CICB, 09 septembre 2021
Monsieur le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération Internationale,
Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement,
Monsieur le Doyen du Corps Diplomatique,
Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales,
Mesdames, Messieurs,
Je vous remercie très sincèrement de votre présence massive à cette rencontre que j’ai voulu comme un cadre d’échange.
Nos remerciements vont aux amis et partenaires de notre pays, à ce stade de rectification de la trajectoire de la Transition, intervenue le 24 mai 2021.
Notre rencontre d’aujourd’hui fait suite à celle que vous avez eue avec le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, le 21 juin 2021. Elle s’inscrit dans la droite ligne de l’engagement du Gouvernement de maintenir et de renforcer le dialogue politique et la concertation permanente avec tous nos partenaires sur les sujets prioritaires qui sont au cœur de notre coopération.
Depuis 2012, la mobilisation de la communauté régionale, africaine et internationale au chevet du Mali témoigne d’une coopération internationale active et solidaire. L’élan de solidarité manifesté est à la hauteur des défis complexes, en particulier le terrorisme et l’extrémisme violent auxquels notre pays, le Mali, et la région du Sahel font face et pour lesquels nous payons un lourd tribut.
Nous avons une pensée pieuse pour tous les héros disparus sur le champ de l’honneur en défendant le Mali et les valeurs communes de liberté, de dignité et de démocratie.
Je vous invite à observer une minute de silence à la mémoire des toutes les victimes civiles et militaires, maliennes et étrangères tombées en terre africaine du Mali (MINUTE DE SILENCE).
Je vous remercie.
Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales,
Il me tardait de vous rencontrer. En effet, j’ai souhaité avoir cet exercice avec vous bien plutôt n’eut été les contraintes imposées par les agendas.
J’ai particulièrement souhaité que cette rencontre ait lieu après la présentation du Plan d’Action du Gouvernement (PAG) ; qui du reste, a du sens à mes yeux, afin de nous permettre d’avoir des échanges utiles, adossés à un cadre programmatique.
Ce Plan d’Action du Gouvernement a été présenté, conformément à la Charte de la Transition, devant le Conseil National de Transition (CNT), qui l’a adopté le 02 août 2021.
En recevant symboliquement le Doyen du Corps diplomatique le 13 juillet 2021, et certains de vos collègues en fin de mission et nouvellement arrivés en poste à Bamako, j’ai expliqué que, dans un souci de méthode et d’organisation, il importait de parler d’abord avec mes concitoyens. Il s’agissait pour nous, de concevoir avec eux les priorités de la Transition, de dégager des lignes de consensus endogènes sur les grands sujets de la Nation, avant de les partager avec les amis et partenaires du Mali que vous êtes.
En effet, j’ai la profonde conviction que chaque fois que nous avons été capables de faire émerger des solutions nationales, consensuelles, le rôle des partenaires s’exprime bien et s’exprime mieux en termes de plus-value et de compréhension partagée.
Au demeurant, le fil du dialogue n’a jamais été interrompu, car il faut bien considérer l’EXECUTIF comme un bloc monolithique et le travail gouvernemental comme un travail d’EQUIPE, impulsé par le Président de la Transition, Chef de l’Etat, Son Excellence le Colonel Assimi GOITA. Dans cet esprit, le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationales n’a ménagé aucun effort pour vous rencontrer à plusieurs occasions.
Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales,
La rencontre de cet après-midi, au-delà de magnifier la coopération que le Mali entretient avec chacun de vos pays et organisations, traduit la volonté du Gouvernement de consolider et de renforcer nos liens d’amitié et de coopération.
Je salue particulièrement la CEDEAO notre organisation sous-régionale avec qui nous entretenons un dialogue dynamique et fécond. Son Comité Local de Suivi de la Transition qui constitue le premier échelon de ce dialogue conduit un travail remarquable qui bénéficiera toujours de l’appui de notre Gouvernement.
A l’échelle du continent, nous entretenons les mêmes relations, empreintes de confiance et de solidarité avec l’Union Africaine, dont le Comité Paix et Sécurité a séjourné à Bamako du 14 au 17 juillet 2021.
