Depuis le 22 mars 2012, date du renversement du régime démocratiquement élu d’ATT, un homme s’est fait beaucoup remarqué à cause du courage de ces idées exprimées contre les putschistes dirigés par Amadou Haya Sanogo. Il s’agit ni moins ni plus de Me Kassoum Tapo, avocat célèbre aux barreaux de Paris et du Mali depuis 1980 et non moins député à l’Assemblée Nationale. Depuis l’accalmie constatée avec le retour de l’ordre constitutionnel (retour de Dioncounda Traoré au pays comme président de la transition, mise en place d’un gouvernement d’union nationale etc), ce démocrate convaincu et sincère ne cesse de subir des diffamations calomnieuses et fallacieuses tant dans sa propre famille politique que de ces opposants, pardon de ces Judas politiques.
Manquant d’arguments et de preuves, ces détracteurs n’ont qu’un seul but à savoir la destruction de l’homme sur le plan politique. Ainsi il ne se passe un jour sans qu’on entende des insanités sur Me Tapo tout à cause de son ascension fulgurante sur la scène nationale et à travers le monde entier. Son courage à dire non aux putschistes du 22 Mars 2012, son combat à visage découvert pour sauver la démocratie malienne mise en mal par les militaires dirigés par Amadou Haya Sanogo lui on forcé l’estime, l’admiration et le respect de tous les démocrates du monde entier. Au lieu de lui rendre un vibrant hommage, certains de ces camarades ont cru bon de lui poignarder sur le dos alors qu’il était en voyage à l’extérieur. Le comble dans tout cela, c’est que ces camarades ont fait appel aux opposants éternels de Kassoum Tapo pour lui détruire à défaut lui nuire. Profitant de son absence au Mali, ces camarades du FDR ont cru bon de se débarrasser en faisant croire que Me Tapo a été demis de ces fonctions de porte parole du front du refus. Selon eux le désormais ancien porte- parole a trahi leur regroupement en prenant pour cause l’actuel premier ministre Cheick Modibo Diarra au sujet de sa démission ou non. Le ridicule dans tout cela, ces camarades ont cru lui faire taire en sortant le décret portant sa nomination à la tête de la CENI en 1997. Malgré son départ comme porte parole du FDR, Me Tapo continue de jouir du respect du président de la république, Dioncounda Traoré et tous les vrais démocrates du Mali et du monde entier. Voyant sa cote de plus en plus élevée, ces opposants éternels ont sorti une autre stratégie en faisant croire que la maison de Me Kassoum Tapo sise à Titibougou a été construite sur l’argent de la CENI dont il était le président en 1997. Ils vont pousser cette malhonnêteté intellectuelle à faire croire aux maliens analphabètes que la somme détournée est de 30 milliards de FCFA. Mensonge quant tu nous tiens ! Sinon comment comprendre que le montant de la CENI est de 30 milliards de FCFA et que toute cette somme soit détournée par lui pourtant ceux qui sont en train de donner ce montant, étaient tous membres de la CENI de l’époque et savaient pertinemment que ce montant était de 19 milliards de FCFA. Pourtant les élections de 2002 ont coûté 26 milliards de FCFA, celles de2007, près de 30 milliards de FCFA, et celles de 2012 si elles avaient lieu, plus de 40milliards de FCFA. Ce qui est marrant surtout c’est le fait que tous les marchés de la CENI ont été attribués par sa plénière avec la participation de tous ses membres y compris ceux de l’opposition dont figurent ces calomniateurs actuels.
