« Le peuple du Mali, notamment les forces de défense et de sécurité nationales sont et doivent rester le fer de lance de toute stratégie de sortie de crise ». C’est en substance le résumé de l’intervention du Colonel Major Yamoussa Camara, ministre de la défense et des anciens combattants du Mali, lors de la cérémonie d’ouverture de la Réunion extraordinaire du Comité des chefs d’Etat-major de la CEDEAO, le 13 août 2012, à l’Ecole de Maintien de la paix Alioune Blondin Bèye.
Pour examiner les conclusions de la conférence de planification finale pour le déploiement de la Mission de la CEDEAO au Mali (MICEMA) tenue du 8 au 11 août 2012, les Chefs d’Etat-major de la CEDEAO se sont donné rendez-vous, à nouveau dans la capitale malienne, pour deux jours de travaux. En attendant les conclusions et recommandations qui seront disponibles ce soir, l’Ecole de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye, a abrité le 13 août 2012, une cérémonie qui a eu du mal à cacher toutes les difficultés à concilier les différentes approches. « Alors que nous entamons la session finale d’élaboration sur les moyens, les objectifs et les modalités de l’intervention militaire que la CEDEAO souhaite mener au Mali, nos visions doivent maintenant consolider les points de convergence et rechercher à aplanir les divergences d’approches ».
Cette déclaration du Colonel colonel-major Ibrahima Dahirou Dembélé, Chef d’Etat major général de l’armée malienne, traduit toute les difficultés entre les autorités militaires maliennes et celles de la CEDEAO à accorder leurs violons quant au déploiement de la force en attente au Mali. Qu’à cela ne tienne, il a indiqué que le Mali en accueillant la réunion extraordinaire du Comité des Chefs d’Etat-major, n’entend pas seulement manifester sa soif de solidarité. « Il entend également donner l’occasion à l’ensemble des participants d’accomplir un nouveau pas en avant dans la recherche de solution au problème du pays », a-t-il déclaré. Ce nouveau pas, à son avis, sera aussi déterminant qu’il se construira sur une stratégie inclusive des réels besoins des Forces de défense et de sécurité ainsi que des attentes des populations du Mali.
Pour sa part, le général de division Soumaila Bagayoko, Président du Comité des Chefs d’Etat-major de la CEDEAO et Chef d’Etat-major général des Forces républicaines de Côte-d’Ivoire, a rappelé qu’au lendemain de l’éclatement de la crise au Mali, la Conférence des Chefs d’Etat de la CEDEAO a instruit au Comité des Chefs d’Etat-major de la CEDEAO (CCEM) d’envisager l’emploi de la force si nécessaire pour aider le Gouvernement du Mali à recouvrer l’intégrité du territoire et ramener la paix, la stabilité et la sécurité au Mali. Selon lui, après plusieurs mois de concertations, à l’issue d’une mission technique d’évaluation dépêchée sur place à Bamako, le CCEM, avec l’ensemble de ses quinze membres, a adopté les 25 et 26 juillet 2012 à Abidjan un concept consensuel, initial des opérations. « Nous venons achever aujourd’hui ce concept en arrêtant sur le terrain, sur place à Bamako, les dispositions concrètes du déploiement de la Force de la Mission de la CEDEAO au Mali », a-t-il indiqué.
Mme Salamatu Hussaini-Sulciman, Commissaire chargée des affaires politiques, de la paix et de la sécurité de la Commission de la CEDEAO, a rappelé aux Chefs d’Etat-major que l’attention de la Communauté internationale est tournée vers eux et vers les solutions qu’ils vont proposer pour sortir le Mali de cette impasse. Dans le même sens que le Chef d’Etat-major général de l’armée malienne, le ministre de la défense et des anciens combattants, le Colonel-major Yamoussa Camara a estimé : « malgré le caractère transnational de la menace, toute stratégie de sortie de crise qui sera adoptée devrait être axée sur le rôle politico-militaire central du Mali ». Selon lui, le mandat assignée à la mission de la CEDEAO au Mali par la conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement, réunie à Abidjan le 16 avril 2012, est une mission d’assistance et d’appui dans le cadre de la solidarité régionale, acceptée d’accord parties par les Etats membres.
