Mercredi, l’armée malienne a été mise en déroute par les mouvements armés. Les combats ont fait au moins 30 morts. Le gouvernement malien assure que l’exécutif n’a jamais donné l’ordre à l’armée d’attaquer et a mis en place une commission d’enquête. Qui est responsable de la déroute militaire de mercredi 21 mai à Kidal ? A Bamako, la polémique enfle.
Dans le paysage politique malien, tout le monde s’accorde sur l’importance et la gravité des événements de Kidal. Pour l’ancien candidat à la présidentielle Soumaïla Cissé, président de l’Union pour la république et la démocratie (URD), que l’ordre ait été donné ou non par l’exécutif, les têtes doivent tomber, et en premier lieu celle du Premier ministre Moussa Mara. « Cette crise est venue de la visite du Premier ministre, Moussa Mara [visite à Kidal, le vendredi 16 mai, ndlr], suivie de l’offensive de l’armée. Je crois que la tête qui doit tomber la première, c’est celle du Premier ministre. Le Premier ministre doit démissionner, parce que c’est tout simplement républicain », martèle l’opposant d’IBK lors du second tour de la présidentielle malienne, interrogé par RFI. « Aujourd’hui, il y a des dizaines de morts, une opération non préparée, non maîtrisée. Il est évident, aujourd’hui, que le pays a besoin d’un message fort. »
Pour Dramane Dembélé de l’Alliance pour la démocratie au Mali (Adema), lui aussi candidat à la présidentielle en 2013, il faut attendre les résultats de l’enquête, mais la démission du gouvernement n’arrangera rien. Cela « ajouterait une crise à la crise », considère le président de l’Adema. « On arrangera rien. On est dans une situation de crise. Ce n’est pas avec l’émotion que l’on doit résoudre la question. »
La mouvance présidentielle resserre les rangs
Au sein de la majorité présidentielle, on se range bien entendu derrière les explications du gouvernement, qui pointe des dysfonctionnements au sein de l’armée pour expliquer la débâcle de Kidal. Une commission d’enquête a été ainsi créée, pour établir les responsabilités au sein de la hiérarchie militaire. Choguel Kokalla Maïga, président du Mouvement patriotique pour le renouveau (MPR), juge ainsi que les responsabilités sont à chercher « au niveau de la hiérarchie militaire ». « Je ne comprends pas qu’une opération puisse être déclenchée et que, deux heures après, cela se conclut par ce que vous appelez une débâcle », s’interroge-t-il. Alors que le procès en incompétence de l’armée malienne monte dans l’opinion, la mouvance présidentielle appelle ses partisans à serrer les rangs derrière l’exécutif. Une marche est programmée ce samedi.
Par RFI
Les Français ont pissé partout pour marquer son territoire, les Français ont chié partout pour amender son arbre sahélien. Alors et pour le Mali dans tout ça? Que le fameux accord de défense soit suspendu afin que le Mali ne s’enracine, cet accord est un piège d’enlisement de la république du Mali, c’est la poudre dans les des générations futures. Ce pendant,notre nation n’est pas un jouet à la portée de n’importe qui. Que les FAMA sachent que personne ne viendra faire cette guerre à notre place. Que les autorités sachent qu’aucune autorité ne défendra notre cause politique,diplomatique,institutionnelle à notre place, que le peuple sache qu’aucun peuple ne soutiendra nos autorités à notre place. Sur ce il est demandé à tous les Maliens de l’extérieur et de l’intérieur de se mettre à pied d’œuvre pour enlever cette épine du pied de la république. Ne donnons nous plus jamais aux baratins de la France, de la communauté internationale. Après cette crise, l’état Malien doit revoir toutes les coopérations bilatérales susceptibles à notre épanouissement dans tous ses états,pour permettre aux futures générations de vivre notre république. VIVE LA REPUBLIQUE, VIVE LE MALI. Que dieu bénisse le Mali!
mara est pm le plus inteligent que le mali na jamais eu dans son existence.mara doit continuer son feuille de route.