Quand l’estime, le respect la popularité, la fortune et la somptueuse maison de Me Kassoum Tapo font des jaloux et des aigris endurcis
Pour ceux qui ne le savent pas du tout, c’est que Me Kassoum Tapo est avocat aux barreaux de Paris et du Mali depuis 1980, bâtonnier de l’ordre des avocats du Mali. Pour information, la construction de la somptueuse maison de l’élu de Mopti a été achevée en 1990 et la même année il a déménagé chez lui et au même moment un de ces détracteurs éternels se faisait expulser par son locataire pour non payement de frais de loyers. Le ridicule dans tout cela c’est que ce détracteur écervelé en question s’est fait récupéré par un honnête citoyen qui vit à Bamako et qui est promoteur de médias. Pour l’information tous les meubles et accessoires de la maison jusqu’aux simples pots de fleurs ont été importés de la France ainsi que la main d’œuvre. Qui dit mieux ! Le ridicule ce détracteur en question s’est fait récupéré par un honnête citoyen qui vit aujourd’hui. En plus de sa somptueuse maison de Titibougou, Me Kassoum Tapo possède deux résidences à Paris et une résidence aux Etats Unis avant de devenir président de la CENI en 1997. Maître n’a jamais aussi gérer de quelques derniers publics et n’ayant jamais exercé d’autres professions que celle d’avocat aux barreaux de Paris et du Mali depuis 1980 contrairement à ces détracteurs dont certains furent ministres. Connaissant la méchanceté et l’égoïsme de ces camarades politiques et avant sa prise de fonction de président de la CENI, Kassoum Tapo avait fait filmer sa somptueuse maison dont les archives se trouvent à l’ORTM et mieux la photo de sa résidence avait paru dans un numéro de Jeune Afrique. Autres motifs de vouloir détruire à défaut nuire à l’homme, c’es qu’en réalité ces camardes politiques et ces opposants éternels pardon ces Judas considèrent Maître comme une véritable menace tant au sein de son propre parti que des autres dans le landerneau politique futur. Ce qui explique leur attitude honteuse car l’homme aux vérités crues semble le mieux indiqué pour prendre les destinées de l’ADEMA après Dioncounda Traoré. Ayant échoué dans leurs manœuvres diaboliques, ces opposants éternels dont des leaders syndicalistes ont poussé l’outrecuidance d’aller raconter à Amadou Haya Sanogo que Kassoum Tapo possède des armes et une milice à Titibougou prête à faire face à l’ex- junte de Kati. Pire un de ses opposants député a le culot d’aller dire à Kati et en pleine nuit s’il vous plait que c’est seul Tapo qui est de s’opposer à la proposition de l’amnistie aux putschistes dans le cadre de l’apaisement prôné par la classe politique malienne. Aussitôt l’élu de Mopti fut convoqué à Kati et après discussions, le Capitaine a finalement compris que c’était des montages calomnieux pour se débarrasser de l’honorable député.
Maitre Kassoum, victime de sa bonté
Ce n’est pas cette année seulement que cette campagne a débuté. En effet depuis 1997, ces personnes malveillantes ont tenté par tous les moyens de l’écraser mais ont échoué dans leur plan machiavélique. On se rappelle encore lorsqu’un de ces opposants a écrit dans un journal de la place que le célèbre avocat a été élu comme bâtonnier de l’ordre des avocats grâce au soutien d’Alpha Oumar Konaré. Un autre de ces opposants avait aussi dans un journal de la place que Maître a payé une résidence à Paris avec l’argent de la CENI de 1997 dont il était le président. Notons enfin que depuis la révélation faite sur la vie privée menée en France d’un de ces opposants et actuellement président d’un parti politique, Me Tapo n’a plus été attaqué par ce dernier qui l’avait fait à trois reprises dans un journal de la place. La plupart de ces opposants ont aujourd’hui oublié que Kassoum les a servis comme tuteur en France après leur exil forcé sous le régime dictatorial de Moussa Traoré. Comme on le voit en réalité c’est à cause de toutes ses convoitises que ces camarades politiques et ses opposants éternels sont jaloux car ils n’ont jamais connu ce bonheur de construire d’une telle résidence.
Sadou Bocoum
A propos de sa démission au poste du porte- parole du FDR et de sa gestion des fonds de la CENI dont il fut président en 1997
Propos préliminaires de Me Kassoum Tapo
Mes chers amis de la presse
Je vous remercie d’avoir accepté de partager avec moi ce déjeuner qui me donne l’occasion d’apporter quelques précisions complémentaires sur les circonstances qui m’ont conduit à démissionner de mon poste de porte-parole du FDR d’une part, et de fournir quelques éclaircissements sur les tentatives de dénonciation calomnieuse dont j’ai fait l’objet pendant mon absence, d’une part.
