Selon une coalition- composée de la CSM, IBK-Mali 2012, Forces pour la réconciliation la démocratie et la paix-Mali ko, la Copam, l’ARM/RSC, le FMR –le président de la République par intérim, Pr. Dioncounda Traoré, sur insistance des familles fondatrices de Bamako, s’est finalement inscrit dans la logique de la concertation nationale avant la composition du gouvernement d’union nationale. Cette décision serait intervenue le mercredi 8 août 2012.
Les leaders de cette coalition que sont : Me Mountaga Tall de la Convergence pour sauver le Mali (CSM), Bocar Moussa Diarra de IBK-Mali 2012, Hamadoun Amion Guindo de la Coordination des organisations patriotiques du Mali (Copam), Adama Traoré du MP 22, étaient hier face à la presse à la Maison de la presse pour rendre publique une déclaration. Dans ladite déclaration, la coalition réaffirme son attachement à la constitution de la République du Mali du 25 février 1992, à l’accord-cadre du 6 avril 2012 et aux décisions et avis de la Cour constitutionnelle du Mali qui doivent être respectés par tous ; prend acte des propositions formulées par le président de la République par intérim dans son message à la nation du 31 juillet 2012 ; constate cependant que le président de la République par intérim ne peut mettre en application les propositions qu’il a formulées sans la validation des forces vives de la nation dans le cadre d’une concertation nationale ; rappelle qu’il revient au Premier ministre la prérogative constitutionnelle de former le gouvernement d’union nationale équilibré et inclusif etc.
Est-ce à dire qu’il revient au Premier ministre actuel Cheick Modibo Diarra de former ce nouveau gouvernement ? Pour la coalition, ce n’est pas une question de personne, mais d’institution. “Le président de la République fait des propositions, leur mise en œuvre relève d’un autre niveau. C’est l’affaire du gouvernement. Et il faut une concertation nationale pour corriger ce qui est à corriger, légitimer ce qui est à légitimer et discuter de la composition du gouvernement d’union nationale et de sa feuille de route. Sous le mandat d’Alpha Oumar Konaré, la conférence nationale a été organisée par Ibrahim Boubacar Kieta, parce qu’il était le premier ministre. Cheick Modibo Diarra n’est pas notre As, notre As c’est le Mali”, ont expliqué les conférenciers avant d’ajouter que le gouvernement a déjà élaboré les termes de référence de la concertation nationale et que le Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, l’avait même fixée dans un premier temps aux 26 et 27 juillet derniers avant de la reporter aux 4 et 5 août pour ensuite la renvoyer aux 11 et 12 août prochain. Mais les conférenciers doutent que cette 3e échéance ne soit respectée vu le temps qui nous reste.
Quoiqu’il en soit, les conférenciers se disent rassurés que la concertation nationale se tiendra et que les familles fondatrices de Bamako, notamment les Niaré ont confirmé que Dioncounda Traoré s’est inscrit dans cette dynamique.
Mais à propos de quoi, le président de la République par intérim a fait les récentes consultations de forces vives de la nation ? Pour Me Tall, “il n’a jamais été question d’un gouvernement. Le président voulait écouter tout le monde, toutes les propositions, avant de commencer son travail”. Quid de l’ultimatum de la Cédéao qui avait donné 10 jours supplémentaires au président de la République par intérim pour former le gouvernement d’union nationale ? Les conférenciers n’en font pas un souci, car disent-ils, c’est aux Maliens de décider de la donne.
Abdoulaye Diakité
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a voir!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
S’ORGANISER ADEQUATEMENT EN METTANT LES BŒUFS (REPRESENTES SYMBOLIQUEMENT PAR LE GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE ET LE HAUT CONSEIL D’ETAT) AVANT LA CHARRUE (TOUT LE RESTE) POUR UN ATTELAGE DURABLE REPONDANT MIEUX AUX BESOINS DU MALI ET PERMETTANT UNE SORTIE DURABLE DE LA CRISE
Bonjour,
Certains pensent que compte-tenu de ce qui s’est passé depuis vingt ans, il faut des assises nationales pour désigner une équipe de consensus. Je pense qu’on ne peut, pendant à peine plus de trois mois qu’a duré la transition, corriger toutes les erreurs commises depuis vingt ans.
Au lieu de réaliser des assises nationales, qui auraient une audience limitée, pour désigner l’équipe gouvernementale, n’est-il pas mieux d’organiser de nouvelles élections ?
Or, compte-tenu de la situation au Mali, le Mali n’est pas prêt, aujourd’hui, pour ce faire.
