Au Mali, le front social, en ébullition constante, ne connait pas de répit. A l’évidence, il a même subi un regain de dynamisme. Les syndicats ont légitimement voulu mettre à profit le mi-mandat d’IBK pour faire monter les enchères. Et, surtout, crier fort leur désarroi devant ce qu’ils considèrent comme la surdité d’un gouvernement, dont le chef d’équipe a visiblement des soucis plus immédiats que la gestion des affaires de l’Etat.
L’année 2016 risque de n’être pas de tout repos pour le régime en place, surtout du côté du front social où les acteurs affûtent de plus en plus leurs armes contre un gouvernement accusé par tous de non respect de promesses de campagne et de ne pas s’intéresser aux préoccupations des travailleurs du pays. Loin du « délai de grâce » accordé au régime de Ibrahim Boubacar Keïta, les travailleurs de l’hôpital Gabriel Touré, ceux de l’ORTM tout comme la Coordination syndicale de l’enseignement secondaire(COSES) qui regroupe cinq syndicats de l’enseignement secondaire, et le Comité syndical des services du travail du Mali (CSST) sont sur le pied de guerre. Les différents syndicats de ces structures susnommées ont, pour la plupart, déposé des préavis de grève pour croiser le fer avec le gouvernement du Mali. La dernière organisation syndicale à plonger dans la mêlée est ainsi la Coordination syndicale de l’enseignement secondaire(COSES) qui a commencé un arrêt de travail afin d’exiger le paiement des salaires du mois de janvier. « Pour le non paiement des salaires du mois de janvier de nos militants de Bamako, de Kita, de Bafoulabé et de Yélimané, le BEN –COSES a décidé, de façon unanime, de cesser le travail jusqu’au paiement intégral des salaires desdits militants», déclare le secrétaire général Adama Konaté.
A la direction nationale du travail, le Comité syndical des services du travail est en grève de 72 heures depuis hier. Le syndicat demande plus de moyens humains, matériels et financiers afin d’exercer la mission des travailleurs en toute impartialité.
Les mois passés ont été, aussi, très mouvementés à l’Office de radiodiffusion et télévision du Mali (ORTM). En effet, les travailleurs de Bozola ont observé deux jours de grève en décembre et 3 jours de grève en janvier suite à une rupture des négociations entre le syndicat et le gouvernement. Parmi les huit points de revendications du syndicat de la première chaine nationale du Mali figurent l’abrogation des lois portant sur la restructuration de l’Ortm, l’harmonisation du statut des entités à créer dans le cadre de la restructuration de l’ORTM; l’indemnisation des agents de l’ORTM pour le préjudice subi lors du coup d’Etat du 22 mars 2012… Abdrahamane Hinfa Touré, le secrétaire général du comité syndical de l’ORTM n’exclut pas une grève illimitée pour la satisfaction de leurs doléances.
Et même s’il y a une brève accalmie à l’hôpital Gabriel Touré avec le départ du « contesté » directeur général, la tension couve toujours. Cet hôpital de référence au Mali est en proie, depuis plusieurs mois, à une récurrence de manifestations. Les travailleurs exigent : l’amélioration des conditions d’accueil, d’hospitalisation et de soins des patients ; l’adoption et l’application à l’hôpital d’un organigramme consensuel ; le respect des textes dans la gestion de la carrière des travailleurs ; l’octroi d’une cantine appropriée pour les travailleurs, etc.
Déjà à mi mandat, IBK, le président du Mali, doit donner des signaux forts pour rassurer les syndicats et calmer les esprits. En effet, la culture de la confrontation a pris le pas sur le compromis et le consensus nécessaire pour la stabilité sociale du pays qui est déjà fortement secoué par la crise au nord. Il appartient, donc au gouvernement de prendre des initiatives, de parler aux organisations syndicales et de respecter les échéances retenues.
Madiassa Kaba Diakité
” les acteurs affûtent de plus en plus leurs armes contre un gouvernement accusé par tous de non respect de promesses de campagne et de ne pas s’intéresser aux préoccupations des travailleurs du pays. ”
Le président IBK tient toujours ses promesses et il est préoccupé par le bien-être de ses concitoyens. Cependant, je demande de faire preuve d’indulgence et de ne pas daigner ignorer le fait que nous revenons d’une crise qui a fragilisé ce pays. Et que chacun devrait consentir une part de sacrifice dans le renouveau de ce pays.
