Notre pays est un vieux pays, fondé par les bâtisseurs d’empires et des plus grands royaumes de l’Afrique. Il s’agit du résultat du travail inlassable des hommes et des femmes déterminés à tout donner pour rendre leurs progénitures fières et dignes de leurs anciens, dans un monde où la paresse et l’erreur sont les choses les plus fatalement mortelles, tant qu’il est vrai que le présent, sorti des entrailles du passé, balise le futur.
Lorsqu’en 2013 les électeurs ont très tôt pris d’assaut les bureaux de vote pour élire IBK à plus de 77%, ils avaient en tête trois soucis majeurs et estimaient que le leader du RPM était, parmi les candidats, le plus attentif à cette détresse nationale. Il s’agit de : rétablir l’unité nationale laissée en lambeaux par la gestion de 20 années de démocratie ; rétablir la sécurité et la paix plus que jamais menacées et assainir notre environnement économique, social et politique.
Au jour d’aujourd’hui, l’inquiétude et la désolation demeurent entières. Il est certes vrai que depuis son avènement à la magistrature suprême, IBK s’est attelé à rétablir l’unité nationale, mais de la plus mauvaise des manières me semble -t-il ? En faisant de cette question une affaire personnelle, le gouvernement malien à semblé vouloir trouver comme à l’accoutumée une solution en dehors du peuple, dont il est l’émanation.
Ainsi inutile d’insister sur le fait que IBK, parti à la recherche d’une solution pour une meilleure intégration nationale, revient avec un Mali totalement morcelé et dépécé.
Sans parler des multiples conséquences liées à cette régionalisation qui sonne la destruction et dislocation totale du Mali, rien n’est plus dangereux y compris les djihadistes pour le Mali.
Dans nos pays africains, les responsables, c’est-à-dire ceux qui doivent gérer les affaires des populations doivent être des hommes et des femmes bien choisis, imprégnés des aspirations et des valeurs d’honnêteté et de dignité.
Des gens capables d’avoir honte, plutôt que des gens choisis parmi les familles. C’est sur le sens du respect de soi, de sa famille et de son peuple et sur les valeurs cardinales de l’honneur et de la dignité que repose la grandeur d’une nation.
Dès lors que les dirigeants ignorent la notion de respect du bien public en s’y précipitant comme des charognards, dés lors que les valeurs de la dignité et de l’honneur n’éveillent aucun sentiment chez les dirigeants, dés lors que les fifrelins de ce monde l’impressionnent au détriment des préoccupations du peuple alors s’expose en toute beauté la misère du peuple, qui ne doit encore rien attendre pour s’en débarrasser. Dans la situation actuelle de misère presque généralisée , que ce soit nos propres dirigeants, ceux à qui nous avons prêté notre confiance qui osent détourner et voler nos maigres ressources, ceux là qui sont nourris et blanchis et qui ont été instruits sur les fonds du contribuable, et qui malheureusement en sont devenus ses propres fossoyeurs, ses propres brigands et cela sans même qu’ils aient la moindre capacité d’avoir honte ou la moindre dignité qu’un pays se donne le moyen de s’offrir un avion pour son président est chose normale et nous en sommes convaincus. Il en est de même pour l’acquisition d’armements militaires tant il est vrai que le fondement de la souveraineté nationale est une armée bien formée et bien équipée.
Mais que la passation et l’exécution de ce marché donnent lieu à des détournements aussi effroyables et inacceptables, il faut être parmi les pires ennemis du Mali pour le pardonner. Dans tous les cas, aux yeux des Maliens, IBK est le premier responsable de ce tsunami financier, tant il reste que c’est lui qui a nommé les ministres à la moralité douteuse.
Je remercie de passage le Vérificateur général et la section des comptes de la Cour suprême mais surtout le FMI et la Banque mondiale pour la pression et nous osons espérer que les coupables répondront de leurs forfaits. Et nous sommes très déçus de la gestion des affaires publiques et que IBK, à notre humble avis n’a pas été à la hauteur de l’attente et de la confiance que les Maliens ont placée en lui. Et encore une fois le peuple a voulu mais les dirigeants n’ont pas été à la hauteur.
Cheick Oumar DIALLO, président du Collectif des jeunes leaders pour le développementde la Commune VI
Tes phrases sont très longues.
Dieu ne fait rien au hasard.
C’est ce Président que le Mali mérite en 2013; Pas plus pas moins. Tel Peuple tel dirigeant.
merci dieu pour le choix de IBK sinon un autre aurai ete pire pour le MALI comme vs ne savez pas le font du probleme? MR DIALLO je te demande de te reseingné sur les projets du fils KARIM et lutter contre comme cela les gens te suivronts car karim est tres mal conseiller je ne sais pas par qui??? que DIEU sauve le MALI
RECTIFICATIF:équipement militaire et non ARMEMENT MILITAIRE comme vous le dite dans votre texte.
Le Mali et le chat
La situation du Mali ressemble à cette histoire du chat. Toutes nos excuses pour les gros mots.
Il se raconte que dans un asile psychiatrique, un masochiste, un zoophile, un sadique, un assassin, un nécrophile et un pyromane s’ennuient. Le zoophile dit : Et si on enculait le chat ? Alors le sadique répond : – Oh oui, enculons le chat, et après on le torture ! L’assassin reprend : – C’est ca, enculons le chat, torturons le et ensuite on le crève ! Alors le nécrophile ajoute : – Ah ouais, cool, on va enculer le chat, le torturer, le crever, et le ré-enculer ! Le pyromane enchaine : – Ouaiiiiiiis ! Enculons le chat, torturons-le, tuons-le, ré-enculons-le, et ensuite on lui fout le feu ! Le silence se fait, tout le monde regarde le masochiste et lui demande : – Ben et toi, tu dis rien ? Et le maso répond : « Miaou ».
Nous avons connu le scandale de Kidal au mois de mai 2013 où des centaines de maliens ont perdu la vie, suite à un ordre donné par des politiques qui se sont débinés par la suite. Et les scandales de détournements et de surfacturations dans des marchés octroyés par le Gouvernement. Les rapports de la Cour Suprême et du Vérificateur Général ont été publiés. Et l’avion d’ATT a été jugé vieillot et sans papier. Et puis, l’avion d’IBK n’appartient pas encore au peuple malien.
Il se raconte que, le 20 novembre 2014, face aux représentants de la majorité, de l’opposition, des religieux et de la société civile, et aussi face à la société civile qui a marché le 6 décembre 2014 pour, entre autres, exiger la démission des ministres impliqués dans les malversations financières liées à l’affaire de l’avion présidentiel et les matériels militaires, El Hadj IBK a tout simplement dit « Miaou».
MONSIEUR DIALLO, tu nous fou la paix , vous etes un oprtuniste, tu etais avec HAYA a kati , AJDJ, demande seulement que les politiciens de donne ta part du gateau, moi qua meme je te connait , et je demande de faire extrement attention au president AMALDEME , si non il va te foutre de dans, en prison , et pourtant il est entrain de libere les djihadis
M. DIALLO, JE VOUS EN PRIE. VOUS AVEZ ETE DE CEUX QUI NE VOULAIENT RIEN ENTENDRE LORS DES ELECTIONS 2013. IBK OU RIEN ETAIT VOTRE SLOGAN, VOUS NE RECOLTEZ QUE CE QUE VOUS AVEZ SEME.
LE BON SENS DISAIT QUE IBK NE SERAIT PAS A LA HAUTEUR.
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