Le président de l’Assemblée nationale, Dioncounda Traoré, sera investit président par intérim du Mali, ce jeudi. Mais, il ne pourra pas se présenter à la prochaine présidentielle, un sacrifice de taille pour le président de l’Adema-Pasj.
Le quartier général de Dioncounda Traoré est désormais à l’hôtel Salam où le président de l’Assemblée nationale a élu domicile en attendant son investiture pour assurer l’intérim du Président de la République. Amadou Toumani Touré, le président démissionnaire, a depuis dimanche 8 avril laissé un poste vacant dont l’intérim est dévolu au président de l’Assemblée nationale, selon la constitution.
Le président de l’Assemblée nationale, Dioncounda Traoré, était au Burkina Faso le 22 mars, au moment du coup d’Etat de la junte. Il y est resté jusqu’au samedi 7 avril, soit 24 heures après la signature de l’accord cadre entre le CNRDRE et le médiateur de la CEDEAO, visant la mise en œuvre de l’engagement du 1er avril. Les chefs d’Etat de la CEDEAO lors du sommet de Dakar avaient décidé de sanctionner le Mali en prenant des sanctions diplomatique, économique et financière, un ‘’embargo total’’. En conséquence, le Capitaine Amadou Aya Sanogo s’est engagé solennellement pour le retour à l’ordre constitutionnel et le rétablissement des institutions de la République, dont la présidence. Aujourd’hui, tous les Maliens ont les yeux rivés sur la cour constitutionnelle pour le constat de la vacance du pouvoir, afin de permettre d’organiser la prestation de serment du président de l’Assemblée nationale Dioncounda Traoré. En entendant cette prestation de serment, finalement annoncée pour jeudi, Dioncounda poursuit ses consultations à l’hôtel Salam.
Lundi 9 avril à Kati, Dioncounda Traoré a eu une prise de contact avec le président du CNRDRE, le Capitaine Amadou Aya Sanogo, de laquelle rien n’a filtré. Quelques heures plus tard, le capitaine Sanogo a donné une conférence de presse pour expliquer que la mission du président intérimaire s’arrêtait à 40 jours. Selon lui, c’est à partir de cet instant que les signataires de l’accord-cadre, c’est-à-dire le CNRDRE et le médiateur de la CEDEAO, définiront la transition. Une interprétation de l’accord cadre qui, de l’avis de certains observateurs, mérite l’instauration d’un dialogue entre les acteurs maliens d’une part et ceux-ci et le médiateur de la CEDEAO d’autre part. L’heure n’a donc pas sonné pour le retour des militaires dans les casernes. Par ailleurs, on reproche à l’accord cadre de ne pas être suffisamment explicite sur ces points.
Cependant l’heure est aussi au choix d’un Premier ministre consensuel, puis d’un gouvernement d’union nationale, toutes choses impossibles sans des négociations bien menées entre les parties prenantes, sans se voiler la face, sans politique d’autruche, ni fuite en avant et avec une dose suffisante de patriotisme. Dans l’intérêt du peuple malien et du Mali.
B. Daou
En tant que Ivoirien, je salue le geste du capitaine Sanogo et la pacifique transition du pouvoir selon la constitution. Nous avons assiste dans notre pays la Cote d’Ivoire a un deboir politique suites aux elections.
