aux périls qui menacent les populations de la bande sahélo-saharienne.
Les témoignages de certains élus sont poignants, rendant la présence des salafistes moins virtuelle à tous ceux qui ne connaissent pas la réalité du terrain et ne perçoivent Aqmi qu’à travers ses messages vidéo ou audio. Hama Aboubacrine, vice-président du cercle de Goundam (200 kilomètres au sud de Tombouctou) raconte par exemple que les écoles de sa circonscription font régulièrement l’objet de « visites d’inspection par les salafistes. Ils interdisent les classes mixtes, chassent les enseignants de français et quand l’établissement obéit à leurs injonction, ils distribuent bonbons et stylos aux élèves.
Un poison nommé Aqmi
« À partir de Goundam, il n’y a ni préfet ni sous-préfet, poursuit Aboubacrine. La puissance publique qui administre, c’est Aqmi. » Tous les témoignages ont un point commun : ils relèvent l’absence de l’État. Et si les salafistes ne s’en prennent pas encore aux populations civile, ils empoisonnent déjà le quotidien de ces dernières, « mesurant la longueur des barbes des hommes, distribuant des voiles islamiques aux femmes et faisant passer, aux unes et aux autres, des tests de connaissance du Coran et de la charia. La situation est intenable », raconte le député de Bara, une circonscription qui abrite la fameuse forêt du Wagadou, devenue le fief de la Brigades des Moulathamine (« Enturbannés », NDLR).
Le narcotrafic est également dénoncé comme une menace sur la fragile cohésion intercommunautaire. Quant aux conséquences de la crise libyenne, elles contribuent à noircir un tableau déjà sombre : d’anciens combattants d’origine malienne de la Légion islamique de Kaddafi, sont revenus dans leur pays avec armes mais sans bagages, et l’irrédentisme touarègue se réveille avec, à la clé, la résurgence des velléités indépendantistes de l’Azawad.
À l’issue de deux jours de débats passionnés, décision a été prise d’institutionnaliser un mécanisme de concertation par une réunion périodique. La prochaine du même genre est ainsi prévue dans six mois à Niamey. L’initiative sera cette-fois confiée au Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS, au pouvoir).
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Par Cherif Ouazani, envoyé spécial à Bamako
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Lutte contre Aqmi : l’inaction de l’État malien critiquée à Bamako | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
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moi je pense que M. Dramé, pour avoir démontré sa capacité de rassembler les Maliens autour de l’idéal républicain et du renouveau démocratique, est l’homme de la situation. ce lui seul qui a dit a ATT de ne pas ce présenté a l’élection présidentielle du 2007. et voila le résulta. vive DRAME!!!
Ceux qui ont gouverné pendant 20 ans le cas Modibo Sidibé somaila cissé et Ibk , ceux qui ont gouverné pendant 10ans ou 15 ans , comme Oumar Mariiko pendant 5 ans avec le poste de ministre de la culture pour cheick oumar Sissoko, comme Mountaga Tall avec 2 postes de ministre pendant 10 ans,ceux qui ont refusé le hisser le drapeau de leur parti politique en suivant ATT commel’Adema, le CNID, l’URd, les 44 partis politiques qui ont optés pour le Takolèlin en 2007 doivent savoir que les responsabilités ne sont pas les mêmes en matière de gestion Tiébilé Dramé à étté désigné candidat en 2007,il n’a jamais participé à un gouvenement depuis 1997 et sur les 20 ans de démocratie il a été ministre sous la transition pendant 14 mois et 1997 pendant un an une première en demissionnat de son poste de ministre pour affronté le suffrage universel élu député il quitte le gouvernement.
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tiebilé dramé comme résident de la république du Mali serait plus qu’un drame.
tiebilé dramé comme président de la république du Mali serait plus qu’un drame.
NON MERCI. PERSONNE N’EN VEUT.
Malgré ce parcours élogieux, M. DRAME n’est pas sans reproche comme tous les hommes poltiques du mvt democratiques. Ils ont tous pillé ce pays en leur manière.Lui a été accusé d’avoir détourné les sous du sommet France Afrique au Mali ici.L’élite du mouvement démocratique est disqualifiée et il faut partir avec une nouvelle génération de politiciens respectueux des deniers publics.De toute les élections ne gagnent dans les salons de Paris.Certes la diaspora est un apport important pour le pays, mais elle très éloignée de la réalité pour pouvoir donner des consignes de vôte.Tous ces hommes politiques sont pareils.Leur seul souci, c’est s’enrichir et qu’importe la manière.