Mara va conduire ce pays dans le malheur. on ne doit pas choisir de tels porte-malheurs pour chef dans un pays en crise. C’est le signe qu’on n’ a pas encore fini avec les problèmes
n’acquise pas l’opposition de la sorte, vous savez Mara ne fait que mentir au malien pour se faire plaire
1) concernant l’avion d’IBK il nous a dis que l’avion est entre 35 et 40 ans et qu’il n’a pas de papier c’était faux
2) que à Kidal la MINUSMA ne la pas assiste et que c’est l’armée malien qui a assuré sa sécurité faux aussi
3) c’est dans sa bouche qu’on a entendu que le mali est en guerre désormais et après il a dit que personne n’a donné l’ordre de faire la guerre aux MNLA qu’il faut négocier faux aussi
L’opposition a le droit de critique le pouvoir en place les seuls fautif de l’humiliation du peuple maliens ses ibkk boubeye sada et les soldats les hommes politique maliens n ont pas de penses pour le mali paraît pour les soldats n ont pas de caractère patriotique a par garder les stades de concert de foot ils ne sont pas préparé pour faire la guerre
Le Mali tombe de très haut !!!!! 🙄 🙄 🙄 🙄
Il aura du mal à descendre beaucoup plus bas !!!!!
Par la naïveté et son inconscience,Soumeila Boubeye a accepté de détruire nos armes de défenses anti aérien.
Et cela a parmi à nos ennemis cachés de tuer nos soldats à Kidal, sans être inquiéter.
La france fait parti de ces ennemis, elle a tué et soutenu un camp en RCI, elle a commis un attentat sur l’avion transportant deux Présidents africains entrainant un Génocide, elle a tué le guide Mouamar Ghadafy, elle n’est pas neutre en centrafrique et elle tue nos enfants pour le compte du Mnla.
Donc,en plus du Ministre de la défense,ces pseudos dirigeants de l’opposition doivent arrêter et que les recrues de l’armée puissent des exercices de tirs sur eux.
Nyef, tu peux arreter tes cauchemards et tes petites histoires de bande dessinee stp, arretes de nous parler des armements qui ont ete faits pendant la 2eme guerre mondiale et que les Russes nous ont vendu a des prix rudimentaires qui sont devenus dangereux pour le possesseur car elles ne servent a rien. C’est Moussa Mara le petit gamin de Lafiabougou qui doit demissionner car c’est lui qui a ete provoque le MNLA et autres a Kidal, qu’il prenne ses responsabilites entre ses deux mains et qu’il s’en aille.
. VOILA ENFIN LE VRAI VISOUMAILA CISSE , TIEBILE DRAME , MERCI CETTE CRISE CONFIRME DAVANTAGE VOTRE HAINE AIGUE CONTRE LES INTERETS SUPERIEURS DE LA MAJORITE DES MALIENS. VOUS VOUS FATGUEZ NOUS AVONS COMPRIS VOTRE JEU, POLITICIENS EGOISTES VOS AMBITIONS SORDIDES. NOUS SOUTENONS NOTRE PREMIER MINISTRE MOUSSA MARA JUSQU’A NOTRE DERNIER SOUFFLE, CAR KIDAL FAIT PARTIE DU MALI . ALORS SI VOUS NE PARTAGEZ PAS L ‘AVIS MAJORITAIRE DES MALIENS, JE VOUS SUGGERE DE VOUS TAIRE, SINON VOUS NE SEREZ MEME PLUS CAPABLE D ETRE ELUS MAIRES A FORTIORI DEPUTE. VOUS ETES TOMBES TROP BAS, LE MALI AVANT TOUT. A VOTRE PLACE JE SORTIRAI POUR DIRE JE NE SUPPORTE PAS LE PROGRAMME DE IBK , MAIS NOUS LE SUPPORTONS POUR KIDAL. QUE C EST DOMMAGE!!! SAVEZ VOUS QUE VOS FRERES, FILS QUE NOUS SOMMES , NOUS SOMMES ASSEZ MAJEURS !!!! VOUS FAITES HONTE AUX MALIENS, VOUS VOUS ETES DECLARES PERSONNES NON GRATA VOUS MEMES. VOUS VERREZ BIENTOT, CERTES UNE OPPOSITION CONSTRUCTIVE, MAIS PAS EGOISTE
Soumi et Tiebile ne disent pas que Kidal ne fait pas partie du Mali, non loin de la, ils disent simplement qu’il faut dialoguer et refuser de prendre des riques inutiles qui mettent la vie des gens en danger comme Moussa Mara l’a fait au cours de cette visite inappropriee, mal planifee, mal geree et mal executee. Des dizaines de personnes tuees, une humiliation nationale de plus car notre armee en deroute, des nouvelles veuves et des nouveaux orphelins, voici le bilan de cette visite de Moussa Mara a Kidal que la majorite des maliens n’endorse pas du tout.
