Le président de la République a évoqué avec ses hôtes du jour les enjeux des prochains pourparlers inclusifs inter maliens d’Alger. Il a aussi invité le monde du travail ainsi que l’ensemble des composantes de la Nation à un sursaut salutaire. “Dans le combat pour la défense et la préservation de la souveraineté nationale, qui ne saurait être une question d’IBK, le Mali a impérativement besoin d’un peuple debout, uni et conscient des véritables enjeux de notre intégrité territoriale et du front commun indispensable contre le terrorisme. Dans un pays comme le Mali confronté à des problèmes de survie nationale, il est impératif d’arrêter les manœuvres et d’harmoniser les agendas si tant est que nous sommes tous dédiés au Mali que nous aimons tant.”
Sur l’épineuse question de Kidal, le président expliquera à ses hôtes qu’il y a eu et qu’il y a encore beaucoup de malice et d’interférence notamment en prélude au second round des pourparlers qui doit débuter le 1er septembre prochain à Alger. Selon le Chef de l’Etat, “le chemin sera encore long et semé d’embûches, mais j’ai foi en l’avenir et je reste très optimiste quant à la paix définitive que chacun souhaite de tous ses voeux”.
Comme avec les précédentes centrales, IBK est revenu sur la situation difficile qui est celui du monde de travail. Il a rassuré ses hôtes sur son souci et sa volonté inébranlable de mettre les travailleurs du Mali dans les conditions décentes.
À leur tour, les responsables de la CSTM et de la CDTM ont dit être conscients des difficultés que l’Etat rencontre au regard de son héritage catastrophique. Selon Hamadoun Amion Guindo, “L’Etat n’existait pas et les défis étaient immenses. Il fallait d’abord récréer l’Etat. Nous sommes obligés de défendre notre pays et nous ne sommes pas prêts à céder quelque partie du pays encore moins à renoncer à ses ressources.”
Conscientes des défis auxquels fait face le pays et des graves enjeux internationaux, la CSTM et la CDTM ont clairement réaffirmé leur détermination à militer pour la paix, l’unité et la cohésion nationales. Elles ont aussi marqué leur engagement et leur disponibilité à accompagner les efforts de l’Etat et à inscrire leur action dans le cadre de la concertation et du dialogue social. “Notre soutien ne vous fera pas défaut, a dit Mme la secrétaire générale de la CDTM. Nous sommes travailleurs maliens et nous souhaitons que notre pays sorte de cette situation. Notre souhait est que la paix soit rétabli dans notre pays”. Quant aux aspirations légitimes du monde du Travail malien, Mme Sidibé Dédéou Ousmane dira “nous avons certes des revendications mais nous estimons que le moment de revendiquer et d’engager un véritable dialogue autour de ces revendications dans un climat social approprié viendra. Nous sommes prêt à accompagner donc les autorités pour que ce moment arrive”.
Les deux centrales syndicales ont salué le président de la République pour l’exercice constructif et ont souhaité voir le dialogue, la concertation mais surtout le partage d’informations se poursuivre entre l’Etat et le monde du Travail malien.
Ces deux rencontres qui font suite à celles que le Chef de l’Etat a eues lundi avec l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) et la Confédération des travailleurs du Mali (CTM), s’inscrivent dans le cadre d’une meilleure information des partenaires sociaux sur les grandes préoccupations de la Nation. Elles visent surtout à renforcer le dialogue social en vue du maintenir un climat de paix sociale.
Direction de la Communication et des
Relations Publiques /Présidence de la République
Je nomine Ben Boeing Barka da Allah Yé, ministre de l’incurie et de la promotion de l’amusement au Mali.
J’entends très souvent et de plus en plus incessamment la misère populaire qui étouffe le peuple malien.
L’angoisse des chefs de familles de pouvoir nourrir et soigner leur familles à cause de la vie chère, du manque de revenu garanti dans la famille et du manque de perspective pour les enfants qui sont réduits à prendre le thé et à aller à la mosquée en attendant peut être la grâce de Dieu.
C’est malheureusement le quotidien de presque 80% des familles maliennes aujourd’hui parce que le pays est arrêté comme un rocher, statique et improductif.
Mais laissez-moi d’être clair avec vous tous, personne n’est maudit sur cette terre et aucun pauvre n’est commandé par notre créateur de vivre et de mourir dans la misère.
La fatalité et la résignation n’existant pas dans le langage de Dieu ni de ses Anges.
La fatalité et la résignation sont des attributs des êtres humains atteints de défaitisme et qui ont abusé de la célèbre pilule des “loosers”.
Le gouvernement IBK est justement un marchand de cette satanée pilule des “loosers” qu’il ne cesse d’administrer au peuple malien depuis un an.
Pour sortir de la pauvreté, il faut créer par tous les moyens la richesse et le distribuer au maximum d’individus possibles dans une nation.
