Le Mali, qui refuse de voir un seul soldat de la CEDEAO sécuriser les autorités et les institutions de la transition, a relancé, à travers le Haut conseil islamique (HCI), les négociations avec les groupes armés islamistes du MUJAO et d’Ançardine afin qu’ils acceptent de renoncer à deux choses : la partition du pays et la remise en cause du caractère laïc de l’Etat. Le Président Dioncounda Traoré et le Premier ministre Cheick Modibo Diarra ont également décidé de ne pas laisser la communauté ouest-africaine participer à la mise en place du gouvernement. Mais est-ce suffisant pour déclarer que l’intervention militaire de la CEDEAO dans le Nord du Mali prend du plomb dans l’aile ou que les deux premiers responsables du pays ont décidé de faire « cavaliers seuls » et d’isoler la CEDEAO ?
Dans les prochains jours, la CEDEAO pense envoyer une « mission politique de haut niveau » au Mali, en Algérie et en Mauritanie pour expliquer son déploiement et suggérer au Président DioncoundaTraoré (qui estime que « la situation au Nord-Mali menace non seulement notre pays, mais également la sous-région et l’Afrique ainsi que la paix et la sécurité mondiales à cause des terroristes ») de lancer une campagne médiatique pour informer et sensibiliser les populations à propos du déploiement et des opérations de la mission de la CEDEAO. Pas si sûr car le Président malien, qui veut faire retrouver à son pays son unité mise à mal, annonce que dès la formation du gouvernement, son Premier ministre adressera une requête formelle à la CEDEAO. Quand ? Nul ne le sait à Bamako, surtout que partisans et opposants du coup d’Etat militaire du 22 mars divergent sur l’ordre de priorité de la transition.
Certains préconisent une concertation nationale avant la formation du gouvernement par Cheick Modibo Diarra qui ploie sous des centaines de CV (curriculum vitae) de ministrables. Qu’attend donc Bamako de la mission de la CEDEAO ? Un appui aux troupes maliennes au sol par des frappes aériennes. Mais l’inconnu reste la réaction des Bérets verts. Le Capitaine Sanogo, qui sort de l’ombre (il présidera le Comité militaire de suivi de la réforme des forces de défense et de sécurité) l’a déclaré à maintes reprises : il ne veut pas de militaires étrangers pour régler la situation du Nord.
Paul N’Guessan
Vous savez mes frères :
. Regarder un peu l’ossature de la politique Malienne
Le RPM est né de l’ADEMA PASJ
L’URD est né de l’ADEMA PASJ
Le BARA, Le MIRIA tous de l’ADEMA
Le PARENA du CNID FASO YIRIWA TON
Le SADI du CNID FASO YIRIWA TON
Le RDA, Le PSP agonisant, Le MPR SE RACHETTANT des ERREURS PASSEES
VOUS VOULEZ QUE CES RESPONSABLES SE METTENT ENSEMBLE POUR DIRE QUOI? CHAQU’UN A LA RANCUNE SOUS SES ONGLES COMME DIT L’AUTRE, L’UN VEUT DETRUIRE L’AUTRE POUR LA TRAHISON D’HIER, TOUS VEULENT ETRE DANS LE GOUVERNEMENT
SI notre PM(Le premier ministre) avait demandé à chaque région du Mali (de Kayes à Kidal) de lui proposer 04 noms des élus régionaux depuis au départ on allait avoir 32 ministres, personne au Mali ni ailleurs n’allait s’opposer. Le problème du Nord du Mali allait avoir la solution la plus honorable au jour d’aujourd’hui .Il(PM) devrait être neutre de toutes influences pour mener à bien sa transition, je dis bien sa transition car il est le seul responsable aux yeux des Maliens et son nom sera écrit sur les pages de histoire. Espérons que ce combat de coqs pour le monopole de la basse cours ne s’infiltre dans la salle de réunions à Koulouba NOUS LES MALIENS NOUS NE VOULONS PLUS ENTENDRENT QU’IL Y A UN PROBLEMES QUAND AU CHOIX DU FICHIER ELECTORAL A LA FIN DE SON MANDAT (la transition), NI QUE NOTRE ARMEE A FAILLIT AU NORD
L’aide de la CEDEAO n’est plus de sécuriser les institutions de la transition malienne.L’heure n’est plus à cela actuellement.