Il faut comprendre qu’il est indispensable que les maliens restent unis derrière les institutions de la République. Il faut neutraliser tous les actes et toutes les actions qui pourraient nuire à la cohésion nationale. Le Gouvernement n’a pas mal agi et l’ordre d’attaquer n’est que la riposte provoquée par les terroristes. L’inaction de la communauité internationale n’est pas justifiable à aucun point de vue. Depuis l’interdiction faite à l’ancien premier ministre de déscendre à kidal, il revenait bien à la communauté internationale de prendre toutes les mesures nécessaires pour que le Mali puisse exercer pleinement ses compétences teritoriales. Elle a laissé pourrir la situation et tente vainement de trouver des responsables. Q’uelle sache que les responsables ne sont que les occupants et les assaillants. En tout cas nous sommes chez nous et nous y resterons. Pour arrêter ce conflit, il faut obligatoirement neutraliser ensemble les séparatistes. Vive le Mali.
24 mai 2014 – à 12:11
Je pense que la France a toujours dit que c est le MNLA QUI L A AIDE A kIDAL POUR COMBATTRE LES DJIHADISTES POUR RETROUVER SES OTAGES. CE FAISANT LA FRANCE A DU FOURNIR DES ARMES AU MNLA. AUJOURD HUI CES ARMES SONT UTILISES CONTRE L ARMEE NATIONALE QUI A FAIT APPELLE A LA FRANCE POUR SON APPUI. QUEL PARADOXE ?
CE QUI EST INNADMISSIBLE AUX CHEFS MILITAIRES MALIENS C EST QUE SANS AERONEFS,LA DEFAITE DE NOTRE ARMEE NATIONALE ETAIT SURTOUT DFICILE A EVITER ET ENCORE LE PETIT NOMBRE D HOMMES EN ARME ET DE MATERIELS DEPLOYES AKIDAL ETAIENT DES SIGNE ANNONCIATEUR DE CETTE DEFAITE: LEGERETE TOTALE SUR CE SUJET, IL EST ABSURDE QUE NOUS CONTINUONS A COMPTER SUR LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE MEME SI NOS ENNEMIS SONT DES DJIHADISTES. IL FAUT ARRETER CE DISCOUR QUE JE TROUVE IRRESPONSABLE,
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Les meilleures armées sont deux dans ce monde.il n’y aura jamais une solution militaire purement africaine en Afrique.La force pensante se trouve hors de l’Afrique.LA meilleure politique pour nos dirigeants serait du malheur africain d’en tirer le mieux possible, la situation la moins pénible et la moins honteuse. Le texte de la dictée ne vient pas du kroukan fouga donc attention aux fautes d’ortho. et (.) à la ligne.
Pour l honneur du MALI SOUMAILA doit se taire, …ils ont faient partir TATAM LY parceque il na pas pu atterir a KIDAL …
MARA va parachuter au camps militaire , on lui demande aussi de partir….