MERCI
Demandez à tous les candidats qu’ils fassent une déclaration sur l’honneur sur leurs biens, le modeste Tiébilé Dramé n’a qu’une seulle 1 maison construite en 1993 lorsque il était fonctionnaire international de l’onu en Haiti ,après avoir quitté le gouvernement .
Quel homme politique au Mali a le même parcours politique, nous sommes sur le terrain politique il a servi le mali l’afrique et le monde présent sur tous les fronts au Mali en Europe et en Amérique dit mieux on peut ne pas l’aimer c’est un homme d’Etat patriote et républicain il ne travaille jamais contre le Mali
Qeul Tiébilé, foutez nous la paix, au nom de quel peuple? N’importe quoi? qui ne connait pas cet homme qui avec les autres ont dilapidés ce pays. Tièblé=Alpha. Nous ne voulons rien savoir de ces hommes des régimes Alpha et ATT. Jamais la diaspora ne votera cet homme, c’est peut-être une partie de cette diaspora qui vient de la même localité que lui.
Tiébilé Dramé
Né le 9 juin 1955 à Nioro du Sahel (Mali).
Homme politique malien, Président du Parti pour la renaissance nationale (PARENA). Ancien leader estudiantin, Tiébilé Dramé a été emprisonné à plusieurs reprises sous le régime du général Moussa Traoré, notamment au nord, à Bougheïssa, Ménaka et Talataye, à cause de son combat en faveur des libertés estudiantines et de la démocratie. En tant que Secrétaire général de l’Association des Elèves et Etudiants de l’École Normale Supérieure et de l’Union Nationale des Élèves et Étudiants du Mali (UNEEM), il a été l’un des principaux dirigeants des grèves et manifestations estudiantines dans les années 1977-1980.
Ancien “prisonnier d’opinion” adopté par Amnesty International, militant des droits de l’homme, il a travaillé, pendant plusieurs années au Secrétariat International d’Amnesty International, à Londres, où il enquêtait sur les violations des droits de l’homme dans les pays d’Afrique de l’Ouest francophone (notamment Bénin, Guinée-Conakry, Mauritanie, Niger et Sénégal).
Exilé en France et en Angleterre pendant dix ans, il a milité activement dans les milieux de l’immigration malienne et dans la diaspora africaine et antillaise. Membre actif du Comité de défense des libertés démocratiques au Mali (CDLDM), du Collectif Anti-Apartheid (CAA), du Comité international de défense des ouvriers africains (CIDOA), il a dirigé l’Association pour la promotion des cultures minoritaires en France (Promoculture) et la radio Diaspora 2000 (Tropic FM).
Militant du Mouvement démocratique, sensible au devenir des travailleurs migrants et de leurs familles, il était présent à leurs côtés, leur dispensant des cours d’alphabétisation dans les foyers, et soutenant leurs luttes notamment les grèves de loyers, les grèves contre les plans de licenciements ou pour une amélioration de leurs conditions de travail.
Tiébilé Dramé a été le principal responsable à l’extérieur du groupe politique clandestin “Union de lutte Tiémoko Garan Kouyaté” (ULTGK) qui a été à l’origine de la création de l’Association Nelson Mandela et de l’ADIDE (association des jeunes diplômés sans emploi) en 1987, du CNID-Association et de l’AEEM (Association des élèves et étudiants du Mali), en octobre 1990.
Rentré d’exil après la révolution démocratique de mars 1991, il a été nommé Ministre chargé des Maliens de l’Extérieur, puis Ministre des Affaires Etrangères du gouvernement de la 1ère Transition.
Il a, plus tard, occupé les fonctions de Ministre des Zones arides et Semi-arides.
A la fin de la Transition, il lance l’hebdomadaire “Le Républicain”, qui deviendra par la suite l’un des principaux quotidiens de référence de la presse malienne.
Elu député à l’Assemblée nationale du Mali en 1997, il a été membre du Comité interparlementaire de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) qu’il a présidé de 2001 à 2002.
