Le président du parti Yèlèma a officiellement déclaré sa candidature, lundi 9 mars, à la faveur d’une conférence de presse au cours de laquelle il a réaffirmé sa vision pour le Mali. Moussa Mara a été aussi amené à se prononcer sur le dossier de l’avion présidentiel qu’il a eu à gérer pendant qu’il était à la tête du gouvernement. Ce fut en présence de quelques membres de la Plateforme pour la présidentielle de 2018 à laquelle il appartient.
Après qu’il l’eut annoncée sur les réseaux sociaux quelques jours auparavant, l’ancien Premier ministre Moussa Mara a officiellement déclaré sa candidature, en début de semaine, à la Maison de la presse de Bamako. A cette occasion, le président de Yèlèma a expliqué les raisons de ce choix. «C’est parce que le pays rencontre des difficultés importantes qui ont des causes profondes que j’ai décidé de me porter candidat», avait-il justifié, estimant que les Maliens n’ont plus confiance en eux-mêmes encore moins en leurs dirigeants. Moussa Mara a ainsi suggéré que l’on dépasse enfin les mots et les slogans. Le Mali, de l’avis du candidat, est divisé par l’incapacité de l’Etat à remplir ses missions depuis les premières heures de l’indépendance. Et le président de Yèlèma de prôner un rajeunissement de la classe dirigeante, parce que convaincu que les Maliens n’auront le salut ni avec l’actuelle majorité présidentielle ni avec l’opposition. «J’espère que dans cette circonstance, quelqu’un qui a de l’expérience, qui est jeune, représentatif de la société malienne et qui n’est pas obnubilé par le passé est bien placé pour travailler à l’unité entre les Maliens par des actes…», a caricaturé Moussa Mara qui a insisté sur la nécessité d’aller vers une nouvelle voie. «Ceux qui partagent cette nouvelle vision doivent se retrouver. D’où la création de notre Plateforme», poursuivra-t-il.
Si l’on en croit l’ancien Premier ministre d’Ibrahim Boubacar Keïta, cette déclaration de candidature ne fait nullement voler en éclats les espoirs d’une candidature unique au sein de la Plateforme pour la présidentielle de 2018 à laquelle il participe aux côtés de Hamadoun Touré de l’Alliance Kayira 2018, Moussa Sinko Coulibaly de la Plateforme pour le changement, Jeamille Bittar du MC/ATT, Modibo Koné du Mouvement Mali Kanu, Kalfa Sanogo, Aliou Boubacar Diallo de l’ADP-Maliba, Moussa Diawara dit «Baty» et autres. La Plateforme existe toujours et l’idée d’avoir un seul candidat dès le premier tour n’est, dit-il, pas abandonnée. A défaut, a poursuivi Mara, les membres de la Plateforme s’engagent à soutenir celui d’entre eux qui arrivera au second tour. Il a ensuite reconnu que les vicissitudes de la vie politique malienne font qu’il est souvent difficile de s’entendre, certains leaders n’étant pas prêts à abandonner leurs ambitions.
Le président de Yèlèma a été par ailleurs amené à se prononcer sur la cohabitation de la carte Nina et de la carte d’électeur lors de la présidentielle de 2018. Selon lui, la décision d’aller vers la carte d’électeur est justifiée au regard des nombreux avantages que ladite carte apporte aux électeurs. «Le délai n’est pas trop court pour que les cartes d’électeur soient imprimées et distribuées. Nous avons l’habitude de le faire 45 jours avant le vote», a souligné Moussa Mara qui estime que la carte d’électeur est un élément qui va augmenter le taux de participation qui reste l’une des plaies des élections au Mali.
Sur un tout autre plan, le président de Yèlèma a plaidé pour l’application de l’accord qui reste un préalable à la sécurité. Selon lui, le retard accusé dans la mise en œuvre dudit document est imputable aux autorités maliennes qui, dit-il, devraient conduire le processus et entrainer dans leur sillage les groupes armés. «Le niveau d’application n’atteint pas 20% trois ans après la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger», a regretté le Premier ministre Mara, avant de souhaiter que l’on aille très rapidement vers l’opérationnalisation des lois d’orientation et de programmation militaire et sécuritaire.
Le « malheur » de Moussa Mara
Interpellé encore une fois par rapport au dossier du fameux avion présidentiel, M. Mara a estimé que des considérations d’ordre politique font que lui, il est beaucoup plus cité dans ce dossier que le chef de l’Etat lui-même. Or, «je n’ai été associé ni de près ni de loin à l’achat de l’avion », rappelle le président de Yèlèma qui explique son «malheur» par le fait qu’il a été nommé à la tête du gouvernement au même moment où l’avion présidentiel arrivait au Mali, soit respectivement les 5 et 7 avril 2014. Il a ensuite affirmé avoir livré à l’Assemblée nationale, lors de sa déclaration de politique générale, des données qui lui ont été fournies par les services étatiques, notamment les ministères de l’Economie et des Finances; de l’Equipement et des Transports et le ministère de la Défense. «Je n’ai toujours pas de preuve pour dire que ces informations sont fausses », a confessé Mara.