Merci
il y a pas quelqu’un pour tuer ce petit capitaine qui refuse d’aller au Nord et qui parle toujours de lui et son armée tu crois que tu es Sangara pour parler de l’armée comme si c’est pour toi tu veux être chef d’etat major? hey capitiane balle à terre aprêtre toi tu vas au Nord en plus tu continue à nommer des gens, tes proches et piller nos reserves pour payer les credits de l’alcool des bars de kati
Amourdupays, je partage ton point de vue mais je confirme qu’à Sévaré/Mopti l’armée malienne vient de réunir 700hommes!!! Les renforts continuent à arriver de Kayes et de Sikasso !!! Si on doit attendre la CEDEAO je t’assure qu’ils ne viendront pas avant 03mois par contre de la logistique et l’assistance technique ok là c’est plus pratique!!! Tous ceux qui ont suivi les infos du 20h (18h GMT) de France2 ce soir sur Tombouctou doivent comprendre qu’il y a vraiment urgence!!! N’en déplaisent à certains, le MNLA n’existe que pour les médias français comme l’a dit le journal “INTER DE BAMAKO”!!! Les islamistes font la loi à Tombouctou, le reportage est hallucinant 😯 😯 😯
le choix du premier ministre malien doit etre:une personne ferme,expérimentée,et direct… 😳
tout tourne autour de sanogo se bien lui qui bloq la nomination du premier ministre .il veu quelqu’un de son soix
c’est normal ,il craint sa peau… 😉
Selon un communiqué de la présidence du Burkina, le président Blaise Compaoré recevra la classe politique malienne à Ouaga ce week-end !! C’est à Ouaga que nos politiques iront parler de notre avenir ??? Kabako 😛 😛 😛
mai c’est normal, si non politiciens ce montre incapable ils vont nous guide dans la bonne voix
Merci izzack, c’est pourquoi cette guerre politique en ce moment à Bamako me fait honte!!! Le Mali est devenu un repère de terroristes, tu fais un tour sur google en tapant Mali tu verras comment on parle de ce pays !!!! Pendant ce temps ici à Bamako (à l’hôtel Salam) ce sont des opportunistes qui passent la journée à venir voir Dioncounda pour soi-disant le saluer ou lui faire des bénédictions !!! Tu ne fais pas des bénédictions pour le Mali mais pour Dioncounda !!! Incroyable !!! Je n’ai pas aimé le coup d’état mais une fois qu’il est là, la moindre des choses de la part des politiques c’était d’accompagner en douce ces jeunes militaires vers la sortie !!! Mais non, ils ne font que crier et ne pensent qu’à l’intérêt perso !!! Retour à l’ordre constitutionnel, mon œil ouais !!! La constitution du Mali est restée dans un réfrigérateur au frais pendant des années, il a suffit d’un putsch pour qu’on la sorte du frigo et la mettre au soleil 💡 💡 💡
Il est vrai qu’il y à un ballet des politiciens à bamako. Mais tout cela est normal et logique. Ce qui est anormalement pathologique et grave, c’est le silence et la léthargie des militaires à s’organiser et à aller au nord pour liberer le mali. Pour liberer que la cédéao puisse nous aider il faudrait qu’on existe. Nos militaires réclament du matériel de guerre et non une troupe éétrangère mais ils devaient plutôt demander une envie et le coeur à combattre.
C’est grave si les prisonniers n’ont pas accès aux soins élementaires. Ceux qui detiennent les prisonniers sont responsables d’eux; ils doivent simplement les remettre aux autorités légales puisqu’ils n’ont pas le minimum nécessaire.
Les bandits armés,terroristes, extremistes religieux qui se font du plaisir à detruire, à prendre des hotages, à tuer, à violer…sont les seuls qui profitent de cette guerre. Les populations déplacées, les orphelins, les veuves, les violées… ne méritent pas leur sort.
Quand le monde cherche à s’unir pour relever les defis, l’Afrique continue à se diviser par les moyens les plus horribles. L’Afrique est déjà le continent le plus divisé. Les 52 États Americains, les 10 provinces et 3 territoires du Canada… sont de bons exemples de cohabitation paisible et fructueuse.
Faire partie de la communauté humaine, le respect de sois-moi, la promotion de la paix et le developpement exigent la sauvegarde et le respect des frontières internationalement reconnues.
Pas d’élection avant l’unification du territoire malien.
Comment voulez-vous qu’on organise les élections le pays étant divisé?
Comment comptez-vous voter sans les gens du Nord? Ces sont des maliens aussi
Je pense que les occidentaux veulent induire DIONKOUNDA en erreur.