Alors pourquoi elle insiste de venir à Bamako tandis que c’est le nord du pays qui a le plus besoin de leur présence.
Qu’elle cesse cette démagogie et suivre le bon sens.
La majorité du peuple les entend au nord et est derrière son armée.
Le gouvernement d’union nationale est déjà mis en place,le sud se stabilise.
Pourquoi ne pas doter notre armée nationale avec de la logistique et attendre son appel pour venir en appui à la contre attaque qu’elle compte menée.
Inch Allah nous surmonterons cette crise et retrouverons notre fierté.
Comme l’a si bien souligne Mr le ministre de la defense aux chefs d’etats majors de la CEDEAO, les troupes des allies sous regionaux sont les bien-venues au nord, mais jamais a Bamako. Si la CEDEAO respecte cette recommandation, alors elle sera acceuillie a bras ouvets, dans le cas echeant qu’elle parte aux diables. On ne veut plus de cette cooperation de demagogues. Il est temps qu’ils materialisent leur support.
Que le cpt Sanogo commence a ecouter ses anciens de l’armee malienne pour ne pas commettre d’autres erreures et donner raison a la CEDEAO ou meme les assaillants du Mali.
Tous, nous devons nous entendre pour sauver l’honneur, car on a ete humilie aux vues de tous.
Nous pensons a nos freres du nord au lieu de la lutte de pouvoir ki se deroule a Bko. Quelquen soit la force du CDEAO ou du Mali meme lessentiel cest voir le nord libere.
Ca commence à bien faire, de voir nos autorités maliennes bomber le torse et clamer haut et fort que personne d’autre qu’elles ne peut reconquérir le nord, alors que n’importe qui de sensé peut constater qu’elles en sont parfaitement incapables! Si VRAIMENT notre armée “peut” reconquérir le nord, qu’attend-elle pour aller se battre?
D’un coté on crache sur la cedeao qui ne demande qu’à nous aider, d’un autre, on lui démontre qu’on parfaitement incapable de faire sans elle, mais tout en jouant les fiers à bras, en posant des conditions, en exigeant ceci, cela!!!
Cette attitude est totalement irresponsable, pour ne pas dire infantile! Ca tourne carrément au caprice d’enfant gaté à la longue! Si Sanogo et cmd n’avaient pas jusqu’ici tout fait pour empecher la cedeao d’agir, le problème du nord serait peut-être déjà résolu et nos freres et soeurs captifs seraient peut-être enfin libérés!!!!
sans la force CEDEAO le mali restera diviser et pour toujours car nous avons pas d’armée pour lutter contre ces terroristes bien organisées que notre armée de lache.
Vive le mali un et indivisible.
Comme c’est toujours amblgu!
Le Mali veut-il l’aide militaire extérieure de la CEDEAO et de l’ONU? Si oui, une aide de quelle nature?
L’heure est-elle à la tenue d’une convention nationale? Je répondrai par la négative en disant que ce gouvernement qui se veut consensuel devrait parler au nom de tous et il suffira qu’ils s’assayent ensemble pour décider au nom de tous.
D’autre part, si l’on peut faire l’économie de la guerre en négociant, ce serait la chose magnique que l’on ferait. Mieux, si ce tour était réussi par le Mali, le pays n’en sera que grandi aux yeux du monde.
Es ce les présidents de la CEDEAO sont sourds ou quoi
C’est sûr que vous avez lu l’article pour réagir de la sorte?
Les présidents de la cedeao commencent à en avoir par dessus la tête des caprices maliens (et il y a vraiment de quoi!), et de l’inaction scandaleuse de l’état Malien. Moins on capable de faire, plus on joue la grande g…!
Et pendant ce temps, les bandes armées nous occupent en toute tranquillité! Ca commence a bien faire! Que ca plaise ou pas à ce lache de sanogo, il serait tant qu’on avance!
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