Malgré la semblable union affichée par les six groupes parlementaires de l’Assemblée nationale autour des Institutions de la République, un malaise subsiste. En plénière, hier jeudi, au CICB la question de la dissolution de cette deuxième institution du Mali a suscité la colère de certains élus nationaux dont l’honorable Moussa Timbiné.
maliweb.net– .« Si vous voulez la dissolution, allons vers la dissolution de l’Assemblée nationale, et vous allez voir que d’autres vont revenir et certains ne reviendront pas. Il n’y a pas de dignes représentants du peuple que d’autres dans cette Assemblée », a déclaré le président de l’hémicycle vivement. Cela, suite aux interventions de deux députés de l’opposition, Hassane Sidibé (Yelema) et Bakary Coulibaly (URD), qui ont proposé que pour une sortie de crise à l’Assemblée nationale. Ce, disent–t-ils, à cause de l’élection de certains députés qui sont à l’origine de vives contestations du Mouvement du 5 juin.
Ces propos ont suffi pour susciter la colère des députés qui craignent une éventuelle organisation des élections législatives partielles dans leur circonscription. Parmi eux, le président de l’Institution même, l’Honorable Moussa Timbiné, dont l’élection fait l’objet de toutes les contestations en commune V. Ce dernier, sans parvenir à maîtriser ses griefs, a lancé des paroles crues. « Faites attention, sinon vous allez ouvrir la boîte de pandore. Si on organise des législatives partielles dans les circonscriptions dites de vives tensions où les scrutins sont contestés, vous allez voir que les autres vont se lever pour demander des nouvelles élections. Sinon on peut aller à la dissolution une bonne fois et tout le monde aura la solution », a ajouté le député de la commune V, qui a bénéficié les applaudissements des députés contre la dissolution de l’Assemblée nationale.
Dans la foulée des débats, le groupe parlementaire ‘’Benso’’ a rappelé que sur les 147 députés de l’hémicycle, ceux ayant été proclamés élus sans irrégularités constituent plus de 80% des députés de cette 6e Législature. Pour ce faire, ce groupe estime que la dissolution de l’Assemblée Nationale n’est pas une solution. « Elle contribuerait, au contraire, à une généralisation de la crise », a indiqué le président dudit groupe, Aliou Boubacar Diallo.
« La démission de Madame le Président de la Cour Constitutionnelle »
Dans la même veine, ce groupe demande la création d’une commission des sages chargée de discuter avec nos collègues et les candidats malheureux des circonscriptions faisant l’objet de vives contestations. A l’en croire, cette commission va envisager des solutions de décrispation pouvant aller, si nécessaire, jusqu’à la reprise du scrutin dans les circonscriptions concernées. Toujours dans le cadre de sortie de crise, le groupe Benso demande « la démission de Madame le Président de la Cour Constitutionnelle »
Hier, lors de l’adoption de la résolution de soutien au Président de la République et les Institutions de la République, un véritable climat tendu s’est manifesté au sein des députés. Que ce soit ceux de la majorité présidentielle ou de l’opposition, les députés ont murmuré dans les coulisses que Moussa Timbiné a mal parlé et soutiennent que ça ne va pas. Malgré tout, les députés semblent en majorité contre la dissolution de l’Assemblée nationale, mais plutôt à l’organisation des élections législatives partielles dans les circonscriptions, où les irrégularités ont été décelées.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
La proposition de retourner aux urnes dans les circonscriptions électorales où les résultats sont contestés me semble une bonne idée. Ma seule inquiétude est que la validation des résultats de ces élections revient toujours à cette dame corrompue de la Cour Suprême. À cause d’elle, c’est très difficile de croire à l’indépendance de la Cour Suprême.
Pour ceux qui connaissent Moussa Timbiné, ou du moins son histoire à l’AEEM de la FAST, il n’ya aucune surprise de le voir entre d’insinuer la généralisation de la crise pour balayer toute idée de reprendre les élections dans sa circonscription électorale. Il n’y a absolument rien à espérer de Moussa Timbiné comme Président de l’Assemblée nationale. Ce Monsieur n’a aucune compétence technique ou valeur morale pour mériter cette fonction. À mon avis, il est le plus voyous des présidents de l’Assemblée dans l’histoire du Mali moderne.
Certaines de ces réclamations du mouvement en gestation -de tendance prolétarienne-ont des connotations ethnocentristes qui vont au-délà des normes légales et tendent vers l’anarchisme.
Les maliens doivent être vigilants pour éviter un cataclysme polique et social.
CE COMMENTAIRE N’ EST PAS EN PHASE AVEC LE CONTENU DE L’ ARTICLE.
