Démission forcée du premier ministre : Le Mali mue en contre-sens

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Passé à la vitesse supérieure pour accumuler les coups, le Mali vient de battre, à nouveau, son propre record d’enchainement d’ingérence. A l’heure où l’on pensait que les choses étaient train de s’équilibrer, toutes les convictions des Maliens sont désormais prises en otage. Le Mali se dirige tout droit vers la déroute.
Désormais, le flou qui plane sur le devenir du Mali va bien au-delà des normes. Cet autre coup de force commandité par le putschiste, le capitaine Amadou Haya Sanogo, pour contraindre le Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, a démissionné est déplorable par principe.

En effet, en sa forme, il diligente, en quelque sorte, l’effondrement de la République du Mali qui est faite de lois, de règles et de droit. Certes, l’accord-cadre Cédéao-Cnrdre avait choisi le mauvais pion en sa personne. Mais force serait de reconnaitre que son arrestation extrajudiciaire, arbitraire, ordonnée par le capitaine Sanogo ne fait que grandir la persévérance coupable avec laquelle les Maliens se dirigent vers l’effondrement de leur nation. Même s’il n’a pas su répondre aux attentes de sa mission, de ses prérogatives. Il y a, quand même, dans les règles de la démocratie mille et une manières de le démettre de ses fonctions de Premier ministre « de plein pouvoir ». D’ailleurs on se demande toujours d’où venait son échec.
Le premier ministre pouvait s’approprier les avantages que cette transition politique lui offrait pour se forger une solide personnalité et se maintenir au sommet le plus longtemps possible et même verrouiller le système, s’il avait ne serait ce qu’un peu de talent. Tout est question d’ambitions ; les siennes n’ont pas abouti, parce que cultivées sans aucune délicatesse, sans base. Aussi, parce qu’il les extériorisait de trop. Pourtant, en matière de système de gouvernance verrouillé à souhait, Cheick Modibo Diarra avait des bons coachs : son beau-père Moussa Traoré (23 ans de verrouillage) et son ancien ami Blaise Compaoré (plus d’un quart de siècle de verrouillage). Hélas, son impertinence et son déficit de crédibilité ont prévalu sur l’enseignement reçu. Quant à ses relations avec l’ex-junte militaire, elles n’ont d’illustration que  le conte de « la pêche du lièvre et de la hyène ».  L’histoire retiendra de lui qu’il aura été le premier ministre avec lequel l’incrédibilité du Mali sur le plan diplomatique a atteint son apogée. Partout, Cheick Modibo Diarra aura laissé des traces de son passage à la primature. De la Bceao (où ses commis enquiquinaient le personnel pour satisfaire sa passion maladive pour les coupures de 2 000fr cfa) à la boutique « sonraï » au bout de la rue de sa résidence (où il a ordonné au boutiquier de déménager pour des raisons d’esthétique) ; en passant par l’Ortm (où sa seule volonté était faite et où il est à l’origine de querelles passionnelles), sans oublier Paris et New-York (à Paris, il était le meilleur client de l’hôtel Crillon et du restaurant Fouguet’s, à New York où les boutiques de la cinquième avenue ont réalisé leur meilleur vente à son passage). Et le pire demeure la façon dont il avait mijoté la préparation des fameuses Concertations nationales. Lesquelles  Concertations nationales qui étaient  prévues pour  être la dernière étape pour la déroute totale.
Le président de la transition, Dioncounda Traoré est, aujourd’hui, le parfait modèle de politicien qui ne met jamais de mots sur son silence coupable. Il reste le premier fautif dans cette autre offense à l’ordre constitutionnel, dans la mesure où il a cautionné la démission forcée du Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, par l’ex-junte militaire. Mardi soir, lorsqu’il lisait son adresse à la nation à la télévision, un homme ironisa par un adage mandingue qui pourrait se traduire par : « Incohérence, quand tu nous tiens ! ».
Et le capitaine Amadou Haya Sanogo, quant à lui, il reste bel et bien celui qu’il est depuis Mars 2012. L’ex-pouvoir n’a de pouvoir que celui qu’il a par procuration. C’est un pantin qui n’hésite pas à nouer les mains des marionnettistes qui le manipulent au profit d’autres marionnettistes.
Il est très important pour l’Etat malien, pendant qu’il mue en contre-sens, de bien remettre en cause et mieux considérer les erreurs, de manière objective.  Il est aussi urgent que le semblant d’ordre qui régnait au Mali soit rétabli et que le syndicat de mutins qui a pour nom Armée malienne soit subordonné au pouvoir civil. Et si l’on ne prend garde, le pire est à venir.
Rokia Diabaté