Moussa Mara ne peut pas être un héro dans cette affaire. Il est allé sacrifier la vie de nos concitoyens et a trainé à nouveau notre honneur dans la boue. S’il était brave, pourquoi n’a t il pas attendu que tous les cadres de la région qu’il a obligé à rester au gouvernorat soient évacués d’abord avant que lui et sa délégation ne se sauvent. Il faisait semblant d’être serein dans la salle devant les caméras, alors qu’il prenait ainsi des risques non pour lui et sa délégation, mais plutôt pour les autres cadres et soldats qui était présents sur les lieux à cause de son entêtement. Toute la sécurité s’est occupée de lui et de sa délégation en abandonnant ceux qui ont été assassinés. Quant on prend des décisions à ce niveau de responsabilité, on doit songer à tous ceux qui peuvent en subir les conséquences. Il en a fait à sa tête et voila le résultat. On ne se fait pas un nom sur la vie des honnêtes citoyens.
Qui a fait partir TATAM L’Y? C est l incurie et le pilotage à vue d’IBK, ce n est ni Soumaila, ni l opposition
Ceux qui doivent démissionner sont :
Le ministre de la défense et des anciens combattants
Le chef d’Etat Major des armées
Le ministre de la Sécurité Intérieur
Ce sont ces trois qui n’ont pas fait correctement leur travail.
Ces trois ont montré leur limite et leur incompétence
Le seul qui a correctement fait son travail et qui fait la fierté des maliens,est Moussa Mara
Le seul qui a correctement fait son travail avec courage et bravoure est Moussa Mara.
Le seul qui a correctement le travail que lui avait confié le président de la République est Moussa Mara
Le Mali a besoin des jeunes compétents comme Moussa Mara.
Demander la Démission de Moussa Mara parcequ’il s’est rendu à Kidal est une honte
Kidal est une ville malienne ,c’est pas une zone de non droit
Les kidalois sont des maliens qui doivent être sous l’autorité de l’Etat.
Si l’Etat est faible au point de ne plus pouvoir soumettre les kidalois sous son autorité ,cela est une honte
C’est une honte de demander la démission de Mara
MYNTI, de grâce! Personne n’a dot que MARA ne devait pas aller à Kidal, mais que cela se prépare. Lui a voulu fermer les yeux sur la réalité qui est que le Mali est en belligérance avec des rebelles qui sont principalement à Kidal. Donc, il devait avoir le sens de la responsabilité et comprendre qu aller à Kidal, ce n ‘est pas une promenade de santé, sinon tu fais peser beaucoup de risque sur la sécurité de tout le monde etc etc….ET voilà! Il a voulu faire le Héros et près, il s est enfui laissant derrière lui des otages séquestrés, tués, le Mali humilié . La seule solution de porte de sortie, c est la démission cet imprudent et amateur politique
I suggest to the government to make English language a requirement in our education system then later we can switch to English for official communication and keep developing aside local languages.
Rebel
R2D2 ? c’est vraiment toi ?
😀 😀 😀
Mara doit partir le plutot ke possible c est un opportuniste un bandi d grand chemin
Kassin tu es un amuseur public !!! Si comme tu l’écris tu connaissais l’état de déliquescence de l’armée, pourquoi réclamais tu depuis des mois la reprise de Kidal par la force ????
Monsieur je sais tout voulais sa guerre … il l’a eut …. tu es content maintenant ????
Le Mali est aujourd’hui en positon de faiblesse pour négocier à cause de vat en guerre inconscient comme toi et beaucoup d’autres à la fierté mal placée !!!!
😆 😆 😆
Avec KASSIN , c’est toujours la faute aux autres !
Et c’est bien le même qui a toujours écrit qu'”ON NE NEGOCIAIT QU’EN POSITION DE FORCE ” !..(.Avec , naturellement la dose de condescendance qui sied au propos ) 😆 😆 😆
Voila le résultat ..mais ce n’est pas lui , hein !
Ils sont plein comme çà d’ailleurs …et puis KIDAL , et ses réalités , c’est tellement loin ….qu’il ne risque rien !
