Edito : La veste à retourner

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ibk discours1Mercredi 04 Septembre 2013 au centre International de Bamako ; c’est la date et le lieu qui marqueront l’entrée officielle d’Ibrahim Boubacar Keïta en qualité de président de la République du Mali. Un jour déjà entré dans l’histoire et qui restera indélébile. Surtout aux yeux des citoyens maliens qui lui ont jeté leur dévolu afin qu’il prenne possession avec fracas le pouvoir malmené par des ennemis de la République.

Cet homme connu comme un leader politique à poigne ; la communauté internationale, les organisations africaines, le Mali attendent de lui  un plein succès des défis énormes constituant des embuches pour un Mali nouveau et prospère. Ce soutien inconditionnel à son honneur, il le fallait. Car parmi les vingtaines de candidats en lice pour le poste de président, il était le seul jugé être un homme de principe qui peut sortir le pays de l’ornière. Son passé politique dans les affaires de l’Etat en est beaucoup pour son plébiscite. Le verbal a gagné. Un soutien colossal, résultat d’un score à la soviétique.

Maintenant l’exercice lui attend. Et le plus inquiétant, c’est la gestion du pouvoir ; compte tenu de la présence de la majorité présidentielle. Tout le monde ou presque est avec lui. Y aura-t-il question ou partage du gâteau ?

 

Si oui cela serait un énorme danger qui plane sur la tête d’IBK. Le résultat de la gestion du pouvoir d’ATT par tous et pour tous en est un facteur palpable à ne pas négliger. Une majorité présidentielle qui a mis à genou tout une nation.

 

Saura-t-il les géré tous ? Difficile.  Il retournera forcement la veste. Et se débarrassera des mauvaises graines qui encombrent pour rien.  Il en est conscient. Car il a été clair dès le départ. Aucune promesse et les postes seront partagés selon les mérites et compétences.

Boubacar Yalkoué

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11 COMMENTAIRES

  1. même mon neveu sorti du second cycle franco-arabe ne commettrait autant de “fautes” comme ce minable d’éditorialiste qui plus semble fier de l’être… où va notre pays ?

  2. Pour faire un éditorial, il faut savoir écrire en français. Et tu es nul, et ton journal est aussi nul pour avoir JETE SON DEVEOLU SUR TOI » et non pas « à toi » comme éditorialiste. C’est quoi, cette légèreté dans l’expression ? Tu ne sais pas qu’on ne jette son dévolu à quelqu’un, mais SUR QUELQU’UN ? Qu’on ne prend possession le pouvoir, mais DU POUVOIR. Les « vingtaines de candidats », soit quarante candidats au minimum ? Tu as bien compté ? Et ta bêtise d’aligner juger et être, est-ce utile ? L’un ne devrait-il pas éliminer l’autre pour faire concis ? Pour son plébiscite ? N’as-tu pas hésité entre ce qui tu as écrit et « DANS SON PLEBISCITE ». Le verbal a gagné. Je ne te demande pas d’explication, parce que tu ne pourras pas. Par contre « Maintenant l’exercice lui attend », c’est franchement honteux. « Y aura-t-il question ou partage de gâteau » ?????????????
    « Sauras-t-il les géré tous ? », sais-tu ce que c’est que l’infinitif des verbes ? Les règles de son usage ?

    • hey tu nous embêtes ,tu n’es pas obligé de lire le billet du journaliste à plus forte raison de nous agacer avec tes démonstrations d’un je connais tout,et alors bon sang tu feras mieux de postuler à l’académie française , bof !tu as tout l’air de quelqu’un à humeur excécrable sion pourquoi tout cet agissement ? Certais lecteurs en lieu et place agiront en faisant preuve de mansuétude , en mettant,en exergue les fautes sus-mentionnées , bofff comme toi tu veux corriger même le dictionnaire qui est incorporé dans le navigateur , alors bon vent !
      bon c’est bien d’être rigoureux , euh ben il faut commencer cette riguer synthaxique chez d’abord tes propres progénitures qui excellent encore fois mieux en français SMS qu’en français académique ou standard !
      anyway best regards Mr VAUGELAS !
      mais de grâce ayerl e reflexe d’être courtois , surtout à l’abordage des gens.En te lisant on a l’impression que chez toi ni lapsus calami ni lapsus linguae ne sont tolérs à fortiori des ERRATA

      • Du calme, toi ! La liberté d’expression est aussi la liberté d’information. L’obligation incombe à celui qui nous soumet ses écrits, de respecter une norme et une éthique…grammaticale et syntaxique. C’est curieux de me faire la léçon de courtoisie lorsque tu commence ton mot de façon aussi ordurière. Qu’est-ce que ma progéniture vient voir dans ce débat entre adultes ?
        J’attendais que tu me dises si mes opbservations sont justes ou pas, pas de prendre la cape du magicien et déviner mon être. Tu t’es défoulé sans auguments mais tu as vu juste dans ta dernière phrase : ce n’est pas une impréssion c’est ma réalité, je n’aime pas la médiocrité. Pour autant tu ne m’inspires aucun sentiment négatif au motif qu’une telle attitude puisse te déranger. Tu es comme tu es..

  3. “Car il a été clair dès le départ. Aucune promesse et les postes seront partagés selon les mérites et compétences.”

    Etre “clair” au micro des journalistes n’est chose très compliquée: TOUS les hommes politiques quels qu’ils soient excellent dans ce domaine!

    Etre fidèle à ses promesses est par contre beaucoup plus difficile, et relation de cause à effet oblige, c’est aussi beaucoup plus RARE en politique;

    Rien ne sert de spéculer dans un sens ou dans l’autre, et les “IBK fera” ou les “IBK ne fera pas” ne sont plus de mise; Ouvrons les yeux, regardons, et nous aurons la réponse tout de suite!

  4. Comment IBK peut-il gérer l’Assemblée Nationale sans alliance, sans partage de gâteau? Les grands principes et la realpolitik…

    • nonalinertie

      “Comment IBK peut-il gérer l’Assemblée Nationale sans alliance, sans partage de gâteau?”

      Merci de ta lucidité mon frère! 😉 😉

      Mais de toutes façons, on va TOUS avoir la réponse maintenant.

  5. Pas de promesse c’est vrai; mais subit déjà la pression avec son investiture en deux temps?

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