A juste titre, il a ajouté : « Le peuple du Mali, notamment les forces de défense et de sécurité nationales, sont et doivent rester le fer de lance de toute stratégie de sortie de crise ». Il a souhaité que toutes les autres initiatives qui s’inscrivent dans la logique d’un accompagnement positif, quelle que soit leur pertinence, doivent s’inscrire dans cette logique. « Toutes les décisions des instances de la CEDEAO, de l’Union africaine et des Nations unies, l’appui de la CEDEAO, à travers elle, celle de la Communauté internationale, n’ont d’autre but que d’assister le Gouvernement de la République du Mali à rétablir son unité et son intégrité territoriale, à créer un environnement favorable à la conduite d’élections libres, transparentes et crédibles », a-t-il rappelé. Toute l’assistance vise à déterminer et à entreprendre les actions nécessaires pour combler les déficits capacitaires des Forces de défense et de sécurité du Mali afin que celles-ci puissent remplir pleinement leurs missions et permettre au Gouvernement malien d’assurer le plein exercice de son autorité sur l’ensemble du territoire.
Assane Koné
En fait unefois au Sud on ne pense plus au Nord surtout que les militaires créent toujours des problemes pour ne pas aller au Nord.
on ne peut pas vouloir une chose et son contraire(l’aide de la cedeao et sa non implication)
donc luttons avec nos moyens de bord en adoptant des stratégie refléchies,on n’est pas capitain ,colonel,général… pour rien.
sinon demissionner tous.
asterix=foudkg= sanene ba kulé fa kulé 😈
merci à maliweb de donner un sens à ma miserable vie de kul de babouin de bodolaid
merci kassim rire……………..
Panique à Kati
2ème Épisode
“C’est le jour de l’Afrique Oh Oh jeunesse..”
“….C’est l’allégresse…”
Sur cette route étroite et non éclairée de Bougouni Bamako, la jeunesse Sikassoise se rend dans la nuit à Bamako pour les assises nationales devant se tenir à Bamako après les souhaits émis de concertations nationales.
L’ambiance est bon enfant et la jeunesse de la troisième région profite de l’air frais d’un après pluie au environ de Senou.
Ils avaient, par patriotisme, porter les bérets rouges des pionniers et chantaient et criaient dans le pénombre…
-Shuuut les bérets rouges!
Il faut que j’appelle Kati!
Dit un gendarme en poste à Senou.
-Oui Sanogo les bérets rouges arrivent, je crois qu’ils sont avec les ivoiriens et les guinéens, ils sont trop nombreux…
Sanogo qui était déjà avec le Lt Konaré dans leur 4×4 direction Guinée pour échapper aux instructeurs de la Cedeao fait demi tour et rentre Kati.
Après tout, cette nouvelle menace est plus imminente que l’envoi programmé sur Tombouctou par le Général Nigérian.
-Tout le monde en position!
Sanogo dicte l’ordre et prépare la riposte.
-À toutes les unités en position de combat!
Lance-t-il
Un malheureux berger cherchant à abreuver et nourrir ses 50 moutons arrive de Kati “Kôkô” et traverse le marigot, le troupeau fait trop de bruit.
Le Lt Konaré croit que les bérets rouges ont ouvert un nouveau front en provenant de Kolokani.
-Tout le monde terre et feu à volonté
Bang! ban bang bang bang!
Kata!Kata Kata Kata gudung!
Ça tire dans tous les sens et au bout d’une heure de tir nourris, la garnison à vidé un magasin de munition.
-Alors les gars allons y voir combien de victimes il y’a dans leur rang!
Ordonne Sanogo
-Bonne idée mon capitaine parce que je ne les entends plus.