Le Mali est dans une situation d’exception qui mérite un traitement d’exception basé sur une organisation adaptée qui exige de ne pas mettre la charrue avant les bœufs. C’est pourquoi, il convient de choisir l’équipe gouvernementale et le haut conseil d’Etat avant de convoquer les assises nationales.
En effet, ces assises nationales (1) prendront du temps or au Mali, les situations d’urgence au sud et nord Mali deviennent de plus en plus alarmantes, (2) nécessitent la participation des communautés des régions, et en plus, (3) nécessitent, pour des soucis d’efficacité, la participation des représentants confirmés de l’Etat pour échanger, avec les forces vives et les différentes communautés de la nation, d’une sortie durable de la crise.
Dans la situation actuelle, on ne sait pas si l’équipe de transition sera reconduite ou pas ? Donc, qui convoquera ces assises nationales ? Comment intégrer les communautés régionales ? Qui représentera l’Etat ?
De plus, il aurait été convenable de fournir à ces assises nationales des réponses aux questions suivantes : Quelle vision et quels objectifs pour le Mali nouveau ? Quelles est la feuille de route pour une sortie effective et durable de la crise ?
Devant la difficulté de répondre à toutes ces questions, on se rend compte qu’il serait plus judicieux de choisir le gouvernement d’union nationale et le haut conseil d’Etat avant de convoquer ces assises nationales ou cette conférence nationale. Ce qui n’empêchera pas ces assises de faire des propositions, par exemple de contribuer à la mise à jour de la feuille de route en partant de celle qui sera fournie par le gouvernement d’union nationale.
Devant l’urgence des situations au sud et au nord Mali, et au Mali en général, et pour des soucis d’efficacité, il est judicieux de constituer d’abord l’équipe gouvernementale et le haut conseil de l’Etat avant de convoquer la conférence nationale ou ces assises nationales.
Pour plus de stabilité, l’extension de l’équipe actuelle de transition est plus indiquée.
Les Maliens doivent agir efficacement dans l’unité et en toute cohésion pour une sortie rapide et durable de la crise.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
Le Haut conseil n’est pas neutre. Il faut se méfier de DICKO.dicko du haut conseil va défendre la position d’ibk, c’est à dire le maintien du premier ministre, espérant qu’il préparera les élections après le NORD et leur donner le pouvoir. Ce monsieur est dangereux. Déjà Dicko exige que l’élection soit au premier semestre 2013, c’est à dire dans quelques mois, il roule pour IBK et comme IBK soutient le PM, le Haut conseil islamique n’est pas du tout neutre.
S’ils ne decident pas sur quelques choses, on risquera de retourner à la case depart et on a tous intrrêt à se donner la main.
Bonjour,
Comme dit le Président, il faut sauver le Mali.
Pour ce faire, tous les Maliens doivent s’impliquer dans le cadre d’un consensus qui est le fait de sauver durablement le Mali.
Une telle implication de tous ne peut se faire qu’à travers la gouvernance consensuelle et participative donc il faut une volonté commune en évitant de mettre la charrue avant les bœufs.
C’est ainsi que la constitution du gouvernement d’union nationale et celle du haut conseil d’Etat doivent se faire avant la conférence nationale, qu’il est souhaitable de programmer.
Cette conférence nationale doit avoir des ramifications dans les régions et doit se tenir après avoir constitué le gouvernement d’union nationale et le haut conseil de l’Etat. Car c’est eux qui représentent les bœufs. Ils vont définir la vision, les objectifs et la feuille de route afin de tirer convenablement ou plutôt piloter tout le reste (charrue) en liaison avec les forces vives de la nation à travers la gouvernance consensuelle et participative pour assurer que l’attelage (bœufs-charrue) soit durable.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
Vous faites une mauvaise analyse de la situation à mon avis, tout le monde doit accepter de reconnaitre qu’il y a eu des bavures dans la gestion du pays durant ces 20 dernières années. Ceux qui ont commis ces bavures doivent accepter de se mettre de côté et laisser la chance au Mali d’être diriger par des nouvelles personnes. le rôle qu’à jouer Diocounda dans le régime passé ne lui permet pas de dire aujourd’hui qu’il n’a jamais triché avec le Mali, c’est trop inconscient de sa part. Des Assises nationales permettront de mettre en place une équipe de consensus.
Bonjour,
Certains, comme vous Mazo, pensent que compte-tenu de ce qui s’est passé depuis vingt ans, il faut des assises nationales pour désigner une équipe de consensus. Je pense qu’on ne peut, pendant à peine plus de trois mois qu’a duré la transition, corriger toutes les erreurs commises depuis vingt ans.
Au lieu de réaliser des assises nationales, qui auraient une audience limitée, pour désigner l’équipe gouvernementale, n’est-il pas mieux d’organiser de nouvelles élections ?