Comment ne pas saluer également tous les pays et institutions regroupés au sein de la Médiation Internationale, avec à leur tête l’Algérie, en sa qualité de président du Comité de Suivi de l’Accord, qui œuvrent à nos côtés pour le retour de la paix et la réconciliation au Mali ?
Je voudrais me féliciter également de la contribution exceptionnelle des Casques bleus de l’ONU à la stabilisation de notre pays, aux côtés des autres Forces internationales que sont l’Opération Barkhane, la Force Takuba et la Force conjointe du G5 Sahel. Je salue leur engagement quotidien aux côtés de leurs frères d’armes du Mali, les FAMa dont la détermination et la bravoure sur le terrain ne sont pas toujours connues et chantées, mais indéniables et inclinent à l’optimisme pour venir à bout de l’insécurité et du terrorisme.
Nous connaissons et apprécions à sa juste valeur l’implication de l’Union Européenne et de ses Etats Membres dans le développement du Mali depuis l’instauration du Fonds Européen de Développement, il y a de cela plusieurs décennies et à travers les nouveaux instruments qui lui ont succédé.
Je salue également toutes les coopérations Sud-Sud, souvent discrètes mais essentielle, comme ce qui nous unit aux pays frères et amis limitrophes avec lesquels nous entretenons une politique de bon voisinage, et celles que nous entretenons avec tous les pays de la Oumah Islamique.
Le Mali, pays de mémoire et de gratitude n’oublie pas et n’oubliera jamais le soutien multiforme apporté à son développement économique, social et culturel par les pays amis, du Maghreb, du Moyen Orient, de l’Asie à l’Amérique du Nord, en passant par l’Europe de l’Est, l’Amérique latine et le Pacifique.
Depuis 1960, notre pays est engagé pour la promotion d’une diplomatie de paix, comme en témoigne sa participation dès 1960 à l’Opération de Maintien de la Paix au Congo à travers le contingent du Sahel. Notre quête de paix est consubstantielle à notre engagement panafricain et à notre dédicace à l’amitié entre les peuples, la coopération entre les Nations, la compréhension mutuelle et la politique de bon voisinage.
En dépit des difficultés conjoncturelles, l’engagement du Mali sur la scène africaine et internationale pour promouvoir les valeurs communes de paix, de liberté, de dignité, de démocratie et de développement centré sur l’homme demeure une constance qui ne faiblira pas.
Concernant la conduite de la Transition, il ne vous pas échappé que le Gouvernement, formé le 11 juin 2021, est sur tous les fronts, de la sécurité au front social, de la refondation à la lutte contre la corruption et l’impunité, deux fléaux à la base de la crise de l’Etat, de la méfiance et de la défiance des citoyens vis-à-vis des institutions publiques.
Le Plan d’Action du Gouvernement (PAG), structuré autour de Quatre AXES majeurs se veut une réponse urgente, courageuse et cohérente aux défis économique, sécuritaire, politique, social, institutionnel qui affectent notre pays et menacent son existence et minent sa cohésion.
Si l’apaisement du climat social auquel le Gouvernement s’est attelé avec détermination est de nature à créer les conditions d’une transition apaisée, l’amorce des réformes politiques et institutionnelles va asseoir les fondations du Mali Nouveau, un Mali bâti sur des institutions fortes, légitimes et démocratiques. C’est le gage du redressement de notre pays, de la préservation de son unité, de sa souveraineté et de sa stabilité durable.
Mesdames et Messieurs, j’allais dire mes chers amis et chers amis du Mali,
Je me tiens à présent à disposition pour évoquer avec vous, tous ces sujets, sans tabou sans détours (disons sans langue de bois que l’on colle faussement et si souvent aux diplomates), pour requérir, en toute amitié, vos suggestions et propositions sur la conduite réussie de la transition.
Dans cette optique, du haut de cette tribune, je sollicite votre accompagnement continu et votre soutien technique, financier et matériel plus franc et plus ample pour assurer les conditions de réussite de la Transition, à côté de l’effort de l’Etat et des acteurs maliens.
