Depuis quelques jours des rumeurs pernicieuses sur d’éventuelles sanctions de l’ONU contre le gouvernement du Mali ; pour n’avoir pas suffisamment fait dans le cadre de la mise œuvre de l’accord pour la paix, défrayent la chronique. Pour couper court à toutes ces rumeurs, le chef de la diplomatie malienne était, hier jeudi, face à la presse dans les locaux de son département à Koulouba. Des échanges avec les hommes de media, il ressort que le gouvernement n’est nullement visé par quelle que sanction que ce soit. Mieux encore, la déclaration à la presse des membres du Conseil de sécurité de l’ONU en date du le 23 janvier 2018 donne suite à l’insistance du gouvernement qui a rappelé à l’organisation la nécessité d’appliquer les sanctions prévu dans la résolution 2074 sur les régimes de sanctions en république du Mali contre les responsables de blocage du processus de paix pour une évolution positive et rapide de la situation.
Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Tiéman Hubert COULIBALY, a participé à la cérémonie de présentation du rapport du secrétaire général de l’ONU sur la situation au Mali devant le Conseil de sécurité de l’ONU, un document présenté par le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre LACROIX, le 23 janvier 2018 à New-York. Aussi, Tiéman Hubert a représenté le président de la République au dernier Sommet des Chefs d’Etat de l’Union Africaine tenu le samedi dernier à Addis-Abbabas.
Dans son exposé liminaire, hier jeudi, le ministre Tiéman Hubert COULIBALY, a indiqué que les autorités maliennes partageaient les mêmes préoccupations exprimées par le Conseil de sécurité de l’ONU ; à l’issue de l’écoute du rapport du secrétaire général de l’ONU sur la situation sécuritaire au Mali.
Le ministre COULBALY a rappelé que le rapport reconnait les efforts du gouvernement pour la mise en œuvre de l’Accord. Le Conseil de sécurité, a dit Tiéman H. COULIBALY, a aussi apprécié le nouveau chronogramme arrêté par les parties maliennes qui ont retenu des actions prioritaires à mettre en œuvre avant le 15 mars. Ainsi, pour donner plus de chance à ce nouveau chronogramme d’être appliqué, l’ONU a brandi des menaces pour obliger toutes les parties membres du processus de paix a engagé sincèrement à s’acquitter correctement de ses engagements dans le délai prévu.
C’est donc cette volonté partagée entre l’Etat malien et ses partenaires onusiens de faire avancer le processus qui ressort dans la déclaration.
«Si je constate qu’il y a des titres où on dit que le gouvernement a été mis au pilori par l’ONU. A travers cette déclaration à la presse, je me dis qu’il y a de mauvaises interprétations», a fait constater le ministre.
«Nous n’avons pas peur des sanctions parce que le gouvernement ne fait rien pour entraver la mise en œuvre de l’accord. Au contraire, nous arrivons au même constat que le secrétaire général de l’ONU», a-t-il conlu sur cette question.
Répondant, à la question d’un confrère sur la possibilité de tenir les élections générales de 2018 à bonne date lors que l’Accord peine à être appliqué, le ministre a fait savoir que l’impatience de l’ONU se justifie par l’importance des enjeux de ces rendez-vous électoraux.
Selon lui, le président de la république a tranché cette question et a donna des instructions fermes à tous les acteurs pour la tenue de ces scrutins dans les délais prévus par la loi.
Pour le ministre Tiéman Hubert, la tenue de ces élections, singulièrement, l’élection présidentielle est dans le délai constitutionnel est un défi majeur pour notre processus de normalisation à la sortie de cette grave crise de 2012.
La recente visite d’une délégation de la CMA aux Etats-Unis, a été autre question au coeur des échanhes entre le ministre et les hommes de medias.
Sur ce sujet, le ministre COULIBALY a dénoncé ce qu’il qualifie d’«interférences» de la part d’organisations à la mauvaise presse sur le continent. Toutefois, il s’est voulu rassurant en disant qu’il s’est rendu compte que la délégation des ex-rebelles a réaffirmé son attachement à l’Accord et au respect de l’intégrité du Mali devant les responsables de cette organisation douteuse.
L’autre question abordée par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Tieman Hubert COULIBALY, fut le sommet de l’Union africaine où le chef de la diplomatie malienne a représenté le président de la République, qui a annulé sa participation à cause des attaques barbares qui ont visé des populations civiles et des militaires de notre pays, la veille jeudi.
Ce dernier Sommet l’UA, a-t-il fait savoir, a abordé la question de la réforme de l’institution continentale ; ainsi que celle des échanges économiques.
De ses explications, il ressort que le président Paul KAGAME du Rwabda a été désigné par ses pairs pour piloter la réforme de l’UA. Le président Mahamadou ISSOUFI du Niger doit se charger de la mise en place d’un espace d’échanges économiques africain alors que son homologue du Kenya, Ouro KENYATA, doit veiller à la mise en œuvre d’une politique de protection du climat.
Concernant, le financement de l’Union, il a été décidé de prélevé 0,2% des taxes sur divers produits d’importation pour financer ce schéma. Cette mesure doit permettre à l’UNION de faire face à 100% son budget de fonctionnement et à prendre en charge 75% des projets de développement, 25% des efforts de paix.
