De sources concordantes, les relations entre les services chargés de la gestion du contentieux de l’emploi et les employeurs de Ségou ne sont pas au beau fixe. Des doigts accusateurs sont pointés sur le patron de l’inspection régionale du travail. Deux noms sont constamment cités dans cette affaire qui alimente les conversations présentement dans la cité des balanzan.
A en croire certains, les concernés sont devenus des arrêtés dans la gorge des créateurs d’emplois au niveau de la 4ème région. Le chef d’une entreprise qui évolue dans les Btp a laissé entendre, lors d’une causerie à la sortie d’une conférence que “le directeur de l’inspection régionale du travail de Ségou joue un rôle de véritable prédateur pour les entreprises exerçant dans la région de Ségou”. Un autre d’ajouter “lui qui est chargé de gérer les contentieux entre employeurs et les employés avec un rôle de conciliation va jusqu’à se donner le luxe de rançonner les plus petits employeurs de Ségou.”
TRAFFIC D’INFLUENCE
Dans toute la région de Ségou, les témoignages a fusent et ne sont du tout favorables au chef de l’Inspection du Travail. On l’accuse de ne menager personne et de se targuer d’avoir un dos large en ce sens qu’il dispose d’une protection solide au niveau du ministère de l’emploi et de la formation professionnelle. Est-ce à dire qu’il partage les fruits de ses rançons avec des agents tapis dans le département ? Le Ministre Mahamane Baby est interpellé.
Un autre fait inquiétant pour les chefs d’entreprises dans la région de Ségou est que les verdict rendus par les tribunaux du travail de cette circonscription ne sont jamais favorables aux entreprises, qu’elles aient raison ou pas. A tel point que certains sont à se demander dans la capitale de balanzan s’il n’y a pas de connivence entre els employés les juges et l’inspection du travail, pour arnaquer les entreprises chaque fois que l’occasion se présente. Tellement les condamnations sont lourdes et toujours à sens unique.
“Chaque fois qu’il y a un problème le responsable d’entreprise (employeur) revolte les pots cassés…”, précise par ailleurs un agent d’une société qui se prepare à saisir le juge du travail. Le jeu trouble de l’inspection du Travail demeure le sujet principal des conversations dans les salons à Ségou. Il se raconte qu’en 2012, “Sukala-Sa” a été victime de la condamnation la plus infamante de son histoire.
Assignée à l’inspection du travail par un de ses agents pour reclamation d’arrières de salaires le verdict a été sans appel car la société a été condamnée à verger plus de soixante dix millions de Fcfa à l’intéressé. “On se demande si le chef de l’Inspection du Travail ne conclue pas un marché avec les plaignants”, s’interroge. Un cadre ressortissant de Ségou qui trouve que souvent ce service de l’État exagère.
Vivement alors des enquêtes pour démasquer les vautours qui ternissent l’image d’un service de l’Administration. Sous IBK, on ne doute pas que ce sera la tolérance zéro pour les agents véreux.
Laya DIARRA
Monsieur Laya DIARRA prière de s’informer avant de nous balancer un torchon Parce que maintenant s’il y a quelqu’un qui fait bien son travail pour le bonheur des petits employés qui jadis sont toujours a la solde de leurs employeurs que tu te permet de dire du faux Alors questions qu’est ce que ces employeurs t’ont alors donné pour que tu fasse ce article alors ? un Bon d’essence de 5.000 fcfa ? on vous connait maintenant les journaleux porte drapeau des suceurs de sang. Ces petits travailleurs qui ne vivent que de la sueur de leur front tandis que toi tu es obligé de vendre ton Kleenex la pour survivre alors je crois que tu devais aussi écouter les causeries des ces pauvres pas dans les salons ou tu passe pour quémander mais dans les devantures qu’ils ont pour prendre leur thé
Aimerais tu travailler pendant combien de mois sans salaire ?
Si c’est pour anarquer c’est plus facile pour l’inspecteur de s’entendre avec l’employeur que l’employé comme font ces semblables corrompu
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