En disant cela, je me fais également l’écho de l’exhortation de la CEDEAO, réitérée dans les conclusions de la dernière mission de son Envoyé Spécial et Médiateur, Son Excellence le Président Goodluck Jonathan que je salue pour son engagement et son abnégation à nos côtés.
En effet, depuis son Sommet extraordinaire du 30 mai 2021, la CEDEAO n’a eu de cesse d’inviter les partenaires multilatéraux et bilatéraux à continuer à soutenir notre pays, le Mali, afin de lui permettre de relever les graves défis macroéconomiques auxquels il est confronté, dans le contexte de crise sanitaire et sécuritaire, et de soutenir la réussite du processus de transition.
Par ailleurs, le Gouvernement du Mali a expliqué à l’Envoyé Spécial et Médiateur de la CEDEAO la nécessité d’organiser, tout d’abord, les Assises Nationales de la Refondation, afin de se mettre d’accord sur un large consensus national, assorti d’un chronogramme précis et détaillé devant conduire aux élections générales dans les plus brefs délais. Le Gouvernement a également assuré l’Envoyé Spécial et Médiateur de la CEDEAO que la mise en place de l’Organe Unique Indépendant de Gestion des Elections n’est pas liée au calendrier des assises Nationales.
Au-delà de l’exercice de cet après-midi, je voudrais vous donner l’assurance que nous prolongerons nos échanges et contacts dans les semaines à venir, dans un cadre bilatéral pour les uns, en comité restreint ou élargi pour les autres, au sein des instances de dialogue existants, telles que : le Dialogue politique Mali-Partenaires, la Troïka des Partenaires dirigée cette année par l’Allemagne, l’Alliance Sahel, la Coalition pour le Sahel, le G5 Sahel ou de la Commission Mixte Mali-Partenaires Techniques et Financiers, pour adresser des sujets plus spécifiques liés à nos priorités communes.
Je vous remercie, Mesdames et Messieurs, de votre aimable attention.
LE CONSENSUS SANS LA CONNAISSANCE ET L EXPERIENCE NE SUFFIRA PAS
ATT L A USITE AVEC LES RESULTATS QUE L ON SAIT-
LE CONSENSUS C EST ENTRE LES DIVERSES SOLUTIONS QUI SORTIRONT D UNE EXPERTISE ET NON L INVERSE CHOGUEL DONC ATTENTION !!!!!
ET DONC
LES ASSISES DOIVENT SE TENIR AVEC DES EXPERTS RECONNUS NIVEAU MONDIAL AVEC COMME ACITF DES ACTIONS AVEC DES RESULTATS PROBANTS LA CLE CAR POSSEDENT LA CONNAISSANCE ET L EXPERIENCE REUSSIE NIVEAU MONDIAL
ENTRE NEOPHYTES LOCAUX ON PARLERA DANS LE VIDE SANS DONNEES ET CHIFFRES A L APPUI ET SURTOUT SANS PRATIQUE A PART QUELQUES UNS
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LE ROI BITON DE SEGOU
On dit l’ancien chef de village souhaite du malheur à son successeur tant le mécontentement est plus fort d’avoir perdu sa place.
C’est pourquoi le chef de village ne vit jamais la période de son successeur c’est à dire il reste à sa fonction jusqu’à sa mort.
Espérer un COUP D’ÉTAT exprime ce sentiment du CHEF DE VILLAGE.
MOUSSA TRAORÉ et ses thuriféraires l’ont espéré depuis ALPHA OUMAR KONARÉ,ont fini par être satisfaits le 22 MARS 2012 et l’ont manifesté en s’éloignant d’ATT alors que c’est lui qui les a associé à la gestion de l’Etat à son élection en 2002.
LA HAINE D’AVOIR PERDU LE POUVOIR EST PLUS FORTE QUE TOUT.
IBK et ses thuriféraires dont LE ROI BITON DE SEGOU sont très dérangés de voir CHOGUEL MAIGA à la PRIMATURE.
