Dialogue national inclusif : Commission gouvernance, le souci d’apaiser le climat social

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Les travaux du Dialogue national inclusif se sont poursuivis hier au niveau de la Commission 2 qui traite les thématiques « gouvernance » et « social ». Après l’ouverture des travaux par le président de séance, l’ancien Premier ministre Ousmane Issoufi Maïga, les délégués ont engagé les débats sur la thématique concernant le « Social » que les experts avaient déjà introduite la veille à travers la présentation d’une note technique et d’autres documents élaborés à cet effet.

Ces textes nous enseignent que les droits sociaux incluant toutes les couches sociales, surtout les plus vulnérables, embrassent plusieurs domaines notamment ceux du travail, de la culture, de l’éducation, de l’environnement, de la santé. Ces droits connaissent souvent des difficultés, voire des entraves à leur exercice, mais aussi des violations graves de leur application de part et d’autre, toutes choses qui ont compromis de façon progressive la stabilité sociale.

Ce constat est persistant spécifiquement dans le monde du travail, aussi bien dans le secteur formel qu’informel bien que ce domaine soit encadré au plan international par des conventions et au plan national par la ratification desdites conventions. Il ressort des mêmes documents que ceci s’explique par le fait que le monde du travail traverse un processus de changement du fait de l’évolution profonde et perpétuelle de la nature du travail en lien avec le développement, entre autres, mais plus spécifiquement au Mali, de la croissance démographique, du creusement des inégalités, de la situation économique très difficile, de nouveaux modes de production, de la crise de l’emploi, et de la crise sécuritaire.

De ce fait, le fonctionnement global de l’économie nationale a été fortement perturbé et particulièrement dans le secteur privé avec son corollaire de mise en chômage technique et de licenciements pour motifs économiques alors qu’à l’instar de tous les pays du monde, le chômage et la précarité de l’emploi ne cessent de s’accroître et accentuent l’exclusion des couches de la population les plus défavorisées, à savoir les personnes vivant avec un handicap et les femmes.

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9 COMMENTAIRES

  1. *4-11 . Ici , un courrier de la direction de la BHM , en date du 13 AVRIL 2005 demandant à SICG – Mali l’autorisation entre autre de pouvoir procéder a des opérations de remboursement de montants dont on remarquera que par exemple , quinze jours auparavant pour le cas de MALI LAIT ils avaient déjà été faits ! Ce courrier a l avantage de « démonter » la théorie du directeur du Service Juridique de la banque ,Monsieur Aguibou BOUARE, exposée par devant le Juge Commissaire , sur l’existence d’ un prétendu « gentlemen agreement » existant entre BHM-SA et SICG-Mali . On remarquera tant dans le dossier 3-11 que dans le listing des prélèvements reconnus par la Banque et remis par lui-même au magistrat qu’il s’est autorise de son seul chef a prélever sur le compte de SICG-Mali 4 500 000 F CFA . (Pour rappel de son dossier , Monsieur Aguibou BOUARE (directeur du Service Juridique de BHM-SA et cosignataire avec messieurs Modibo CISSE ( PDG ) et SYLLA ( Service Contrôle ) , des deux Etats de Créance contre SICG Mali et SICG Habitat ) a versé 4 500 000 f cfa en 2002 , acquis un magasin , pris sa part de commission « dividendes » de 2 300 000 f cfa fin décembre 2002 , et retiré 4 500 000 f Cfa du compte de SICG-Mali le 12 février 2004((cf pièces 4-10 )) ) .

    • si chacun jouait son role tout ira, en commencant par nos esclaves de maison😋😋 ( elus avec 3%)

    • COCO je vous donne raison a 100% certains de ces directeurs de banque , je dis bien certains , car il y a en encore de gens credibles parmis les banquiers, certains sont de vautours, copinage, vols sont capables de tout sans compter la violation du secret bancaire, ils donnent des infornations sur les comptes des gens sans se soucieux aux textes, ton compte est consulter meme un dimanche pour satisfaire des amis, c est une mafia ce milieu.🤠😎😛😛

      • TA REFLEXION EST JUSTE ….ET HEUREUSE EN MEME TEMPS …
        CAR NOS SOCIETES SERAIENT DESINTEGREES PAR CES QUELQUES PAUVRES GENS SI ELLES SE MULTIPLIAIENT !
        INCROYABLE EN TOUT CAS POUR LE MALI D EN ETRE ARRIVE LA !
        PARCE QUE JE N AIES PAS TOUT RACONTE ….
        BON ….SALUT A TOI ET MERCI !

  2. ● Aigris vous êtes ; malheureux, vous demeurerez,
    vous les renégats soi-disant opposants.
    ● Avec ou sans vous, notre Mali-ba avance.
    ● Vive IBK !

  3. Aidez-nous à retrouver la Vidéo du Journal Télévisé de l’ORTM, sur YouTube… !

    Pourquoi l’ORTM nous prive des journaux télévisés… ?

    ” Vidéo non disponible.
    Cette Vidéo n’est plus disponible, car le compte YouTube associé a été clôturé. ”

    C’est ce qu’on lit à chaque fois qu’on tente de voir la Vidéo du Journal Télévisé de l’ORTM.
    Nous ne pouvons pas nous contenter de cette information fermée sans plus d’explication.

