A quelques encablures de la fin du premier quinquennat du président Ibrahim Boubacar Kéita (IBK), la situation reste tendue pour le régime. En plus de la tracasserie de l’opposition républicaine et démocratique, de la situation sécuritaire précaire, le front social est aussi particulièrement en ébullition ces temps-ci. Une situation qui ne fait pas l’affaire d’IBK et son gouvernement.
Les choses ne s’annoncent pas bien pour le président IBK de remporter l’élection présidentielle de 2018, “s’il y a lieu” et s’il est candidat. La situation actuelle du pays ne lui est pas favorable pour se lancer dans cette démarche. Après une accalmie obtenue par le Premier ministre Abdoulaye Idrissa Maïga, il y a des mois, le front social s’enflamme à nouveau. Une situation qui vient s’ajouter à la poisse déjà apportée par l’opposition par ses nombreux critiques du pouvoir.
Les attaques
L’une des causes principales de l’élection d’IBK en 2013 était sa supposée capacité à gérer la crise sécuritaire que vivait le pays. Certes les affrontements entre groupes rebelles et Forces armées maliennes (FAMa) ont cessé, mais les attaques terroristes restent le quotidien des FAMa, des forces étrangères et des populations au nord du Mali. Pis, elles se sont élargies au centre du pays malgré les efforts des autorités maliennes et leurs partenaires de la communauté internationale.
La situation sécuritaire reste déplorable pour bon nombre de Maliens et a même affecté le processus électoral. “IBK et ses différents gouvernements avaient comme principale mission de trouver une solution à la crise sécuritaire que connait notre pays en 2013. Il faut le reconnaitre, qu’il a échoué sur ce plan, car on n’a même pas pu tenir les élections locales et régionales du 17 décembre”, reconnaît Amadou Sangaré, un juriste.
Un front social en ébullition
A son arrivée à la Primature Abdoulaye Idrissa Maïga était parvenu à mettre fin aux grèves des agents de la santé et des enseignants. Un succès salué par les Maliens et qui avait suscité de l’espoir. Mais à quelques encablures de la fin de mandat d’IBK, cette situation semble ressuscitée par “l’incapacité du pouvoir” à gérer la situation.
Les enseignants, après l’échec des négociations avec le gouvernement, ont lancé les hostilités, en prenant en otage les compositions et les trimestres des élèves. A ceux-ci, s’ajoutent la grève illimitée des transporteurs, les manifestations des femmes des bérets verts, des chômeurs… A ces lots de malheurs s’ajoutent aussi les affrontements intercommunautaires et les chamboulements politiques comme la venue du général démissionnaire Moussa Sinko Coulibaly sur la scène politique.
La pression s’alourdit encore par le doute des politiques sur la capacité du pouvoir à organiser aux dates prévues les élections locales, régionales et municipale partielles, ainsi que l’élection présidentielle de 2018.
Le pouvoir dispose-t-il des ressources nécessaires pour faire face à toutes ces préoccupations et espérer un nouveau quinquennat pour IBK ?
Wait and see !
Youssouf Coulibaly
Ceux qui pensent qu’IBK peut diriger un pays se trompent. Il n’a ni l’intelligence , ne la capacite intellectuelle, morale et politique a diriger meme un pays normal, a fortiori en crise. Je ne pensais meme pas qu’il pouvait terminer son mandat. Si Dieu donnait chance au Mali, plus sage serait de le chasser avant que la crise multidimensionnelle n’enterre notre pays pendant qu’IBK est en voyage de noce a l’étranger . Cet homme pense à tout sauf gérer les problèmes du Mali. Il doit de lui même renoncer, mais si jamais il prend le risque de se représenter , il connaîtra les maliens , puisque ATT est descendu de son palais à pied, mais lui IBK n’étant pas un sportif encore moins un vieux commando, alors que l’autre chemin qui mène a Bamako passe obligatoirement par KATI qui fera peur a Bamako toujours.
NON a l’echec.
