Démonstration juridique des cadres de l’Adéma : Pr Dioncounda Traoré reste le président légal jusqu’à la fin de la Transition

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L’accord-cadre, la transition et la crise au nord. Tels sont, entre autres, les sujets abordés par les responsables de l’Adéma Pasj lors de leur conférence des cadres. Co-animée par Iba N’Diaye, Sékou Diakité et Makan Moussa Sissoko, une conférence a eu lieu le samedi 28 avril 2012, au Centre international de conférence de Bamako.

Pour le retour à l’ordre constitutionnel,  suite au coup de force du 22 mars 2012, les actions se multiplient aussi bien au Mali qu’ailleurs. C’est dans cette logique qu’un accord-cadre a été signé entre ceux qui ont troublé l’ordre constitutionnel et la Cédéao. Depuis lors, cet accord-cadre fait l’objet de beaucoup d’interprétations et de discussions. Pour édifier davantage les Maliens en général et les cadres Adémistes en particulier, le constitutionnaliste-maison dudit parti a élaboré un texte visant à éclairer leur lanterne. C’est ainsi que l’idée de la présente rencontre a germée. C’est pourquoi lors de cette rencontre, toute la crème du parti de l’abeille était présente dont notamment, les ex-détenus du Cnrdre : Soumeylou Boubeye Maïga, le dernier ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale du régime ATT, Adama Sangaré, le Maire du district et Me Kassoum Tapo, député à l’Assemblée nationale.

A l’entame de la rencontre, le 1er vice président de l’Adéma, Iba N’Diaye, a planté le décor. Dans son introduction, il a souligné que le coup d’Etat de mars 2012 a causé beaucoup de torts à notre pays. Il s’agit, poursuit-t-il, de l’avancée foudroyante des rebelles qui ont occupé les régions nord de notre pays en trois jours. Suivie par des arrestations arbitraires, la division du peuple malien,  la condamnation et la mise du Mali sous embargo financier et politique par les organisations internationales, principalement la Cédéao.

Après ce parcours sombre de notre pays en ces derniers temps, Iba s’est réjoui des évolutions en cours dans le pays. Il s’agit, principalement, des décisions précises par la Cédéao dont les plus récentes sont la détermination de la durée de la transition, la requête du retour de la junte dans les casernes, l’arrivée progressive de l’aide internationale et l’intervention  imminente des forces en attente de la Cédéao pour nous aider à libérer le septentrion malien. Au nom de son parti, Iba N’Diaye dira que l’Adéma prend acte de la mise en place du gouvernement et demande à ce que toutes les parties, notamment le Cnrdre et associés, respectent leurs engagements.

Au cours de la présente rencontre, il a indiqué que notre démocratie a besoin de se parfaire car, explique-t-il, ces derniers temps la démocratie était malade au Mali. Mais il a fait son mea culpa : ils sont tous comptables de cet échec. Alors, pour lui, ces derniers évènements doivent être mis à profit  pour tirer des enseignements.

Pour sa part, Sékou Diakité, 2ème vice président de l’Adéma, a clarifié la mission des forces en attente qui seront bientôt chez nous. «Contrairement à ce qui se dit en ville, les forces de la Cédéao ne viendront pas pour accompagner ou pour sécuriser les organes de transition. Leur intervention s’inscrit dans le chapitre de la reconquête de notre intégrité territoriale. Tout le long de la déclaration de Cédéao, il n’a été nullement question d’assister ou de sécuriser la transition au Mali» a précisé Diakité.

Dans son exposé, le constitutionaliste-maison de l’Adéma, Makan Moussa Sissoko, a affirmé que cet accord-cadre est méconnu par bon nombre de Maliens y compris le Premier ministre Cheick Modibo Diarra. Dans son document qu’il a mis à la disposition des cadres de son parti, Makan Moussa Sissoko a précisé que cet accord-cadre n’est pas un acte parfait, mais un bon accord. «C’est une construction juridique qui nous a permis de sortir de l’impasse» soutient-il. Il ajoute que cet acte comporte des solutions originales, mais qui ne jurent pas avec le droit positif. Il renchérit  que  la Cour constitutionnelle a aussi joué sa partition en acceptant une interprétation originale de l’article 36 de la Constitution qui stipule : «En cas de vacance de la présidence de la République pour quelque cause que ce soit ou d’un empêchement absolu ou définitif constaté par la Cour constitutionnelle saisie par le président de l’Assemblée nationale et le Premier Mmnistre, les fonctions de président de la République sont exercées par le président de l’Assemblée nationale. Il sera procédé à l’élection d’un nouveau président pour une nouvelle période de cinq ans».

