Le conseil des ministres d’avant-hier a procédé à la nomination de Ousmane Oumarou SIDIBE, secrétaire politique du parti du chef de file de l’opposition, à la présidence de la commission justice, vérité et réconciliation. Si la nomination de cet opposant bon teint ne souffre d’aucune contestation à cause de ses capacités intellectuelles (docteur en droit, option droit social décroché à l’université de Bordeaux I), elle montre les prémices d’une stratégie politico- politicienne d’un président en quête de repères. Cette nomination qui a été précédée par l’institutionnalisation du statut du chef de file de l’opposition (revenu à Soumaila CISSE), est salutaire dans un sens et pourra s’expliquer comme une volonté manifeste du président IBK à refuser toute exclusion. Cette opération de charme étant la tactique préférée de l’ancien président Alpha O KONARE, son PM d’alors ne pouvait qu’être à son école. Pour confirmer cette nouvelle stratégie du pouvoir en place, des sources généralement bien introduites, parlent de la nomination de 2 opposants dans le nouveau gouvernement. Il s’agirait d’un membre du directoire de l’URD et un autre des FARE qui n’ont pas la caution de leurs partis respectifs, mais qui ne seraient pas prêts à cracher sur les portefeuilles ministériels. Rappelons que lors de ses deux quinquennats à la tête du pays, Alpha Oumar KONARE avait dans chaque remaniement ministériel, créé des scissions dans les rangs de ses opposants en débauchant certains de leurs cadres. Si cette méthode, contribue à fragiliser l’opposition, elle est loin de résoudre les problèmes auxquels le pays est confronté.
Lamine DIALLO
l’arbre ne doit pas cacher la foret.Si cette nomination est un signe d’ouverture;je dirai que c’est plutot un aveu d’impuissance qu’une strategie politique et elle vient après la promotion de tous les proches parents de sa femme et de tous les membres du RPM qui savent lire et ecrire.je suis desolé mais il faut reconnaitre que mon president n’a aucune vision politique et le piliotage à vue reste la seule issue pour boucler son mandat.
MUGABE, laisse les détracteurs du président IBK faire leur travail. Ils voient le mal partout. Moi je pense que l’injure est le propre de l’ignorant. Ils ne cernent pas le mode de fonctionnement du patron de KOULOUBA. C’est la raison pour laquelle ils divaguent. On ne peut malheureusement les enlever ce qu’ils ont dans le sang : la Tare……………
………Le scientifique, je ne te savais pas aussi bête et mal engagé. Ton argumentation tiens sur du ridicule, comme jamais on en voit en ce moment. Tu insultes juste pour exister. L’injure est le propre des imbéciles. Tu es d’une imbécilité qui ne dit pas son nom. IBK peut être ton père. Tu dois avoir reçu une éducation par correspondance.
Regarder le comment il est moche avec sa bouche d’ivrogne.
NI I SARA MALIKO LA, I SARA FOU.
SI TU MEURS POUR LE MALI , TU ES MORTS POUR ZERO.
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Gloire perpetuelle à KLELA BABA. Que soit benit son nom, sa vie, sa source et sa lumière.
Vive le GANJISME, vive la science universelle !
IL est libre de choisir la personne qu’il veut dans son gouvernement et il n’est pas en train d’imiter Alpha
La nomination de M. SIDIBE est une bonne chose pour le gouvernement, bien fait IBK
IBK sait ce qui est bien pour son gouvernement ce n’est pas un débitant dans la politique, il sait qui choisi et qui ne pas choisi
Je ne pense pas qu’il se fie à Alpha Oumar pour gérer son gouvernement tout le monde à sa manière de voir les choses
Ceux qui pensent qu’il gouverne mal le Mali doivent savoir que chacun a une stratégie pour gérer son pouvoir. Et c’est impossible de faire tout ce que les gens veulent
Je pense bien qu’il mérite bien la place qui l’a été confié et qu’il fera bien son possible pour le bien de notre pays
Le CONSENSUS est de retour si l’opposition ne fait pas attention. Ibk veut partager le bilan avec l’ opposition comme ATT l’avait fait avec toute la classe politique à son temps.