Si le Mali vote sans les gens du Nord, c’est que nous avons tous cautionné la division du Mali…. Levons-nous et disons NON à cette “MASCARADE” d’élection sans les gens du nord.”LE MALI N’EST PAS A VENDRE ENCORE MOIS A PARTAGER”
Le pays ne sera pas reunifie avant longtemps. Allons nous attendre tout ce temps sans un chef d’état et sans institutions. Qui prendra les dispositions et lois et decidera des financements pour faire face aux si nombreux défis. C’est douloureux mais je crois que les élections continueront à débloquer beaucoup de choses. Tu sais, je verrai bien wsanogo et ses amis dans le contingent de la cedeao pour faire liberer la mali. Comme çà on saura si ils sont des ”garcons”
toi qui est bon pour critiquer les autres quesque tu peut faire pour le mali?
On dit toi qui es sans “t” ensuite peux sans “t” aussi le “quesque” n’est pas français ok!!! Tu finis de te cultiver et tu viens pour qu’on discute !!! Pour l’instant tu n’as qu’un seul commentaire sur ce forum donc tu dois chercher à te mettre à jour avant de répondre aux gens!!! Le premier président Ben Bella de l’Algérie vient de mourir donc nous allons tous mourir, seul le pays restera!!! C’est le sens de mon post ok!!! 👿 👿
Tout le monde sait qu’il y a des soldats maliens qui sont prisonniers de ces voyous!!! Qui parlent d’eux ??? Personne!!! Ici pour l’instant tout le monde veut être premier ministre ou ministre le reste on s’en fout!!! Ceux qui pleurent ATT c’est leur problème, ceux qui crient pour la junte c’est leur problème mais sachez que dans ce pays c’est une question d’intérêt perso, tout le reste est bruit!!! ATT ne viendra plus, Sanogo ira un jour, Dioncounda ira un jour, nul n’est éternel seul peut être le Mali mon pays!! Vous (politiques) faites sortir le Mali de ce trou, si vous ne pouvez pas taisez vous et foutez nous la paix!!! Cet agacement commence vraiment à faire trop, des journalistes de mer-de avec des articles de mer-de commandés par des politiques de mer-de que pour faire parler d’eux, qu’avez vous fait et que faites vous de nos carnets d’adresses pour aider ce pays!!! France, Algérie, Mauritanie, RFI, France24, CEDEAO, UA, etc… ok critiquez, criez, personne ne viendra construire ce pays à notre place 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
Bilqis
Posté le 11/04/2012 à 16H06
Des prisonniers crient leur détresse !!
Bonjour à tou-te-s/ As salam aleikoum,
Triste, oh, si triste!
** “Capturés par les rebelles de l’AZAWAD
Des prisonniers crient leur détresse **
le 08.04.12 10h00 1 réaction
C’est à Achabrache, village abandonné par ses habitants en 2007, que le MNLA maintient en captivité une centaine de militaires, arrêtés à l’issue des batailles pour la prise de Ménaka, Tessalit, Kidal et Tin Zaouatine. Coupés du monde depuis plus de trois mois pour bon nombre d’entre eux, souffrant de maladies contagieuses, de blessures par balle, de sous-alimentation et de manque d’hygiène, ils crient leur détresse.
De notre envoyée spéciale
à Achebrache (nord du Mali)
Depuis le début de la rébellion au nord du Mali, 400 militaires maliens ont été arrêtés par les combattants du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA). Une centaine d’entre eux sont transférés de Ménaka, Tessalit, Kidal et Tin Zaouatine, vers Achebrache, ce village abandonné en 2007 par ses habitants à cause des exactions commises par les militaires maliens. Le village qu’aimait tant feu Brahim Ag Bahanga pour sa verdure et sa beauté au point d’en faire sa résidence. Aujourd’hui, Achebrache n’est que ruines. Des maisons, il ne reste que les murs. Les portes et les toits n’existent plus, alors que les arbres, signe d’un passé fructueux, ne sont plus que des troncs éventrés. Vidé de son âme, le lieu n’est occupé que par les militaires maliens qui ont fait de l’école et de nombreuses demeures des fortifications. La seule construction digne de ce nom reste cette immense caserne en état d’achèvement, réalisée, nous dit-on, pour accueillir les Américains.