Selon lui, le chiffre, soit 20 milliards de francs CFA, qu’il a déclaré comme étant le prix de l’avion présidentiel ne contredit pas celui avancé par le chef de l’Etat, soit 18 milliards. Seulement, explique l’orateur, le chiffre annoncé par Ibrahim Boubacar Keïta ne concerne que le prix au fournisseur. Il ne prend pas en compte certains frais, notamment l’assurance et les frais de garage. Surtout quand on sait que l’avion, acheté en décembre 2013 en Californie (USA), y a passé quelques mois avant d’être acheminé à Bamako, selon Moussa Mara. L’ex-Premier ministre reconnait toutefois avoir commis une erreur de communication en ce que l’avion est une question de luxe. Or, les Maliens, au moment des faits, avaient des préoccupations bien plus urgentes que l’achat d’un avion présidentiel.
Bakary SOGODOGO
Si je comprend bien le bambara
Mara ce n’est pas la lepre?
Merci Mara pour le jardin et l’inscription de hamidou Maiga dans une université privé a vos charges. Que dieux vous donne longue vie.
Mara !Mara! Merci pour votre accompagnement pour la mise place d’une banque de céréales. Je vous demande si vous avez des projets, contacté Mara, il vous accompagnera.
Ce M. MARA est préoccupé à diriger le Mali. Au lieu de laisser aux malienx de peindre son bilan au gouvernement, il annonce à tout vent que son bilan est positif. Ce M. ne mérite aucun crédit. Il surfe sur la jeunesse et le renouveau alors que lui n’a rien de nouveau car il a déjà pactisé son âme avec ceux qu’ils critiquent aujourd’hui.
SEULEMENT UNE ERREUR DE COMMUNICATION???????
UN GROS MENSONGE PLUTÔT???? SI CE N’EST UNE COMPLICITÉ
MOUSSA MARA A BEL ET BIEN DIT QUE L’AVION NE “CHÔMERA” CAR IL EST EN LEASING GÉRÉ PAR LA SOCIÉTÉ ECRAN BASÉE DANS LES ILES CAÏMANS. IL L’A DIT DEVANT LA REPRÉSENTATION NATIONALE QUAND LA QUESTION A ÉTÉ POSÉE SUR LE VRAI PROPRIÉTAIRE DE L’AVION ET SON IMMATRICULATION.
EN EXPERT COMPTABLE IL A EXPLIQUE CE QUE C’EST LE LEASING, A SAVOIR METTRE L’AVION A LA DISPOSITION DES PERSONNES PHYSIQUES OU MORALES PENDANT UN CERTAIN TEMPS (HORS VOYAGES PRÉSIDENTIELS).
DEPUIS CE JOUR AUCUNE AUTRE EXPLICATION N’A ÉTÉ FOURNIE, NI PAR MARA LUI MÊME, NI PAR UNE AUTRE AUTORITÉ.
JE M’ÉTONNE TOUJOURS QU’AU DELÀ DE LA POLÉMIQUE SUR LE PRIX DE L’AVION PERSONNE NE POSE CETTE QUESTION AUX ACTEURS CONCERNÉS.
SI CE CONTRAT DE LEASING A ÉTÉ ANNULE, MOUSSA MARA QUI L’A ÉVOQUE, IL EST LE SEUL D’AILLEURS, SE DOIT DE LE DIRE AUX MALIENS.
Le franc-maçon marasme doit sa retraite depuis maintenant!
Surtout qu’il a trop vite brûlé ses ailes (politiques) en mangeant dans l’assiette présidentielle .
“…. L’ex-Premier ministre reconnait toutefois avoir commis une erreur de communication…”
MEME SI ON PREND CE MENTEUR ENTRAIN “CHIER”, ET MEME AVEC L’ODEUR ET AUSSI DE TACHES DE “CACA’ SUR LE DERRIEUR, IL VA DIRE QUE CE N’EST PAS LUI
«J’espère que dans cette circonstance, quelqu’un qui a de l’expérience, qui est jeune, représentatif de la société malienne et qui n’est pas obnubilé par le passé est bien placé pour travailler à l’unité entre les Maliens par des actes…»
HUUUM PAS ETONANT QUE TU AIS FAIT TABLE RASE DE TON PASSE. SI ON SE REFERE A UNE REPLIQUE DE L’ANCIEN MINISTRE ABDOULAYE DIALLO, IL N’EST PAS RELUISANT POUR TOI.. (Le fils d’un condamne a mort pour detournement de bien public sous Moussa, ton Homomnyme). ET OTE MOI D’UN DOUTE, AS-TU EU UNE BOURSE D’ETUDE OU T’AS PROFITE D’UN “HERITAGE”?