Selon Makan Moussa, l’astuce a été de faire appel à cet article pour revenir à une vie constitutionnelle normale. Mais dit-t-il, il est très vite apparu évident qu’il fallait une interprétation hardie de cet article par la Cour constitutionnelle pour sortir de l’impasse. Sinon, se défend M. Sissoko, le mot intérim n’existe pas dans la Constitution malienne qui stipule que «les fonctions de président de la République sont exercées par le président de l’Assemblée nationale». Dans sa plaidoirie, M. Sissoko dira que « cela veut dire simplement qu’avant l’élection du nouveau président de la République, toutes les fonctions de président de la République, à l’exception de celles prévues par les articles 38-41-42 et 50 sont dévolues entièrement et pleinement au Président de l’Assemblée nationale. Il va sans dire que cela ne convenait pas à notre situation de crise, qu’il fallait aller plus loin. C’est alors que pour compléter la Constitution sur ces points que fut élaboré l’accord-cadre qui a décidé que le président de l’Assemblée nationale devient le président de la République par intérim. Il ne s’agit plus d’un simple transfert de fonctions au président de l’Assemblée nationale, mais de faire de ce dernier le président de la République».

Il ajoutera que l’accord précise que compte tenu des circonstances exceptionnelles que vit le pays et les crises qui ont affecté le fonctionnement normal des institutions de la République et dans l’impossibilité d’organiser les élections comme le stipule la Constitution, il s’avère indispensable d’organiser une transition politique. En claire, selon Makan Moussa, le président de la République, le gouvernement de transition et l’Assemblée nationale resteront jusqu’à l’élection du nouveau président de la République. «Aujourd’hui, en vertu de l’accord-cadre et de l’arrêt de la Cour constitutionnelle, le président de l’Assemblée Nationale est devenu le président de la République et ce, pendant toute la durée de la transition, a-t- il indiqué.

S’agissant d’un Premier ministre de pleins pouvoirs, il dira qu’il s’agit  de tous les pouvoirs d’un Premier ministre.

Oumar KONATE        

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9 COMMENTAIRES

  1. Sekou Diakite ex ministre de Développement social,de la Solidarité et des personnes âgées,vos propos cité sont faut et archifaut car s’est vraiment le contraire qui a été énoncé par la cedeao,renseigne toi s’il te plaît ne berne pas les gens “«Contrairement à ce qui se dit en ville, les forces de la Cédéao ne viendront pas pour accompagner ou pour sécuriser les organes de transition. Leur intervention s’inscrit dans le chapitre de la reconquête de notre intégrité territoriale. Tout le long de la déclaration de Cédéao, il n’a été nullement question d’assister ou de sécuriser la transition au Mali» a précisé Diakité.

  2. Makan Moussa est une honte nationale, en plus mal élevé: comment peut-il dire que même le Pm ne comprend pas l’accord cadre. Un monsieur qui n’a pas hésité à tripatouiller notre constitution et maintenant il vient nous sortir encore son baratin. Il n’a aucune dignité. On ne peut jamais accpter que de tels gens aient voix au chapitre encore. Nous voulons un Mali nouveau

  3. au lieu de ce soucie de son pays, certaine se soucis de la sort des leaders politicien, le moment ou Dioncounda était président de l’Assemblée Nationale, il a participé fortement à la destruction de ce pays, il a laisse ce pays à la mains des irresponsables.comment pouvons nous faire confiance à lui ./.

  4. dionkiss candidat aux élections présidentielles du mali lest devenu président sans coup férir qu ‘il ne soit plus gourmand il appartient désormais à tout le mali

  5. Faite tous pour que Dioncouda ne quitte pas le Mali d’ici c’est 40 jours vous avez vue chaque fois qu’il quitte le Mali sa mais en dangeux les Maliens