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40 COMMENTAIRES

  1. La situation d’incertitudes qui prévaut au Mali avec ses retournements spectaculaires doit interpeller tout Africain en core plus tout Africain du voisinace Malien. Cheickh Modibo Diarra n’est pas sans reproche dans ce qui vient de lui arriver. En acceptant en temps que novice en politique d’assumer les charces de Premier Ministre d’un mali déchiré il avait choisi d’aller à Canossa,il vavit choisi d’aller à l’aventure. Lui qui n’étant pas politique voulait jouer l’interface entre deux camps figés de professionnels de la politique ayant des visions diamétralement opposées sur la gestion transitoire du pays. Aujourd’hui, il en paye le prix. Mais seulement pas par incompétence comme on veut le faire croire . Car CMD ne serait pas arrivé à un tel niveau sur le plan professionnel s’il n’était un modèle de pragmatisme et d’efficacité. C’est l’environnement politique, le consensus politique et les ressources qui lui ont manqués .La dure réalité est que depuis le coup d’état, le Mali (fortement dépendant des bailleurs de fonds, l’un des pays les plus pauvres et les moins équipés au monde) subit une terrible cure d’amaigrissement .Les plus grands pourvoyeurs de ressources –et pas des moins influents dans le monde-attendent la normalisation politique avec le retrait des militaires pour reprendre leur coopération avec Bamako. Tant que les militaires-au lieu de regagner leurs casernes-continueront à vouloir influer la vie politique Malienne, les ressources tarderont à tomber et l’impasse politique resurgira bientôt.
    La démission de CMD a eu le mérite de lever tout doute sur la réalité politique sur qui aiguillonnait véritablement l e processus de transsection .Tout le monde est maintenant édifié .Et manifestement aussi longtemps que Sanogo et sa clique ne seront pas mis hors d’état de nuire l’instabilité au Mali perdurera. Le cancer du Mali et qui risque de se transformer en métastase c’est Sanogo et ses acolytes. Et ils sont aidés en cela par des acteurs politiques .Ceux là qui demandent d’ignorer systématiquement la Cedeao et de refuser le déploiement de militaires alors qu’ils sont incapables de mener la moindre action qu’elle soit diplomatique politique ou encore moins militaire pour changer le statu quo en leur faveur, Cà fait bientôt un an. D’ailleurs c’est en cherchant à prendre ses distances avec ce groupe d’activistes politiques, partisans de la surenchère verbale que CMD a été poussé à la démission. Sanogo lui a reproché-en effet- de vouloir s’absenter à la veille du démarrage des travaux de la Concertation nationale trouvaille de ses alliés politiques et qui ne fait pas l’unanimité. La communauté internationale doit être alerte et vigilante car manifestement Sanogo a un agenda dont le terme sera d’être propulsé à la tête de l’Etat malien. Tous les démocrates du Mali d’Afrique et du monde doivent se mobiliser pour remettre à sa place cet individu prétentieux qui n’hésite point à sacrifier le devenir du Mali et sa stabilité sous l’autel de ses ambitions .

  2. capitaine sanogo sa suffit vous avez mit le payes en retard ajoud’hui bien placé tu vient nous montre tes bracelets en or. Mais je vous le dit en secret confidentiel que tôt ou tard tu finira par le payer

  3. Si le nord est liberé et qu’on organise des nvlles elections que devienra -t-il Sanog et sa bande ?
    C’est ça le vrai problème de la junte qui continue d’ailleurs de toucher 148 Millions par mois de la part du gouvernement.

  4. oui , bon , c’est à dire que …..
    Quand “que” tu peux pas changer la direction du vent , tu changes le réglage des voiles …. 😆 😆 😆 😆

  5. Sanogo tu vaut rien enlève ta bouche de la politique de notre maliba depuis que tu as mit ta bouche dedans la situation de notre Mali s´est empirée que dieu nous aide !

  6. J +10

    Cela fait demain 14/12/2010, 10 jours que les armes débloquées du port de Conakry sont à la disposition de l’armée malienne dans le fief de la junte militaire à Kati.

    Depuis aucun acte militaire en faveur de la reconquête des régions nord du pays n’a été entrepris.

    Mais des actions tape à l’œil (lancement en grande pompe d’un recrutement massif de 2000 jeunes dans l’armée) et les manœuvres dilatoires de l’écartement manu militari du premier ministre CMD.

    Sinon rien!

    Les maliens ont donc, au moins, des sujets de conversation pour les 3 prochains mois (Départ précipité de CMD, nomination inattendue de Diango Cissoko, formation de son gouvernement, etc et etc.) c’est à dire tout sauf la libération du nord du pays et l’organisation des élections.

    La magie est que ça marche à tous les coups, internautes, grins, milieux politiques, professionnels et familiaux, tout le monde s’engouffre dans la brèche pour oublier l’essentiel, pourvu que Kati ne prenne jamais la direction du nord du pays.

    On va tourner en rond encore pendant 9 mois avant d’attaquer manu militari Diango Cissoko à son tour!

    Son tort?

    Il est tout simplement un peu trop clair, il ressemble donc à un rebelle Touareg, et pourquoi pas à un Shebab, ou un rebelle congolais, et Kati va se méfier de lui, Dioncounda serait d’accord et les maliens commenteront, comme d’habitude.

