Les temps se durcissent et l’horizon politique s’assombrit pour le jeune ex maire de la commune IV. Malgré ses 19 conseillers issus des résultats provisoires des élections partielles du 6 février, Moussa Mara se trouve aujourd’hui sur des escarbilles ardentes. Le tam-tam médiatique concocté, a montré ses limites pour la simple raison que rien n’est encore joué pour l’habitant de Lafiaboubou Bougoudani. Bref, la signature de convention avec tous les partis gagnants, à l’exception du RPM, est perçue comme un non événement chez les experts en politique.
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rn« L’ADEMA n’a rien signé avec Mara. C’est le secrétaire général de la section IV, en la personne de Adama Diarra qui a pris la lourde responsabilité de se ‘’vendre’’ à vil prix à notre ennemi n°1. Certainement qu’il y’a un deal entre eux. ». Ces mots sont d’un cadre du parti de l’abeille solitaire. Il ajoutera que la mairie reviendra à l’ADEMA pour la simple raison qu’une plate forme est en vue pour barrer la route à Yèlèma. Selon nos satellites, tous les autres partis politiques à savoir le RPM (8), l’ADEMA (6), le PDES (3), le MPR (3), et l’URD (2), soufflent dans la même trompette pour la cause commune : Tout Sauf Mara. Cette expression, devenue un slogan de circonstance, marche apparemment. Ce qui est sûr, des stratégies se moulent dans le seul but de terrasser l’adversaire de taille. En plus des stratagèmes, des piles de requêtes sont formulées contre sa liste. Reste à savoir si le nombre de ses conseillers ne connaîtra pas de changement. Nous apprenons que Kaoural Renouveau a de fortes chances de gagner un ou deux conseillers si le tribunal annule des voix. Avec toutes ces possibilités, Moussa Mara a donc des patates chaudes entre ses mains.
rnd’autres révélations dans d’autres numéros !
rnLe Shérif
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