Or, compte-tenu de la situation au Mali, le Mali n’est pas prêt, aujourd’hui, pour ce faire.
Le Mali est dans une situation d’exception qui mérite un traitement d’exception basé sur une organisation adaptée qui exige de ne pas mettre la charrue avant les bœufs. C’est pourquoi, il convient de choisir l’équipe gouvernementale et le haut conseil d’Etat avant de convoquer les assises nationales.
Voir plus haut le détail de ma réponse intitulée :
S’ORGANISER ADEQUATEMENT EN METTANT LES BŒUFS (REPRESENTES SYMBOLIQUEMENT PAR LE GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE ET LE HAUT CONSEIL D’ETAT) AVANT LA CHARRUE (TOUT LE RESTE) POUR UN ATTELAGE DURABLE REPONDANT MIEUX AUX BESOINS DU MALI ET PERMETTANT UNE SORTIE DURABLE DE LA CRISE
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
Ca ne servira à rien. Ces gens vont trouver une autre exigence pour bloquer la sortie de crise du pays. Leur vrai problème, ce n’est pas la crise que vit le Mali, mais c’est la personne de Dioncounda. Dans ce cas là, la ne convention servira à quelque chose à leurs yeux que si elle propose que Dioncounda ne soit pas Président de la transition. Dans le cas contraire, ce sera le retour à la case départ.
C’est de la diversion. C’est leur dangéreux sport. Pendant que le pays brûle, ces nérons chantent, dansent et calculent ce qu’il gagneront sur le cadavre.
Je suis vraiment indigné d’entendre toujours parler seulements de ces familles fondatrices de bamako.Les familles fondatrices des autres régions du Mali existent elles-aussi et sont aussi importantes que celles de Bamako.Pourquoi ne pas les consulter elles aussi.
Très juste ce que vous dites diarrakè. En politique, il n’y en a que pour Bamako,les capitales régionales ne comptent pas ou si peu. Regardez, par exemple même en football, il n’existe pas d’équipe régionale digne de ce non. Peut-être parce que la politique du sport en direction des régions n’est pas bien développée… Cela dit, je n’ai rien contre notre Capitale que j’adore, j’y ai passé mon adolescence.
Le visa est refusé aux détenteurs du nouveau passeport Cédéao du Mali. Ce refus a déjà causé du tort à nombre de nos compatriotes… Pourquoi alors le Mali ne met pas en circulation le passeport Malien, au lieu de laisser les gens bloqués indéfiniment… ?
c’est fouttu pour ce pays ! ➡
on retrouve bien l’Afrique dans le titre ! Alors qu’il faudrait agir dans l’urgence ,on va se perdre en palabres inutiles puisque personne n’arrive à se mettre d’accord !! 😳 😳
On ne peut mettre en place un Président et un premier ministre et consulter le peuple à chaque fois qu’on doit prendre une décision. Ceux qui veulent repousser la formation du nouveau gouvernement jouent en faveur des islamistes sans le faire exprès car ils leur permettent de s’implanter d’avantage. CMD ne peut pas dire qu’il n’a pas eu plein pouvoir dans la mesure où durant au moins 2 mois le président n’était même pas au Mali. La mission de son gouvernement était de libérer le nord et organiser des élections. Le gouvernement n’a même pas ouvert des négociations avec les groupes armées à plus raison faire la guerre. Le malien a le défaut de ne jamais accepter de regarder les choses en face. Nous irons de concertation en concertation et les islamistes vont se renforcer et par finir occuper tout le reste pays et là plus d’armée, plus de politiciens, plus de Mali. CMD lors de son allocution télévisée n’a pas laisser une petite lueure d’espoir quand à la libération du nord. il a plutôt parlé de choses courantes que tout gouvernement doit faire comme si on était en temps normal. Continuons à organiser des forums et des concertations et à l’arrivée on verra.
Aldjouma: ni FDR, ni COPAM, ni Militaire, ni dirigeant mais seulement un fils du Mali.
La tenue des assises nationales va legitimer la feuille de route de la transition et elles vont permettre de definir les rôles te prérogatives des deux têtes de l’executif et mettre fin aux flous politiques qu’à plomger la cedeao le pays.Il faut que le président pi et le PM sachent chacun ses pouvoirs et limites.Il faut lever cette ambiguté entretenue par certains politiciens qui pensent que Dioncounda est le président légitime et par conséquent investi du pouvoir de conduire la transition dans toute sa dimension.C’est là ou réside la confusion.Les assises nationales semblent être un passage obliger si on veut vite sortir de la cacophonie. Encore une fois, nous ne sommes pas liés par les ultimatums de la cedeao. Nous sommes un pays libre et nous devons organiser notre transition suivant nos convenances.Si la cedeao veut aider la Mali, elle n’a quà accompagner cette dynamique.La libération de la partie du territoire occupé revient d’abord aux Maliens.C’est à nous de jouer les 1er rôles et pour celà nous sommes prêts et nous n’attendons que les appuis demandés à savoir logistiques un point-un trait.
bonne contribution anasser
merci et du courage
Le Mali d’avant et le Mali d’aujourd’hui ne peut être le même. Nous sommes tous a force égale devant la mère patrie et devant la transition.