Au fond KASSIN , çà reste un brave type , très rationnel , sauf quand il devient irrationnel , ……..Ce qui arrive malheureusement un peu trop souvent ! 😆 😆
Conscient de l’état de déliquescence de l’Armée ? Oui puisqu’il l’affirme depuis bien longtemps .
..mais aussi remarquable au niveau de la connerie , puisque capable d’inciter , pour satisfaire son égo , d’autres à se sacrifier .
..en somme un assassin par procuration , un de ces “silencieux” dangereux, type agitateur de supporter de stades…depuis le bistrot !..changera pas ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Salut Coco tu connais bien ce couillon qui fait l’avion sur les champs élysées !!!!
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Mouais …….Dans ses tours , détours et contours ……… 😆 😆
il y a un passage très interessant dans son texte d’ailleurs …
“”””Le renseignement au service de nos opérations militaires, est resté au stade embryonnaire et ne s’occupe que honteusement des journalistes et des opposants politiques.
Myopie géostratégique tout simplement!”””””
Le pôôvre ……… il semblerait qu’il se plaigne du traitement honteux réservé par le “renseignement au service des opérations militaires” aux journalistes et aux opposants politiques …..
D’un intelligent comme lui , ce genre de réflexion ne me surprend pas d’ailleurs ….
Je me rappelle d’une réflexion que m’a faite sur le sujet justement un officier de l’ANSI Ivoirienne ,justement en mission au Mali il y a bien six ans ….( prescription …il est mort ) ….
“Tu vois ….la réalité , c’est que ces mecs , s’ils ne sont pas en vitrine …ils sont tous a vendre ” ….Bon …
On va aller a la dégradation des relations !
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
négocier en position de force c’est très vrai …
… ou avoir un plus gros zizi 😳
je crois que les deux marchent !
Moussa Mara n’a fait que son devoir,et a fait ce que tout les maliens lui demandait
cela démontre quoi?que les maliens quelque soit la situation ne cherchent que leur intérêts personnel
est ce que c’est moment déjà de se mettre dans la peau d’un perdant?rien n’est perdu!il il ne faut pas écouter les opportunistes
il faut maintenir coute que coute l’unité de nos forces.Il y a eu beaucoup d’erreur mais qui ne sont pas incorrigible.
on est obligé de nous battre pour retrouver notre honneur le plus vite possible;on a fait que le jeu de nos ennemies,pas question de négocier dans cette situation
les erreurs sont:1 on a prévu que de se battre contre le MNLA pas ses alliés
2 l’envoie des renforts n’a pas été en chaine,doit être par nécessité et continuel sans que les militaires au combats ne se sentent abandonner c’est ce qui arrive toujours a l’armées malienne au front,surtout après plus de 7heures de combat et vos ennemies reçoit de l’aide
ne résignez pas reprenez la reconquête MERCI
Continuez a crier haut et fort “vive la France vive hollande le Sauveur”. Comment peut on etre idiot au point de confondre le colon au sauveur? Vous avez fait honte a toute l’afrique.Mali abana few
Vous rigoliez quand les rebels alassne wattara et Soro soutenu par le despote compaore et la france colonial chassaient Gbagbo du pouvoir Maitenant rigolez rira bien qui rira le dernier
après avoir chasse les bandit arme a Kidal par l’arme malienne après deux 2 heures de temps les tires précis visais nos militaire pour les affaiblie que les rebelles gagnes sur terrain. le mali est derrière le bon DIEU qui tous et entant tous.
Échec sur toute la ligne IBK-Mara
Le Mali est confronté depuis l’indépendance à un problème d’irrédentisme touareg au nord de son territoire.
Ce problème est l’épine au pied des dirigeants maliens de 1960 à 2014.
Le président Modibo en moins de 2 ans a pu mettre une armée malienne sur place, remercier l’armée française et faire face à la rébellion touareg de 1963.
Moussa Traoré, malgré les carences avérées et les frasques du CMLN a dû préserver l’armée et a pu faire face à trois guerres contre la Haute Volta (1976) et le Burkina (1985) le nord en (1990).