C’est une connerie sans nom de donner seulement de l’emploi aux fils et aux neveux du président de la république et de croire que les autres jeunes doivent attendre Dieu dans les mosquées.
Et la seule manière infaillible de créer de la richesse est d’investir dans les équipements productifs et de TRAVAILLER D’ARRACHE PIED pour rentabiliser ces investissements.
Le gouvernement IBK (qui rappelons-le n’a aucun programme sérieux d’investissements productifs pour le Mali) a mis un bambin agité et inexpérimenté en la personne Ben Boeing, pour faire figuration et donner une image moderne à son attelage gouvernemental chancelant.
Mais c’est que du vent depuis un an déjà que brasse El Bambino:
“Huicoma DOIT ouvrir…”
“Le Mali DOIT machin…”
À croire qu’il est devenu expert en conjugaison répétitive du verbe DEVOIR au présent de l’indicatif, vous allez voir que si.
Or sans investissements conséquents au Mali, on peut être sur d’être aussi pauvre à l’an 3020 qu’aujourd’hui.
“And I don’t tell no lies”!
Donc, je nomine le bambin agité Ben Boeing à réaliser ce qui suit:
I. Élaborer un document énumérant tous les investissements publics à réaliser avant 2018 et permettant d’accroître l’investissement public au Mali de 500% à cette date.
1. 5000 km Nouvelles Routes goudronnées (dont une autoroute Bamako-Sikasso-Zegoua-Frontières ivoiriennes et une autre Ségou-Mopti).
Et réhabilitation et entretien de 5000 km de routes existantes (dont celle de Bamako-Gao).
3000 km de pistes rurales.
2. Nouveaux chemins de fer Bamako-Office du Niger 400 km
3. Nouveaux Barrages hydroélectriques: 3 au minimum
4. Nouvelles installations de télécommunication (avec nouveaux opérateurs pour étendre les réseaux existants)
5. Nouvelles centrales électriques et installations d’électricité pour produire 2 fois plus d’électricité au moindre coût.
6. Nouvelles adductions d’eau potable au minimum 2 par village et localités maliennes.
7. Nouveaux aménagements agricoles, piscicoles, pastorales (au minimum 10 par régions et 50000 ha).
8. Construction de nouvelles écoles (500), universités (5), hôpitaux(5), laboratoires(5), centres de recherches (2).
9. Centres commerciaux (5), zones industrielles(5), entrepôts(3) ateliers(10), complexes sportifs et culturels(4).
10. Carrières et mines, forêts, espaces verts
11. Logements (immeubles urbains en centres villes avec appartements conviviaux et de toutes commodités et maisons de périphéries urbaines), bureaux, quartiers d’affaires, etc.
12. Aéroports, gares, stations de bus et de taxis, ports de marchandises et de voyageurs.
II. Élaborer un document énumérant tous les investissements privés à encourager dans le pays pouvant permettre d’accroître le niveau des investissements privés (nationaux et investissements étrangers directs) dans le pays de 500% et d’accroître l’emploi salarié privé de 600%.
1. Secteurs prioritaires à encourager:
industrie, mines, agriculture, pêche, élevage, développement rural, artisanat et touristes, services, télécommunications, santé, éducation, énergie et environnement.
2.Nature des investissements à encourager pour les capitaux privés (nationaux ou étrangers)
-nouvelles usines (alimentaires, pharmaceutiques, chimiques, électronique,etc);
-nouvelles sociétés minières (exploitant les richesses minières du pays pas seulement l’or);
-nouveaux services (banques, assurances, entretiens, hôtellerie, restauration, divertissement, promotion culturelle, transit, commerce, communication et événementiel, informatique, design, expertise, audit et conseil, etc).
III. Grace aux documents élaborés aux points I et II, cherche des partenaires financiers et des investisseurs dans le monde.
Il faut organiser des journées de l’investissement au Mali sur les 5 continents (New York, Los Angeles, Rio de Janeiro, Caraccas, Montréal, Paris, Milan, Franckort, Bruxelles, Londres, Barcelone, Moscou, Pékin, Dubaï, Singapore, Hong Kong, Bamako, Abidjan, Dakar, Tunis, Johannesburg, Rabat, Tel Aviv, Sydney) en y invitant tous les investisseurs potentiels et en leur présentant les deux documents ci-dessus biens détaillés et avec des propositions claires de contrats d’investissements et de financement et leur chronogramme détaillé.
Cela vous permettra sûrement d’avoir des partenaires financiers et des investisseurs pour attirer minimum, 4000 milliards FCFA d’investissements et atteindre les objectifs d’accroissements du volume des investissements de 500% avant 2018.
Voilà, Ben Boeing, si tu parviens à atteindre ces objectifs, tu deviendras grand, sinon tu resteras toujours le bambin agité d’un gouvernement amorphe et pour zéro.
Wa salam!
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