    Ainsi va mon pays coupé en deux et pour très longtemps.

    En attendant, Kassin compte les jours depuis la libération des armes réclamées par le Copam, Mp22 et acolytes.

    Demain 14/12/2012: J+10

    À bientôt mes amis !

  7. Lu sur Slateafrique

    Ce qu’on va bien pouvoir faire du Mali

    Les islamistes regardent le Sud-Mali dérouler son théâtre de boulevard qui fait de moins en moins rire. Texte et dessin de Damien Glez.

    «Django arrive, préparez vos cercueils!»: le western spaghetti réalisé en 1970 par Giuliano Carnimeo a marqué les esprits des cinéphiles africains.

    Un chasseur de primes y était confronté à un autre pistolero nommé Sabato.

    Au Mali, c’est un Diango… Sissoko —prénom de western et patronyme de cinéaste— qui arrive à la primature, prévenant qu’il entend «reconquérir le nord du Mali». Avec ou sans cercueils?

    Au prix de combien de duels poussiéreux orchestrés par son Sabato à lui, le capitaine Sanogo?

    Trop tôt pour le dire, mais le Mali actuel ressemble bien à un décor de film de cowboys. Grands espaces semi-désertiques, moitié du territoire livrée à des shérifs autoproclamés et des hordes d’aventuriers sans foi ni loi, desperados voleurs de reliques, «hommes bleus» en guise de peaux rouges, falaises de Bandiagara comme Grand Canyon, cavalerie de la Cédéao (Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest) qui se fait attendre pour mieux distiller le suspense, kidnappeurs ou trafiquants de gnôles et autres substances illicites…

    Trop tôt pour dire si ce «Django» malien saura remettre au pas son pays à grands renforts de six coups.

    Que peut faire un Premier ministre dans une nation qui se demande si elle a un président, dans un Etat où le plat de l’épée qui adoube est d’emblée moins légitime que le tranchant de l’épée de Damoclès d’un béret vert?

    Un western de mauvais goût

    Si les westerns ne sont pas réputés pour la sophistication de leurs scénarios, le long métrage qui se déroule au Mali brille par son absence de scripts, chaque acteur improvisant à sa guise ses répliques et ses actes.

    Les observateurs croyaient que la République démocratique du Congo, ses kabilo-post-mobutistes et ses tshisekedo-lumumbistes avaient atteint le summum de l’imbroglio politique. Avec ses politiciens-pro-putschistes et ses islamo-touaregs, le Mali pourrait détrôner l’ex-Zaïre….

    La situation malienne pourra-t-elle être réglée par les Maliens, comme tout le monde le souhaite, soit par anti-paternalisme soit par couardise? Faudra-t-il, au contraire, qu’une communauté internationale pudiquement organisée en strates plus ou moins africaines ne se demande avec condescendance: «Mali, que va-t-on faire de toi?» Et que faire concrètement pour dénouer l’écheveau?

    Envisageons quelques pistes volontiers loufoques, puisque le ridicule ne tue plus dans cette partie du globe…

    —La légitimité (ou le manque de légitimité, c’est selon) étant la chose la mieux partagée dans le landernau malien, il devient logistiquement chimérique et politiquement illusoire d’organiser une élection présidentielle avant la résolution de la crise séparatiste et de sa kyrielle de sous-crises.

    On pourrait alors départager les prétendants avec leurs pages «dédiées» sur Facebook. A l’heure où nous mettons sous pixels, le grand vainqueur du scrutin serait Cheick Modibo Diarra avec 1160 «j’aime» sur sa page officielle, contre 780 pour Dioncounda Traoré, 147 pour Amadou Haya Sanogo et 5 pour Iyad Ag Ghali.

    La page «Diango Cissoko (centre d’intérêt)» compte 0 «like» (peut-être devrait-il songer à s’aimer lui-même). Contre-argument: si l’on s’en tenait à ce jeu de la popularité, c’est le chanteur Salif Keïta qu’il faudrait bombarder président, lui qui enregistre 7963 «j’aime»…

    — S’il faut considérer davantage la notoriété que la popularité, Cheick Modibo Diarra enregistre 979.000 entrées sur Google. Dioncounda Traoré n’est «Googlisé» que 721.000 fois contre 349.000 pour Amadou Haya Sanogo, 212.000 pour Iyad Ag Ghali et 162.000 pour Diango Cissoko…

    —Puisque la Cédéao et des Occidentaux frileux tardent à intervenir militairement au Nord-Mali, l’Azawad pourrait être proposée comme terrain d’expérimentation aux Nord-coréens et leurs missiles balistiques. De quoi faire un ménage radical…

    —Pourquoi ne pas en finir en organisant un tournoi de sport de combat où s’affronteraient les principaux prétendants au pouvoir? Comme ça, pas de victimes collatérales.