Il a dirigé le Comité d’organisation du sommet Afrique-France qui s’est tenu à Bamako les 3 et 4 décembre 2005.
Tiébilé Dramé a servi comme fonctionnaire des Nations unies dans plusieurs pays en crise (Haïti, Burundi).
Médiateur de l’ONU dans la crise malgache en 2009, il a joué un rôle de premier plan dans les négociations inter-malgaches de Maputo et d’Addis-Abeba.
Tiébilé Dramé s’est présenté à l’élection présidentielle en 2002 et en 2007.
Il a été l’un des premiers responsables politiques maliens à s’opposer au coup d’Etat du 22 mars 2012. Au sein du Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (le front anti-putsch), il a réclamé la restauration de l’ordre constitutionnel, le retour des militaires dans les casernes et leur soumission à l’autorité politique.
Très tôt, il a pris conscience de l’importance de la crise du Nord dans la stabilité du Mali et la sécurité de la sous-région. Préconisant de “surveiller le Nord comme du lait sur le feu”, Dramé a, à plusieurs reprises, au sein du PARENA, puis de la Coalition pour le Mali, œuvré avec une rare détermination à la résolution de la crise sur une base démocratique, juste et durable.
Tiébilé Dramé est marié et père de famille.
et après
Tiébilé Dramé
Né le 9 juin 1955 à Nioro du Sahel (Mali).
Homme politique malien, Président du Parti pour la renaissance nationale (PARENA). Ancien leader estudiantin, Tiébilé Dramé a été emprisonné à plusieurs reprises sous le régime du général Moussa Traoré, notamment au nord, à Bougheïssa, Ménaka et Talataye, à cause de son combat en faveur des libertés estudiantines et de la démocratie. En tant que Secrétaire général de l’Association des Elèves et Etudiants de l’École Normale Supérieure et de l’Union Nationale des Élèves et Étudiants du Mali (UNEEM), il a été l’un des principaux dirigeants des grèves et manifestations estudiantines dans les années 1977-1980.
Ancien “prisonnier d’opinion” adopté par Amnesty International, militant des droits de l’homme, il a travaillé, pendant plusieurs années au Secrétariat International d’Amnesty International, à Londres, où il enquêtait sur les violations des droits de l’homme dans les pays d’Afrique de l’Ouest francophone (notamment Bénin, Guinée-Conakry, Mauritanie, Niger et Sénégal).
Exilé en France et en Angleterre pendant dix ans, il a milité activement dans les milieux de l’immigration malienne et dans la diaspora africaine et antillaise. Membre actif du Comité de défense des libertés démocratiques au Mali (CDLDM), du Collectif Anti-Apartheid (CAA), du Comité international de défense des ouvriers africains (CIDOA), il a dirigé l’Association pour la promotion des cultures minoritaires en France (Promoculture) et la radio Diaspora 2000 (Tropic FM).
Militant du Mouvement démocratique, sensible au devenir des travailleurs migrants et de leurs familles, il était présent à leurs côtés, leur dispensant des cours d’alphabétisation dans les foyers, et soutenant leurs luttes notamment les grèves de loyers, les grèves contre les plans de licenciements ou pour une amélioration de leurs conditions de travail.
Tiébilé Dramé a été le principal responsable à l’extérieur du groupe politique clandestin “Union de lutte Tiémoko Garan Kouyaté” (ULTGK) qui a été à l’origine de la création de l’Association Nelson Mandela et de l’ADIDE (association des jeunes diplômés sans emploi) en 1987, du CNID-Association et de l’AEEM (Association des élèves et étudiants du Mali), en octobre 1990.
Rentré d’exil après la révolution démocratique de mars 1991, il a été nommé Ministre chargé des Maliens de l’Extérieur, puis Ministre des Affaires Etrangères du gouvernement de la 1ère Transition.
Il a, plus tard, occupé les fonctions de Ministre des Zones arides et Semi-arides.
A la fin de la Transition, il lance l’hebdomadaire “Le Républicain”, qui deviendra par la suite l’un des principaux quotidiens de référence de la presse malienne.
Elu député à l’Assemblée nationale du Mali en 1997, il a été membre du Comité interparlementaire de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) qu’il a présidé de 2001 à 2002.