Je voudrais tout d’abord vous dire que dès mon arrivée a Atlanta le 14 août dernier, lorsque j’ai été informé par le journal InFo Matin du communiqué du FDR désavouant mes propos de la veille faisant le compte rendu sur RFI de notre rencontre avec le Président de la république, j’ai aussitôt rappelé le journaliste de RFI Guillaume Thibault à qui j’avais accordé l’interview. Il a exprimé sa stupéfaction dans la mesure où dit-il, deux responsables du FDR ayant participé à la rencontre avec le Président, lui avait déjà livré les informations qu’il voulait me faire officialiser tout simplement en ma qualité de porte-parole. Il a promis de rappeler aussitôt le Premier-vice président du front, Monsieur Iba N’Diaye pour lui manifester son indignation, ce qu’il a fait effectivement.
Par ailleurs, ce lundi 13 août dernier aux environs de 18 h, en rentrant chez le Président de la république, Amadou Koïta, secrétaire politique du FDR, m’a informé qu’un journaliste de RFI me cherchait frénétiquement depuis quelques heures. J’ai répondu que cela était normal à un moment où tous les journalistes couraient vers l’information sur la formation du GUN puisque j’étais toujours le porte-parole du FDR. A la sortie de l’audience avec le président de la République il a insisté encore afin que je rappelle RFI avant de prendre l’avion. Il m’a donné le numéro de RFI en présence de Monsieur Cissé chargé de communication.
J’ai été par la suite estomaqué d’apprendre qu’il a soutenu lors de la réunion du FDR qui a fait mon procès par défaut que j’avais prémédité d’appeler RFI puisque je lui avais rappelé que j’étais toujours le porte-parole.
Je comprends aujourd’hui ses motivations réelles et, je partage volontiers son amertume et sa frustration de n’avoir pas été appelé au gouvernement d’union nationale, mais je pense que l’honnêteté intellectuelle doit le conduire aujourd’hui à confirmer à nos camarades du FDR ce que je viens de révéler.
Je voudrais ensuite vous dire que j’ai été stupéfait d’apprendre que certains de nos camarades, qui pensaient peut-être que j’avais envoyé mon CV pour quelque strapontin ministériel, ont poussé la malveillance jusqu’à aller remettre au Premier Ministre la copie du décret de Février 1997 autorisant la CENI de l’époque que j’ai eu l’honneur de présider à passer de gré à gré les marchés des opérations électorales.
Ce fameux décret que certains leaders du défunt COPPO, opposants de toujours devant l’Eternel, brandit depuis plus de 15 ans maintenant, ou de présomption de malversations à mon égard ? Ledit décret, ne constitue-t-il pas plutôt un moyen légal pour moi de me mettre à l’abri de toute incrimination ou de toute poursuite éventuelle relativement à la passation des marchés de la CENI ? L’ai-je jamais invoqué ? IBK ? Premier ministre de l’époque ? Homme d’Etat s’il en fût dans ce pays, aurait-il jamais initié ce décret si les circonstances d’urgence exceptionnelle de l’époque ne l’eussent exigé pour la réussite de notre mission dont dépendait la survie même de nos institutions ?
Mais malgré le bénéfice de ce décret et, sur l’exigence du questeur de l’époque, Madani Traoré, inspecteur des finances, émérite respecté, par ses pairs au ministère des finances, tous les marchés importants de la CENI ont été passés par appel d’offres. Ils ont tous été attribués aux mieux disant et je n’ai pas souvenance d’avoir enregistré une seule contestation de la part des différents soumissionnaires.
Croyez bien que, s’il y avait eu malversations, surfacturations, ou autres procédés malhonnêtes dont je ne suis pas familier n’ayant jamais eu auparavant à gérer de marchés publics, nos adversaires ne nous auraient jamais fait aucun cadeau.
Or, tous les marchés de la CENI ont été attribués par sa plénière avec la participation de tous ses membres y compris ceux de l’opposition de l’époque, et je ne me souviens pas une seule désapprobation.
Bien au contraire, en tant que président, j’ai eu à rescinder certains marchés, dont celui des bulletins, des cartes et des imprimés électoraux attribués sur appel d’offres à Graphique industrie pour un montant de 2.800.000.000, que j’ai ramené à 2 milliards en obligeant le PDG de Graphique industrie à signer un nouveau marché de gré à gré pour ce montant ; celui de la régionalisation du fichier électoral que j’ai ramené de 500 à 250 millions. Qui dit mieux ?
