Cheick Modibo Diarra était bien connu au Mali, ce pays qui l’a vu naître il y a 60 ans, mais comme astrophysicien travaillant pour la Nasa et comme gendre de Moussa Traoré, l’ancien président.
Son irruption sur la scène politique et surtout comme Premier ministre intervient à la faveur du coup d’Etat militaire qui renversa le régime du président Amadou Toumani Touré actuellement réfugié à Dakar au Sénégal.
Nommé Premier ministre de transition en avril par le président intérimaire Dioncounda Traoré, Cheik Modibo Diarra n’a en réalité jamais fait l’unanimité au sein de la classe politique.
Alors que certains acteurs politiques trouvaient qu’il était trop proche des militaires putschistes, d’autres ont toujours défendu que Cheick Modibo Diarra travaillait pour son propre compte dans la perspective des élections post- crise. Mais l’homme a toujours déclaré travailler pour le Mali, pour la reconquête du Nord Mali.
Ouattara ne le recevait plus
Ses relations avec le président intérimaire Dioncounda Traoré n’étaient pas non plus des meilleures. Les deux hommes ont plutôt eu des rapports teintés de méfiance mais par moment ouvertement antagonistes précisément sur l’intervention militaire internationale dans le Nord du Mali.
Le Premier ministre dont toute porte à croire qu’il a été contraint à la démission par les militaires putschistes était favorable à cette intervention alors que Dioncounda Traoré développe plutôt une opinion favorable à la négociation avec les groupes armés.
Les fréquentes prises de position de Cheick Modibo Diarra en faveur de l’intervention rapide d’une force militaire internationale dans le Nord du Mali ont probablement contribué aussi à dégrader ses relations avec le chef de putschistes, le capitaine Amadou Sanogo.
Diarra avait également de mauvais rapports avec la plupart des chefs d’État de la Cédéao : l’ivoirien Ouattara ne le recevait plus, et le médiateur le burkinabé Compaoré, qui avait pourtant cru en lui, avait fini par donner des signes de lassitude.
bbc.co.uk/
si l’on me disait que Sanogo s’entend avec les narco-trafiquants comme
le font les larrons dans une foire,je ne serais guère surpris;déjà il avait quitté le champ de bataille pour venir à Bamako renverser celui
qui était président comme si c’était là la priorité;aujourd’hui alors que la situation est très incertaine, il élimine le Premier ministre de la scène politique;ses hommes ont déjà tenté à la vie du Chef de l’Etat; je crois que cet homme est dangereux
“Diarra ne faisait plus l’unanimité” 👿 👿 👿 👿
ARRETONS DE BLAGUER….
LES ARMES SONT VENUES….
LE PEUPLE VA S’ATTENDRE A CE QU’ON FASSE QUELQUE CHOSE….
ON N’A BESOIN DE TEMPS OU D’EXCUSES….
ON VA NOUS FAIRE RETOURNER A LA CASE DE DEPART….CA NOUS FERA GAGNER DES MOIS ENCORE…..
IL FAUT ARRETER LE PM….ET DIRE QUE C’EST SA FAUTE…..IL N’EST PAS AIME PAR BEAUCOUP….ON SE FERA AIME PAR CEUX LA….
LE MEILLEUR ALLIE DES SOLDATS RATES EST LE TEMPS ET LE POUVOIR….ILS VONT TOUS FAIRE POUR TENIR A CES DEUX…..MAIS A LA FIN DE LA JOURNEE …LES PARAMETRES SERONT LES MEMES….
SANOGO NE PEUT PAS RESTER….SANOGO NE PEUT PAS QUITTER NON PLUS….LE MALI EST DANS LA MERDE JUSQU’AU NEZ….
Moussa Ag, qui pense que les fanfarons auront beaucoup de mal a trouver UNE BONNE PORTE DE SORTIE….ET LE TEMPS NE CHANGERA PAS CELA….SEULE LA LIBERATION DU PAYS PEUT ETRE….CA VA CHAUFFER 😆 😆 😆 😆
C’est de bonne guerre!Sanogo ne voulant pas entendre parler de guerre, il le destitue. A charge pour le Président Dioncounda de trouver un autre PM et ce, avec l’aval du faiseur de rois tapi dans l’ombre!!!
Quelle ridicule inconséquence!Seul le Mali peut être champion dans des inédits de ce genre.
Pendant qu’on y est, pourquoi le président n’aurait pas la dignité de démissionner afin que Sanogo joue au grand jour son jeu? Toutes ces dérives et mascarades sont favorisées par ce roublard de Dioncounda. Il couve ce serpent vénimeux qui finira par lui mordiller les chevilles un de ces jours. Le Mali mérite mieux que ces éternelles va-et-vient remettant à plus tard tout espoir de balayer les djiadistes traficants de drogue.
Comments are closed.