Il a dirigé le Comité d’organisation du sommet Afrique-France qui s’est tenu à Bamako les 3 et 4 décembre 2005.
Tiébilé Dramé a servi comme fonctionnaire des Nations unies dans plusieurs pays en crise (Haïti, Burundi).
Médiateur de l’ONU dans la crise malgache en 2009, il a joué un rôle de premier plan dans les négociations inter-malgaches de Maputo et d’Addis-Abeba.
Tiébilé Dramé s’est présenté à l’élection présidentielle en 2002 et en 2007.
Il a été l’un des premiers responsables politiques maliens à s’opposer au coup d’Etat du 22 mars 2012. Au sein du Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (le front anti-putsch), il a réclamé la restauration de l’ordre constitutionnel, le retour des militaires dans les casernes et leur soumission à l’autorité politique.
Très tôt, il a pris conscience de l’importance de la crise du Nord dans la stabilité du Mali et la sécurité de la sous-région. Préconisant de “surveiller le Nord comme du lait sur le feu”, Dramé a, à plusieurs reprises, au sein du PARENA, puis de la Coalition pour le Mali, œuvré avec une rare détermination à la résolution de la crise sur une base démocratique, juste et durable.
Tiébilé Dramé est marié et père de famille.
IL PEUT RIEN POUR LE MALI. SA FORMATION EST PRESQUE N’INEXISTANTE SEULEMENT LA PERSONNALITE DE KONIMBA FAISAIT VIVRE CE PARTI A L’AN.
Tiebilé Dramé milite depuis 1976 arrêté en 1977 en mai pour avoir assisté à l’enterrement du Président modibo Keita il n’avait que 22 ans soit le plus jeune prisonnier politique du Mali il purgea 6 mois mois de prison abonné en prison notamment au Nord , Boureissa ,Menaka,Talataye etc il s’exila en 1981 en France , déjà en prison il est adopté comme prisonnier politique par Amnesty international , il travailla durant plusieurs années au. sein de cette organisation internationale sur les violations des droits de l’homme en Afrique de l’ouest sauf sur le Mali simplement il est malien et exilé politique ‘ en France il est leader de la lutte anti-apartheid jusqu’à l’assassinat de Dulcie September la représentante de L’Anc de Mandela , Oui Tiebilé Dramé est l’homme
Tiéblé Dramé a beau soulevé les foules à l’extérieur, il finira par rentré au Mali pour se soumettre au suffrage du peuple. Combien pèse la diaspora dans le total des votes. Tiéblén sait ce qui l’attend, il va rendre rendre compte de sa gestion du sommet Afrique- France. Et ce n’est parce qu’il est marié à la fille de Alpha qu’il aura des axcuses et que les maliens lui donneront leur caution, lui qui est d’ailleurs en perte de vitesse avec le départ de plusieurs de ses camarades.
YES WE CAN
VOTER POUR ADEMA, LE SUL PARTI MIEUX IMPLANTER DANS TOUT LE GRAND MALI ET VOTER POUR LE CHARISMATIQUE DRAMANE DEMBELE,IL EST VISIONNAIRE , AUDACIEUX,INTELLO ET BIEN FRIQUER.
AU CAS DRA PASSE, VOICI BRIEVEMENT LA COMPOSITION DU GOUVERNEMENT, CHER LECTEURS AIDER NOUS A BIEN COMPLETER CE GOVT.
1°) 1ER MINISTRE HIS EXCELLENCY PROFESSOR OUSMANE SY
2°) MINISTRE DES AFFAIRES RELIGIEUSES ET DES PENSIONS DE LA RETRAITE IBA NDIAYE
3°) MINISTRE DE LA PROMO FEMININE ET DU MARIAGE FATOUMATA SIRE DIAKITE
4°) MINISTRE DES AFFAIRES FONCIERES DU CADASTRE ET DES DOMAINES DE L’ETAT ADAMA SANGARE
5°) MINISTRERE CHARGE DE L’AMBIANCE ET DE LA DETENTE A DIANE SEMEGA ( A RAPPELER DE DAKAR)
6°) GRAND CHANCELIER DE L’ORDRE NATIONAL AMADOU TOUMANI TOURE
7°) MINISTRE CHARGE DES ELECTIONS & CONTENTIEUX ELECTORAUX
Me KASSIM TAPO
8°) MINISTRE INFO & COMMUNICATION SY SOLOMANE SY
LE RESTE DE POSTES A POURVOIR
ALLELUIA ADEMA NEW LOOK ET QUE VIVE LA PAIX AU MALI
BONNE INSPIRATION.