Si je peux comprendre qu’à l’époque beaucoup à commencer par moi-même, aient pu être étonnés par le coût exorbitant de ces élections, parce qu’elles étaient les premières élections pluralistes jamais organisées par une commission nationale indépendante dans notre pays, je comprends difficilement aujourd’hui qu’on puisse encore s’en étonner en toute bonne foi, au vu des élections de 2002, qui ont coûté 26 milliards, de celles de 2007 qui ont coûté près de 30 milliards et de celles de 2012, qui étaient prévues pour plus de 40 milliards contre 19 milliards pour les élections de 1997 qui se sont étalées sur deux ans avec un personnel rémunéré de plus de 4800 membres de la CENI. Et ces élections, au jugement même de nos détracteurs d’hier, et de certains observateurs avertis de la scène politique et même de la cour constitutionnelle, n’ont pas été plus catastrophiques que celles de 2002 et 2007.
Je n’ai pas souvent répondu aux attaques dont j’ai fait l’objet pour la gestion de la CENI de 1997. A la fin de ma mission en 1998, bien que n’étant tenu par aucune obligation légale de déclaration de mes biens, j’avais déclaré, sur l’honneur, devant la presse nationale et internationale , que tous les biens que je possédais à l’époque tant au Mali qu’à l’étranger, avaient été acquis avant la CENI, à la présidence de laquelle j’avais été élu en ma qualité de bâtonnier de l’ordre des avocats élu par mes pairs, n’ayant jamais eu auparavant, à gérer de quelconques deniers publics, et n’ayant jamais exercé d’autres professions que celle d’avocat aux barreaux de Paris et du Mali depuis 1980.
Avant ma prise de fonction de président de la CENI, j’avais fait filmer ma résidence actuelle, également parue en photo da ns un numéro de l’époque de Jeune Afrique, résidence qui fait l’objet de toutes les convoitises et me vaut toutes les jalousies de la part de ceux qui n’ont jamais connu le bonheur de construire.
Non je ne quitterai ni cette maison ni la scène politique ! Que ceux qui souhaitent cela trouvent autre chose, car après 15 ans il y a prescription, car je suis en paix avec ma conscience, fier d’avoir pris toutes mes responsabilités à un moment historique extrêmement difficile où notre démocratie était aussi menacée qu’elle l’est aujourd’hui, à un moment où les institutions de notre pays auraient pu sombrer plus qu’aujourd’hui. Je le rappelle simplement pour mémoire à ceux qui n’ont pas vécu ces durs moments avec nous.
Chers amis, vous comprendrez qu’à mon retour je consacre mes propos préliminaires aux « coups de couteau » qui m’ont été plantés dans le dos.
Mais bien entendu, je reste à votre disposition, en tant que membre fondateur du FDR, en tant qu’élu national, et tout simplement en tant que citoyen, pour répondrai à toutes vos questions.
Je vous souhaite un bon appétit et un bon après- midi, merci
Kassoum Tapo
un caca est un caca que ça sent ou pas
Tant que nous allons continuer à être égoïstes dans ce pays, nous n’aurons jamais la paix. Personne ne veut voir son voisin heureux. Sa fait peur
Monsieur le journaleux il donné combien pour ecrire cet article. Tapo est un corrompu de la republique. Tout cces bien avec de largent volé de part et dautre. On se connait bien dans ce pays.
vous allez laisser ATT enpain
tu as peut-être envie de manger du pain 😆 😆 😆 😆
Cette histoire Tapo ,il est evident que ca devient de la mechancete pure.Foutez lui la paix!
tapo, tapo …., que tapo nous foute la paix , lui seul sait pourquoi les gens sont dans son dos, je ne dis pas qu’il est blanc mais pas comme neige ?????????
PENDANT QUE LE PAYS EST EN GUERRE MAÎTRE TAPO S’EST TAILLÉ DE TRÈS BONNES VACANCES A ATLANTA AUX USA ET DE RETOUR S’EN EST D’AILLEURS BEAUCOUP FÉLICITÉ SOI-MÊME. VOYEZ VOUS COMMENT LUI IL NE PENSE PAS AUX PARENTS DU NORD?
C’EST TRÈS HONTEUX !
JE NE SAIS MÊME PAS COMMENT CE MONSIEUR A PU ETRE DÉPUTÉ?
SOI C’EST ATT QUI A GLISSÉ SON NOM DEVANT SUR LA LISTE A MOPTI!
VRAIMENT HONTEUX! Ou EST L’ARGENT DE NOTRE CENI?
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