Aujourd’hui, a fait savoir Tiéman Hubert, 21 pays africains sont en train d’appliquer ces taxes de contribution pour l’Union. Le rendez été pris pour Kigali, le 21 mars 2018 pour statuer sur toutes ces questions, notamment le marché commun africain.
Par Abdoulaye OUATTARA
Le Gl Amadou Haya est un patriote , il aime son pays le Mali. Il a ete trompe par les leaders religieux , des hommes politiques et certains courtisans. Il a mene un coup d’Etat civilise, sinon certains leaders politiques qui crient aujourd’hui ne devraient etre au Mali. Il a vraiment ete mal recompense, sinon cet homme merite tout le respect. Contrairement au traitre ATT, le Gl de corps d’armee Amadou Haya s’est oppose a une quelconque intervention militaire Etrangere, il n’a pas ete compris, maintenant que ces forces sont venues , mais pour ne rien faire. Malgre qu’elles sont sans rendement pour le pays, nous chrrchons leur retour, mais impossible. Le Mali fait face a un complot international, avec la France en tete.
SOUHAITER LE PIRE POUR LE PAYS EST EFFECTIVEMENT LA MÉTHODE DES POLITICHIENS DU MALI. DE DROITE COMME DE GAUCHE. MAIS QUE DIEU NOUS EN GARDE. SINON A TÈ FÔ ANCHI KÔ. QUAND AYA EST VENU, ON A VU. AYÉ KAYATIAMAN BÔGÔTI.
Tiéman,
Tais-toi et mange, mange et mange toujours.
Le reste n’est que mauvaise littérature.
Pour la premiere fois, Je suis d’accord avec M. Tieman Hubert COULIBALY . Effectivement le Conseil de Securite des Nations Unies brandi les menaces pour ceux qui entraveraient le processus de mise en oeuvre de l’accord pour la paix et la reconciliation , signe entre le Gouvernement du Mali , des groupes armes, sous l’oeil de la communaute Internationale avec l’Algerie comme pays mediateur. En realite , le Gouvernement n’entrave pas sa mise en oeuvre . Il a tellement peur, qu’IBK oubli meme le grand reste du pays. Depuis son accession, il est le President du Nord meme s’il ne peut pas Y mettre le pied a Kidal. Le Gouvernement investi plus a Kidal seul, que dans 4 regions du Sud. Ca c’est par peur de sanction des Nations Unies, de la France et de la CMA. Les sanctions annoncees concernent principalement les groupes armes, qui en realite se plaisent dans la situation actuelle: les chefs des groupes armes sont a Bamako dans toutes les bonnes conditions , loges dans des hotels luxueux au frais du contribuable malien, ils sont vehicules, des perdiums et autres. Etant a Bamako, ils sont les commenditaires des attaques meurtrieres sur le terrain, avec des avantages faramineux, comme le trafic de cigarettes, de drogues, les rançons de prises d’otages etc…. Les Nations Unies savent tout ça , la France aussi, qui est le parrain des bandits armes. Je ne vois pas comment les Nations Unies vont sanctionner les gouvernants maliens. Sauf que meme les partenaires (Nations Unies, la France et autres), savent qu’IBK est incapable de gérer , souvent ils l’enguellent meme quand il a raison. Ceux qui doivent être sanctionnés sont connus, ils sont protégés par la France, les Nations Unies brandissent des menaces mais rien ne sera fait.
LOLOLOLOLOLLLLL,
Nous avons assez entendu des discours, des lu des articles, ecoute les radios et teles mais RIENNN!!!!
Le Maliba est tres instable et si les choses ne changent pas alors ca sera rebellion apres rebellion et ca ne sera pas uniquement au Nord mais tout le Mali sera sur ses pieds de GUERRE….
Ce que veulent nous forcer au fédéralisme, à savoir l’ONU et les forces qu’elle représente doivent comprendre qu’il ne par viendront pas. L’ereur Principal du Président est de n’avoir pas associer les populations noires du Sud à ce que le pouvoir fait avec les blancs du nord. Excusez de parler de façon aussi crue car c’est en effet ce sentiment qui anime les Touaregs en même temps indépendantistes et djihadistes.
Le fédéralisme avec des personnes qui ne veulent pas vivre ensemble ne durera que le temps de la signature. Depuis avec ATT, avec une fausse réorganisation de l’Etat malien par la création de région ces force dessinaient déjà les limites des deux Provinces oubliant que les blancs seront minoritaires dans une province (nouvelle Afrique du Sud) qu’il veulent à leur service. L’Histoire n’a jamais parlé d’une entité politique organisé “Touareg” dans cette zone. Alors ne perdez jamais de vu que même les “noirs sont en train d’évoluer “
Le pays de toutes les rumeurs. C’est notre maliba. Chaque information est interprétée de façon à en tirer une retombée politique. Souhaiter le pire pour le Mali est la méthode des prétendants à koulouba de semer le désespoir au sein des populations et se présenter comme une alternative pour les élections présidentielles. Mais on fait avec .
SOUHAITER LE PIRE POUR LE MALI. A TÈ FÔ ANCHI KÔ. QUAND AYA EST VENU, ON A VU. AYÉ KAYATIAMAN BÔGÔTI. BÈLÈKILITIAMAN FARALA. ANKATA FÈ.
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