Tiébilé et Alpha sont les memes, tiébilé était le président de la rencontre france-afrique et on sait qu’il a dilapidé les ressources maigres du Mali.
A l’exterieur, il va essayer de corriger son image mais au Mali nous les connaissons tous.
Les maliens de l’exterieur et ceux de l’interieur, nous devons unir pour un désigner un président crédible,il faut etudier tous les candidats à l’election présidentielle donc suivre pas à pas tous les candidats.
….le même Tièblé DRAME a été chargé par ATT de l’organisation du sommet France-Afrique, tenu à Bamako avec un budget…Et quelques mois après, M.DRAME fut controlé et épinglé par le VG Sidi Soso DIARRA pour “malversation”, puisque tout le monde sait que dans de telles circonstances, L’ON NE DEPENSE PAS TOUT l’argent destiné à organiser une telle cérémonie si grandiose!Tièblé DRAME à qui nous avions jusque là porté toute notre confiance aurait échappé à la prison grâce au “je ne veux pas humilier les chefs de familles” du régime “Bè Bi Ba Bolo” d’ATT.Au Mali,quand on dit “aw ya chin tougnè la”, ça c’est pour les étrangers sinon entre nous autochtones, nous savons qui est qui.Sans rancune, né bora kouma la yan. 😉
Au Mali on aime dénigrer on aime insulter , rappel de quelques œuvres de cet homme hors du commun Ministre des maliens de l’extérieur il met en place le Haut Conseil des maliens de l’extérieur pour la defense de nos compatriotes estimés a 4 millions ,ministre des affaires étrangères il supprima le visa de sortie pour les maliens , il instaure un visa pour les français , ministre des zones arides il organisa une table ronde internationale pour le développement de la région de Kayes c’est dire tous les projets sur les infrastructures de route est a son actif , il réhabilite le lac faguibine , il vient en France défendre les sans papiers maliens et africains , sur la plan international il est le premier malien médiateur de l’ONU en Haïti 1993, et envoyé spécial de l’ONU a Madagascar en 2009 , il n’a été ministre sous la transition que pendant mois ,étant ministre des zones arides il quitter pour entrer a l’assemblée nationale comme député oui il est l’homme qu’il faut pour le Mali ,
Ceux qui ont gouverné pendant 20 ans le cas Modibo Sidibé somaila cissé et Ibk , ceux qui ont gouverné pendant 10ans ou 15 ans , comme Oumar Mariiko pendant 5 ans avec le poste de ministre de la culture pour cheick oumar Sissoko, comme Mountaga Tall avec 2 postes de ministre pendant 10 ans,ceux qui ont refusé le hisser le drapeau de leur parti politique en suivant ATT commel’Adema, le CNID, l’URd, les 44 partis politiques qui ont optés pour le Takolèlin en 2007 doivent savoir que les responsabilités ne sont pas les mêmes en matière de gestion Tiébilé Dramé à étté désigné candidat en 2007,il n’a jamais participé à un gouvenement depuis 1997 et sur les 20 ans de démocratie il a été ministre sous la transition pendant 14 mois et 1997 pendant un an une première en demissionnat de son poste de ministre pour affronté le suffrage universel élu député il quitte le gouvernement
Bamako2012 , tu es payer a Combien pr SOUTENIR Tieble drame? En Donnant des COMMENTAIRES sur Lui ici chaque mn?je crois que tu es Tieble drame Lui meme ou tu es de la famille de Tieble drame,c est facile de connaitre qui est derrière le clavier sur Ce forum.
TOUS CES POLITICIENS SONT LES MEMES,TOUS VEULENT REMPLIR SEULEMENT LEUR POCHE ET LES POCHES DE LEUR PROCHES, NUL N EN L’AMOUR DE SON PAYS, DE FAIRE EN SORTE QUE LE MALI DE DAMAIN SOIT MEILLEUR QU AUJOURD’HUI .PAuvre MALI.
