Le président du parti Sadi, Dr. Oumar Mariko, a animé une conférence de presse afin d’expliquer les objectifs de l’acte de Conakry, fondé autour de l’idéologie des pères de l’indépendance de l’Afrique entre le parti Sadi et le PDG-RDA. L’honorable Oumar Mariko en a profité pour parler de l’actualité notamment la présidentielle à venir. La conférence de presse a eu lieu le mercredi 4 avril au siège du parti Sadi à Djélibougou.
Pour rendre hommage au camarade stratège et président Ahmed Sékou Touré, responsable suprême de la révolution, dirigeant anticoloniste, le parti Solidarité africaine pour la démocratie et l’indépendance (Sadi) de Dr. Oumar Mariko du Mali et le Parti démocratique de Guinée/Rassemblement démocratique africain (PDG-RDA), fidèles à l’héritage politique et idéologique des pères fondateurs de l’indépendance du continent, se sont retrouvés à Conakry le 26 mars 2018.
Les deux partis ont profité de l’occasion pour signer un pacte afin de mener ensemble la lutte de l’indépendance et de la démocratie à travers le continent africain. Ainsi, le président du parti Sadi, l’honorable Dr. Oumar Mariko a animé un point de presse au siège de son parti pour expliquer le contenu du pacte signé entre les deux partis panafricanistes.
L’honorable Mariko a expliqué que l’acte de Conakry permettra de canaliser toutes les bonnes volontés pour donner une orientation politique à la jeunesse africaine et au peuple africain afin d’aller à la conquête du pouvoir avec l’application des idéaux des pères fondateurs pour une Afrique unie. “L’acte de Conakry va avoir un impact important, le meilleur impacte sera de canaliser des gens pour leurs donné un repère, une référence“, a-t-il insisté.
Comme d’habitude, le président du parti a profité de l’occasion pour passer au crible l’actualité, notamment les plus récentes de notre pays, comme la visite du Premier ministre au nord et au centre du pays, les conflits intercommunautaires, les attaques récurrentes des positions de l’armée malienne ou encore l’élection présidentielle, prévue ce 29 juillet.
Selon l’honorable Mariko, ça serait un scandale d’organiser les élections dans ces conditions d’insécurité. “Je demande au président IBK et à son gouvernement d’arrêter de duper les Maliens. Il est impossible de tenir l’élection présidentielle dans la condition actuelle du pays encore moins dans trois mois. Si on organise l’élection dans cette condition, on risque une nouvelle crise et cela n’est pas bon pour le Mali. Mais une chose est sûre, le parti Sadi ne laissera personne voler les élections comme par le passé“, a averti ainsi l’opposant de tous les temps.
Amadou Kodio
Le docteur fou qui a besoin de soins. Je préfère une élection où seule une région vote au désordre que va créer la non tenue d’élections. Mais avant on doit soigner Mariko
Mariko a quelque part raison. Le PM dans sa tournée n’avait qu’un slogan à la bouche sur la tenue des élections. Il est allé tâter le terrain, mais dès son départ, la violence a repris ses droits. De plus, la crise inter communautaire ayant opposée les Peuls aux Dogons est un signe évident de l’instabilité qui règne dans le Sud et dans le Centre du pays. Amadou Kouffa et ses hommes occupent la totalité des localités situées dans la région de Mopti. A un jet de pierre de Mopti, sur la rive opposée du fleuve qui le sépare de l’endroit même où des soldats Maliens permissionnaires, ont été abattus par les djihadistes. La résidence du Gouverneur fait face au quartier où s’est déroulé le drame. Mais, aucune autorité n’a osée y aller, même pour des besoins de l’enquête. Aucune élections ne pourra se tenir dans ces conditions. Les magouilles du régime d’encourager la violence dans certaines zones, consistent à restreindre la liste des localités où des élections peuvent se tenir. Ainsi, toutes les communautés ou villages qui ne leur seraient pas favorables auront leurs noms en bonne place sur la liste des villages à risque. Et, toute tentative de faire migrer les gens pour aller grossir les rangs des électeurs dans les bureaux plus sécurisés entraînera une réaction des djihadistes. L’état exposera les populations à des graves dangers, rien que pour crédibiliser sa fraude. Les conditions ne sont pas réunies pour la tenue d’élections en toute sécurité. Le problème qui risque de se poser est celui d’une éventuelle transition. IBK ne cédera pas d’un pouce, que sa place soit négociée, et cela, pour quelques raisons que ce soient. Ou ils optent pour une forme de transition avec IBK en place mais sans prérogatives aucunes, ou bien, IBK cède la place à un président transitoire de consensus. Dans les deux cas, IBK ne sera pas partant. Pourtant, une solution doit être trouvée rapidement pour la tenue de ces élections qui peut-être nous délivrons de la racaille au sommet de l’état. Les Maliens on ont marre!!!!
IBK a tout fait pour laisser lsa situation se degrader pour une simple raison: creer plus de la pagaille au Mali afin de rester eternellement au pouvoir et Barou le fou Mariko suit la meme logique, personne n’a vole de votes au SADI car il est un parti politique de la ville de Kolondieba, c’est tout. IBK ou Barou le fou, il faut partir trop longtemps sur l’arene politique et sans results pour le developpement du citoyen Malien
gens pour leurs donné ????????
À quelle école as-tu été M. le journaliste?
A l”Ecole de Barou Omar Mariko le fou.
COMMENT QUELQU’UN POURRA VOUS VOLER DES ÉLECTIONS QUI N’AURONT PAS LIEU????
ALLONS! ALLONS!!!!
Barou le fou Mariko est devenu un prophete de malheur aussi, sans elections la Constitution Malienne va mettre SIaka Sidibe a Koulouba, et voila la belle fete pour les tres vieilles fesses de l’Assemblee Nationale et nos pauvres secretaires vont etre encore abusees et sexuellement exploitee a la puissance mille.
Comments are closed.