Si le FRD dit qu’ils ne veulent pas de CMD et menacent de ne participer dans un nouveau gouvernement si ce dernier est maintenu, ils ouvrent les mêmes exigences aux autres formations et groupements qui ont une autre vision du Mali d’exiger autre chose avec les mêmes menaces de ne participer si leurs exigences ne sont pas prises en comptes. Le FDR doit comprendre une bonne fois pour toute que le CONSENSUS est de rigueur et que le Mali appartient a tous les maliens sans exception. Aucun parti politique après le coup d’état n’a le DROIT d’exiger quoi que ce soit aux autres.
Le Président Dioncounda et son Premier Ministre CMD doivent écouter tout le monde et prendre ensemble les meilleures solutions de sortie de crise.
Tant que des partis politiques oeuvrent pour la séparation du DUO, le Mali en récoltera que des problèmes qui n’arrangeront PERSONNE.
LE FAIT DE VOULOIR ORGANISER LA CONFERENCE NATIONALE NE DOIT PAS BLOQUER LA CONSTITUTION D’UN GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE
A TRAVERS LA NEGOCIATION, NECESSITE D’UNE CONFERENCE GLOBALE DE COMPROMIS OU CONFERENCE NATIONALE OUVERTE AUX REGIONS CAR LE PROBLEME MALIEN NE CONCERNE PAS SEULEMENT LES GROUPES ARMES MAIS AUSSI TOUTES LES COMMUNAUTES DU SEPTENTRION ET TOUTES LES COMMUNAUTES MALIENNES HABITANT DANS TOUTES LES REGIONS DU MALI ET DU MONDE
CE QUI N’EMPECHE PAS LA FORMATION, DES MAINTENANT, D’UN GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE CONTRAIREMENT AUX PROPOSITIONS BLOQUANTES DE CERTAINS
Bonjour,
La conférence globale de compromis, à travers la négociation et le dialogue, sur laquelle doit s’appuyer le HAUT CONSEIL D’ETAT, dont je parle dans ma proposition de sortie, honorable pour tous, de crise, est une conférence nationale étendue aux régions, via des conférences régionales de compromis, pour intégrer toutes les communautés afin de déterminer les compromis que les Maliens voudront faire pour trouver une solution négociée durable à la crise Malienne.
C’EST A TRAVERS UNE GOUVERNANCE CONSENSUELLE ET PARTICIPATIVE QUE LA SOLUTION DEFINITIVE A LA CRISE MALIENNE SERA TROUVEE.
Contrairement aux propositions bloquantes de certains, cette conférence globale des compromis n’empêche pas la formation, dès maintenant, d’un gouvernement d’union nationale.
Pour plus de stabilité et de justice, ce dernier peut être l’extension de l’équipe du gouvernement de transition actuelle.
IL EST SOUHAITABLE QUE LE PRESIDENT RECONDUISE CHEICK MODIBO DIARRA COMME PREMIER MINISTRE SANS TARDER ET QU’ENSEMBLE (LE PRESIDENT ET LE PREMIER MINISTRE ONT CHACUN DEJA PRIS DES CONTACTS POUR CE FAIRE) ILS DETERMINENT LE GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE.
Comme je le disais dans une de mes contributions, une collaboration franche entre les deux est nécessaire pour constituer ce gouvernement d’union nationale.
Les Maliens ne trouveront une solution durable à la crise qu’en se parlant, tous ensemble, dans la stabilité, dans la quiétude et en toute sécurité. C’est pourquoi, la sécurisation de cette conférence globale de compromis et de ses ramifications régionales ainsi que celle des communautés est indispensable.
Tout en sécurisant les populations dans toutes les régions, les vivres et médicaments doivent leur être fournis. Le lancement de projets communautaires dans les régions peut aussi être fait sans attendre afin d‘éviter la récupération des populations à travers la misère.
Cette sécurisation doit être assurée par les forces de défense et sécurité du Mali, avec le renfort éventuel du contingent de la CEDEAO/UA/ONU.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
Ce serait sage! A ce point-ci, la conference nationale est une necessite’!!!!
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