Ils saurons maintenant qui nous sommes!
Dit le Lt Konaré.
Alors une “mission de reconnaissance” se dirige vers le berger.
-Eh toi là!
T’as pas vu les bérets rouges?
-Non je suis seul ici avec mes moutons depuis 1h30 mm
-Comment ça seul ici?
Et depuis tout ce temps tu n’es même pas blessé?
-Non pas du tout!
J’ai juste un agneau qui a été effrayé par le bruit des canons sinon tout mes moutons sont vivants.
-Non ce n’est pas possible, on n’a pas réussi à touché un seul mouton?
-Non mon capitaine toutes mes bêtes sont indemnes et pourtant on était en plein dans votre champ de tir et à moins de cent mètres aussi hein!
C’est incroyable, vous avez un sacré respect de espèce animal au camp Soundiata.
En tout cas chapeau pour le discernement!
Le capitaine Sanogo se penche vers le Lt Konaré.
-Je n’arrive pas à croire qu’après une heure de combat, qu’on ait raté tous ses moutons!
Eh bien retournons nous entraîner encore.
-Ah oui il y’a du boulot encore mon capitaine!
Garde à Vous!
Pourquoi l’armee malienne ne peut pas commencer le travail au lieu de passer tout le temps a accuser les autres? l’armee n’a pas besoin de permission de la CEDEAO pour commencer son devoir.
hahahaha t’es fort Kassim Franchement ca nous detend
c’est sur sans kassin tu n’as pas de vie, rien pour t’amuser, minable blanc bec kul de babouin:
regarde ta guelle degaulle: ———-> 😳
asterix=foudkg= sanene ba kulé fa kulé 😈
axterix=foudkg= sanene ba kulé fa kulé 😈
Chers membres des Etats Major de la CDEAO, le Mali à besoin de vous et tous les maliens attendent de vous ce qui suit ;
1- Il faut d’abord distinguer les deux zones du Mali, Le Nord du Mali et le Sud du Mali et analyser séparément leurs besoins en matière de déploiement militaire.
2- Au Sud Mali nous disons DIEU Merci il y a aucun problème d’instabilité, aucun problème d’insécurité (la preuve ce réunion se tient a Bamako) aucun problème d’attentat a la bombe, de kamikazes ou de prise d’otages. Cela veut tout simplement dire que le Sud du Mali n’a pas besoin de renforts militaires dans le Sud. Le peuple malien le sait et le monde le sait, de ce fait le dossier sur l’envoie de forces a Bamako est CLOS.
3- Au Nord du Mali nul ne doute que le monde entier doit apporter son soutient pour éradiquer une menace universelle qu’est la menace contre la Civilisation Universelle, celle du libre choix des religions aux peuples. Toutes les confessions religieuses, toutes les obédiences traditionnelles sont des citoyens du monde et ont droit à la liberté de vivre leur vie en Paix. Le Mali sera au front de ce combat et connaît son territoire et son peuple mieux que quiconque, le Mali vous demande de le rejoindre aux combats qu’il va mener au Nord du pays. Le Mali donnera son feu vert a la Communauté Internationale pour l’envoie de troupes au Nord du Mali, nous aurons besoin de vous au Nord et somme prêts a partager la Victoire qui s’en suivra Inchala.
4- Le Mali a fait un grand pas et assez souffert comme ca, plus personne, aucun politicien, aucun chef d’état, aucun gouvernement étranger n’a plus le droit de lui en rajouter d’autres souffrances. Aidez nous ou laissez nous le soin de nous mettre au travail. C’est le Mali qui est divise, c’est le Mali qui subit la foudre des terroristes islamistes, c’est le Mali qui sera en première ligne pour résoudre son problème.
5- Aux militaires maliens nous disons la balle est dans votre camp, vous avez besoin de toutes vos forces, de tous vos frères d’armes pour préparer l’ultime assaut. Cessez les arrestations, relâchez ceux qui peuvent l’êtres, réhabilitez ceux qui peuvent l’êtres, le Mali ne veut plus de division dans vos rangs.
