Cérémonie d’investiture du Candidat de L’URD : Une mobilisation qui doit faire cas d’école 

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L’Union pour la République et la Démocratie(URD), a organisé le Dimanche 18 Septembre dernier au Palais de la Culture Amadou Hampaté Ba la cérémonie d’Investiture de son porte étendard pour les élections présidentielles de 2012.Une première dans l’histoire de ce parti, même si l’homme sur lequel le choix a été porté, Soumaila Cissé sera à sa deuxième expérience dans la conquête du pouvoir après celle de 2002. La réussite de cette première conférence prouve à suffisance la maturité des hommes du parti de la poignée de main.

Du samedi au dimanche, le parti de l’honorable Younouss Touré a réussi l’organisation de trois cérémonies, toutes marquées par une mobilisation de grandeur nature.

Focalisons-nous seulement sur les activités du dimanche 18 septembre 2011. Ils étaient  tous au rendez ce jour là, tôt le matin, cadre, élus, militants venus de l’intérieur comme de l’extérieur, membres des fans clubs à la cérémonie dite d’accueil du fondateur de l’URD, qui a précédé celle de l’investiture solennelle du camarade Soumaila Cissé. Vêtus tous en vert et blanc, les couleurs de leur parti avec l’emblème fait de deux mains serrées, collé sur le coté gauche de la poitrine qu’indique l’Union, la force et la paix dans le cœur. La cérémonie d’’acceuil de leur candidat s’est ténue dans un endroit très révélateur  et significatif pour la démocratie malienne, pour avoir abrité la conférence nationale  qui a servi de tremplin pour l’avènement de la démocratie dans notre pays, à savoir le palais de la culture Amadou Hampathé Ba. Dans cet endroit mythique, les militants du parti de Younouss Touré, dont Soumaila Cissé en est le parrain, ont fait une véritable démonstration de force à travers une forte mobilisation sans précédent.

Une mobilisation qui donne la preuve la plus tangible que les militants de L’Union pour la République et la démocratie partagent la cause de leur formation politique et sont parés pour relever le défi.
Toute chose qui fera dire au  président du mouvement de la Jeunesse URD, le Docteur Madou Diallo que «  ce jour est un moment historique pour les militants en général et la jeunesse de L’URD en particulier » par ce qu’il leur donne l’occasion  de recevoir un digne fils du pays, qui a réussi le combat de l’intégration africaine à la tête de la commission de l’UEMOA. Que son choix  de briguer la magistrature suprême en 2012 se justifie  ne serrait ce qu’au regard des grandes réalisations qu’il a menées dans son pays  durant ses huit ans à la tête de L’UEMOA.

Quant à la présidente du bureau national des femmes de L’URD, Mme Wadidiè Salimata Dagnoko, elle affirme que Soumaila Cissé est une chance pour tous les Maliens et sera  la clé de réussite pour le Mali, que son choix ressort de son patriotisme.

Aux dires du président de L’URD, l’honorable Younouss Touré, le retour de Cissé au bercail après sa mission à l’UEMOA est un retour définitif pour amener à terme l’un des combats du parti qu’est de monter à Koulouba.

En tout état de cause cette éventualité n’est point impossible, au regard seulement de la mobilisation réussie de ces deux jours de cérémonie. Chapeau donc aux barons de l’URD.
Boubacar Yalkoué


Soumaila pour Koulouba 2012
Une candidature attendue et soutenue

C’est fait, c’est officiel, Soumaila Cissé est partant pour briguer la magistrature suprême en 2012. Cette décision n’est qu’une logique admise par tous les Maliens, même si certains avaient avancé que l’homme résignerait de se présenter à cause d’un strapontin de  directeur adjoint exécutif du FMI. De nombreuses considérations font que cette candidature, est loin d’être farfelue. En plus qu’elle était attendue, elle serait l’une des plus, pour ne pas dire la plus soutenue de l’échéance de 2012, de l’intérieur comme de l’extérieur. Introspection.
Le palais de Koulouba à l’instar de huit de ses semblables de notre sous région n’a aucun secret pour Soumaila Cissé. Pas par ce que seulement qu’il l’a servi en tant que Secrétaire Général en 1992, mais surtout qu’il l’a sillonné de fond à comble à plusieurs reprises et pendant huit ans, le temps de sa présidence  à la commission de l’UEMOA.

Cela, pour dire qu’il ne sera aucunement un étranger dans ce temple après sa probable consécration du scrutin de mai 2012.