IBK n’a pas besoin de créer une scission au sein de l’opposition, cela existe déjà entre les dirigeants des partis de l’opposition quand on voit Tièbilé se prendre pour le leader du groupe et Soumaïla qui vient réclamer un chef de cabinet. L’opposition rassemble des dirigeants qui n’ont pas les mêmes idées politiques, ils vont tout bonnement en rang dispersé.
IBK ne marche sur la trace de personne à part lui-même, il à droit de nommer qui il veut dans son gouvernement !!! Même l’opposition à le même droit de prendre part à la gestion du pays !!!
L’opposition est depuis le début divisé et ce n’est pas cause des nominations faites par IBK mais parce que chacun veut en tirer le maximum de profit. Pour couronner le tout, Mr. Le disparu de Ali N. DIALLO qui a été président de l’Assemblée dans le temps surgit pour annoncer la création d’un front de gauche dans l’opposition, c’est comme creuser un puits dans un autre puits. Très étonnant encore, ce front n’inclut pas le parti SADI qui au vu et su de tous les maliens le plus grand parti opposant de la scène politique du Mali. Il y a de la rancune et de l’opposition dans l’opposition donc ce n’est pas la peine pour le régime actuel de la déstabiliser, elle s’effondra toute seule.
je regrette de rappeler que le SADI n’est pas de l’opposition.En plus ses dirigeants se sont discredités en prenant part au coup d’etat et à la gabegie folle de Aya et consort.Abas le SADI et vive la democratie meme si elle fonctionne mal chez nous au Mali.
Alpha n’a rien à voir ou dire à propos du Mali, il a pris les maliens pour des chiffons déjà utilisés.
C’est très décevant de la part d’un ancien président du Mali, de ne pas intervenir ne serait-ce qu’une seule fois pour proposer ou apporter une contribution à la sortie de crise.
IBK ne doit jamais prendre exemple sur lui, et que les relations restent telles qu’elles sont parce que Alpha a fini avec le Mali, après nous avoir volé des milliards, il nous laisse à notre propre sort.
Son attitude est compréhensive. Avec un peuple manipulé par de pseudo-religieux et de politiciens qui mentent sans vergogne.
Tous les partis de l’opposition veulent seulement se rapprocher du pouvoir central, sinon avec une seule et même idéologie commune, la nomination d’un cadre ne peut pas disloquer le parti encore moins pousser les leaders à abandonner leurs objectifs initiaux. Mais celui qui se voit dans le gouvernement ou près du président, cette personne change automatiquement de camp, tous ces opposants sont que des égarés qui ne savent pas quoi faire.
Ousmane Oumarou Diallo est un responsable compétent. Ce journaliste est un ingrat, un esprit malintentionné. Sinon pourquoi assimiler la nomination de Mr Diallo au fait qu’IBK est en train de suivre les traces d’Alpha Oumar Konaré. 😛 😛 😆 😆
L’heure est à la conquête de la valorisation économique, culturelle et sociale du Mali. Cela ne se réalisera que lorsqu’on a des hommes forts dans notre gouvernement. Le président et son PM doivent tout faire pour ne pas engager des faibles. Tous doivent savoir que leur mission est bien de sauver le Mali et faire de sorte que le président tienne ses promesses prises avant la fin de son quinquennat. C’est dans ce dynamisme que le président est en train de procéder. Pour atteindre cet objectif, il a forcément besoin des hommes d’adverse pour savoir exactement leur contribution pour la bonne marche du pouvoir.
Je ne pense qu’IBK soit en train de suivre les pas d’un certain Alpha Oumar Konaré. Ce dernier montre l’image d’un traitre pour l’armée malienne et pour moi, personnellement. Aucun président soucieux de la défense et de la sécurité de sa patrie n’allait signer un accord de non achat d’armement pendant dix ans. 😀 😀 😀
Cette nomination ne peut susciter aucune contestation. Le Monsieur est doué et crédible. Il faut reconnaitre aussi qu’on quête une chose qu’on ne dispose pas. Le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta a déjà un repère. Ce n’est pas cette nomination qui lui fera trouver un repère. 😆 😆 😆 😛 😛
Ibrahim Boubacar Keïta est un vrai patriote. Sa gouvernance est différente de celle de ses prédécesseurs. Car elle implique tous les citoyens dans la gestion. Après avoir instituer le poste de chef de file de l’opposition politique. Il vient de nommer un militant de l’Urd à la présidence de la commission justice, vérité et réconciliation. 😀 😀 😀 😛 😛 😛
Merci ibk pour tout ce que vous faites pour ce pays. Que Dieu vous protège et garde aussi longtemps possible.