AUSSI NE PAS CONFONDRE CIVILITÉ AVEC LARBINISME…
« Si vous voulez la dissolution, allons vers la dissolution de l’Assemblée nationale, et vous allez voir que d’autres vont revenir et certains ne reviendront pas. Il n’y a pas de dignes représentants du peuple que d’autres dans cette Assemblée »
ANALYSE SÉMANTIQUE:
1 – ” Si vous voulez la dissolution, allons vers la dissolution de l’Assemblée nationale, et vous allez voir
que d’autres vont revenir et certains ne reviendront pas. ”
ALORS ?? OÚ EST LE PROBLEME ?? UN DÉPUTÉ, UN ÉLU PEUT-IL AVOIR PEUR DES URNES …??
L’ URNE N’ EST-ELLE PLUS LA LÉGITIMITÉ, LA CONSCIENCE DE L’ ÉLU, DU DÉPUTÉ..???
2 – ” Il n’y a pas de dignes représentants du peuple que d’autres dans cette Assemblée ”
DONC, AU NIVEAU “DIGNITÉ” MOUSSA TIMBINÉ EN SAIT PLUS QUE LA VOIX DES URNES, ET
ENCORE PLUS QUE NOUS ÉLECTEURS NOUS POUVONS SOUPCONNER…!
LES CHOSES SONT CLAIRES, LE MENSONGE, LA TRICHERIE, LE VOL, LA TRAITRISE SONT SI IMMENSE QUE MOUSSA TIMBINÉ N’ A PLUS LA FACULTÉ INTÉLLECTUELLE D’ ESSAYER DE LES MASQUER EN DEUX PHRASES, AUSSI SIMPLES QU’ ELLES SOIENT.
LE MENSONGE, LA TRICHERIE, LE VOL, LA TRAITRISE DÉBORDENT, IMPOSSIBLE POUR LE RÉGIME DE LES CONTENIR….
le mali rentre dans histoire devant l’Afrique, et le monde entier en mettra fin a ce régime, c’est ibk lui même qi va rendre sa démission. KELEKOTE KELEKOTE
19 juin 2020 jour de la liberté pour le peuple malien; ibk acculé va etre demi par les maliens
LE PEUPLE DIGNE DU MALI METTRA FIN AU RÉGIME DES PRIVILÉGIES DE CE PAYS CE VENDREDI; C’EST L’INQUIÉTUDE POUR TIMBINE ? QUELQUE INDIVIDUS NANTI NE PEUVENT CONTINUER A VIVRE SUR LE SANS D’UNE NATION ENTIÈRE
LES MALIENNES ET MALIENS DIGNES FETERONT LA VICTOIRE D’ICI QUELQUES HEURES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bonjour mes frères du mali
L’heure a sonné pour que le digne peuple se prenne en mains
Plus jamais ça au Mali
Manassa à digne l’arrêt de mort du régime corrompu installé par la fraude géré par la fraude.
Il faudra prendre l Assemblée nationale
Il faudra prendre la cour constitutionnelle
Ouvrir ensuite la route pour IBK ET SON REGIME DE PARTIR.
À bon entendeur salut
“… Que ce soit ceux de la majorité présidentielle ou de l’opposition, les députés ont murmuré dans les coulisses que Moussa Timbiné a mal parlé et soutiennent que ça ne va pas. Malgré tout, les députés semblent en majorité contre la dissolution de l’Assemblée nationale, mais plutôt à l’organisation des élections législatives partielles dans les circonscriptions, où les irrégularités ont été décelées… ” … ///…
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On comprend l’inquiétude des Députés, quant ils pensent qu’avec une dissolution totale ou avec des élections partielles tout le monde n’est pas sûr de retrouver son Siège.
Mais en ce moment leur grand PATRON lui même, ” joue ” sa tête ou plutôt son fauteuil de Président de la République.
Les dégâts à l’Assemblées peuvent paraitre secondaire pour ce dernier…
Il sera fixé sur son sort dans les prochains jours ou dans les prochaines heures à venir.
Il doit être en train de prier DIEU…, euh…, pardon, il doit en ce moment, être en train de prier la CEDEAO et espérer que ce dernier réussisse son coup ( celui de le sauver ) comme ils ont pu préparer son accession au Pouvoir en 2013… !
J’espère qu’il ne sera pas démissionné et que ” les Insurgés ” vont prendre leur mal en patience en attendant 2023, pour une fin de mandat à la régulière et démocratique… !
Il faut assumer ce qu’on a fait. On connaissait bien l’HOMME, ses qualités et ses limites et on a quand même renouvelé son mandat en 2018.
Il fallait pas… !
Vivement le Mali pour nous tous.
Jour -J
Départ imminent dIBK et de sa famille vers les Emirats !