En 1991, ATT après les événements de mars 1991, a accepté les termes des accords de Tamanrasset fraîchement signés par le régime de Moussa Traoré avec les groupes armés touareg et arabes du nord.
La différence entre la rébellion des années 1963 et celle de 1990 c’est qu’en 1990 les rebelles réclamaient du développement et non l’indépendance alors qu’en 1963 ils protestaient déjà contre leur appartenance au Mali.
Ce que le président Modibo n’a nullement toléré et qu’il a sévèrement réprimé.
La génération ATT avait donc une autre vision pour le problème du nord.
Pour faire simple, la théorie ATT se résume à dire que si nous entamons les actions de développement au nord et si nous laissons la gestion du nord aux nordistes on aura la paix avec les touareg et les arabes du nord.
Cette vision s’est matérialisée par la signature du pacte national par ATT en 1992 et qui en plus du désengagement de l’armée (déjà acté dans les accords de Tamanrasset de 1991 sous Moussa Traoré) donne un “statut particulier” aux régions du nord.
Alpha, après ATT, a accepté le principe et a travaillé avec ce pacte national en procédant à la flamme de la paix à Tombouctou et à l’intégration des ex combattants touareg et arabes dans l’armée et dans les administrations maliennes.
À l’époque Moulaye Ag Erlaf a séjourné longtemps dans les gouvernements dans années 1990 et le Haut conseil des collectivités locales a dû être confié à un nordiste jusqu’à nos jours.
Ce pacte s’il a réussi à faire taire les arabes du Mali qui ont abandonné, de fait, la lutte armée contre le Mali, il a créé dans son application la colère de certaines tribus touareg en particulier les Ifhogas d’Iyad Ag Ghali.
Pourtant ATT avait tendu la main aussi à Iyad en le nommant conseiller diplomatique mais celui s’estimait lésé par rapport Gamou un touareg de la tribu touareg des Imghas.
Les touareg de la mouvance Iyad Ag Ghali reprirent les armes en 1994 car estimant que ni les accords de Tamanrasset ni le pacte National n’ont été pleinement et fidèlement appliqué par l’état malien.
En 2006 et 2009, c’est au tour d’Ag Bahanga et ses alliés et lieutenants de reprendre les armes contre le Mali malgré le accords d’Alger de 2006 qui instituait des “unités spéciales” de sécurité dirigées par les ressortissants du nord.
Et à chaque fois c’est l’Algérie voisine qui joue la médiation.
Elle fut secondée par Kadhafi qui intervenait constamment pour calmer les ardeurs du bouillonnant Bahanga.
ATT a cherché en vain la combinaison gagnante de la paix au nord en faisant premièrement confiance aux groupes armés qui y sévissaient et qu’il invitait régulièrement à Koulouba dans une logique de dialogue dont il mettait toujours devant l’option militaire jusqu’à friser le laxisme.
Mais au cours de sa longue période de promotion du dialogue à tout prix, il a oublié que l’armée malienne périclitait.
Le laisser-aller et la facilité qui a gagné le Mali de l’ère démocratique était encore plus accentué dans l’armée ou le gain facile et les galons de complaisance ont pris le dessus sur la vocation et le sens de service des soldats et des officiers pour la nation malienne.
Du recrutement à l’avancement en grade, ce n’était plus le mérite qui prévalait dans nos centres d’instruction et dans nos garnisons.
Et comment pouvait-il en être autrement dans un pays ou la corruption, le népotisme et l’affairisme sont la règle acceptée par tous et où la l’intégrité et la rigueur au travail et dans la vie sont une anomalie décriée par tous?
L’armée malienne et plus particulièrement l’armée de l’air et l’école malienne ont été les plus grandes victimes de ce gâchis de l’ère démocratique au Mali et ça continue malheureusement même ce matin.
En 2012 avec la crise en Libye et le retour des combattants touareg de la légion islamiste de Kadhafi avec des armes lourdes, ATT a constaté l’ampleur de ce gâchis au niveau de l’armée qui ne pouvait plus, ni déloger l’Aqmi installé au nord dans les années 2003, ni faire face à la nouvelle menace des ex libyens surarmés fraîchement débarqués dans nos murs.