Les détracteurs du président IBK se donnent espoir avec des problèmes qui en rien ne joueront contre IBK au contraire car son bilan joue déjà en sa faveur. Il s’agit entre autre.
Le caractère laïc et républicain de notre pays qui était contesté en 2013 ne l’est plus. Le Mali républicain a été sauvée par le président IBK.
L’armée malienne est en pleine reconstruction avec la loi de l’orientation militaire qui est en cours d’exécution. L’armée de l’air après plus de 20 ans de somnolence a poussé des ailes car le président IBK l’a doté des avions de guerres et de transport de troupe.
L’agriculture malienne n’a jamais eu l’attention des autorités malienne que sous IBK. 15% du budget national est consacré à l’agriculture malienne. La mécanisation de l’agriculture malienne est en marche avec des dons dans toutes les régions de productions des tracteurs. Les intrants sont subventionnés par l’Etat malien.
L’économie malienne n’est jamais aussi bien portée que sous IBK. En effet le budget national a atteint la barre des 2 milles milliards pour la première fois dans l’histoire de ce pays. Et les organismes financiers internationaux comme le FMI ont de nouveau confiance au Mali.
La diplomatie malienne se porte bien aujourd’hui grâce à l’offensive diplomatique du président IBK pour repositionner le Mali sur le plan mondial. Pour rappel le Mali était inscrit sur listes des pays à éviter en 2012. Mais aujourd’hui le Mali est fréquentable et fréquenté.
Les infrastructures routières sont en pleines constructions dans le pays avec la politique national de désenclavement du président IBK. Plusieurs chantiers sont terminés et plusieurs autres en cours.
Le Mali a déjà son saveur qui est le président IBK. A moins que les maliens veulent remplacer leur sauver comme les libyens ont aidé la france à tuer kadhaffi
Les détracteurs du président IBK relèvent beaucoup de problèmes qui en tout état de cause joueront contre IBK , évidemment son bilan joue largement en sa défaveur. Il s’agit entre autre.
Le caractère laïc et républicain de notre pays qui est contesté depuis 2013 et se dégrade de plus en plus. Le Mali républicain a été bafouée par le président IBK.
L’armée malienne est en panne de reconstruction avec la loi de l’orientation militaire qui est conçue pour détourner davantage le denier public. L’armée de l’air après plus de 20 ans de vaillance bat de l’aile car le président IBK l’a doté des avions que les militaires refusent d’utiliser car ne correspondant pas à de vrais avions guerres et de transport de troupe.
L’agriculture malienne n’a jamais eu de spoliation de la part des autorités malienne que sous IBK. 15% du budget national consacré à l’agriculture malienne est détourné. La mécanisation de l’agriculture malienne entamée sous ATT est en dégringolade. Les intrants subventionnés depuis le début de l’initiative riz de l’ancien Premier Ministre Modibo SIDIBE sont actuellement remplacés par des produits frelatés avec des effets néfastes pour l’environnement, la santé et la production agricole.
L’économie malienne n’est jamais anéantie que sous IBK. En effet le détournement du budget national a atteint la barre des 2 milles milliards pour la première fois dans l’histoire de ce pays. Et les organismes financiers internationaux comme le FMI ont de nouveau boudé le Mali.
La diplomatie malienne est à la traine aujourd’hui à cause de la passivité diplomatique du président IBK avec pour conséquence l’humiliation du Mali sur le plan mondial. Pour rappel le Mali était inscrit sur la liste des pays à visiter jusqu’en 2012. Mais aujourd’hui le Mali est fuit et non fréquenté.
Les infrastructures routières sont en abîmes dans le pays avec la politique nationale d’enclavement du président IBK. Plusieurs chantiers démarrés sous ATT ne sont pas encore terminés et plusieurs autres non initiés.
Le Mali a malheureusement son destructeur qui est le président IBK. A moins que les maliens veulent leur destructeur comme les libyens ont aidé SARKOZY à détruire la Libye.
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