De cette même manière, la candidature certifiée de « Soumi » n’a pas fait d’effets de surprise chez nombre de Maliens. Car, nombreux de nos concitoyens s’attendaient à cette hypothèse qui n’est aucunement un acte « hors norme »  qui pourra découler sur des contestations ou frustrations. Son investiture par son parti à été selon de nombreux observateurs la preuve la plus tangible qu’il reste l’un des rares leaders politiques qui  rayonne sans conteste sur sa formation politique qui lui est acquise  au même titre que les consciences de ses militants qui ont encore une digne idée de la politique. Sinon, avec cette nouvelle ère de (je ne céderai à personne)  en d’autres lieux il ferait un candidat dont l’arrivée dans l’arène annoncerait un combat de belle facture à l’interne. Cela faisant, sa première chance pour l’ancrage de sa candidature dans la cohésion et l’engagement collectif provient de sa prestance auprès de ses pairs « urédistes ». Durant sa présidence à la tête de l’UEMOA il n’a aucunement coupé le pont avec l’instance dirigeante de son parti. D’aucuns disent même qu’il veillait sur son parti comme sur les prunelles de ses yeux. Et sa lecture, sinon son implication dans la vie de cette jeune formation politique a été déterminante pour son maintien avec vigueur  dans le paysage politique malien. Les observateurs politiques gardent ses rôles de pompier pour atténuer les ardeurs lors des derniers congrès du BEN et des jeunes. Même hors du pays, son simple message peut désamorcer des bombes.

Au-delà de son parti, Soumaila Cissé, au regard de son parcours politique, jalonné d’un aura rarissime, jouit d’une très grande respectabilité auprès des autres leaders politiques. Il peut se targuer d’avoir été le premier à faire fondre toute une entité politique (PMDR de Me Berthé) dans son parti. Plus, l’on dit aussi que sa popularité dans certains grands partis ne fait l’ombre d’aucun doute, au point que certains jurent la main sur le cœur que même certains barons de l’ADEMA (le plus grand parti du Mali) composeront dans l’ombre ou à visage découvert pour lui.
 
Une candidature taillée à la mesure de l’électorat malien
« Certains de mes amis m’ont dit qu’ils sont prêts à m’offrir les mêmes soutiens pour la campagne, même si l’on doit refaire les élections demain » voilà la réponse donnée par Soumaila Cissé à un journaliste qui lui demandait s’il ne regrette pas les gros moyens investis lors de sa campagne des présidentielles de 2002.

Cela, pour dire que la machine électorale du candidat du parti de la poignée de main est tellement bien huilée qu’elle prend en considérations certains aspects qui forcent à bon échéant l’admiration du peuple dans sa majorité. Son staff élabore toujours des stratégies à hauteur des souhaits, de nature à toucher l’électorat jusque dans leur dernier retranchement. Humble et disponible, Soumi se différencie de nombreux candidats par sa disponibilité à parcourir tout le territoire national afin de faire véhiculer son message. Il est l’instigateur dans notre pays de la campagne à l’américaine. Un procédé qui a laissé des taches d’huile et fait couler beaucoup d’encre et de salive.

Il accorde de l’importance à cette phase décisive du processus et veille sur le moindre détail, en coordination avec son QG et les démembrements de son parti.

Il est difficile, lorsqu’on évoque la candidature Soumaila de passer sous silence sa renommée à l’étranger. Certains observateurs aguerris du paysage politique malien et africain soutiennent que sa candidature sera la plus en vue et la plus soutenue par l’extérieur. On a pas besoin d’avoir une télé pour se mettre à l’évidence de cette réalité.

Comme projet de société à défendre « Soumi » n’aura qu’à entretenir l’électorat sur son CV. Sur ce plan, s’il advient que la vitalité de la candidature de Cissé se mesurera à l’aune de ses actions, il peut d’ores et déjà commencer à dormir sur ses oreillers. De la CMDT à l’UEMOA, en passant par les différents Ministères, Soumi dresse derrière lui un bilan élogieux qui plaide largement en sa faveur dont il peut relater mot par mot en Bambara, Sonrai, Français et Anglais (des langues qu’il parle couramment).

En somme, son feeling, sa stature et son parcours font de lui un candidat modèle pour assumer l’héritage du Président Amadou Toumani Touré.
Moustapha Diawara   
 
Soumaila pour Koulouba 2012 :
Une candidature attendue et soutenue

C’est fait, c’est officiel, Soumaila Cissé est partant pour briguer la magistrature suprême en 2012. Cette décision n’est qu’une logique admise par tous les Maliens, même si certains avaient avancé que l’homme résignerait de se présenter à cause d’un strapontin de  directeur adjoint exécutif du FMI. De nombreuses considérations font que cette candidature, est loin d’être farfelue. En plus qu’elle était attendue, elle serait l’une des plus, pour ne pas dire la plus soutenue de l’échéance de 2012, de l’intérieur comme de l’extérieur. Introspection.
Le palais de Koulouba à l’instar de huit de ses semblables de notre sous région n’a aucun secret pour Soumaila Cissé. Pas par ce que seulement qu’il l’a servi en tant que Secrétaire Général en 1992, mais surtout qu’il l’a sillonné de fond à comble à plusieurs reprises et pendant huit ans, le temps de sa présidence  à la commission de l’UEMOA.