    Que le moins mauvais gagne

    Comme chacun a sa discipline de prédilection, il sera retenu une compétition freestyle. «Venez comme vous êtes», affirme la plus célèbre marque de fastfood.

    Cheick Modibo Diarra pourrait alors croiser le téléscope avec le sabre à poignée de cuir de dromadaire de Iyad Ag Ghali. Que le moins mauvais gagne…

    —Suivant l’adage qui recommande d’aider parfois son voleur à porter le butin, si l’on n’arrive pas à le mettre hors d’état de nuire, peut-être pourrait-on encourager le capitaine Sanogo à établir une dictature militaire à l’ancienne, sur toute l’étendue du territoire malien, en pariant sur le fait que le très prochain maréchal Sanogo «exploserait en plein vol».

    «Quand le canari se casse sur ta tête, il faut en profiter pour te laver», dit un autre adage…

    —Si une intervention militaire «délogeuse» de terroristes peine à se goupiller, peut-être faudrait-il réunifier inversement le Mali en aidant les islamistes à établir la charia sur l’ensemble du territoire.

    Le capitaine Sanogo (celui qui se prend pour le général de Gaulle, mais ressemble à Dadis) verrait sans doute son béret amputé pour vol de prérogatives. Omar Mariko (celui qui se prend pour Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne) serait sans doute fouetté pour amours inconvenantes avec les putschistes.

    —Le morcellement des parcelles de pouvoir est tel que la balkanisation pourrait être sérieusement envisagée comme une solution par défaut. On pourrait alors créer officiellement: un Sahélistan pour islamistes de tout…poil; une province-caserne pour les bérets verts et une autre (sans frontière commune) pour les bérets rouges; un département libyen pour les Touaregs (le désordre est tel en Libye que les autorités ne remarqueraient rien); une mégalopole de retraite pour anciens chefs d’Etat avec direction collégiale d’Amadou Toumani Touré, Moussa Traoré et Dioncounda idem; une principauté bamakoise dont on remettrait les clefs à Alpha Omar Konaré et que-s’il-n’est-pas-d’accord-c’est-pareil-faut-pas-qu’il-commence-à-nous-fatiguer.

    Oumar Mariko serait bien inspiré de s’installer dans le camp burkinabè de Goudébou libéré par les réfugiés. Les Chinois souhaitant cultiver prochainement des légumes sur Mars, on pourrait leur demander d’y déposer l’astrophysicien Cheick Modibo Diarra qui pourra y cultiver son jardin.

    Damien Glez

  8. Quelqu’un peut-il me donner la différence entre le Ministère de la Défense et des Forces Armées et de Sécurité (MDFAS) et le Comité Mensonger de Suivi de la Refonte des Forces Armées et de Sécurité (CMSRFAS). Qui coiffe qui??? C’est la descente aux enfers!

    • En réalité il n’y a aucune différence et ça fait doublon.

      Mais c’est la seule “idée géniale” qu’à trouver CMD et son gouvernement pour ne pas dissoudre les xxxdu Cnrdre malgré les insistances de la Cedeao et de la communauté internationale.

      A l’époque je l’ai décrié et dénoncé mais CMD pensait à l’époque renvoyé l’ascenseur à ses copains d’alors pour l’avoir nommer PM “pleins pouvoirs”, qu’elle idée!

      Mais bon… Il aura compris que c’était une bêtise tout comme son ministère des cultes.

  9. CMD était un homme qui aimait le Mali et c’est ce que cachait ses ambitions personnelles pendant et au-delà de la transition. Le seul tord de CMD fut de couper les millions régulièrement versés à quelques kilomètres de Bamako depuis mars 2012. Voici les principales raisons du limogeage de CMD. N’en déplaise à ses détracteurs, CMD reste un technocrate et le seul (débutant) politique qui a réellement aimé et travaillé pour le Mali sans chercher à ménager ses détracteurs ennemis du Mali et de la République. Je parle ici de la mafia qui mis le Mali à genou y compris bon nombre d’acteurs actuels dont l’un (coq) est une façade à la tête d’un poulailler dont le maître réel demeure et reste le propriétaire du poulailler (ayant débarquer le rival de notre Monsieur), et les opportunistes/profiteurs paresseux de quelques kilomètres de la capitale, auxquels CMD avait couper les vivres pour mettre fin au fléau dévastateur de la république. Ces opportunistes ont pour slogan “l’opportunisme ou la mort nous vaincrons à quelques kilomètres de Bamako” mais “le patriotisme pour le Mali et la mort à plus tard car nous ne sacrifierons jamais une seule vie de nos soldats dans un pays où si tu meurs, tu meurs cadeau parce que chacun cherche sa poche”. Alors, Bye Bye ainsi “Opération MALIBA”. Que Dieu Tout-Puissant bénisse le Mali! Aux questions posées sur le nord, le propriétaire de notre poulailler s’en est plutôt pris à la population qui doit plutôt aider en donnant les renseignements, qui doit soutenir l’armée, et l’histoire nous le dira, qui doit aller libérer le nord (sous-entendu à la lumière des réponses). Aucune information concrète n’a été donnée sur les dispositions prises par l’armée! Wait and see!