  6. Diongouda, l’acteur politique de l’ADEMA, toujours les dents en l’air, comme si tout le faisait rire, l’image du parfait idiot, en somme l’idiot national; sauf quand il s’agit de se remplir les poches, il devient éclairé aussi tôt. On se rappelle l’élection d’Alpha, lors de son face à face avec Tiéoulé, il disait à tout le Mali, je ne ferais jamais appel au FMI et à la Banque mondiale, je mettrais en place des systèmes de Tontine pour financer mes projets. Tiéoulé riait et le système a choisi Alpha pour que trois mois après son premier ministre M. Touré nous confirme que Alpha était rêveur. J’allais dire démagogue. Cela a continuer pendant tout son règne et même dans le choix de son successeur. ATT qui disait seuls les fous et les idiots chercheraient à devenir président du Mali: son propre pays, quel respect pour la nation malienne? Alors peut on encore s’étonner de la gestion de ce monsieur et de ses complices de l’ADEMA? Les maliens, prenons notre destin en main, ne laissons plus ces espèces de politiciens diriger notre pays. Si on les laisse faire ils vont vendre le Mali. Leur seule motivation c’est le fric. Ils sont capables de tout pour rester au pouvoir! Sinon comment comprendre l’attitude des TAPO et autres Makan Sissoko ou Iba, ceux la mêmes qui ont été au premier plan de cette gestion dramatique du pays. S’ils avaient un peu de dignité, ils se seraient tu. Vive le Mali, ensemble agissons pour le faire développer!

  7. Quelle malhonnetete intellectuelle Moussa Makan le chantre de la révision constitutionnelle. Dioncounda aussi coupable de ce qui arrive au Mali. La junte doit se méfier de Dioncounda car au lieu de penser aux populations du nord lui pense a sa propre sécurité. Vraiment deguelasse President intérimaire. Ça ne nous étonne pas car tu es complice de ceux qui ont mis le pays dans ce état.

  8. 1. STRATEGIES D’APPROPRIATION DU PETROLE DE LA REGION NORD DU MALI

    a) D’une pierre, faire 2 coups ( manœuvrer jusqu’à une partition de fait du mali : le nord et le sud pour satisfaire MNLA dont le siège à Paris, et AQMI donc la libération des 7 otages Français de la mine d’uranium du Niger, et de tous les autres otages Français

    b) Pour exploiter le Pétrole du Mali de la région Nord, mieux vaut avoir affaire avec une minorité de Touaregs ou d’Algériens d’AQMI, plutôt qu’avoir affaire avec ce peuple Malien du Sud récalcitrant, teigneux, intraitable sur ses propres biens

    2. INTENTIONS DOUTEUSES DES DEUX INSTANCES DE LA TRANSITION ?

    Qui a signé le débarquement de troupes militaires d’occupation à Bamako ?
    « Les pleins pouvoirs n’existent pas dans le cadre d’une démocratie, toute les instances sont contrôlées et rendent des comptes, et leurs responsabilités sont bien engagées » (discours de Cheick Modibo Diarra

    3. TROUPES D’OCCUPATION MILITAIRE DU MALI

    4. NEUTRALISATION D’UNE ARMEE NATIONALE CINQUANTENAIRE

    5. PARTITION DU MALI EN 2 PAYS

    6. LIBERATION DES OTAGES FRAN ÇAIS

    7. EXPLOITATION DU PETROLE PROSPECTER A GRAND FRAIS PAR UN TIERS

    Chers compatriotes,

    Qu’Allah le Tout puissant bénisse les 3 Amadou, Amadou Haya SANOGO et ses collègues, à cause de l’amour qu’il porte à notre Prophète Mahomet (SAW).

    Voilà donc le piège qu’on nous tend, mais les Maliens ont mûri.

    2. INTENTIONS DOUTEUSES DES DEUX INSTANCES DE LA TRANSITION ?
    a)
    Dioncounda a-t-il signé un document à Abidjan qui décidait le débarquement de troupes d’occupation militaire non plus au Nord, mais en plein Bamako, sans en référer à tous les protagonistes de l’Accord –Cadre signé, notamment à l’armée Malienne. Quelle « JUNTE ! » il s’agit de l’Armée Patriotique Malienne.
    Si Dioncounda a signé un tel papier il doit s’expliquer devant la Nation Malienne.

    b)
    Monsieur Cheick Modibo Diarra dans son discours à la nation parlait « des Pleins Pouvoirs » On espérait mieux de la culture politique de cet homme, mieux qu’une telle bourde.

    Disposerait –t-il entre les mains un document qui mentionnerait « Les Pleins Pouvoirs », sinon qu’il aille sur GOOGLE pour vérifier comment s’obtient « les pleins pouvoirs ». Le Malien ne cède un tel pouvoir à aucun être humain sur deux jambes, fût-il astronaute sur la navette Discovery.

    Il est à noter que pour Dioncounda Traoré, ou pour Cheick Modibo Diarra, tous les deux jouent brusquement leur avenir. Une sortie ratée ici dans leur fonction, les condamnera définitivement dans le cœur des Maliens.