Le Mali est un grand pays tant sur son étendu que sur la capacité de ses hommes. Battons-nous pour sauvegarder cette riche culture qui a longtemps existé chez nous depuis nos ancêtres. Aucun homme ne doit venir nous retirer notre dignité.
IBK est venu avec ce slogan « pour l’honneur et la dignité du Mali et pour le bonheur des maliens ». En tant qu’attaché à nos valeurs cultures, à notre dignité et à notre bonheur ; je soutiens vivement le président pour qu’il me retourne ces valeurs si longtemps bafouées par les crises terroristes et islamistes.
Lamine DIALLO IBK est un président qui veut l’union de tous les fils du Mali et c’est l’un des plus grands objectifs de son mandat. Il faut rassembler pour mieux gouverner 😀 😀 😀 Ne soit pas bête pour comprendre cela 😆 😆 Mais je tl trouve déjà 😆 😆 😆 AOK est un diplomate qui ne sert à rien pour nous, parce que depuis qu’il a quitté le pouvoir il sert les autres pays d’Afrique mais non le Mali.
Ibk, à la différence d’Alpha Oumar Konaré, est un homme politique fort stratège qui accepte même de travailler avec son adversaire politique, pour ne pas dire avec son ennemi. C’est dans la diversité dans l’union que les idées peuvent se conjuguer afin de résoudre un problème délicat du pays. Donc je trouve sa politique très constructive.
Il n’y a pas un modèle de gouvernance ou système unique à suivre pour pouvoir conduire bonnement un pays. Chaque président use de ses compétences et de ses stratégies pour diligenter les affaires publiques dans les meilleures conditions. Certes, il peut lui arriver de se munir de plusieurs armes pour afin de vaincre l’adversité. Pour cela, je trouve son système très bon et constructif surtout s’il parvient de s’éloigner de tous ses proches nuisibles.
UN EXEMPLE FORT INSPIRATEUR
Peut-on se dire patriote sans être d’extrême-droite?
Autrefois considéré comme une vertu et un devoir républicain, le patriotisme est devenu une notion suspecte. L’histoire en a montré les dangers. Y a-t-il encore une manière acceptable de se dire patriote? Quel sens cela a-t-il à l’heure européenne?
Personne ne songerait à reprocher à un Français ou à un Espagnol d’aimer son pays et d’en être fier. Mais chacun sent bien que c’est tout autre chose d’affirmer: «Français d’abord !». Aimer la terre où l’on est né, ce n’est pas en faire un enclos réservé. L’histoire des deux derniers siècles nous a malheureusement montré comment l’amour de la patrie, devenu patriotisme, pouvait se transformer en nationalisme et nous savons les catastrophes que cette exacerbation du «nous» a entraînées pour l’Europe. C’est sans doute l’une des raisons qui font que l’expression même de patriote n’est plus guère employée de nos jours quand elle n’est pas tout simplement ignorée par les plus jeunes. Et la violence commençant toujours à s’exprimer par les mots, c’est une exigence éthique de ne pas ignorer les braises qui demeurent sous les cendres et de dénoncer avec force tout ce qui témoigne d’une vision ethnique de la patrie qu’illustrent des slogans comme «La France aux Français». Il y a une manière de se dire patriote qui exprime un refus de l’autre et fait du voisin un ennemi.
Mais alors, comment parler de cet attachement vital que tout citoyen porte à sa terre d’élection et qu’exprimait si lumineusement Zweig quand il écrivait, contraint de quitter l’Autriche parce qu’il était juif, «le jour où mon passeport m’a été retiré, j’ai découvert, à 58 ans, qu’en perdant sa patrie on perd plus qu’un coin délimité par des frontières» (1)? Comment en parler pour éviter que les nationalistes de tout poil confisquent à leur profit (électoral) ce sentiment d’appartenance en donnant l’impression qu’ils sont les seuls à y croire et à le défendre?