” Les différents syndicats de ces structures susnommées ont, pour la plupart, déposé des préavis de grève pour croiser le fer avec le gouvernement du Mali. ” 😆 😆 😆 😆 😆 😆
A mon avis, les deux parties ont intérêts à faire profil bas car la force n’a jamais rien régler. Il faut toujours privilégier le dialogue malgré les différends.
Je pense que ces grèves ne visent qu’à discréditer le président IBK et son gouvernement.
Mais les détracteurs doivent comprendre que les président ne peut pas être tenu responsable d’une erreur commise par ses prédécesseurs.
Le président IBK trouvé ce pays dans la merde par la faute de ses prédécesseurs.
Et depuis,il fait tout son possible pour régler tous les problèmes dont il a hérité.
Ne venez donc pas nous raconter des sottises…
Je pense qu’il est tout à fait normal de revendiquer des privilèges dans l’exercice d’une fonction afin de le mener à bien. Mais, cela doit se faire de façon intelligente et responsable en tenant compte le contexte dans lequel nous nous trouvions. Je demande aux différents syndicats de l’indulgence et que l’Etat mettra tout en oeuvre pour trouver une solution à ses revendications pour le bien de tous.
Le président IBK ne peut ps être tenu responsable des dégât créer par ses prédécesseurs.
Toutes ces injustices sociales ont été laissées par les pouvoir passés et le président IBK dfais tout son possible pour y remédier.
Il me semble que ici dans ce pays, les gens n’aiment pas le changement. En effet, l’Etat a décidé de procéder à une reforme de l’ORTM. Et il se trouve que le syndicat des agents de cette structure s’oppose à cette reforme. Je pense que si l’Etat a pris la résolution de faire une reforme, c’est qu’il y a besoin. Alors, je leur demande de se raviser et que l’Etat, en faisant cette reforme prendra en compte leurs revendications.
Le président ne sera pas sourd face à ces revendications de ces différents syndicats. Cependant, il faut qu’ils fassent preuve de discernement et responsabilité car nous sommes engagement dans un processus de paix. Donc, il faut que chacun fasse un sacrifice pour le bien de cette nation.
Je demande aux différents syndicats de savoir raison garder car le pays revient d’une crise et que les choses peuvent être réglées toutes ensemble. Elles le seront fur et à mesure que nous avancerons. Donc, il faut qu’ils tiennent compte de la situation actuelle du pays.
Je pense que le limogeage de l’ex directeur de l’hôpital Gabriel est du à ces tentions récurrentes au sein dudit hôpital. Je demande aux agents de cet hôpital à rester serein et de faire confiance au président et son gouvernement très vite une issue favorable sera trouvée à leur revendication.
Je pense que les reformes envisagées par l’Etat à l’ORTM est dans le cadre de rendre notre télévision plus dynamique. Certes on ne peut pas être d’accord sur certains points, mais il faut toujours privilégier le dialogue. Car le dialogue est l’arme des forts.
A mon avis, si l’Etat envisage de faire une reforme au sein de l’ORTM, il en a mesuré les pour et les contre. En aucun cas, l’Etat entreprendrait une reforme qui ne prend pas en compte les revendications du syndicat de ladite structure. Donc, que le secrétaire dudit syndicat sache raison garder pour le bien de ses syndiqués.
Pauvre journaliste, vous faites honte de la presse Malienne, car tous ceux vous dites sont loin d’être une réalité, vous faites la honte de la presse Malienne.
Je me demande très souvent pourquoi les journalistes Maliens ne font pas exactement leurs travailles ?
IBK est un chef d’Etat extraordinaire, mais de tout cela certains cherchent à rendre la situation plus compliqué, comme certains journalistes et certains membres des partis politiques.
Mais de tout compte fait la population doit avoir toujours confiance à IBK, il est la solution à nos problèmes, il est venu au pouvoir le bonheur des Maliens.
La population Malienne sait réellement qu’IBK est l’homme de la situation, un homme de parole un vrai patriote, un reflet de la paix et de bonheur.Alors que ces syndicalistes sachent qu’IBK règlera leur indemnités .
Il en train de réaliser les rêves des Maliens, car tous ceux qu’il dit sont en train de réalisé, depuis son arrivé, le Mali a vécu une paix durable et une atmosphère pure, mais malgré tout cela certains cherchent à rendre la situation plus difficile. Il se sacrifie pour le bonheur des Maliens.