Cela, pour dire qu’il ne sera aucunement un étranger dans ce temple après sa probable consécration du scrutin de mai 2012.

De cette même manière, la candidature certifiée de « Soumi » n’a pas fait d’effets de surprise chez nombre de Maliens. Car, nombreux de nos concitoyens s’attendaient à cette hypothèse qui n’est aucunement un acte « hors norme »  qui pourra découler sur des contestations ou frustrations. Son investiture par son parti à été selon de nombreux observateurs la preuve la plus tangible qu’il reste l’un des rares leaders politiques qui  rayonne sans conteste sur sa formation politique qui lui est acquise  au même titre que les consciences de ses militants qui ont encore une digne idée de la politique. Sinon, avec cette nouvelle ère de (je ne céderai à personne)  en d’autres lieux il ferait un candidat dont l’arrivée dans l’arène annoncerait un combat de belle facture à l’interne. Cela faisant, sa première chance pour l’ancrage de sa candidature dans la cohésion et l’engagement collectif provient de sa prestance auprès de ses pairs « urédistes ». Durant sa présidence à la tête de l’UEMOA il n’a aucunement coupé le pont avec l’instance dirigeante de son parti. D’aucuns disent même qu’il veillait sur son parti comme sur les prunelles de ses yeux. Et sa lecture, sinon son implication dans la vie de cette jeune formation politique a été déterminante pour son maintien avec vigueur  dans le paysage politique malien. Les observateurs politiques gardent ses rôles de pompier pour atténuer les ardeurs lors des derniers congrès du BEN et des jeunes. Même hors du pays, son simple message peut désamorcer des bombes.

Au-delà de son parti, Soumaila Cissé, au regard de son parcours politique, jalonné d’un aura rarissime, jouit d’une très grande respectabilité auprès des autres leaders politiques. Il peut se targuer d’avoir été le premier à faire fondre toute une entité politique (PMDR de Me Berthé) dans son parti. Plus, l’on dit aussi que sa popularité dans certains grands partis ne fait l’ombre d’aucun doute, au point que certains jurent la main sur le cœur que même certains barons de l’ADEMA (le plus grand parti du Mali) composeront dans l’ombre ou à visage découvert pour lui.

Une candidature taillée à la mesure de l’électorat malien
« Certains de mes amis m’ont dit qu’ils sont prêts à m’offrir les mêmes soutiens pour la campagne, même si l’on doit refaire les élections demain » voilà la réponse donnée par Soumaila Cissé à un journaliste qui lui demandait s’il ne regrette pas les gros moyens investis lors de sa campagne des présidentielles de 2002.

Cela, pour dire que la machine électorale du candidat du parti de la poignée de main est tellement bien huilée qu’elle prend en considérations certains aspects qui forcent à bon échéant l’admiration du peuple dans sa majorité. Son staff élabore toujours des stratégies à hauteur des souhaits, de nature à toucher l’électorat jusque dans leur dernier retranchement. Humble et disponible, Soumi se différencie de nombreux candidats par sa disponibilité à parcourir tout le territoire national afin de faire véhiculer son message. Il est l’instigateur dans notre pays de la campagne à l’américaine. Un procédé qui a laissé des taches d’huile et fait couler beaucoup d’encre et de salive.

Il accorde de l’importance à cette phase décisive du processus et veille sur le moindre détail, en coordination avec son QG et les démembrements de son parti.

Il est difficile, lorsqu’on évoque la candidature Soumaila de passer sous silence sa renommée à l’étranger. Certains observateurs aguerris du paysage politique malien et africain soutiennent que sa candidature sera la plus en vue et la plus soutenue par l’extérieur. On a pas besoin d’avoir une télé pour se mettre à l’évidence de cette réalité.

Comme projet de société à défendre « Soumi » n’aura qu’à entretenir l’électorat sur son CV. Sur ce plan, s’il advient que la vitalité de la candidature de Cissé se mesurera à l’aune de ses actions, il peut d’ores et déjà commencer à dormir sur ses oreillers. De la CMDT à l’UEMOA, en passant par les différents Ministères, Soumi dresse derrière lui un bilan élogieux qui plaide largement en sa faveur dont il peut relater mot par mot en Bambara, Sonrai, Français et Anglais (des langues qu’il parle couramment).
En somme, son feeling, sa stature et son parcours font de lui un candidat modèle pour assumer l’héritage du Président Amadou Toumani Touré.
Moustapha Diawara   
 

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