ON DOIT DONNER LA CHANCE AUX NOUVEAUX,NOUS SOMMES FATIGUER AVEC LES MEMES TETES QUI NE FONT QUE RECULER CE PAYS. Maliens reveillons nous….
Tiebilé Dramé milite depuis 1976 arrêté en 1977 en mai pour avoir assisté à l’enterrement du Président modibo Keita il n’avait que 22 ans soit le plus jeune prisonnier politique du Mali il purgea 6 mois mois de prison abonné en prison notamment au Nord , Boureissa ,Menaka,Talataye etc il s’exila en 1981 en France , déjà en prison il est adopté comme prisonnier politique par Amnesty international , il travailla durant plusieurs années au. sein de cette organisation internationale sur les violations des droits de l’homme en Afrique de l’ouest sauf sur le Mali simplement il est malien et exilé politique ‘ en France il est leader de la lutte anti-apartheid jusqu’à l’assassinat de Dulcie September la représentante de L’Anc de Mandela , Oui Tiebilé Dramé est une chance pour le Mali
Tiébilén… ou pas Bilén… ce qu’il faut aujourd’hui à la tête du Mali, c’est un dictateur éclairé. Capable d’ordonner d’éliminer physiquement ces hordes de chiens enragés algériens, sahraouis, mauritaniens, tunisiens, pakistanais… assassins, drogués et vendeurs de drogue… qui circulent chez nous.
, il faut au Mali
Au Mali on aime dénigrer on aime insulter , rappel de quelques œuvres de cet homme hors du commun Ministre des maliens de l’extérieur il met en place le Haut Conseil des maliens de l’extérieur pour la defense de nos compatriotes estimés a 4 millions ,ministre des affaires étrangères il supprima le visa de sortie pour les maliens , il instaure un visa pour les français , ministre des zones arides il organisa une table ronde internationale pour le développement de la région de Kayes c’est dire tous les projets sur les infrastructures de route est a son actif , il réhabilite le lac faguibine , il vient en France défendre les sans papiers maliens et africains , sur la plan international il est le premier malien médiateur de l’ONU en Haïti 1993, et envoyé spécial de l’ONU a Madagascar en 2009 , il n’a été ministre sous la transition que pendant mois ,étant ministre des zones arides il quitter pour entrer a l’assemblée nationale comme député oui il est l’homme qu’il faut pour le Mali ,
Tavarish a des difficultes avec la verite et Sambou a raison que nous n’allons pas revenir par derriere et repeter les memes fautes et memes erreurs fatales pour l’existence meme de notre republique. Bien apres tout c’est un article du Republicain donc c’est Tiebilen qui parle a Tiebilen.
🙄
Salut Koro KING!E ni fama sa!!!! 😉
Tièblé Dramé est certes notre voisin ici au 16 ieme cela ne veut pas dire qu’il sera le candidat de toute la diaspora!Le problème du Mali, c’est justement eux les politiciens véreux, qui ont eu à reconforter ATT dans sa gestion consensuelle du pouvoir!L’on ne saura jamais faire du neuf avec du vieux!Vivement une autre race de classe politique à la malienne. 😉
Dans l’Armee on est en train de construire du neuf avec du vieux, pourquoi ne pas essayer la meme chose avec les politiciens aussi.Ces politiciens ont choisi de faire la politique et personne d’autre ne peut la faire a leur place.
Ceux qui ont gouverné pendant 20 ans le cas Modibo Sidibé somaila cissé et Ibk , ceux qui ont gouverné pendant 10ans ou 15 ans , comme Oumar Mariiko pendant 5 ans avec le poste de ministre de la culture pour cheick oumar Sissoko, comme Mountaga Tall avec 2 postes de ministre pendant 10 ans,ceux qui ont refusé le hisser le drapeau de leur parti politique en suivant ATT commel’Adema, le CNID, l’URd, les 44 partis politiques qui ont optés pour le Takolèlin en 2007 doivent savoir que les responsabilités ne sont pas les mêmes en matière de gestion Tiébilé Dramé à étté désigné candidat en 2007,il n’a jamais participé à un gouvenement depuis 1997 et sur les 20 ans de démocratie il a été ministre sous la transition pendant 14 mois et 1997 pendant un an une première en demissionnat de son poste de ministre pour affronté le suffrage universel élu député il quitte le gouvernement.
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