    En plus le Direct sur ” ORTM.ml “, a été déconnecté depuis très longtemps. On ne sait pas pourquoi.

    C’est pas bien. C’est même nul… !

    Il y a plus de 4 millions de Maliens installés à l’Etranger en Afrique et dans le Monde. Et il y a un individu qui se permet de priver tous ces Citoyens de leur droit à l’Information sur leur pays.

    C’est pas juste… !

    Qui nous prive de la Télé nationale… ?

    On croyait que les abus de Pouvoir c’est au temps des dictatures.

    Laissez-vous voir le JT de l’ORTM.

    Vivement le Mali pour nous tous.

  4. ET LA PREOCUPATION DE SICG MALI PENDANT CE TEMPS ?
    EH BIEN ELLE EST INSCRITE EN PAGE 8 DE ECHOS MEDIAS DU JOUR …LE N 302 …
    IL S AGIT DES MESURES CONSERVATOIRES PRISES A TORD PAR SIDI SOSSO DIARRA ..ET JAMAIS LEVEES A CE JOUR !

    “””N 302 DU MARDI 17 DECEMBRE 2019 DE ECHOS MEDIAS
    Le bureau du verificateur general SIDI SOSSO DIARRA aurait joue dur dans cette affaire .
    Afin d’obstruer la voie ouverte par la reddition des comptes il aurait été à en croire une source bien introduite jusqu a l’inviter tout en le soudoyant au passage afin de faire coute que coute la reddition des comptes entre BHM SA et SICG MALI avec comme seul objectif de saper l’action judiciaire en cours et aider la Banque de l Habitat a ne pas honorer ses engagements vis-à-vis de SICG MALI –
    N ayant pas reussi a intimider SICG MALI , il a alors pris contre les interets de cette societe , et au nom de l’ ETAT DU MALI une mesure conservatoire sans fondements juridiques , interdisant toute transaction sur la commercialisation des parcelles et des logements objets des contrats passes avec ACI .
    Il aurait affirme sans en apporter une seule preuve que la BHM SA a finance l acquisition des parcelles avec l ACI et pris en consequence la mesure conservatoire interdisant toute transaction immobiliere avec l ACI , mesure qu il n a jamais pu lever a ce jour .
    Cette affirmation ne peut tenir , pour le simple fait que l ACI n a jamais été proprietaire d un seul terrain , n’etant que mandataire de l ETAT , et les domaines ne delivrant les TITRES FONCIERS qu au client final , au terme des transactions et apres paiement du prix .
    Le fait de ne pas interdire a l ACI de commercialiser les terrains en depit de sa mesure conservatoire toujours en vigueur , montre que le Verificateur a usé de ses pouvoirs afin que l ACI , donc l ETAT son mandant exproprie SICG MALI des terrains sis a ACI Hamdalaye et Souleymanebougou .
    Interpellé en Novembre 2009 par voie d Huissier pour savoir si oui ou non sa mesure a été levée , Monsieur SIDI SOSSO DIARRA le Vérificateur n a pas voulu y repondre .
    Au niveau des litiges entre BHM SA et SICG-MALI d une part et ACI et SICG –MALI d autres parts , le Vérificateur a donc posé des actes partiaux qui ont causé des préjudices financiers énormes et ont ainsi detruit SICG MALI et son image .
    A present , il est important de le signaler qu il n y a jamais eu d équité procédurale dans le traitement des dossiers .
    Pourtant , les Chefs d’ Etat de la CEDEAO ont signés et partagé des actes additionnels notamment celui A/SA 3/12/08 concernant l exploitation ( Article 8 ) et l équité procédurale que doivent observer les différentes administrations dans leurs pays respectif .
    ..La REDACTION …

    • ET NE PAS OUBLIER …
      PARCE QU IL NE SUFFIT PAS D ACCUSER …CE QUE L ON AIME BEAUCOUP FAIRE AU MALI ../

      Selon nos investigations, la SICG MALI aurait porté plainte contre X devant le Doyen des Juges d’Instruction près le Tribunal d’Abidjan pour les faits ci-après :

      – faux en écriture publique et usage de faux commis dans certains documents administratifs

      -fausses déclarations

      -corruption active et passive

      -et pour escroquerie à jugement.

      Par ailleurs, nous avons appris que le juge rapporteur et ancien Président de la CCJA, fait l’objet d’une plainte pour abus de confiance déposée par le Secrétariat Permanent de l’OHADA sur instruction du Conseil des Ministres de l’OHADA et ce devant le parquet d’Abidjan depuis 2017.

      Pour la SICG MALI, la justice doit démontrer qui a suscitél’« erreur ou omission » du greffier et qui devait en profiter ?

      Cette forfaiture du « greffier et/ou du juge rapporteur » était en fait une tentative de spolier la SICG MALI de plusieurs milliardsde nos Francs. La BMS et son conseil ne sont pas à l’abri de poursuites pénales pour complicité de faux en écriture publique et pour corruption active et passive ?

      Quand au Contentieux de l’État peut-il en être épargné après avoir soutenu la BHM SA dans toutes les actions devant les juridictions nationales et devant la CCJA ? Ignorait-il toutes ces manœuvres au niveau de la CCJA ? L’avenir nous le dira.

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