La présence de prisonniers dans ces lieux nous interpelle. Le commandant Moussa Ag Ahmed accepte volontiers de nous faire visiter les lieux de détention. «Nous n’avons rien à cacher. Ce sont des militaires arrêtés pendant ou après les combats. Personne ne veut d’eux. Nous n’avons pas les moyens de les prendre en charge convenablement. Ils sont bien traités mais nous voulons qu’ils repartent chez eux. Ni leur gouvernement ni les ONG humanitaires ne s’inquiètent pour leur sort. Vous êtes les premiers à vouloir les rencontrer», déclare l’officier. Il enfile sa kalachnikov et se met à côté du chauffeur d’une Toyota Station.
A l’arrière, deux jeunes munis de kalachnikovs et d’une mitrailleuse. Un autre véhicule du même type, bien armé aussi, est à l’arrière pour sécuriser le convoi. Ce dernier traverse des kilomètres de pistes rocailleuses. «J’ai perdu plusieurs de mes hommes sur cette piste. Les militaires l’ont bourrée de mines antipersonnel. Nous n’avons sécurisé que ce tronçon pour pouvoir passer. Si nous dévions de quelques centimètres, c’est la fin», explique le commandant.
Le nouveau drapeau de l’Azawad, de couleurs rouge, verte et noire avec un triangle jaune, flotte sur toutes les bâtisses en ruine, tandis que sur les grands rochers qui surplombent la route, il est tout simplement dessiné à la main.
Sur notre chemin, de nombreux chars et véhicules militaires, totalement détruits, sont abandonnés. Les quantités énormes de douilles de gros calibres qui jonchent la route montrent la violence avec laquelle le village a été pris aux militaires. «Ici, l’armée a beaucoup résisté. Les échanges de tirs ont duré trois jours après un siège d’un mois. A la fin, les militaires ont pris la fuite vers l’Algérie», raconte un des gardes de l’officier. Il nous emmène vers le premier groupe de prisonniers. Ils sont dans un espace à l’air libre, mais surveillés par plusieurs combattants du MNLA. Ils sont une trentaine, peut-être un peu plus. Parmi eux, deux commandants, un capitaine, trois lieutenants, des sous-officiers et des soldats. Le manque d’hygiène est flagrant. Certains n’arrêtent pas de se gratter.
«Nous voulons juste informer juste informer nos familles que nous sommes en bonne santé. Cela fait presque trois mois que nous sommes ici. Nous mangeons à peine et beaucoup d’entre nous n’ont pu se changer ou prendre une douche», lance un des captifs.
Les poux envahissent les corps des détenus et les murs de leurs cellules
Certains ont les larmes aux yeux. D’autres n’hésitent pas à nous prier, en sanglotant, de faire parvenir leur cri de détresse. La majorité vient de Ménaka et de Tessalit. Tous veulent parler. Ils ont des haut-le-cœur. «Au nom du Seigneur, faites quelque chose pour nous. Nous ne savons pas ce qui se passe à Bamako ni pourquoi notre hiérarchie ne cherche plus après nous. Nous voulons entrer en contact avec nos familles et les rassurer. Nos femmes et nos enfants n’ont pas de nouvelles de nous depuis près de trois mois», témoigne, en larmes, un commandant.
Nos accompagnateurs nous dirigent par la suite vers le deuxième point de détention, situé à quelques kilomètres, que nous traversons difficilement. Au nombre de quarante, les prisonniers sont entassés dans l’ancienne école désaffectée que les militaires avaient détruite vers la fin des années 2000. Les impacts d’armes lourdes sont visibles sur tous les murs.
Les prisonniers sortent un à un de l’école. Ils sont dans un état dramatique. Ils ne cessent de se gratter le corps et la tête. Certains sont blessés ; d’autres, très nombreux, très affaiblis. «Le plâtre qu’ils m’ont mis à la suite de la fracture doit être changé mais ils me disent qu’ils n’en ont pas. Je risque une infection et je souffre le martyre à cause des douleurs. Je veux juste être soigné», déclare un prisonnier d’une voix coléreuse. Il est interrompu par un autre : «Je suis hypertendu et je n’ai pas mes médicaments. Je risque de mourir à tout instant. Pourquoi ne veulent-ils pas me soigner ?» Un autre jeune : «Je me gratte tout le temps. Les poux ont envahi les murs de l’école. Nous sommes tous contaminés et nous n’avons rien pour nous soigner. Nous ne nous lavons pas et nous n’avons pas de vêtements de rechange. Faites quelque chose pour nous.»
