Les élections en Afrique notamment francophone restent sujettes à des équations à plusieurs inconnus. Malgré l’insistance dans ces dernières années des autorités ou hommes politiques français à se dérober et à vouloir nous faire croire que la françafrique est un mauvais souvenir. Surprenant président français, Hollande est aujourd’hui confronté à une pléiade de contestations jusqu’à ce qu’on lui demande de démissionner. Egalement arrivé à la tête du Mali par la grande manœuvre, IBK divague jusqu’à mettre les conseillers techniques à contribution à ficeler des programmes d’actions.
Depuis un certain temps, François Hollande, le président français rendu populaire par la magnanimité d’Allassane Ouattara et ses pairs de la CEDEAO, est en train de dégringoler en matière de popularité. Au même moment, imposé par la magie des faits et actes, le président malien Ibrahim Boubacar Kéïta patauge dans les affaires. Soit, il pleure ou fait de fausses promesses au peuple.
De la France au Mali, il y a deux présidents de l’internationaliste socialiste. Sans être des incapables, ils pataugent dans les affaires de leur état respectif. N’échappant désormais plus aux courroux de leurs administrés.
François Hollande a aujourd’hui toutes les peines à pouvoir convaincre ses patriotes, tellement ils ne le croient et ne lui font plus confiance. Car, la France a tendance à devenir un état voyou où tout est négatif. Face à cette situation dramatique, certains français ont, il y a quelques jours, demandé purement et simplement sa démission. Et pour confirmer cette descente en enfer, sa cote de popularité a atteint son paroxysme. Au même moment, s’estimant plébisciter par le peuple malien, IBK ou le kanfilatigi n’a que ses yeux pour pleurer. N’ayant tracé aucun sillon pour le développement ou la sortie de crise du Mali, IBK est en train de faire un véritable pilotage à vue. Jusqu’à ce qu’aujourd’hui, même ceux qui s’estiment être ses proches sont déchantés. Ils ne savent alors plus à quel saint se confier. Le saint des saints ayant décidé depuis de se mettre à l’écart de certaines considérations en ne s’occupant que de ses oignons. Même s’il se bat pour une majorité à l’honneur du roi Behanzin de Sébénicoro.
Quoi qu’il en soit, la gestion de ces deux présidents à l’image d’autres sur le continent prouve à suffisance que l’international socialiste est à son déclin. Et qu’aucun de ces adeptes n’arrivent à lui seul à prendre une décision digne de ce nom. Ils sont tous téléguidés. C’est pourquoi notre nouveau locataire de la maison Mali patauge, patauge et si rien n’est fait, le Mali va à vau-l’eau. Au lieu qu’il se relève, il croupisse. Pour alors éviter une descente en enfer pour notre pays, il faut certainement une cohabitation. Car, il faut le dire, c’est le malheur et le déshonneur des Maliens qui se profilent à l’horizon. Que Dieu sauve donc le Mali !
Boubacar DABO
qui s’oocupe du maliba meme?a part hollande qui vous calcule encore :?,c’est la syrie qui est important ya bon wari labas hein,c’est fini pour vous,il parait que françois hollade vous a liberé oooooooh!,vous avez fait election donc abana,hi!hi!hi!,ou bien? il reste encore des dresseurs de chameaux? fallait pas les laisser dans le desert pendant 60ans,ils ont la maitrise du desert et des grotte hi!hi!hi!,vous vous etes fait avoir on dirait?yako
DES NOUVELLES DE ONATE
Notre ami Onate m’a transmis par mail le courrier ci-dessous, avec pour mission de vous l’adresser sur Maliweb; Je vous en souhaite bonne lecture!
J’ai eu la chance de naître africain et d’en être fier.
J’ai eu la chance de grandir dans une famille qui respectait l’humain sans distinction de couleur de peau, de croyances, de cultures. Chez nous, un enfant blanc ne donnait pas d’ordre à une femme de ménage noire, car il était enfant et elle adulte.
Chez moi, un chef de famille commence par saluer les personnes qui vivent sous son toit, à commencer par ceux de condition modeste, avant de songer à donner un ordre à qui que ce soi.
J’ai eu la chance de côtoyer et d’être initié par des Africains qui n’avaient pas de complexe d’infériorité ou de supériorité. Ils existaient, ils avaient une Histoire, une Culture, étaient ouverts aux autres et à la différence, mais ils existaient d’abord par eux-mêmes, donc ils pouvaient apprendre.