Il faut envoyer Boua le ventru IBK et sa famille accompagnes de Manassa de la cour constitutionnelle du Mali a Lagos pour jouir de la Teranga Yoruba!
MAFIATLANTI$T€
La MAFIATLANTI$T€ se RAT$$€MBL€ chez les WINÐ$0RATCAILL0CCIЀNTAL€$ pour MIJ0T€R la plan GU€RRI€RATCAILL00CCIЀNTAL€
INGRATLANTI$T€
BRUTAL0CCIЀNTAL€
BRUT0CCIЀNTAL€
Reveil brutal !
Bande d’imposteurs, continuez à rêver avant votre heure. On verra si le peuple Malien acceptera que ce soit des malfrats qui lui imposent leur loi. L’honneur revient à cette Sorcière de Manassa qui a donné cette magnifique occasion au peuple d’infliger un coup de pied dans le **** de ce régime pourri. KARIM aussi a bien fait d’imposer ce***** de TIMBINÉ aux piliers et aux barons du RPM. Maintenant c’est tout le système que nous enverons chier d’ici peu.
AUJOURD’HUI LE FIER ET DIGNE PEUPLE MALIEN A PRIS SON DESTIN EN MAIN. 💅💅💅💅💅💅💅🏿💅🏿💅🏿💅🏿💅🏿💅🏿
MIJ0T€UR0PÉ€N
La situation a’ laquelle le Mali est confronte’, ne permet ni de dissolution partielle ni d’election partielle. LA CONSTITUTION DU MALI NE PREVOIT VOIT CETTE SITUATION. Il faut aller vers la dissolution totale ou consever l’Assemble’e jusqu’a’ la fin de son mandat! La constitution prevoit une dissolutionde l’Assemble’e par le president de la republique MAIS ELLE NE PREVOIT PAS DE DISSOLUTION PARTIELLE. Vous pouvez hair Manassa mais elle a fait son travail conformement a’ la constitution du Mali!
Voler et tricher sont dans quel article de la constitution !
LADJI, AVEC LES YEUX FERME’S, TU NE PEUX PAS VOIR CE QU’IL Y A DANS LA CONSTITUTION! RIRE!!!!!!!!!!!!!
Il ne s’agit pas de dissolution partielle mais d’annulation des elections contestees pour reprendre les elections
CHIRAC, ON NE PEUT PAS AGIR AINSI PARCE QUE LES DEPUTE’S EN QUESTION ONT DEJA PRETE’ SERMENT A’ LA SUITE DE LA PROCLAMATION DEFINITIVE DES RESULTATS PAR LA COUR CONSTITUTIONNELLE CONFORMEMENT A’ LA CONSTITUTION DU MALI! LA DISSOLUTION PARTIELLE N’EXISTE PAS DANS LA CONSTITUTION DU MALI! LE PRESIDENT PEUT DISSOUDRE TOUT LE PARLEMENT MAIS IL NE PEUT PAS DISSOUDRE UNE PARTIE DU PARLEMENT! POUR EVITER DES DEPENSES ENORMES QUI VIENNENT AVEC L’ORGANISATION DES LEGISLATIVES, ON PEUT PROCEDER DE LA MANIERE SUIVANTE:
1- LE PRESIDENT VA DISSOUDRE TOUT LE PARLEMENT.
2- TOUS LES PARTIS POLITIQUES SE METTRONT D’ACCORD SUR LA CANDIDATURE UNIQUE DANS POUR TOUTES LES CIRCONSCRIPTIONS ELECTORALES OU’ LA VICTOIRE DU CANDIDAT N’ETAIT PAS CONTESTE’E. DANS CE CAS LE CANDIDAT VICTORIEUX SERA L’UNIQUE CANDIDAT, CE QUI ASSURERA SA VICTOIRE POUR RETROUVER SON SIEGE AU PARLEMENT.
3- DANS LES ENDROITS OU’ LA VICTOIRE A’ ETE’ CONTESTE’E AU SECOND TOUR, SEULS LES DEUX CANDIDATS DU SECOND TOUR, SERONT CANDIDATS POUR LES LEGISLATIVES QU’ON VA ORGANISER. COMME DANS CHAQUE CISCONCRIPTION ELECTORALE IL N’ Y AURA QUE DEUX CANDIDATS, L’UN DEUX AURA PLUS DE 50% DES LE PREMIER TOUR. LE PROBLEME DES LEGISLATIVES SERA AINSI REGLE’!
NB.
RASSUREZ-VOUS DE NOMMER UN NOUVEAU PRESIDENT A’ LA COUR CONSTITUTIONNELLE AVANT D’ALLER AUX LEGISLATIVES!
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