Sa politique de promotion du dialogue aveugle avait échoué et l’armée s’était endormit dans un laisser aller de plus de 20 ans.
Il y avait plus de généraux et de colonels de complaisance que de soldats capables de combattre dans le désert par 50 degré à l’ombre et au milieu des tempêtes de sable.
En 2012, les ex combattants touareg intégrés dans l’armée et dans les administrations maliennes désertaient en masse pour rejoindre le Mnla car ils sentaient la puissance des armes et des convictions pour une éventuelles indépendance du nord rêvée depuis 1958 par les touareg du Soudan français.
Il était évident, en janvier 2012 qu’ATT avait échoué et que le pire est qu’il n’y avait plus d’armée pour parer à une autre solution alternative à sa théorie du dialogue à tout prix.
D’où la guerre de l’évitement inventée par ses généraux Kalifa Keita et Gabriel Poudiougou dans leur fameux “repli tactique” à répétition de 2012.
Ces replis tactiques en séries conduisirent, à la perte des villes maliennes frontières comme Ménaka, Andaraboukane, Leré et aux massacres d’Aguelhoc, ainsi qu’à la colère des femmes du camp de Kati, à la perte du camp d’Amachach de Tessalit, et enfin au coup d’état du 22 mars 2012.
L’ambiguïté de la politique de dialogue d’ATT et la l’affaiblissement successif de l’armée malienne présentée au peuple malien comme une vraie armée alors qu’elle ne l’était plus et qu’elle était maintenant très connue de l’intérieur par les ex combattants touareg intégrés et déserteurs, a conduit a jeté du discrédit sur la gestion de la crise par ATT qui a été vu comme un “chef rebelle”.
Ce qui lui a été dit en face jusqu’à Koulouba par une femme du camp Soundiata, blessée dans son âme.
Son régime qui défiait en outre la France sur d’autres sujets (immigration choisie, crise Libyenne et croisade contre Kadhafi, installation de bases militaires françaises au Mali, lutte contre l’Aqmi, etc) n’était plus en bon termes avec le régime de Sarkozy à Paris.
Donc il prenait en pleine visage en 2012, l’offensive médiatique et diplomatique française en faveur des touareg du Mnla.
Il n’a pas n’ont plus eu de soutien auprès de la classe politique et de la société civile maliennes qui découvraient stupéfaites une armée malienne réduite à fuir les combats à chaque occasion et toute honte bue.
Et pire, ATT et ses généraux ont laissé penser aussi être surpris dans les massacres d’Aguelhoc et dans la perte de Tessalit en janvier et mars 2012.
Quand intervient le coup d’état des Sanogo et compagnie en mars 2012, l’armée fuit les trois régions du nord en moins de 10 jours et se replie à Sevaré et à Diabali qui devenaient nos fronts avancés jusqu’à janvier 2013 avec la percée des islamistes sur Konna et l’intervention militaire française.
Dioncounda Traoré, en président de la transition politique, tabassé et affaibli devant une junte militaire envahissante qui se prenait pour “réformatrice” à Kati, n’avait pas le choix quand il appelait Hollande le 10 janvier 2013.
Après 8 mois d’attente et de préparation, l’armée malienne n’a pas été capable une fois de plus de vaincre l’ennemi à Konna.
Mopti et Sevaré était fortement menacés dans la soirée de ce 10 janvier 2013.
Et pourtant les Généraux Dahirou et Yamoussa Camara disaient que l’armée était fin prête et qu’elle n’entendait que l’ordre des politiques pour en découdre avec les islamistes passés maîtres dans l’art de couper les mains et les pieds à Gao.
Depuis ce jour, nous savions tous que le problème de commandement dans l’armée malienne révélé du temps d’ATT, subsistait encore pendant la transition politique sous Dioncounda malgré les pantalonnades de la soldatesque ivrogne de Kati.