6- Le Mali d’aujourd’hui a besoin de tous ses fils et filles, de toutes ses forces et de toute son unité et de toutes ses prières pour qu’ensemble nous puissions relever la tète haute dans le concert des nations et surtout devant nos enfants.
Vive le Mali, Vive le Peuple du Mali, Vive les Amis du Mali. DIEU Merci.
Le seul besoin de l’armée malienne es biens identifié, c’est maintenat un secrèt de Polychi. Il s’agit tout simplement de trouver des équipements militaires supplémentaires.
Il n’y a AUCUNE impérative de sécuriser les organes de la transition au Mali. M. DIOUNCOUNDA le sait. CMD et les autres forces vives de la nation savent bien que cela est une fausse mission.
Vraiment, si les soldats de lIl serait naif de croire qu’un soldat étranger de la sous région soit prêt de mourrir pour libérer le Nord Mali.
La trahison du Nord
Vous avez dit beaucoup de choses lors de la déclaration du Dr Oumar Mariko concernant ”la trahison de l’armée par la population de Gao”.
Le constat est que des cadres ressortissants du Nord qui ont occupé des hautes fonctions administratives et politiques dans la sphère de l’état pendant cette période dite de démocratie et la population du Nord ont trahi la République du Mali. Cela pour plusieurs raisons mais je citerai seulement deux ( 2 ) raisons :
La première raison: est le niveau de responsabilité et le pouvoir de décision des cadres ressortissants du Nord dans la sphère de l’état et particulièrement à son sommet. Mais malgré cela ils n’ont rien vu venir pour la partition du pays et pourtant nos aïeux ont cohabité depuis des millénaires. Peut être pour se justifier ils vont dire qu’ils n’étaient pas en charge du Ministère de l’Administration Territoriales et des Collectivités, du Ministère des Forces Armées et des Anciens Combattants et du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité. Mais ils devraient être au courant ou tout au moins être informés de ce qui se passerait au Nord compte tenu de leurs hautes fonctions et de leurs pouvoirs de décision dans la sphère de l’état. Mais ces cadres à notre connaissance n’ont pas posé d’actes publics pour éviter la partition du pays.
1- Younoussi Touré 1er Premier Ministre de l’ère dite de démocratie sous Alpha Oumar Konaré et aujourd’hui 1er Vice-Président de l’Assemblée Nationale ( prolongation du mandat jusqu’à la fin de la transition ) du Mali,
2- Mohamed Ag Hamani Ministre, Secrétaire Général de l’Organisation de la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal ( OMVS ) sous Général Moussa Traoré et 1er Premier Ministre sous Amadou Toumani Touré,
3- Ousmane Issoufi Maïga plusieurs fois Ministre sous Alpha Oumar Konaré et 2e Premier Ministre sous Amadou Toumani Touré,
4- Mme Sidibé Mariam Kaïdama Cissé dernier Premier Ministre sous Amadou Toumani Touré,
5- Soumaïla Cissé Ministre pendant longtemps sous Alpha Oumar Konaré et Président de la commission de l’UEMOA sous Amadou Toumani Touré,
6- Mohamed Ag Erlaf représentant des rebelles dans le Gouvernement de la transition d’Amadou Toumani Touré et Ministre sous Alpha Oumar Konaré et aujourd’hui Directeur Général de l’Agence Nationale d’Investissement dans les Collectivités Territoriales ( ANICT ) depuis plus d’une décennie et Coordinateur du Programme pour la Sécurité et la Paix au Nord sous Amadou Toumani Touré,
7- Moussa Ag Alhassane Ministre sous Alpha Oumar Konaré et aujourd’hui Directeur Général du Contrôle Financier plus d’une décennie,
8- Agathan Ag Alhassane Directeur Général de l’ABFN ( Agence du Bassin du Fleuve Niger ), Ministre de l’Environnement et de l’Assainissement enfin Ministre de l’Agriculture sous Amadou Toumani Touré,
9- Oumar Ibrahim Touré Ministre de l’Élevage et de la Pêche et Ministre de la Santé sous Amadou Toumani Touré,
10- Mohamed El Moctar Ministre de la Culture et de l’Artisanat sous Amadou Toumani Touré,
11- Choguel Kokala Maïga Ministre de l’Industrie du Commerce et de la Concurrence sous Amadou Toumani Touré et aujourd’hui Président du Comité de Régulation de la Télécommunication ( CRT ),
12- Mme Maïga Zeïnab Mint Youba Ministre de la Santé et après Conseiller spécial à la Présidence sous Amadou Toumani Touré,
13- Soumeylou Boubeye Maïga ancien Directeur de la Sécurité d’État ( S.E ), Ministre sous Alpha Oumar Konaré et Ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale sous ATT
Une matinée à la primature
2ème épisode
Le brouillard épais de la matinée de la capitale malienne n’est pas encore dissipé, un conseil de cabinet se tient déjà à la primature
-Salut la dream team!