“…estimant que les Maliens n’ont plus confiance en eux-mêmes encore moins en leurs dirigeants…”
ET C’EST EN TOI QU’ILS ONT CONFIANCE????? 🙂 🙂 🙂 🙂 l:) TAKA BOYE
“…Moussa Mara reconnait avoir commis une erreur de communication… ”
ERREUR DE COMMUNICATIIIIOOON?????????
VA-T-EN LABAS AVEC TES “YEUX COMME CEUX D’UN FILS DE VOLEUR” (ZON DEN NYE)
Quand Moussa Mara était Premier Ministre, il a commit 02 erreurs inqualifiables:
1. Ne pas rajeunir l’équipe gouvernemental à 80 pourcents;
2. Ne pas interroger l’outil de gestion des Ressources Humaines de la fonction publique et du secteur privé pour choisir les bons serviteurs de l’état.
Quand on veut rénover il ne faut jamais faire du nouveau avec du vieux, car çà ne peut jamais marcher.
C’est très léger de la part d’un PM de ne pas vérifier les faits avant de se prononcer sur des questions qu’il ne maîtrise pas. L’amateurisme de Moussa Marra a joué à fond dans cette histoire. Il ne faut pas qu’il prenne les Maliens pour des demeurés, il était content d’être à son poste de PM donc, rien ne pouvait venir le dévier de sa conviction sur les conditions d’achat de cet avion. C’est très facile de vouloir se dédouaner de la sorte.
Tous ce qui ont peur de l’arriver Mara, ce que vous ignorer, Mara sera le président de tous les maliens, et maliennes.
Bientôt Moussa mara sera le Président de tous les maliens.
Sauf moi car je ne vais jamais accepter quelqu’un qui a mis le Mali a genoux de devenir mon president. Moussa Joseph a tue le Mali a Kidal, un traitre qui a fui après avoir commence la guerre qui a cause la mort des centaines de pauvres prefets et sous-prefets et nos pauvres soldats et aboutir a un accord bidon que le Mali a signe la queue entre les jambes. Moussa Joseph c’est comme IBK tous des ennemis du Mali.
En matière de la vie d’une Nation on peut pas faire une erreur et demander tout simplement pardon. La grandeur d’un Homme se trouve dans ses capacités réactionnelles (savoir, savoir faire et savoir être).
M. Mara n’est pas du tout mûr (politiquement, intellectuellement).
“Erreur de communication” est un e subterfuge, M. Mara.
C’est un menteur et qu il.ne fait que plazier sur les projets des gens.
C’est quand même incroyable que les uns et les autres veulent coûte que coûte que M MARA disent ce qu’eux veulent entendre…!!!!
1- On aimerait qu’il avoue être l’auteur des évènement malheureux de Kidal, quand bien il défie tous les jours le président de la Rép. de démentir si lui 1er Ministre de l’époque n’était pas en mission gouvernementale…!!!!!
2- On aimerait à la longue qu’il avoue avoir lui-même acheté cet avion, quand bien même cet appareil est arrivé deux jours seulement après sa prise de fonction en tant que 1er Ministre. Il s’est prononcé sur les chiffres que l’on lui a communiqué…
3- Donc s’il y a un ou des responsables qui doivent y répondre, ce ne sera pas M MARA, mais toute la bande présidentielle plus le ministère des finances qui ont passé le marché d’amont jusqu’à l’aval. Ce serait beaucoup plus compréhensible s’il avait été impliqué de près ou de loin dans les transactions en tant qu’expert comptable ou son bureau y ait contribué d’une manière quelconque…!!!
Quand IBK a demande a Tatam Ly de se rendre a Kidal, il a ete sage et il a refuse ainsi que le nouveau President de la Republique Boubeye Maiga. Pourquoi Moussa Joseph n’a pas fait de meme. Quand a l’avion AIR FORCE ONE-IBK c’est lui Moussa Joseph qui a ouvert sa bouche pour repondre aux deputes sinon il pouvait la garder fermee s’il n’a pas ete implique comme expert comptable d’une maniere quelconque dans son achat. Moussa Joseph a menti en essayant de couvrir IBK, une faute grave car il a paye un prix et d’autres sont en cours.
Moussa Mara est un franc maçon et de ce fait, il ne sera jamais président du Mali !
C’est un opportuniste qui a parié sur la françafrique pour dominer le Mali, mais il va voir que le peuple malien ne se laissera plus dominer par les marionnettes françaises.
C’est faux ce n’est pas une erruer mais un gros mensonge pour couvrir IBK, s’il ne connait pas les chiffres alors qu’il se taise la-dessus ou se limite a ce qu’IBK avait dit mais la verite va triompher un jour sur l’achat de cet avion de la SURFACTURATION qui avait TROIS PRIX D’ACHAT 17,18 20 milliards de CFA c’est du vol du denier publique, Moussa Joseph tu as menti et Allah n’aime pas les menteurs et tu vas continuer a souffrir de ce mensonge devant le peuple Malien..
Comments are closed.