Ce que nous avons en commun
Une réponse peut être trouvée dans un courriel reçu le 27 juillet dernier de Nathalie, l’une de mes étudiantes prise au piège de la guerre au Liban. Evoquant 40 heures de voyage aux allures d’exode, elle concluait en ces termes : «je tiens à dire que l’organisation et l’encadrement assuré par les diplomates, les militaires et la Croix rouge ont été extraordinaires. On est fier et reconnaissant d’être français» (2). Ce cri du coeur donne à penser. Etre fier de son appartenance nationale, n’est-ce pas la définition même du patriote («celui qui aime sa patrie», dit le Littré)? Et pourtant la patrie de Nathalie au sens étymologique du terme («la terre de ses pères») n’est pas la France mais le Liban où ses parents sont nés. Dès lors, en se disant fière d’être française, elle ne met pas en avant son identité – de sang comme de nom, elle demeure profondément attachée à la terre de ses grand-parents – mais pointe sur ce qui justifie sa reconnaissance à l’égard de sa seconde patrie.
La France a accueilli il y a trente ans ses parents menacés dans leur chair par une guerre civile, la considère comme française à part entière et a été capable de la protéger en l’exfiltrant du guêpier où elle était prisonnière. Ce qui constitue sa fierté, c’est que la France soit hospitalière, généreuse et efficace. En exprimant ainsi qu’elle est ma com-patriote, Nathalie dit quelque chose de ce qui nous rassemble dans une même fierté. Ce que nous avons en commun, ce n’est pas le sang, c’est que nous nous sentons en dette vis-à-vis d’un pays où nous n’avons pas choisi de naître – elle est née en France du fait d’un exode et j’aurais pu naître au Liban où mes propres parents sont partis vivre un an après ma naissance ! – mais que nous aimons l’un et l’autre pour tout ce qu’il nous a transmis.
La fierté doit être empreinte de lucidité
Etre patriote, ce n’est pas prétendre que la France est meilleure ou plus forte que les autres mais affirmer une manière de vivre ensemble. On est fier de son pays parce qu’il sait s’ouvrir à autrui, s’adapter aux changements du monde, susciter la confiance de ceux qui y vivent. Il ne s’agit pas seulement d’affirmer l’attachement à une mémoire et à une culture communes mais de reconnaître dans ce que nous sommes ou dans ce que nous avons fait ensemble ce qui a valeur d’exemple. De même qu’un père et une mère sont fiers de leurs enfants s’ils les ont conduits à la liberté, de même un citoyen éprouve de la fierté si son pays est reconnu. Et ce qui fonde sa reconnaissance par les autres, c’est la stabilité de ses institutions, la qualité du système d’enseignement, la paix sociale qui y règne, la force entraînante de sa diplomatie, les performances de l’économie, l’efficacité des armées.
L’exemple vient toujours davantage de l’influence que l’on exerce que de la puissance qu’on veut imposer. Et si la fierté peut se nourrir du sentiment que, comme Français, nous sommes dépositaires d’un héritage, elle n’a de sens que si elle crée l’obligation de transmettre le trésor reçu de ceux qui nous ont précédés. La fierté n’est un sentiment juste que si elle est empreinte de lucidité. De même qu’il n’y a pas d’estime de soi possible sans reconnaissance de ses faiblesses, de même une histoire commune ne peut constituer un appui que si elle n’ignore pas, à côté des heures de gloire, les sombres temps et les injustices commises. En ce sens, être patriote est à l’extrême opposé de ce que le nationalisme a produit de plus pervers quand des dirigeants conduisaient des peuples à s’enorgueillir de ce qu’ils commettaient de plus lâche ou de plus méprisable au nom de la nation ou de la race.
A l’heure de l’Europe
C’est à l’aune de cette redoutable méprise qu’il faut se demander ce que peut vouloir dire être patriote à l’heure de l’Union européenne. Nous vivons aujourd’hui grâce à cette construction ambitieuse mais terriblement fragile (les poisons nationalistes ne meurent jamais) une extension inouïe de l’espace où l’on se sent chez soi. Nous découvrons des traditions communes – les grandes libertés publiques, l’autonomie des collectivités locales, les luttes sociales – qui sont autant d’héritages à préserver. Car ce qui fonde une vie et un destin communs, ce n’est pas une identité conçue comme des propriétés fermées les unes aux autres, c’est le partage d’un bien commun qui nous met en dette les uns vis-à-vis des autres. Communauté vient du latin munus qui signifie don, partage. Partager pour ne plus s’affronter, partager pour créer ensemble, partager pour résister à la volonté dominatrice des plus puissants. L’Europe nous incite à cultiver autrement la mémoire et l’héritage reçus Non comme quelque chose que chaque nation aurait en propre mais comme ce qui est le fruit de nos communes inventions et dont témoignent parlements, universités et cathédrales. Se dire européen, ce n’est pas cesser de se dire français, c’est croire que l’avenir de la France est l’Europe. «L’écho est mon voisin», écrivait René Char. S’il est signe de profondeur et d’éloignement, l’écho indique aussi un rapprochement, une résonance du familier dans le lointain. Soyons à l’écoute de cet écho qui dans son va-et-vient nous rapproche des autres sans nous confondre.