CMD salut les participants à son conseil restreint de cabinet
-Bonjourrrr! Bonjourrrr! Bonjourrrr!
-Vous savez finalement le gouvernement d’union nationale va être une bonne chose car les snobs de la Cedeao ne pourront plus nous bouder et Obama va commencer à nous appeller!
-Obama même ?
-Ou bien Hillary mes amis je vous dirais!
-Vous êtes sûr qu’Hilary va nous appeler sans les élections?
-Là vous me faites douter là!
Du coup je suis confus, peut être l’ambassadeur des états-unis?
-Monsieur le premier ministre ça c’est plus réaliste dans notre situation.
-Bon tout compte fait je serai accepter maintenant à Dakar, Abidjan et Ouagadougou.
C’est pas super ça les gars?
Alassane Dramane Ouattara n’aura d’autre choix que me recevoir à l’aéroport de port bouet tout comme Blaise et Macky Sall aussi!
-Je pense que vous serez plutôt reçu par leur premier ministre!
-Alors pourquoi?
Ils ont exigé un gouvernement d’union nationale.
j’ai fais ça!
Pourquoi ils ne me reçoivent pas?
-Pour raison de protocole et de diplomatie vous devriez être reçu par les personnalités de votre rang.
Comme vous n’êtes pas président…
-Oh oh oh mince alors!
Pourquoi c’est toujours Dioncounda qui toujours bien placé?
Je vous rappelle que c’est moi qui ai les pleins pouvoirs et non pas lui!
-Les pleins pouvoirs c’est pour les actions gouvernementales, c’est à dire dans la conduite des affaires internes du pays.
-Et alors si je vais à Abidjan c’est pas pour discuter des affaires du Mali aussi?
Pourquoi on ne me donne pas les pleins pouvoirs d’avoir le privilège d’être reçu par le président?
-Si le président pourrait vous recevoir mais pas en premier, c’est plutôt un premier ministre qui reçoit un premier ministre.
-Alors je ne comprends plus rien à ce métier, la NASA était plus facile.
Pleins pouvoirs=Bamako
Vides pouvoirs= Abidjan
Comment je vais résoudre ce système d’équations du premier degré à quatre inconnues
Même Einstein ne peut faire ça!
Et dire qu’ils me demandent de libérer le nord et d’organiser je ne sais quoi…
MDR!!!! Enfin quelqu’un qui nous détend. Merci! lol
-enfin bref, parlons bouffe, on coupe le jeun chez moi today?
-euhh!!!
-bn je sais qui jouera aux égoistes avec son ventre en jeunant mais faites bonne figure messieurs ca va passer à la télé, il faut que la population me voit entrain de couper le jeune.
-alors indiquez nous chez vous
-xptdrrrr voyons messires j’habite à la primature oubien je ne vous ai pas dit que je n’irais nulle part meme le president ny pourra rien
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