La justice française vient de prononcer un non-lieu en faveur de Michel Tomi. Suite aux enquêtes et investigations de la police et de la justice françaises, il n’existe pas de charges suffisantes contre Tomi Michel dans le cadre de l’enquête portant entre autres, sur : «blanchissement d’argent et trafic d’influence exercé auprès des décideurs politiques, agents publics, dans divers pays africains dont le Mali.
Les charges concernant le régime IBK se résumaient aux marchés conclus avec l’Etat malien ou des sociétés maliennes à travers la location et l’achat d’un avion, l’implantation des sociétés chinoises, de concession d’exploitation de mines d’or, achat de matériels et uniformes contractés avec le groupe Marck.
Tomi n’est pas le seul bénéficiaire du non-lieu. Il y a aussi Philipe Belin qui était accusé d’avoir commis le délit de corruption d’agents publics étrangers.
Ce sont toutes les charges qui tombent ainsi lavant du coup le président Malien Ibrahim Boubacar Keïta.
C’aurait pu être le bonheur parfait et source de grandes réjouissances pour le régime en place n’eut été les tristes événements du samedi dernier. Enfin, on fait avec…
B. Magassouba