Un patriote, c’est croire au devenir de son pays.
LE PATRIOTE, C’EST UNE QUESTION DE VIE, D’AMOUR ET DE FOI.
Monsieur le journaliste je doute si tu connais la définition du mot démocratie on le définit comme le pouvoir du peuple et pour le peuple. C’est à dire la participation de l’ensemble des citoyens du pays dans la gestion des affaires du pays par direct ou soit par un intermédiaire qui sera nos élus. Si IBK choisi un membre de l’opposition il n’a fait que respecter la forme démocratique de notre constitution.
Si c’est à travers les compétences qu’Ousmane Oumarou Diallo a été nommé, c’est une bonne chose, parce que cela prouve la volonté du chef de l’Etat à ne faire appel qu’aux hommes compétents. 😛 😛 😛 😀 😀
Lamine DIALLO un journaliste qui n’a pas un bon esprit d’analyse. Dans les tactiques du vieux sages toi tu n’as pas eu d’autres leçons que de le comparer à ALPHA. Est ce qu’on peut gouverner un pays démocratique sans la contribution de l’opposition et sans la participation de tous les fils du pays ❓ ❓ ❓
Il n’y a pas de comparaison entre la gouvernance d’IBK et celle d’AOK. On sait tous que ces deux sont opposés comme le cas du poisson séché et la mer. Si ce n’est pas Ibk, qui a pu combattre la rébellion dans notre pays ? Qu’on nous dise exactement qui a pu amener une telle paix, stabilité au Mali.
Si AOK est le père de la démocratie IBK est le père d’un Mali nouveau, véritablement indépendant et véritablement souverain.
Tous les citoyens maliens ont droit au poste de gouvernance dans le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta. Il suffit seulement que la personne remplisse certaines conditions de compétence. 😛 😛 😀 😀 😀
Chaque président peut s’inspirer de la méthode de ses prédécesseurs pour créer son propre système politique. Mais cela ne veut pas dire qu’il est en train de faire une copie collée.
Ibk est le seul à juger ce qui est bon ou mauvais pour le bon fonctionnement de son pouvoir. Qu’il amène ceci ou cela et qu’il chasse telle ou telle personne n’engage que lui et son gouvernement. Je ne vois pas de quoi polémiquer sur des sujets aussi banals.
Vous parlez de quel débauchage, Mr le journaliste ? Croyez-vous qu’Ousmane Oumarou Diallo est un incapable comme Soumaïla Cissé. IBK n’est pas du genre a nié les capacités de faire d’une personne ? Non, il est reconnaissant envers le travail bien fait. 😀 😀 😀
IBK est un grand stratège et démocrate, ne le comparer pas à OAK qui est là depuis quand le pays est dans la crise et il n’a fait point de geste pour montrer qu’il aime ce pauvre pays. IBK est plus stratège qu’AOK et il aime son pays plus que lui aussi.
AOK a fait sa part et il est parti, maintenant c’est IBK qui est à la commande ne crée pas une polémique monsieur le journaliste. Est-ce c’est condamné de travailler avec les opposants ou bien ce ne sont pas des citoyens comme les membres du parti présidentiel.
Monsieur le journaliste arrête de nous distraire avec tes sottises, même si IBK procède ainsi, je pense que cela prouve son démocratisme et nationalisme. C’est un président rassembleur et patriotique.