Alors soyer patient et le gouvernement règlera définitivement tous vos soucis.
Comme il a dit toujours que « LE MALI D4ABORD, LE BONHEUR DE MALIENS », avant son arrivé au pouvoir, le Mali était sur le point de faiblesse, le Mali était dans une situation plus pire due au régime précédent, c’est-à-dire sous ATT le pays vivait dans une situation plus difficile, mais avec l’arrivé d’IBK, le pays marche maintenant à deux pieds sur tous les plans.
Pauvre journaliste, le président de la république est un homme de parole, un vrai patriote, tous les promesses tenus par IBK sont entrain de réalisé, le premier objectif de président de la république était de maintenir la paix et la sécurité dans le pays.
Déjà à mi mandat, IBK, le président du Mali, doit donner des signaux forts pour rassurer les syndicats et calmer les esprits. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡
En effet, comme le chargé de communication de la présidence l’a annoncé lors d’une récente rencontre avec la presse beaucoup de choses sont en train d’être faites pour améliorer les conditions de vies des travailleurs et des populations en générale. Il faut donc organiser des rencontres avec les différentes centrales syndicales pour leur expliquer ces choses et demander leur patience et leur indulgence.
Le droit de grève est un droit garanti par la loi, pour faire respecter ses droits ou revendiquer des améliorations.Mais nous souhaitons que ces differentes organisations se calme avant de revendiquer quoi que ce soit car si les conditions du pays par la crise ne sont pas encore stable les conditions du peuple ne le seront pas non plus alors un peu de calme.
Les syndicats ne sont pas non plus pour rien dans les échecs récents : avant d’en arriver à la grève, il y a des négociations, mais au Mali, on a l’impression que les négociateurs ne sont pas vraiment mandatés par les militants de base.Ils veulent simplement déranger le gouvernement en place .
Il est nécessaire ,voir même important de revendiquer ses droits ,mais il faut savoir et comprendre aussi les réalités de notre pays avant de les revendiquer .Notre pays est actuellement secoué par cette crise alors apprenez à mettre un peu d’eau dans votre vin.
Je pense que l’état et particulièrement le gouvernement doit communiquer sur ces actions afin de permettre aux populations de savoir ce qui est prévu pour elle. Le silence sur certaines situations peut être interprété diversement donc pour éviter les confusions et les polémiques inutiles; seule cette communication peut permettre de calmer les ardeurs.
Je pense que l’état et particulièrement le gouvernement doit communiquer sur ces actions afin de permettre aux populations de savoir ce qui est prévu pour elle. Le silence sur certaines situations peut être interprété diversement donc pour éviter les confusions et les polémiques inutiles; seule cette communication peut permettre de calmer les ardeurs.
En effet, la culture de la confrontation a pris le pas sur le compromis et le consensus nécessaire pour la stabilité sociale du pays qui est déjà fortement secoué par la crise au nord 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
Quel gouvernement ne veut pas se réjouir de savoir ces travailleurs les plus à leur aise parce que bénéficiant des conditions adéquates pour bien exercer. La crise du Nord retient toute l’attention du gouvernement car sa résolution est le point de départ de l’essor de notre pays. Il faut que nous évitions de demander l’impossible.
Nous devons favoriser l’apaisement du front social car notre pays ne va pas vraiment bien avec l’accord de paix qui traine; les promesses non tenues des bailleurs de fonds; il n’est pas du tout facile pour le gouvernement de satisfaire tout le monde en même temps.
Je pense que le gouvernement doit demander une trêve sociale à des structures comme l’UNTM afin de pouvoir mettre des mesures en place pour répondre aux différentes exigences de nos syndicats sinon les choses ne pourront pas bouger. Il faut mettre à profil ces temps de grève pour travailler au profil du pays parce que les grèves à répétition ne peuvent que mettre le pays en retard.
Parmi les huit points de revendications du syndicat de la première chaine nationale du Mali figurent l’abrogation des lois portant sur la restructuration de l’Ortm 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
C’est vraiment cette revendication des agents de l’ORTM qui me fait marrer. Comment comprendre que des gens veulent toujours rester dans le traditionalisme, l’archaïsme. Nous devons adapter nos institutions à nos réalités et aux défis en termes de progrès. Ceux qui ne voudrons pas de cela doivent être remercié purement et simplement.