    Pour Cheick Modibo Diarra, nous sommes méfiants, car il pourrait passer du statut de SAUVEUR POTENTIEL DU MALI à celui DE CITOYEN MAL INTENTIONNÉ, REVANCHARD de son beau Père l’ex général Moussa Traoré, D’ÉNNEMI PUBLIC N°1 à lyncher dès apparition sur une place publique à Bamako.

    S’ils se prennent pour des extraterrestres, le Mali ne leur demande rien de cela, les cimetières sont pleins d’indispensables. Ils marchent sur la terre des hommes, Titi NIARRE, Bomboli NIARRA, Bakary Djan Diarra ; Bandiougou DIARRA, Da Monzon DIARRA, Tièba TRAORE, Mamadou KONATE, Modibo KEITA, Narré DJATA KEITA, AU
    Aujourd’hui au Mali nous avons notre DONDSSOBA Gossi NIAKATE, Diafrén Seydou DIAKITE y est etc.

    Un seul homme et sa vie ne valent RIEN dans l’histoire du Mali. Moussa Traoré vous le confirmerait. S’ils ne peuvent pas servir le Mali avec Honnêteté et Droiture, qu’ILS S’EN AILLENT, ça se fera sans EUX.

    Ce Tiébilé Dramé est gonflé pour rien.

    Qu’il nous dise qui est –il exactement ?

    Quelles études a-t-il effectué, et où ?

    Le Tiébilé Dramé que nous ici à Paris avions connu, était un homme frêle, pour cela effacé, la barbe mal entretenue pour faire Homme, ce qu’on appelle ici « les rats d’Associations » surtout Amnesty international à Paris.

    Amnesty international de Paris est point de rencontre de plein d’Africains échoués, leur titre et leur refrain : « Je suis un Opposant Politique », en mal de boulot, qui se débrouillent pour se faire salarié dans une association ou une telle autre de la place de Paris.

    Je dispose de 4 photos de groupes du temps où ce Tiéblié Dramé était ici à Paris, il ne portait même pas de chemises convenables, c’était tout le temps des chemises usées, ni même de chaussures correctes.
    Si les impostures continuaient je les publierai sur le net.

    Il aime dire « notre révolution de mars 1991 » Quelle révolution ?

    C’est notre regrettée Danielle MITTERRAND, qui en voyant à la Télé Française FR3, les cadavres interminables de jeunes à la morgue, intervint auprès de épouse, elle était passée sur cette même chaine comme invitée du soir, pour dire clairement « les jours de ce président au pouvoir sont comptés »

    Toutes les associations, je milite chez ASTI savaient ce que ça voulait dire.

    Le professeur VICTOR SY dont la bravoure est soulignée dans le livre « Ma vie de soldat » de notre honorable militaire, commandant du camp para de Djikoroni, le Capitaine Soungalo Samaké, Si le professeur SY disait ‘’notre lutte pour dégager Moussa Traoré, notre révolution de 1991’’ on comprendrait !

    D’ailleurs nos grands Griots du Mali seraient bien inspirés de chanter la chanson de Bravoure du Guelware qui est « TARA » au professeur VICTOR SY.

    Si feu Demba DIALLO l’avait dit, on l’aurait cru et applaudi. Ou alors si c’était le Docteur OUMAR MARIKO, on l’aurait applaudi. Lui qui n’avait pas fui l’adversité de Moussa Traoré, dont le nom était sur toutes les antennes de RFI ou autres, qui a dirigé l’association d’Elèves et Etudiants, sans crainte, avec détermination, en connaissance de cause du sort qui fut celui de son prédécesseur Abdoul Karim Camara CABRAL.

    Mais si ce sont les démunis de Paris, les rats d’Associations de Paris, les gens qui nous avons vu vivoter pour s’en sortir dans le maquis Parisien, qui ont couru à Bamako pour chercher « une place », qui se sont servis des 10 ans de Alpha Omar Konaré, donc automatiquement des 10 ans de ATT à titre d’opposant à Moussa Traoré ! Les vrais opposants sont cités ci-dessus.

    Vrai Opposant de Moussa Traoré à PARIS, je veux saluer cet AUTRE CHEICK MODIBO DIARRA ECRIVAIN, qui a déjà écrit un beau livre sur MODIBO KEITA, ce Monsieur fut un vrai et un grand Opposant à PARIS. Je l’ai vu à l’œuvre à PARIS, je ne ratais aucune de ses réunions. Il est à Bamako.