On veut tout le monde sauf lui l’ennemi intime qu’on a chassé comme un peste et qui se retrouve quelques années après CHEF DE GOUVERNEMENT après avoir très largement contribué à nous dégager de KOULOUBA.
MOUSSA TRAORÉ et ses thuriféraires dont CHOGUEL MAIGA se sont comportés ainsi envers ALPHA OUMAR KONARÉ(ancien ministre de MOUSSA TRAORÉ) et ATT(ancien chef de la garde présidentielle).
ATT a été combattu dans la discrétion en association avec IBK l’autre haineux d’avoir été abandonné par son mentor,AOK, ennemi intime des héritiers de la dictature militaire.
CETTE HAINE GRATUITE A PÉNALISÉ NOTRE PAYS.
On travaille à empêcher les TENANTS DU POUVOIR à AIDER ce pays à se placer parmi les pays enviés.
ON A TANT ESPÉRÉ QU’ALPHA OUMAR KONARÉ ÉCHOUE À ORGANISER LA COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS EN 2002 EN OUBLIANT,AVEUGLÉS PAR LA HAINE,QUE C’EST LE MALI QU’ON PÉNALISE QU’ AOK VA QUITTER UN JOUR CE MONDE,MAIS LE MALI VA DEMEURER.
On espére ardemment aujourd’hui que CHOGUEL MAIGA échoue à poser les bases d’un MALI KOURA.
On le manifeste par “il faut respecter la durée fixée”.
CHOGUEL MAIGA,premier ministre du M5-RFP,non D’ASSIMI GOITA,porte L’IDÉAL incarné par un mouvement né à la suite des manifestations géantes entamées à partir du 5 juin 2020.
Il est surveillé comme le lait sur le feu par le comité stratégique du M5-RFP.
Il ne peut en aucune façon se contenter d’organiser les élections.
Ce serait trahir ces milliers de maliens sortis affrontés le RÉGIME CLANIQUE d’IBK.
Donc ce n’est pas CHOGUEL MAIGA qu’on attaque,mais le M5-RFP.
Si n’est pas compris ainsi,on va continuer à crier comme des chiens enragés sans empêcher la volonte du peuple de se réaliser.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Donc ce n’est pas CHOGUEL MAIGA qu’on attaque,mais le M5-RFP.
😎MAIS LE M5 RFP EST SORTI D ENTRE LES CUISSES DE CHOGUEL ET DE MAHMOUTOU DICKO ET L AUTE CHERIF NON? SI CHOGUEL EST PREMIER MINISTRE C EST PAS A CAUSE DE CETTE IDIOTIE NAZI DE TUEURS M5 RFP?😎
🙂 MAIS BON SANG! QUI VA RESTER FERME DEVANT LE COUP DE FORCE DES NAZIS DU M5 RFP? 🙂
KAAFRIYA DE YE MAANINFINYAH YEH, SILAMEHW YEH HASSIDIHW YEH, ‘NTAA DORON MOKOHW’ , ”NTEH MAA CHI FEEH” ”YURUKU-YURUKU-MAAW” YEREDON-BALIYA BE NIN BEH SE MAANINFIN MAH!
🙂 KAAFRIYA C EST LA DIGNITE ET LA JUSTICE, SILAMEYAH C EST DU YEREDON BALIYA COUSU AVEC LE HASSIDIYA 🙂
CHOGUEL, IL FAUT ALLER AUX ELECTIONS ET PERMETTRE A’ CELLES ET CEUX QUI SERONT ELUS PAR LE PEUPLE MALIEN DE FAIRE LA REFONDATION S’ILS LA JUGE NECESSAIRE!
VOTRE PROBLEME EST QUE VOUS N’AVEZ AUCUN MANDAT DU PEUPLE POUR FAIRE CE QUE VOUS VOULEZ FAIRE!
JE SUIS A’ 100% SURE QUE SI VOUS NE QUITTEZ PAS COMME PREVU APRES LES ELECTIONS DE FEVRIER, IL Y AURA UN COUP D’ETAT JUSTE APRES CETTE DATE!
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