Après les scandales de l’achat de l’avion présidentiel, du marché d’équipements militaires et celui des engrais frelatés, le Mali n’en finit pas d’être pillé par les délinquants financiers. Détournements de deniers publics, surfacturations, blanchiment d’argent et autres malversations, deviennent le lot quotidien sous nos cieux.
En réalité, les délinquants financiers et leurs complices sont maintenant conscients d’une réalité : le régime d’IBK n’a ni la volonté politique, ni les moyens de lutter contre cette délinquance à grande échelle qui sévit à tous les niveaux.
D’ailleurs, le régime a été le premier à ouvrir (grandement) la voie à certaines pratiques corruptives et/ou frauduleuses. L’achat de l’avion présidentiel (qui a occasionné une grosse magouille impliquant des délinquants étrangers), a donné le coup d’envoi à une série de malversations financières. Aujourd’hui, le « festival des brigands » se poursuit, au vu et au su de tout le monde. Conséquence ? Le vol, le pillage des ressources nationales, sont devenus un sport national au Mali. Mais seuls les menus fretins risquent d’en payer les frais, alors que les gros poissons peuvent, en toute tranquillité, continuer à ‘nager en eaux troubles… »
En somme, l’on assiste à une banalisation de la délinquance financière sur fond de scandales, sous le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta.
Or dans le programme ( ?) du candidat Keïta, l’on peut lire, entre autres, ceci : « La lutte contre la corruption sera organisée sur la base d’un principe, la tolérance zéro… ». IBK avait pris une série d’engagements. Il promettait « l’encouragement des actions visant à la dénonciation des cas de corruption à travers la mise en place de mécanismes efficaces d’écoute et de traitement d’informations fournies par les citoyens… ». Aussi, le candidat avait surtout promis «l’instauration d’une politique de nominations aux postes de responsabilité publique basée sur le mérite et l’intégrité morale et prohibant le favoritisme et le clientélisme… ». Ce sont là, de vaines promesses qui, aujourd’hui, sont foulées aux pieds.
- H. Sylla
Merci M. le journaliste de nous informer, mais je pense que si vous avancez des preuves c’est encore mieux. Vous n’êtes pas obligé d’écrire si vous n’avez rien à raconter. L’achat d’avion est un secret de polichinelle.
Merci de nous donner des informations fraiches et non de l’histoire.
Ibk et sont gouvernement sont complices des détournements de fonds publics à cause de leurs faiblesse notre pays est entrain de s enfoncer Ibk ne maîtrise plus rien a part profite des contribuables maliens
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