    La corruption résulte d’une irrégularité dans une procédure afin de s’enrichir.
    Mais retro verser, virer, prendre de l’argent qui ne vous est pas dû, qui ne vous appartient pas, c’est un vol. Vous partagez entre vous, il y a du recel

    Si ATT avait eu le temps, c’était les 10 ans de Modibo Sidibé qui allait suivre, avec les URNES bourrées découvertes au Palais de Koulouba. ATT était faux, Allah a permis au Peuple de le savoir.

    Même sans cette découverte nous l’avions compris, que cet homme sans aucune popularité, après avoir dirigé tous les gouvernements convaincus de vol et de tricheries des fonds empruntés au nom des Maliens (l’argent de l’aide au SIDA du Ministère de la Santé), se désistait de sa charge de Premier ministre, pour se présenter à l’élection présidentielle. Nous avions compris qu’il avait des assurances.

    Quand on vole, il faut caser comme Président successeur un celui qui protègera tes arrières, lui aussi va voler, ainsi de suite, c’est le peuple qui est pris pour idiot de la mascarade de démocratie.

    Alpha Omar Konaré après 10 ans aux frais du Mali, en se retirant a casé ATT, 10 ans de beurre « des Bailleurs de Fond » emprunté au nom des Maliens ; ATT voulait caser Modibo Sidibé pour couvrir ses 10 de magouilles, Allahou Tallah ne l’entendait pas de cette oreille. SANOGO est arrivé !

    Rien que les FRAIS de VOYAGES OFFICIELS de ATT avec sa FAMILLE et ses MINISTRES DURANT LES 10 ANS, le jour où on procèderait à un AUDIT de ces FRAIS, nous trouverons qu’il y avait de quoi nourrir le peuple du Mali pendant plusieurs ANNEES. ATT était toujours en VOYAGE OFFICIEL avec un cortège de ministres.

    Ceux qui se sont embourgeoisé, engraissé, au seul titre d’opposant politique, au détriment des CITOYENS MALIENS qui ne trouvent pas à manger UN SEUL REPAS CORRECT par jour, citoyens que vous allez rencontrer demain matin, entre le grand Marché de Bamako, DABANANI, jusqu’à ORTM, âgés de 06 à 18 ans, sans compter les fous terrassés au coin de rue par la faim, qui tendent la main pour 1 franc

    Si ces gens là comme ce tiébilé Dramé viennent nous chanter à Télé : « notre révolution de mars 1991 »

    Je dis à ce Monsieur Dramé
    Dites nous qui êtes vous ?
    Quels diplômes disposez-vous donc ?
    Quel diplôme Universitaire disposez-vous ?
    Quelles sont vos références professionnelle disposez-vous à PARIS ?

    Hélas MANGALA n’est plus, mais nous disposons à Bamako de nombreux citoyens qui vous chanteront « Minyé Minyé Oyyo yé, Minté Minyé Otto Yé ! »

    Sinon laissez-nous en PAIX, laissez les vrais hommes Maliens comme les 3 Amadou nous débarrasser de ces tricheurs qui volent le Mali, et risque de mettre notre Maliba à genou.

    Il y avait « des acheteurs d’esclaves » ; décriés dans le monde entier, ils finissent par se convertir en « explorateurs, colonisateur, Missionnaires » ; les colonisés se sont libérés, ils se convertirent et revinrent au nom « Coopérant civils et militaires avec coups d’état, la FrançAfrique », décriés, ils revinrent en s’appelant aujourd’hui « Bailleurs de Fonds » ‘’ « Union Européenne » « CEDEAO »
    Pour des mendiants à vie’’

    Modibo KEITA avait quitté l’UMOA et son CFA de malheur, Sogolon Djata n’aurait jamais accepté de gouverner son Mandén avec la seule POLITIQUE DE LA MAIN TENDUE ; « la qui reçoit se trouve toujours en bas ».

    Alpha Oumar Konaré à la présidence de l’OUA, historien de surcroit, convertit notre EXCELLENT O.U.A. de nos Pères des indépendances au nom d’UA par copie de l’UE (Union Européenne). L’asservissement continue par la main de ceux-là même qui sont censés nous protéger.
    Ceux-là qui leurs cours de professeur d’histoire nous ont bourré le crâne de colonialisme, néo-colonialismes, de ceci ou cela, qui enterre les propriétés intellectuelles des pères de nos indépendances à savoir l’OUA, sur l’autel des faveurs consenties dans les banques étrangères.

  9. Makan Moussa Sissoko,ce monsieur defendait bec et ongle les reformes INSTITUTIONNELLES d’ATT…..Bon Dieu de bon sang!Un peu de dignite!!! 😈 😈 😈

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