J’ai accepté l’offre, très rarement accordée, d’être initié par celui qui devait être le dernier Grand Maître de nos traditions ancestrales pour l’Afrique de l’Ouest. Initié comme un Africain, pas comme un ethnologue curieux.
Aujourd’hui homme d’affaires « reconnu » en Occident, je suis pleinement Africain, Initié comme peu d’Africains noirs le sont. Je pratique toujours et dirige régulièrement des cérémonies traditionnelles. Pour les Initiés, je porte la peau, pour les Grands Initiés, je préside les cérémonies du « bois sacré », là où on ne porte plus la peau, ceux qui connaissent comprendront.
Totalement « moderne » et totalement respectueux de nos cultures ancestrales, j’ai toujours trouvé naturel d’avoir à défendre notre espace culturel : l’Afrique.
Au niveau des simples citoyens, comme au niveau politique et business international, je défends l’Afrique, et si possible pas comme le blanc « venant de France » qui ne nous comprend pas vraiment et qui donne dans la démagogie en nous qualifiant de toutes les qualités du monde et en excusant tous nos défauts sous prétexte de colonisation, avant de donner dans le reproche et de finir par dire que nous sommes des « arriérés incurables » à mis chemin entre l’animal et l’enfant immature. Je ne défends pas non plus l’Afrique comme le fait souvent beaucoup d’entre nous, en déclarant que nos seuls défauts viennent de la colonisation, comme si les Français expliquaient aujourd’hui leurs tares et leur incapacité à se regarder en face par le fait qu’ils ont été envahis par les Allemands de 1940, les Anglais quelques siècles avant, les Romains ou les Visigots !
J’essaie juste de rappeler que nous avons une histoire, des cultures, des traditions. Que l’Afrique est un espace de complexité et non un état binaire comme aujourd’hui en Occident. Que nous allons entrer dans la boucle de l’espace mondialisé à notre manière et que l’Afrique surprendra tout le monde (Voir l’industrialisation en cours qui cette fois se fait sans les Occidentaux, sans les Arabes,… malheureusement pas toujours sans les Chinois ; nos nouveaux colons). Je ne cache pas pour autant nos tares : la jalousie, l’envie, la violence lorsque le sang coule… mais en rappelant toujours (ce que j’ai fait sur Maliweb) que l’Afrique ne détient pas le record de violence et de barbarie.
J’ai toujours du mal avec les noirs complexés qui rejettent tout ce qui n’est pas noir (qui sony aussi détestables que les blancs racistes et nationalistes)… avant de rejeter tout ce qui n’est pas Bambara, Saracolé, Mandingue, Diola,… car le racisme est malheureusement et depuis la nuit des temps, à la base de nos rapports aux autres. Nous nous reconnaissons par la race au lieu de nous reconnaître par la valeur de l’homme. Nous sommes là encore comme les autres peuples du monde, mais nous, nous nous y accrochons. Il faudra bien un jour que l’on arrive à changer notre rapport à l’autre.
Je suis Africain et ne dois aucune forme de « validation » de mon africanité à quiconque.
Qui sur ce forum est passé par les initiations par lesquelles je suis passé ? Très peu, très très peu, une toute petite poignée dans toute l’Afrique de l’Ouest. Sans doute aucun sur ce forum.
Qui défend notre « monde » par l’exemple comme par la démarche ? Les Africains qui pensent détenir « le droit divin » de se dire Africain… parce que noirs, ont-ils une quelconque légitimité ? Ni plus ni moins que moi ! Il est temps que les Africains se reconnaissent enfin par la naissance sur notre terre… comme nous réclamons le droit d’appartenir à la Nation (Française, Allemande, Américaine,…) lorsque nous naissons chez les Occidentaux ! Moi, je suis Africain et ne m’en cache pas… même et surtout quand l’Afrique est mise en cause.
L’Afrique sera malgré nous, mais ne nous faisons pas trop d’illusion, aucun pays, aucune Nation, aucun continent n’est aujourd’hui capable de vivre seul. Nous pouvons diriger enfin nos destins ou nous laisser aller à nos défauts et laisser les autres (Occidentaux, Arabe, Asiatiques) nous dicter leur vision de nos terres.