Des propos qui encouragent les autres prisonniers à s’exprimer. Tous se plaignent de poux et de morpions. Le manque d’hygiène est flagrant. Un jeune soldat s’avance et exhibe son pied, enflé et infecté. «J’ai été blessé par des éclats de balle. L’infirmier m’a mis juste de la Bétadine. Les douleurs me font souffrir atrocement. Regardez comme mon pied a enflé. Je n’arrive plus à marcher. Il faut que je me soigne», crie-t-il, avant d’être interrompu par un officier : «Je suis asthmatique et je dois utiliser mon aérosol. Parfois, j’ai l’impression de mourir à cause des crises d’asthme, mais ici, ils n’ont rien à me donner.» «Nous ne sommes pas maltraités, mais nous manquons du strict minimum», souligne un détenu, avant que nos accompagnateurs ne décident de mettre fin à la discussion. Ils nous emmènent vers le dernier lieu de détention, à l’autre bout du village. Il s’agit de militaires, mais également de gendarmes arrêtés à l’issue des combats.
Leur état est terrifiant. Vêtements en lambeaux et les pieds nus, ils manquent terriblement d’hygiène. Ici également, ils ne cessent de se gratter la tête et le corps et souffrent d’allergies. «Nous n’avons pas pris de douche depuis des semaines et nous portons les mêmes vêtements depuis plus de trois mois. Nous sommes coupés du monde ; nous voulons juste contacter nos familles pour les rassurer», déclare l’un d’eux.
L’infirmier de la prison intervient. «C’est vrai je manque de tout ici. De sparadrap, de désinfectants, d’antibiotiques et de médicaments antidouleur. Le mouvement n’a pas les moyens nécessaires pour avoir une bonne pharmacie et un médecin. Je travaille avec les moyens de bord, et ils sont vraiment rudimentaires», dit-il, avant qu’un prisonnier ne s’invite brusquement : «Je souffre de mal au ventre depuis des semaines et personne ne veut me donner de médicaments.» Il est subitement poussé par un autre prisonnier qui veut à tout prix parler : «Je ne sais pas ce qui se passe à Bamako, mais je veux juste que les ONG humanitaires se penchent sur notre sort. Nous voulons partir d’ici et retrouver nos familles. De grâce, faites passer le message. Nous sommes en train de mourir à petit feu…»
Des propos poignants, très durs à supporter. Le commandant Moussa se déclare conscient des «conditions extrêmement difficiles dans lesquelles se trouvent les prisonniers. Mais que voulez-vous ? Nous n’avons pas les moyens de leur assurer une prise en charge sanitaire. Leur gouvernement ne veut pas les récupérer et, de notre côté, nous ne pouvons les laisser partir de peur qu’il leur arrive quelque chose en cours de route.» «Nous voulons que les ONG humanitaires viennent leur rendre visite pour qu’elles constatent d’elles-mêmes le traitement qui leur est réservé», note le commandant Moussa Ag Ahmed. Il affirme que le Mouvement a capturé 400 militaires maliens dont le sort «n’inquiète personne». Il s’offusque du silence des ONG humanitaires et du gouvernement de Bamako qui, à ce jour, «ne se sont pas manifestés». Nous quittons les lieux le cœur serré. Ces dizaines de militaires ne savent même pas que leur président, Amadou Toumani Touré, a été renversé et qu’un militaire, comme eux, est au pouvoir depuis le 22 mars dernier.
Salima Tlemçani “
surtout qu’ils ne s’inquiétent pas ,les anciens dirigeants du Mali comme les nouveaux ,se portent bien et ont de bonnes joues 🙄 🙄
Allah kama aw ka na aw da don a ka pm ko la.