Ibrahim Boubacar Keïta n’est pas fou pour suivre les pas d’Alpha Oumar Konaré. Celui qui a enterré notre armée en signant en 1996 la flamme de la paix. Celle-ci disposait que le Mali ne fera d’achats d’armements pendant dix (10) bonne années. Plébiscité à plus de 77% des voix. Le premier président démocratiquement élu au Mali en 1992, il n’a osé dire un seul mot depuis la résurrection de la rébellion de 1962-1963 dont il a eu, lui aussi, à résoudre avec la signature du Pacte National. Et pourtant il devrait être le premier à se prononcer là-dessus. IBK n’est pas à comparer à AOK. Ce n’est pas cette nomination d’Ousmane Oumarou Sidibé qui lui met dans le même lot qu’Alpha, non. IBK n’est pas du genre à mettre seulement ses proches au pouvoir, malgré les critiques de certains malheureux qui n’ont pas eu de place. 😀 😀 😀
IBK est un fin stratège, il ne suit le pas de personne. IBK est un brillant leader et un très bob manager, il sait ce qu’il fait. Faisons lui confiance et soutenons, il est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
IBK a posé un grand pas dans l’évolution de la démocratie malienne. Il est à féliciter.
IBK est un grand homme, responsable, soucieux du bienêtre des maliens. Par cet acte, il a prouvé qu’il n’est pas de mauvaise foi, qu’il est à l’écoute de tous les maliens.
IBK est à féliciter pour cet acte de grand leader. Cet acte devrait être applaudit et non critiquer.
IBK a posé un acte responsable, si l’opposition malienne est vraiment responsable, ce changement ne jouera sur aucun de leurs convictions, si cela arrivait, il serait donc clair que les opposants ne sont en réalité que des opportunistes.
Un pays, pour que sa démocratie soit vivace, a besoin d’une opposition forte, une opposition responsable. Et je pense que la reconnaissance politique et juridique du statut de l’opposition lui facilitera la tâche dans sa mission. En plus, la nomination de l’opposition dans le gouvernement prouve qu’ils sont écoutés par le gouvernement.
IBK est en train de poser un acte noble et responsable en reconnaissant politiquement l’opposition et en fessant des nominations dans leurs camps et en les associant à la gouvernance. C’est un acte a félicité, cela prouve que le Président est à l’écoute de tout le monde.
Cher journaliste, IBK n’est aucunement en train de suivre les pas d’AOK. Sous ALPHA, l’opposition n’avait pas de statut. C’est sous IBK que l’opposition a été politiquement
reconnue, juridiquement protégée et a également des droits et devoirs. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Ces nominations prouvent vraiment que les libertés et la démocratie sont garanties sous le régime d’Ibrahim Boubacar Kéita. Cela prouve aussi que la gouvernance d’IBK est transparente et qu’il est sur le droit chemin. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
IBK veut que l’opposition aussi, qui se dit « éclaireur de la population » soit associée à toutes les étapes de la gouvernance. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
IBK veut associer tout le monde à la gouvernance, ce n’ai pas seulement l’opposition qui est prévu dans le remaniement, mais aussi les membres de la CMA, pour dire qu’IBK veut juste faire la lumière dans sa gouvernance.
😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛
Pour réussir dans sa mission, IBK doit casser sa tirelire-le RPM et alliés-pour s’offrir des cadres intègres et compétents dans l’Opposition le tout en évitant “la lune de miel” d’un autre consensus, un cheval à abattre, qui a lamentablement échoué dans le passé. 🙄
INTELENCE 😀 😀 😀 Soit tranquille, IBK est l’homme le plus stratège de la scène politique malienne. Il est catégoriquement différent de AOK. ALPHA est un cadre qui ne se souci pas de notre pays, alors qu’il est sensé comme l’un des plus grands émissaires du continent, mais notre pays va passer presque quatre ans dans la crise mais AOK n’a placé un mot visant à résoudre notre crise.
Voyons … ! N’allons pas jusqu’à denier à LADJI le droit d’exploiter les faiblesses de ses adversaires. Ils sont opportunistes et il le sait, alors laissons lui les appâter et les mettre hors d’état de nuire, ce serait à son honneur. On peut tout lui reprocher sauf le fait que l’opposition n’a pas d’hommes de principes. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
Il traine déjà assez de casseroles pour qu’on lui impute aussi la faute des autres, ça tendrait vers la caricature là. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
YUGU fermes ton cul, IBK est un démocrate et il est venu pour rassembler tous les fils du Mali. Mais vous les idiots vous voyez toutes les choses en mal, ne soyez pas pessimistes.
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