Ce que disent nos officiers supérieurs est loin d’être la réalité du front et loin d’être la réalité de nos troupes dans les garnisons et sur les champs de bataille.
Et partant de là, la restructuration de l’armée ne saurait se limiter à la formation de quelques bataillons par la mission de formation de l’union européenne et à l’acquisition de quelques matériels de guerre tant que la gestion même de l’armée ne change pas radicalement.
Il fallait un travail plus en profondeur sur cette armée malienne.
Une refonte totale de la chaîne de commandement était indispensable mais elle n’a pas été faite.
Le régime IBK s’est limité à changer les hommes du commandement sans changer les mauvaises habitudes dans l’armée.
Ce qui est une légèreté grave quand on privilégie l’option militaire dans une crise sécuritaire.
Il n’y a eu aucune politique efficace de réarmement moral et psychologique des troupes après les traumatismes de 2012 et 2013.
Cela est tout simplement scandaleux dans le contexte précis du Mali et compte tenu du défi qui se dresse devant nous.
Les soldats sont presque livrés à leur pauvre sort quand IBK voyage presque inutilement dans toutes les capitales du monde.
Cela est immoral et d’une irresponsabilité sans commune mesure.
Il n’y a pas eu de discours de galvanisation ni d’entraînement mental des soldats de la première ligne du front à Kidal qui subissaient déjà tous les harcèlements des voyous armés du Mnla non cantonnés et non désarmés comme le voulait l’accord préliminaire de Ouaga du 18 juin 2013.
IBK a préféré un avion pour lui au lieu de doter l’armée de moyens aériens pour lui faciliter le contrôle du ciel et une suprématie au sol.
C’est encore du domaine de l’insouciance caractérisée au service d’une jouissance malsaine et non autre chose.
Le renseignement au service de nos opérations militaires, est resté au stade embryonnaire et ne s’occupe que honteusement des journalistes et des opposants politiques.
Myopie géostratégique tout simplement!
Aucune politique de prise de connaissance sérieuse des points forts et des points faibles des groupes armées ennemis n’a été élaborée pour contrôler leurs mouvements et leurs approvisionnements (munitions, carburants, nourriture, eau, etc).
Donc aucune visibilité sur l’ennemi et sur la meilleure stratégie de lui combattre militairement.
L’amateurisme pur jus!
Pas de moral pour les troupes, pas de commandement à la hauteur du défi sécuritaire, pas de renseignement performant, et aucune vision stratégique dans la définition des combats victorieux, voilà mes chers amis les échecs d’IBK dans cette crise de Kidal.
Il y a eu de la clémence voire des complicités françaises et onusiennes certes au nord du Mali, mais si IBK ne s’était pas versé dans la mégalomanie et l’amateurisme agaçant, il allait facilement gagner les batailles de Kidal.
Il les a perdu parce qu’il n’a jamais eu de vision claire ni de stratégie efficace pour Kidal.
Il les a perdu parce que son nouveau premier menteur, oh pardon premier ministre, Moro Mara est plus un bonimenteur assoiffé de reconnaissance politique stratosphérique qu’un vrai travailleur et un vrai leader d’un pays en crise.
Voilà pourquoi nous avons perdu Kidal et voilà pourquoi nous sommes désormais à la merci d’Ould Abdel Aziz de la Mauritanie voisine comme nous l’avons déjà été de Blaise Compaoré du Burkina voisin.
Et cette fois-ci, ça ne sent pas bon du tout!
Donc que Mora Mara s’attelle au travail avec rigueur pour remettre sur pied très rapidement cette armée malienne au lieu de le vilipender au travers de cette défaite de Kidal qui est loin d’être une perte de la guerre qui d’ailleurs n’est certainement pas terminée.
Car si l’armée avait pu conquérir Kidal cette semaine, il serait certainement le premier à y parader façon “Youri Yari” de Kôrè Dougakôrô et sans turban, s’il vous plait mes chers amis.
Wa salam
GOD BLESS YOU!
AND MAY GOD BLESS MALI!
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