  10. Franchement Sanogo a fait ce qu’il devait faire ici. Reste à disparaître et laisser Le président travailler :!

  11. Pour les fêtes de fin d’année Maliweb a bien décoré son site avec des belles images de C H I M P A N Z é qui ne sont que celles duxxxxe Tika 😀 😀 😛 😛 👿

    • tu es méchant avec le chimpanzé , ce singe est beaucoup plus intelligent que le macaque ivrogne de la photo

  12. CMD n’a rien fait pour l’armée ? Un peu d’humilité au moins mon capitaine. Le gouvernement a debloqué combien de milliars pour acheter de nvlles armes ?Et son grand combat à travers la Comunauté Interle en faveur de l’appui aux forces armées du Mali ? Malgré la crise il y a t-il d’arriérés de salaires des militaires? Et la prime de 50 000 F octroyés aux militiares cencés etre au front (qui en afit sont aux bars de Sévaré, Bandiagara, Bankass, Markala, Konna…) ? Et maintenant que CMD n’est plus là (puisque c’est lui seul qui était le problème) quelle date peut peux tu liberer le Nord ? Oubien tu va chasser aussi Diango Sissoko à son tour en accusant lui aussi qu’il ne fait rien pour l’Armée?

  13. sanogo nous fait honte car tu es le chef suprême de l’armée Malienne c’est à toi de prendre la tête des troupe pour aller au nord mais malheureusement tu couché à Kati avec un arsenal plus lourd que ce qui ce trouve au front monsieur sanogo tu est très mal placé pour dire au PM de libérer le le nord car c’est toi qui dirige le Mali parce que tu ne te déplace jamais en cas de besoin ni le Président ni le PM au contraire c’est eux de se déplace pour te présenter leur plan et c’est toi qui donne l’autorisation de l’exécution donc le problème du nord n’est même pas ton affaire parce que tu as des de mauvais conseillers qui ne pense qu’a leurs intérêt donc de grâce arrête tes conneries qui nous imillués chaque fois que l’on veut progresser

  14. sanogo à quel jeu du joue? mon frère detrompe toi car tu ne sais rien de la politique, tu sais CMD est un grand de ce monde, bien vrais qu’il soit malien mais il n’appartient meme pas au seul malien, c’est un grand intellectuel, un des hommes qui contribue à l’emergeance de ce monde.
    toi tu te permet d’aller à la télé pr essayer d’en bobimé des gens en bambara à la télé, oui ce qui ne comprennent pas la situation et qui n’ont pas eu la chance d’aller à l’ecole vont te suivre pr un bout de temps, je dis bien un bout de temps,
    wait and see

  15. vous les mal-parleurs vous êtres seulement jaloux de sanogo aucun de vous ne pourrait faire ça pour nous. nous n’allons jamais accepté des choses comme çà aux pays si vous ne connaissez rien taisez-vous jaloux.

  16. Je ne suis pas un fan des solda rebelle du sud Mali mes il faut q ont se dise la vérité quels est la légitimiste de CMD pour un refus de reconnaître le président. sens usage de la force CMD NE démissionerais pour personne, il a été claire la déçu dans le débat télévisée l’or de ses 100 jours a la tête de l état,il dit qu’il n ya personne a qui il pouvait remettre sa démission il se croyais invinssible pour lui nul ne méritais se poste si se n’est que lui ,la junte a prit ses responssabilite et a lui délire de ses fonction de plein pouvoirs ,le chef de junte a été clair ses eux qui Los nomes au poste de premier ministre plein pouvoir, et cetais a eux de lui faire dégage car se sobt eux qui l’on mit lâ, la manier a été forte ,disons la vérité ESQUE CMD demissionerais de lui même esque Dionkouda pouvais demande a cheik Diarra de démissionne imaginons la zizanie que sa allait créé,le président ne pouvais pas refuse sa démission vue la cacofoni qu’il a mit dans le pays,