Eh bien le web, et l internet sont le diable et l ange en meme temps 🙂 🙁 !!!
le link est: voltairenet.org/Mali-U-S-Africa-Command-s-New-War
Merci de tenir nos compatriotes informé comme le droit universel de l’homme l’exige. 😀 😀 😀
les pays africains y compris le mali ont été immersés dans un monde dont-ils répondent pas aux conditions: mondialisation, globalisation. Ce monde est en déséquilibre et il faut réinstaurer un nouvel ordre.
en la matière, les supposés grandes puissances ou pays développés n’ont pas de sentiment; ils sont mus par des intérêts égocentriques au plaisir de faire disparaitre certains Etats.
réveillez-vous chers compatriotes, que chacun fasse son autocritique car il ne sert à rien de critiquer l’autre. faisons notre mea-culpa. réattachons-nous à nos valeurs cardinales: honnétété, courage, travail, humilité. acceptons surtout notre défaite du moment, réplaçons l'”Homme” au centre de toutes nos actions et mettons-nous en marche vers l’avenir radieux.
ON NE PREND PAS UN SERPENT MORTEL PAR LA QUEUE..
Pourtant c’est ce qui se passe au Mali.
Avec Sarkozy la France est retournée á l’Otan, et depuis elle est poussée en premier plan par cette derniére pour ‘initier’ les conflits, et mettre le feux.
Le premier cas a été couronné de succes:la Lybie; le deuxiéme de merde: la Syrie car les autres grands ont blocqué toutes les voies.
LE CAS DU MALI EST INQUIETANT: CAR PLANS VISANT SON PARTAGE DATENT PAS HIERS :-D, ET PERSONNE ,AUCUN GOUVERNEMENT N’A ÉVALUÉ LES RISQUES AVEC RESPONSABILITÉ 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 .
LE TEMPS DE LA RÉCOLTE EST VENU 🙁 🙁 🙁 🙁 :
– OU LE MALI SERA PARTAGÉ ET LE PROCESSUS NON ÉCRIT LE SERA DANS UN AN. C’EST PAS GRAVE: LA PARTIE SUD aussi petite que le Burkina, sera facilement dirigeable par nos dirigeants AUSSI BORNÉS. DANS CE MÉME CAS, LE MALI POURRAIT DEVENIR UNE PROVINCE DU BURKINA FASSO. DJONKIS DOIT DÉJA EN SAVOIR, PAS FORCÉMENT COMME COMPLICE.
– OU LE MALI SE PREPARE Á UNE GUERRE DE LONGUE HALAINE( DE 5 Á 10 ANS), SANS AMIS fiables 😀 , car pendant les 20 dernieres années LE MALI N’A PAS PU SE POSITIONER SUR LA SCENE INTERNATIONALE:LE MALI EST RESTÉ SOUS L’AILE DE SON EX-MAITRE COLONIAL 🙁 🙁 🙁 🙁 . SES DIRIGEANTS L’ONT VOULU ET REVÉ.
LISEZ SVP:
**************************
on prend les memes et on recommence 😳 😳 le Mali n’est pas sorti de la mer.de ,si ce n’est qu’il s’y enfonce un peu plus chaque jour !!! Dioncounta Traoré ne s’est il pas sauvé au Burkina la veille du coup d’etat ??? comme s’il avait été prévenu avant ,et personne ne trouve çà bizarre de le voir rentrer au Mali avec un grand sourire d’une oreille à l’autre 😉 😉 😉 le malien est trés naif
La, tu es constructif et je suis entierement d’accord avec toi. Mais, a dire vrai, dans le paysage politique actuel du Mali, il n’y a que des loups et des chacals. J’ai un desamour pour les militaires maliens, mais je pense que ce Capitaine SANOGO est plus patriote que toute la classe politique mise ensemble.
j ss tt a fait d’accord avec toi ApemaM Dr Cheick Modibo Diarra cme PM avec ces relation on pourra finir une fois pour tous avec ces bandits armée
Dr Check ne connait rien en politik
Ceux qui connaissent la politiques n’ont rien fait de bon jusqu’a ce jour…on a qu’a essaye autre chose.
Moussa Ag
Salam, il faut tout simplement comprendre que Sanogo est tout sauf un patriote. Il n’est pas venu pour sauver le Mali, mais plutôt sa peau (sans l’amnistie, il savait bien qu’il allait passer en cour martiale!).