Le COGES doit comprendre que le gouvernement épongera sa dette envers les enseignants. Mais ils doivent continuer leur travail celui d’éduquer, enseigner nos enfants qui sont appeler à diriger ce pays à l’avenir.
L’ORTM est un organe étatique et doit accepter cela. Le gouvernement a toujours tenu à ses engagements. Je ne pense que ce n’est pas avec la pression qu’on arrivera à faire plier le gouvernement à leur revendication.
Le Directeur de l’hôpital a incité les agents de la santé à fausse grève. Je dis tout simplement une manipulation. Je pense que son limogeage doit servir de leçon pour les grévistes.
Il est préférable de faire place à ceux qui veulent travailler
Le gouvernement a d’autres priorités pour faire avancer notre pays. Je pense que ces syndicats se laissent manipuler par les opposants véreux qui veulent que le régime IBK est incapable à gouverner ce pays.
Dans toutes ces composantes de la société c’est cette bande d’idiots de l’ORTM qui ne savent pas ce qu’ils veulent. Des irresponsables qui ne cherchent pas à faire des innovations qui passent leur temps à foutre la m*rde. Il faut qu’on renvoi cette bande d’incapables qui n’arrivent pas à nous informer correctement au profil de diplômés qualifiés dont le pays regorge en matière de communication aujourd’hui.
C’est inadmissible pour les agents de l’ORTM qui veulent une indemnisation pour le coup d’état de 2012. Je leur demande qui n’a pas souffert de cette crise messieurs les agents. C’est une grève d’intérêt d’un groupuscule qui veut tirer profit de cette situation.
Il faut plutôt dire au président d’indemniser tous le pays et que diront ceux qui ont perdu leur parent
Le problème des agents de l’hôpital Gabriel était du à leur directeur. Je pense qu’avec son limogeage; les agents doivent attendre que cette institution commence à fonctionner normalement à nouveau pour voir leurs revendications satisfaites car avec le boulot qu’ils abattent aucun gouvernant ne peut être sourd à leur situation.
Le Directeur de l’hopital Gabriel Touré n’a pas suivi le protocole pour rentrer en grève. L’équipement de l’établissement et l’amélioration des conditions de travail est une obligation pour l’état malien mais il faut comprendre la situation. Le président a toujours joint l’acte à la parole.
Je crois que nous devons vraiment être indulgent envers notre gouvernement car notre pays vient de loin. Avec les différents évènements qui l’ont ébranlé ces dernières années et une moitié du pays en proie à une guerre silencieuse; on ne doit pas pousser le bouchon trop loin.
C’est de la mauvaise foi de la part des syndicats qui ignorent la situation que traverse notre pays. On doit se mettre ensemble pour que le pays retrouve une situation stable avant de faire de telle revendication.
Il est temps qu’on se pose la question de savoir qui a fait quoi pour ce pays. Pourquoi autant de revendication en même temps. L’ORTM ne peut pas demander une indépendance car partout dans le monde, la chaîne appartient à l’état et doit se conformer à ces décisions
Les revendications sont légitimes mais les syndicats doivent faire preuve d’indulgence. Il doivent donner le temps au gouvernement de régler tous ces dossiers. On ne peut pas demander tout à la fois au gouvernement alors que nous venons d’une crise et il y a des priorités que le gouvernement doit faire face.
Le gouvernement ne peut rien faire pour l’ORTM. Je pense plutôt qu’il doit toujours s’adresser au Parena pour trouver une solution à leur revendication.
Pour paraphraser DAK en un mot IBK est passé à coté. La montagne a accouché d’une souris,ça ne va pas du tout au pays de Modibo Daba Keita mais Racine Thiam le desormais l’arbre de Koulouba fait croire que ça va au pays d’IBK,personnellement je comprends Thiam car on ne pense pas de la même manière dans un palais que dans une chaumière.
Madiassa vous avez tremplé la plûme dans la plaie des pindades de Koulouba.
Je pleure pour le devenir de ma patrie.
Pour paraphraser DAK en un mot IBK est passé à coté. La montagne a accouché d’une souris,ça ne va pas du tout au pays de Modibo Daba Keita mais Racine Thiam le desormais l’arbre de Koulouba fait croire que ça va au pays d’IBK,personnellement je comprends Thiam car on ne pense pas de la même manière dans un palais et dans une chaumière.