  17. Je porte plainte contre la FRANCE A LA CPI D’AVOIR ABANDONNER UN PAYS ET SON PEUPLE EN DANGER DE MORT .AUJOURD’HUI TOUT LE MONDE EST UNANIME QUE TANT CES BANDITS ARMÉES DE KATI NE SONT PAS ÉCARTES LE MALI ET SA POPULATION SONT EN DANGER DE MORT .ILS SONT LE MÊME PIED D’ÉGALITÉ QUE LE MNLA ,LE MUJAO ,AQMI ET ANCARDINE .
    LES BANDITS DU NORD VALENT MIEUX QUE LES BANDITS DE KATI PARCE QUE LES GENT DE KATI NOUS MENACENT AVEC NOS PROPRES ARMES QU’ON A PAYE AVEC NOS IMPÔTS.C’EST POUR CELA QUE J ÉTAIS CONTRE LA REMISE DES ARMES DU MALI QUI ÉTAIENT EN GUINÉE .ILS NE VONT JAMAIS FAIRE A LA GUERRE ET ILS VONT RENFORCE LEUR POSITION A KATI . QUE DIEU SAUVE LE MALI ET MALIENS QUI AIMENT CETTE NATION BÉNIE,CETTE TERRE HAVRE DE PAIX ET DE SOLIDARITÉ . JE ME DEMANDE SI RÉELLEMENT NOS MILITAIRES SONT VRAIMENT DES MALIENS? S’ILS SONT VRAIS MALIENS ;POURQUOI NOS MILITAIRES REFUSENT DE DÉFENDRE SA POPULATION ET PIRE ILS BLOQUENT NOS ARMES A KATI POUR LEUR SÉCURITÉ ET TYRANNISENT CETTE POPULATION QUI LES A TOUT DONNE.QUE DIEU SAUVE LE MALI ET LES MALIENS .AMEN .

    • Baenis ,tu as l’air d’oublier que çà fait 52 ans que vous etes libres et que la France n’est pas votre nourrice ageée 😉 😉 portes plainte contre l’armée malienne ,tu seras plus proche de la réalité !! portes aussi plainte contre le peuple malien puisque vous etes tous responsables de votre sort !!
      TU PEUX AUSSI ECRIRE A L’ONU POUR DEMANDER A ETRE A NOUVEAU COLONISE PAR LA FRANCE PLUTOT QUE PAR LES BARBUS

  18. la fin est encore loin; l’un des points de blocage était certes CMD, mais les principaux goulots d’étranglement sont Dioncounda et Amadou SANOGO lui même. ce dernier fait pire que CMD, puisqu’il terni notre image chaque jour que Dieu fait. il est temps qu’il dégage.nous en avons assez!!!!!!!!!!!!!!!!

  19. Ce macaque de Sanogo aime se pavaner dans de beaux treillis militaires flambants neufs. On voit le militaire de salon, entouré d’écrans plats au lieu de se bouger pour aller combattre au Nord. Moussa Dadis SAnogo, ta fin est proche, petit capitaine de salon, succédané de militaire.

    • James 10 , une chose est certaine ,ce n’est pas à la guerre que le macaque de Kati use et sali son treillis

  20. quelle desolation de voir des gens applaudir un HOMME qui se dit sauveur du MALI. Honte à vous qui acclamer se soit disant sauveur du MALI.
    ouvros les yeux et ayont un peu l’esprit d’analyse au lieux de suivre juste pour suivre. Quelle explication se soit disant “CAPITAINE” à donner au peuple MALIEN pour une mauvaise ingerence du MALI?
    de quel droit il decide de qui gouverne mieux ou pas? meme si CMD n’avait pas les competences nécessaires pour la gestion actuelle du MALI c’est qui, qui à decider qu’il devait etre PM?
    et comme maintenant Mr n’est âs content ou comme ont lui fait pas de compte rendu il se permet d’agir de la sorte.
    Comme je suis deçu; j’ai si mal pour ma patrie que j’en ai des larmes aux yeux…
    LE NORD, parlons en du nord.. au lieu d’aller au front et de liberer le peuple ils se battent pour des raison politiques.
    Un seul homme ne fait pas le MALI Mr le soit disant CAPITAINE, insha’Allah ton jours viendra ou tu devras repondre à tes crimes

  21. LE NETTOYAGE DE SANOGO DOIT ENCORE ALLER EN PROFONDEUR POUR UN MALI NOUVEAU.
    DÉGAGER CES MISÉRABLES POLITICIENS QUI TROMPENT LE PEUPLE AU MOMENT DES CAMPAGNES. AVEC DES FASSES PROMESSES ACCOMPAGNÉES DE THÉ SUCRE ET TICHORTES.
    CETTE GRANDE MASSE D’ENSEIGNANTS QUI ABANDONNE LES CLASSES POUR FAIRE LA POLITIQUE.

  22. Non , c’est pas un declain . Je certes deplore la demission forcee du Pm mais en faites ce Pm etait appele a partir tot ou tard suivant sa meconnaissance en matire de politique .
    Aussi , force est de reconnaitre que ce PM a ete choisi par la jeunte suivant dans l’optique qu’il pouvait rendre beaucoup de services a l’armee malienne quant a la dotation de celle-ci des armements sophistiques en provenance du pays de l’oncle Sam .
    En outre , la jeunte se trompait , ce monsieur bien sure a servit aux USA , mais est-ce il est connu du milieu politique Americain ?
    En effet , l’ex serviteur ou vulgarisateur de la NASA projet PATHFINDER est certes un grand astro-physisien mais APOLITIQUE .Les situations de cette genre est plutot resolue par un homme politique , stratege et diplomatique , le CMD n’etait pas un homme pour se faire .