Sanogo ne veut pas lâcher le pouvoir, mais y est obligé pour le moment, d’où sa malice de laisser la porte ouverte à toutes les options. Comme on le dit, le borgne est roi au royaume des aveugles. Il ne fait que profiter de la naïveté et de la crédulité de la majoritaire des maliens, qui, rappelons le, même s’il ne sont pas analphabètes n’en restes pas moins incultes pour la plupart.
L’équation est simple, les militaires doivent dégager et laisser le pouvoir aux civils approuvés par le peuple (sans népotisme)!
Le Mali mérite mieux que cette situation, même si les maliens l’ont cherchée.
l’aveuglement des Maliens est deplorable:
1. le president de l’assemblee etait chez blaise au moment du coup (comme par hasard)
2. les dirigeants du MNLA vivent a Paris (comme par hasard)
3. Paris se rejouit des avancees du MNLA a travers juppe et demande qu’il y ait negociation (comme par hasard)
la cedeao et Paris refuse le coup d’etat, demandent de restituer l’ordre constitutionnel mais sans le president qui pourtant est le garant de l’ordre constitutionnel (comme par hasard)
4. la CEDEAO parle a peine du MNLA qui avance jusqu’a ce qu Sanogo insiste qu’il ne partira qu’avec une garantie de la CEDEAO de reunifier le Mali.
5. La CEDEAO accepte et juste apres annonce que c’est la transition qui doit commencer des negociations politiques avec le MNLA.
6. Le MNLA se durcit en invitant une aile islamiste en son sein, faisant croire que c’est un autre mouvement.
7. La france prefere ne rien faire parce qu’elle a peur que les otages francais soient malmenes.
8. la transition traine et tant qu’elle traine la CEDEAO peut lui dire c’est votre faute malien.
or on sait que cette transition durera 100 ans parce qu’on ne peut pas organiser d’elections dans les conditions ou le pays est divise et des rebelles detiennent des armes dans le Nord.
9. oh si, on peut le faire. on l’a fait en Cote d’Ivoire ou Gbagbo a ete force (par la france, l’onu, la CEDEAO et tous les chefs d’etat de la sous region)a aller a des elections dans un pays divise avec des rebelles armes au Nord. Resultat: Un affairiste (Ouattara) au pouvoir qui vend tout a la France.
10. on croyait le Mali pauvre? Apres cette histoire, le Mali sera le pays le plus pauvre de la planete et la France aura ses puits de petrole et ses champs d’uranium.
C’est vous qui avez raison. La fRance a chasse ATT pour instaler un homme qui va lui laisser le petrole du nord, qui va signer le retour des malien de france, qui va faire ce pour la france ce que Alpha et ATT on lui ont refuse. Les Malien doivent essayer de voir clair et combattre cette france colonisatrice. je propose que le Mali ferme l’ambassade de france au Mali et cherches d’autres allies credibles. Tous ceux qui sont contents de ce coup d’etat vont tres vite se rendre a l’evidence. La rebellion a ete cree juste pour affablir l’etat malien sinon vu les differents accord et les efforts deployes, le mali a tout donne au sa parti nord et surtout au rebels. Y’a t-il un Dieu qui va un jour juger la france ici bas et non attendre l’eau-de-la?
en gros ton raisonnement peut tenir la route ,mais ces pseudos champs petroliers dans le Nord du Mali ,vous etes les seuls à y croire parce que vous etes voisins de l’Algérie . Pas la moindre goutte de pétrole n’a jamais été extraite au Mali ,pas meme de quoi remplir un briquet !!!! Comment peut on penser que si vous aviez une richesse pareille sous les pieds ce soi disant pétrole ne jaillirait pas déjà depuis des années ??????? ah naiveté quand tu nous tiens 😉 😉
L’illusion est notre plat prefere!
Quel petrol?
Moussa Ag
Comme PM, je propose Dr Cheick M Diarra, President de Microsoft Afrique. Avec son intelligence et relations peut bcps aidé le pays en ce moment de crise!!! Surtout, il nous faut quelqu’un qui a peu de relations avec nos amis habituels, et ce Mr en est un…
cest dja lui anyway. Sinon son frere.