Madiassa vous avez tremplé la plûme dans la plaie des pindades de Koulouba.
De son accession au pouvoir en 2013 avec plus de 77% des voix à aujourd’hui, rares sont les promesses du chef de l’Etat qui n’ont pas été réalisées. La signature de l’accord d’Alger, la mort de Wadoussène, la loi de programmation et d’orientation militaire, la loi sur le quota, les logements sociaux, etc. Donc que ce journaliste arrêtes de nous trompez la tête avec cette histoire de grèves illimitées de ces syndicats?
Lors des élections présidentielles de 203, Ibrahim Boubacar Keïta avait promis de créer 200.000 emploi d’ici 2018. Dans ce domaine, tous les emplois promis n’ont pas été encore créés mais l’essentiel a été fait avec 81.689 emplois, seulement à mi-mandat. C’est remarquable dans un pays qui traverse une crise. Malgré toit cela, du seul fait que ces syndicats menacent d’aller en grève illimitée, le journaliste parle de promesses non tenues.
Je suis sans nul doute sûr du président de la république. Ses réalisations d’infrastructures et autres sont toutes des promesses qu’il avait fait au moment des campagnes électorales. Et je sais aussi qu’il fera de son mieux pour éviter ces grèves.
IBK est sur le point de réaliser toutes ses promesses électorales. De 2013 à aujourd’hui, il créé plus de 81.600 emplois sur une promesses de 200.000 emplois d’ici 2018. Et 1552 logements sociaux dont les clés ont été remis aux bénéficiaires à N’Tabacoro. AU lieu de continuer à parler de ces grèves, le journalistes préfèrent mentionner les promesses du président.
L’Ortm a raison de grever pour son indépendance. Cette office ne peut pas être à la hauteur tant qu’elle est sous influence ou sous ordre du gouvernement. Il faut qu’elle soit comme les autres télé des pays voisins.
L’office radiodiffusion télévision du Mali doit être indépendante pour qu’elle puisse répondre à tous les attentes du peuple. On ne trouve rien d’important sur cette chaîne. Même les citoyens maliens regardent leur télé rarement. Cela à cause de la soumission aux ordres des autorités de cette chaîne.
Les autres syndicats là d’accord mais le syndicat de l’Ortm par le biais de son secrétaire général n’atteindra pas ses objectifs. Il vient de transformer leur lutte en lutte politique avec l’implication du Parena dans l’affaire. C’est dommage. Il doit démissionner de son poste.
Cette affaire s’est transformée en une affaire politique, avec notamment l’implication, il y a quelques jours du Parena dans l’affaire par le secrétaire général du comité syndical de l’Ortm. Il a manqué de faire preuve de patience. Donc les choses vont d’avantage se compliquer.
Vous avez parfaitement raison, je partage le même avis que vous le sage
La négociation est seulement le seul moyen de sortue de cette crise. Le régime d'IBK a tenu plusieurs foi plusieurs de ses promesse de campagnes. Vue la crise dont traverse le pays les mouvements syndicals doivent faire preuve de patriotisme et mettre un peu d'eux dans leur vin.
Monsieur l’éditeur, soyez un tout petit peu raisonnable. Ces grèves n’ont pas commencé aujourd’hui. Les menaces de grèves illimitées ne sont que des simples menaces et les resteront. Car le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta est en campagne développement du pays. Seulement certains esprits malintentionnés ne veulent pas aille au bout des objectifs.
La patience est un chemin d’or, les syndicats doivent prendre aussi en compte tous les problèmes dont traverse le pays en se moment. Le gouvernement est tout à fait conscient des crise dont traverse aujourd’hui les travailleurs, mais le gouvernement demande patience au travailleurs et cela pour les intérêts du pays.
Je partage parfaitement la désolation des syndicats contre le gouvernement. Mais je crois que le pays est pris jusqu’au cou par une crise multidimensionnelle quine profite à rien et à personne. C’est ce qui fausse un peu les activités du gouvernement.
Chacun ne crient que sa tête sans comprendre que le Mali est en des difficultés qu’il faut que les maliens se serrent les coudes…
Les maliens il faut que nous fassions beaucoup plus afin que la république soit bénis…
Les syndicats sont dans leur droit de mener des grèves pour atteindre leur objectif. Ce n'est pas admissibles que le gouvernement ne paye pas normalement les salaires des agents publics qu'il emploi. Ces agents nourrissent leur famille avec le revenu de leur travail.