Si nous sommes capables de nous comporter en humains responsables tout est possible… si non, c’est eux qui décideront pour nous. Aujourd’hui, le Mali mais aussi tous les pays voisins sont en grand danger. Soit nous cherchons à gagner cet enjeu si crucial (création d’Etats, d’Institutions et donc de Nations), soit nous allons nous faire balayer car toutes les grandes puissances, à commencer par la Chine, doivent établir de nouvelles « réserves » de ressources pour garantir leur propre existence… et il est toujours plus facile de dominer un faible divisé.
Aujourd’hui, il est trop facile de nous déstabiliser, on est nous-même acteur de notre propre effondrement (AQMI est venu au Mali parce que l’armée malienne vendait ces armes !!!), que les dirigeants de tous nos états étaient/sont les principaux trafiquants qui ont permis à ses fous dangereux de prospérer…
Puisque je me bats depuis tant d’années pour que l’image de l’Afrique ne soit pas celle qu’on véhicule dans les médias, pourquoi quitter aujourd’hui le combat ?
Pas parce que des Français sont morts (ce qui n’est pas acceptable, comme cela ne l’est pas de tous les êtres humains), pas parce que des journalistes sont morts (même si sans eux nous n’aurions que des rumeurs et des racontars), pas à cause de quelques malfaisants complexés (qui inondent de leur morve les forums), mais parce que je n’ai plus envie de lire des immondices à longueur de pages. Parce que ce que je défends c’est la dignité de l’humain, pas la haine gratuite. Parce que mes Parents (géniteurs) comme mes Parents (traditionnels) m’ont appris que les sociétés doivent elles-mêmes nettoyer leur maison pour avoir le droit de s’exprimer en public et donc d’exister.
Enfin pour ce qui est de faire face, ceux qui me connaissent savent que tant physiquement que mentalement, ils ne m’ont jamais vu reculer. Il ne faut pas confondre dégoût et fuite, je ne suis pas sanogo. Quand l’odeur des excréments est plus forte que celle de l’air et qu’on n’est pas en position de nettoyer la cour… on la quitte !
Onate (mon nom d’initié)
Si on laisse faire, on est tous responsable: Criez, marchez, faites des sittings, etc. Mais ne vous contentez pas simplement d’écrire (mais c’est un bon début déjà, ce que les maliens font dans les journaux et sur les ondes privées)…
😆 ,hollande se cherche?hi!hi!hi!,ce qui est sur en 2017 c’est pas sur que je vote pour lui,je suis africaine d’origine mais je voterais le front nationale et ça c’est sur
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Fais gaffe qu’ils ne te prennent pas pour Madame TAUBIRA les mecs du Front National ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Impayable coco. 😉 … 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
les maliens se sont laissés emportés par les slogans nationalistes du camp IBK soutenus par une horde de politiciens sans repères comme s’ils étaient les seuls capables. Ils n’avaient vraiment pas de programme pourtant. Appuyé par la junte souvent sur fond de mensonges, de calomnie, de haine. On a frôlé l”affrontement sur fond d’ethnicisme jusque certains disaient avoir acheté des coupe-ccoupes pour un affrontement. Regardez-vous dans un miroir aujourd’hui. SABALI KAGNI mais avant nous aspirons au même idéal, un Mali uni, juste, fier dans sa diversité. On a juste besoin d’un malien consciencieux, digne travailleur, la couleur ou l’ethnie ou la classe sociale importent peu. Le Mali ne sera fort que lorsque qu’on cessera de voter par appartenance régionale, ethnique, sociale. Tous, du nord au sud aspirons au même idéal celui de voir un Mali prospère et soudé.
On savait pertinemment qu’il y a avait de la qualité SOUMAÏLA, MODIBO SIDIBE ET ZOU mais, on a refusé d’être lucide et voilà.
IBK a trahi SANOGO et les musulmnas et il sera trahi aussi. Inchala pour le Mali d’abord et pour l’honneur du mali
Boubacar DABO, avec des imbéciles comme toi, je vois pas comment la descente aux enfers serait évitable et tu ira le premier je doute même que tu sois Malien
Boubacar DABO : ” Pour alors éviter une descente en enfer pour notre pays… . Car, il faut le dire, c’est le malheur et le déshonneur des Maliens qui se profilent à l’horizon.”
Mais nous y sommes dans “le malheur et déshonneur” depuis l’élection du président sur qui on comptait beaucoup pour l’intégrité du pays et un départ pour le développement. C’est grave, ou va t on avec IBK ?
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