Plus jamais ça il faut que tous les maliens sachent que les temps ont changé.Au Mali notre mali nous ne velons pas de problèmes.Quelle que soit la gravité d’un problème on en discute il y’a toujour des solutions.Tous unis pour récupérer le nord chacun va selon ses moyens:financiers, forces ,stratégie etc…
La réconciliation, le pardon l’action commune,la fratrenité des coeurs , l’amour du Mali sont les clés de de notre réussite
J’ai dit sur ce forum et a plusieurs reprises qu’il est temps pour nous de faire les choses differement ou de commencer a faire les differenment. Le retour a a l’ordre constitutionnel n’est pas mal en tant que tel avec l’aide la cedeao dont la plupart des dirigeants sont des dictateurs, seulement il faillait un nouveau changement pour le Maliba, c’est a dire faire un consensus pour nommer une personne neutre de la societe civile qui connait le pays et les affaires etrangeres. Pouqu’on puisse s’en sortir pour de bon, c’est une meilleur solution et cela pourrait ramener une certaine coherence et credibilite a l;etat, au gouvernemenr et a l’administration.
Ces politicards sont des crocos, des loups et des requins pourquoi: NE PAS APPLIQUER CETTE NOUVELLE DONNE ET LES LAISSER SE TUER OU SE MORDRE sur la seine nationale pour les elections? ensuite celui qui sera elu et son parti nous dirigera en ce moment la car la voix des urnes aura parler.Si nous voulons reellement du changement ca un prix et il faut le payer, pour l’avenir du Maliba et pour la nouvelle generation. La junte est seulement un bouc emissaire ert tout le peuple savae et savait que le peuple allait tres, tres mal depuis ces 10 dernieres annees, sinon ces 20 dernieres annees avec le laisser-aller total de l’etat et du gouvernement, il y a avait plus d’autorite de l;etat. Tout le monde faisiait ce qu’il voulait. La junte a bien de faire ce coup de force et la supporte encore. Il faut un changement radical et c’est possible. YES, WE CAN.S’il vous palit pensez y.
Slt 1FILSDEMALIBA,ne t’en fais pas ,la transition,la vraie commencera 40 jours apres l’investiture de Dioncounda,les politocards viennent de rabattre leur derniere carte “RETOUR A L’ORDRE CONSTITUTIONNEL” ce qui n’est d’ailleurs pas en leur faveur.WAIT & SEE.!
“….une épine dans les pieds des politiciens..”..Les politiciens sont deja un COUTEAU dans la moelle epiniere du peuple. 👿 👿 👿
@ Hotep…!
Pourquoi voulez vous qu’ils partent? Vous avez eu confiance a la CEDEAO, et c’est elle qui a dessine cet accord. Il serait tres sage pour les po\liticiens d’ecouter SANOGO: l’heure n’est pas a la politique maintenant, mais a la liberation du Nord. En plus, ne vous leurrez pas. Il y’aura le fameux ‘kokaje’ avant toute election. Toutes les richesses apparentes devraient etre prouvees et justifiees par leurs proprietaires, si l’on sait qu’un salarie malien ne peut pas etre un multi-millionnaire. Alors, conseils a tous les militants des partis politiques et partisans de candidats independants. IL faudrait des maintenant chercher de nouveaux candidats pour les elections futures. Cette fois-ci, personne ne montera sur l’arbre de la transparence avec un patalon troue. Salam!
Nous ne sommespas à l’abri d’un deuxième coup d’État ou plutot un saut d’humeur ou coup de folie de la part de ces jeunes militaires sans culture politique. Deja leur chef s’érige en Maître du Mali, traçcant des lignes çà et là. Qui est-il pour dicter la suite des choses ? Il risque fort (si ce n’est deja fait !)d’être un problème et une épine dans les pieds des politiciens. Le corolaire de cela c’est la recherche de solutions à l’équation Sanogo. Une de celles-ci pourra être la «Toumbacine». Il court à sa perte ou il causera des pertes. je suis inquiet !
Comments are closed.