A mon avis en cette lutte qu’est en train de connaitre le Mali, les maliens doivent être capable de mettre tout leurs désirs personnel de côté pour revoir une solution qui peut nous tiré des affaires…
IBK a toujours tenir sa promesse cela ne sera pas la première fois. Il a besoin simplement d’être soutenir par sa population dans tous ses actes. Les maliens doivent former une barre de fer d’acier derrière IBK et son régime, car l’avenir du Mali repose dans les creux de ses mains qui ouvre les portes d’un grand destin.
Tu as raison, seule une négociation entre le gouvernement et les syndicats des travailleurs peut aider à sortie de cette crise. Les négociations pacifiques doivent être tenus entre eux. Le gouvernement malienne déjà tend les bras aux syndicats pour un terrain d’entente plus propice à tous.
Il faut que ses syndicats aussi voient les responsabilités qui prévaut et prendre soin de leurs patience. Nous voulons des bonnes choses à la patrie, mais les choses ne peuvent jamais se passer du jour au lendemain…
Ce ne sont pas les grèves incessant qui solutionnera ou qui donnera gain de cause au mouvement syndical sur le pied de guerre. Seul la négociation avec le gouvernement est la seul solution à tous les problèmes dont sont confronter les travailleurs.
Je pense que nous devons être des maliens patient et comprendre le gouvernement, il ne faut pas que nous apportons de la pression au gouvernement, je pense que tout ceux-ci ne seront que des tristes souvenirs…
Vive la république.
Entend que maliens je pense que nous devons donner du temps au gouvernement en place de faire les choses en étapes, nous ne pouvons pas nous permettre de brulé des Etapes certes les conditions sont connues, mais il faut du sacrifice de tout malien.
Tu as raison, c’est l’opposition malienne qui est caché derrière tout cela, les mouvement syndicales qui sont sur le pied de guerre doivent ouvrir les yeux et savoir que l’opposition est en train de se servir d’eux en faisant d’eux leur bouc émissaire.
IBK fait son mieux pour apporter aux maliens ce qu’ils désirent, nous devons être des maliens compris vue des énorme difficultés que le pays est en train de connaitre.
Si nous prenons les choses par leurs fonctionnalités normaux, je dirais que le président IBK est en face des maliens qui sont presser. Nous avons tous confiance en cet homme de premier rang c’est d’ailleurs pour cela que nous lui avons accordé la chance de nous diriger.
Mais jusque-là, il faut que les maliens savent prendre leurs mal en patience…
Je suis que c’est l’opposition qui en dessous de tout cela, c’est l’opposition qui pousse tous ses syndicat aller en gréve. L’opposition malienne fait tout pour voir le régime au pouvoir échoué, alors que l’échec du régime au pouvoir est un grand coup dur pour notre pays.
A mon humble avis, le gens ne disent que ce qu’ils ont envie de dire et ne veulent entendre que ce qu'ils veulent.
Au Mali d'un côté nous sommes tous au courant de la situation qui prévaut et il faut de la patience pour que tout soit comme nous le rêvons. D'un côté il y' a des uns qui crient la liberté d'autres côté il y'a des autres qui veulent avoir des augmentations.
Je pense que nous devons être des maliens patient et comprendre le gouvernement, il ne faut pas que nous apportons de la pression au gouvernement, je pense que tout ceux-ci ne seront que des tristes souvenirs…
Vive la république.
es travailleurs de l’hôpital Gabriel Touré, ceux de l’ORTM tout comme la Coordination syndicale de l’enseignement secondaire(COSES) qui regroupe cinq syndicats de l’enseignement secondaire, et le Comité syndical des services du travail du Mali (CSST) doivent être conscient de la crise multidimensionnelle dont travers le pays en se moment.
Le gouvernement malien n’est pas indifférent face au problèmes de certain travailleurs de structure Etatique. Le gouvernement malien fait de son mieux et est prêt à tout pour régulariser cette situation. Les syndicats doivent mettre un peut d’eux dans leur vin.
Je pense que toute ces syndicats aujourd’hui sur le pied de guerre doivent faire preuve de responsabilité et de patriotisme. Actuellement le pays traverse l’une des moment les plus difficile de son existence
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