  23. Je dirai plutot vers le declin du Mali et pourtant c’est ce qui arrivera, MALHEUREUSEMENT.

  24. Le lièvre et la tortue

    Lancé sur orbite le 17 avril 2012 après signature d’un accord cadre entre la junte militaire de Kati et la Cedeao devant permettre le retour à l’ordre constitutionnel normal au Mali après le coup d’état du 22 mars, l’ancien premier ministre Cheick Modibo Diarra, a été forcé de démissionner dans la nuit du 11 au 12 décembre 2012.

    Cette malheureuse et rocambolesque épisode du feuilleton malien est l’épilogue d’un bras de fer inutile et inopportun au sommet d’un état malade, souvent polissé mais réel et permanent entre un premier ministre “pleins pouvoirs” anticonstitutionnellement nommé, et un président par intérim particulièrement impopulaire d’un retour difficile à l’ordre constitutionnel dans un pays très pauvre, illettré, attaqué de partout et presque sans défense.

    Dur dur d’être le Mali!

    “Libérer les régions nord du pays et organiser les élections générales” voilà les deux missions assignées à CMD et à son gouvernement, mais ni l’une ni l’autre n’a jamais eu le début de solution, pourquoi?

    Tout d’abord le couple exécutif malien (Dioncounda, CMD) n’a jamais reçu à danser le Tango malien de sortie de crise.

    CMD, au début, très proche de la junte dont il s’accommodait parfaitement les agissements d’empiètements sur sa transition “pleins pouvoirs”, n’a pas été assez ferme non seulement lors du passage à tabac du Président Dioncounda, mais aussi pendant les multiples arrestations extrajudiciaires voire des agressions injustifiées et intolérables de la Gestapo de Kati sur les politiques, les journalistes et d’autres citoyens ordinaires.

    Cette stratégie d’endossement de ses “pleins pouvoirs” aux caprices d’une junte militaire avide de pouvoir, dans le but de les voir consolider, a permis, à CMD, d’être aux petits soins de Kati (loi d’amnistie, loi de transformation du Cnrdre et non sa dissolution comme réclamée par la communauté internationale et la Cedeao, confiance renouvelée à l’armée malienne quand cette même Cedeao veut sécuriser les institutions à Bamako par les troupes étrangères ).

    Ce rapprochement avec la junte, destiné, à court terme, à consolider son pouvoir dans la transition face à un Dioncounda affaibli à l’extrême, va par contre fragiliser CMD sur le plan international, au fil des mois, où il est désormais vu dans les chancelleries occidentales comme un problème et un blocage aux efforts de la Cedeao pour la restauration de la démocratie et pour une éventuelle intervention militaire étrangère.
    CMD était tellement perçu comme l’homme de Kati à tel point il était carrément ignoré dans les sommets à répétition de la Cedeao qui lui préférerait Dioncounda.

    Flanqué des ministres régaliens Cnrdre (défense, sécurité, administration territoriale), CMD était constamment à porte à faux avec Dioncounda (durée de transition, intervention militaire étrangère, négociation, concertations nationales…) à point que le Tango malien faisait plutôt “coupé décalé”.

    Les prémisses de la fragilisation internationale, amènent au contraire CMD à s’accrocher et à s’affirmer davantage (son gouvernement travaille à mettre le Mali à l’abris de la cessation des paiements malgré la suspension de la coopération internationale, il envisage de faire l’audit des services publics, traque les faux diplômes de la fonction publique, multiplie les voyages hors du Mali, les nominations, les communiqués de condamnation…)

    La politique d’affirmation va jusqu’à planer le doute sur sa participation personnelle comme candidat aux futures élections que son gouvernement peine plutôt à organiser.

    Le ministre Cnrdre de l’administration territoriale, le Colonelissime Moussa Sinko Coulibaly, a du mal à cacher son embarras quand à la candidature de CMD aux futures élections.
    Ça sent la fissure avec la junte, auparavant prise au dépourvu parce que CMD ne sait pas à qui “donner sa démission”, Kati se sent de plus en plus petit face l’astrophysicien.
    De l’autre côté Dioncounda, qui a bien réfléchi au Pullman Montparnasse Hôtel à Paris pendant sa convalescence, sait qu’il n’a pas été trop aidé par le mouvement démocratique et son FDR, alors de retour au bercail, il tend la main à l’armée et à la junte, et lui réitère sa confiance au grand dam de la Cedeao qui ne comprend pas pourquoi quelqu’un avec une sécurité quasi nulle ne veut pas de troupes Cedeao à Bamako pour “sécuriser la transition”.

    Mais face à un CMD quelque peu agité, affirmé et rapide, Dionconda joue la tortue et assure ses arrières.
    Il n’hésite pas à proposer un haut conseil d’état pour bien intégrer la junte à un moment où son alliance avec CMD se fissure.

    Il n’hésite pas à proposer une négociation triple choix pour rester proche de la médiation Cedeao menée de main de fer par le très controversé president burkinabé, Blaise Compaoré.

    Il n’hésite pas à adhérer aux concertations nationales du Copam et du Mp22 à conditions qu’elles soient inclusives et constitutionnelles pour rester équidistant avec la classe politique et la société civile.

    Au même moment CMD n’hésite même pas à Paris de proposer une consultation de l’assemblée nationale sur l’approbation d’une feuille de route de la transition (réclamée par la communauté internationale) apparemment sans en avoir parlé avec le président.

    Et quand CMD va à Djamena pour parler intervention militaire avec fermeté et contrer Dioncounda parti à Niamey et qui adhère aux pourparlers de Ouaga, son directeur de cabinet ne reconnaît même pas Tieman Coulibaly, pourtant ministre des affaires étrangères du Mali, comme représentant du gouvernement malien, il représente plutôt Bamako.

    Le “coupé décalé” bamakois bat donc son plein: “Calmement, calmement, on va s’envolement”.

    Et en aucun moment CMD n’a pu croire que ces anciens alliés de la junte militaire qu’il a aidé à se légaliser dans un comité militaire de réforme…, vont aider son partenaire de Tango (Dioncounda) à gagner cette première course de la transition malienne contre lui, lui le lièvre interplanétaire.

    Rien ne sert de courir, il faut partir à point disait le poète!

  25. CAPITAIN DE LA HONTE

    Malheureusement Jusqu’a present on ne connait pas les vrai motifs de cette demission. Son auto jugement n’engage que lui seul, mais le peuple sera le vrai juge a la fin du jour. Si CMD ne respect le peuple malien, lui meme fait la meme chose en refusant l’accuse a s’explique devant ce meme peuple. Qu’est ce que le capitain veut reellement: Le NOM, Le President, Le SAUVEUR des maliens, L’HONNEUR. Un conseil, tu aura ton honneur seulement dans un champs de bataille, non sur une scene politique. Un honron ne salit jamais son invite de la sorte, meme s’il a commis des betises. Ses accusations sont a dormir debout, c’etait les points d’attaque du FDR qu’il a exactement evoquer contre CMD.

    QUOI DEVIENT LE NORD DU MALI
    Dans les oubliettes comme toujours. Bizzarement le malien creve de popularite. Le nord sur toute les levre, et moins dans nos coeurs. Armement bloques, Armement debloques, Bamako ne bouge pas. Et par surprise on vient d’attendre une autre raison pour ne pas attaquer: CMD n’as rien acheter pour l’armee. Voyez vous Kati votre jeux commence a etre exposer.

    LEGACIE DE CMD
    Il n’etait pas parfait, comme persone ne l’ai d’ailleurs, mais son action a reunir le monde entier autour du Mali faisait trembles les jambles du capi, c’est cela que Sanogo l’accuse de ne pas donnez des explications. CMD ne complotait pas contre vous mon Capi. mais seulement il avait compris que vous n’etiez pas non seulement a la hauteur de sauver le nord Mali, mais que vous meme avais d’autre ambitions comme l’avez bien citer souvent que si le peuple te demandai et toi pourquoi pas.

  26. SVP laissez la vie personelle des gens. Ma deception est par rapport au raisonement que Sanogo faisait, avec un manque total de respect de l’aine, a son sejour a NY est faut et archie faux. Je vie a NY, il n’y a pas d’hotel moins cher ici, ceci etait un sabotage du FDR. Ouvrez les yeux, Sanogo est entrain de faire de la politique. Il se croit plus malin, Djonkouda l’attend au tournoi…

  27. Mme Diabate ayez peur de Dieu, s’il vous plait. Je ne suis plus un fan de CMD, mais arretez de mentir sur le Mr.

    ” De la Bceao (où ses commis enquiquinaient le personnel pour satisfaire sa passion maladive pour les coupures de 2 000fr cfa) à la boutique « sonraï » au bout de la rue de sa résidence (où il a ordonné au boutiquier de déménager pour des raisons d’esthétique) ; en passant par l’Ortm (où sa seule volonté était faite et où il est à l’origine de querelles passionnelles), sans oublier Paris et New-York (à Paris, il était le meilleur client de l’hôtel Crillon et du restaurant Fouguet’s, à New York où les boutiques de la cinquième avenue ont réalisé leur meilleur vente à son passage)” Je ne lis que delation et contre-verites ici.

    – La residence du Mr n’est situee dans aucune rue car etant a cheval entre le fleuve Djoliba et la route qui mene a Koulikoro. La maison n’est a cote d’aucune boutique “sonrai” comme vous le dites.

    – Il n’a jamais ete dans aucun hotel Crillon ni restaurant Fouget’s a New York.

    Le PM n’a pas su remplir la mission qu’on lui a confiee et tout le monde est d’accord la-dessus, mais de la a le salir gratuitement comme vous le faites, il y a vraiment un pas a ne pas franchir.

    Mais d’un autre cote, c’est bien fait pour lui aussi. L’association avec le diable n’est jamais sans consequences.

    Quelle honte!!!

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