Toute honte bue, le ministre de la Culture, Bruno Maïga, a osé, lors d’une conférence de presse qu’il a organisée le jeudi dernier dans son département, s’attaquer à la réputation des journalistes de « L’Informateur » et de « Malijet ».
En effet, l’homme qui se justifiait devant des confrères par rapport aux révélations des « Gardiens de la République » faisant état de détournements massifs de deniers par lui et son DFM, Nouhoum Diallo, a jeté ces journalistes de « L’Informateur » et du site « Malijet » en pâture quand il a osé mentir que ceux-ci sont passés chez lui pour tenter de le faire chanter dans le dossier.
Un gros mensonge qui est du reste indigne d’un ministre de la Culture, sensé être le gardien de nos valeurs sociétales. Notre culture nous interdit formellement le mensonge. Et quand celui qui dirige ce département s’en livre à cœur joie, le pays est tout simplement en perdition.
Il faut dire que c’est un ministre qui, devant lesdits journalistes, avait même eu à apprécier leur démarche qui consistait à venir recouper une information qu’ils venaient d’avoir. C’est grâce même aux journalistes en question que le ministre Bruno Maïga a même eu connaissance du tract qui était déjà parvenu à la Primature.
Pour sa gouverne, nous rappelons au ministre que c’est son chef de cabinet, Paul Ismaël Nana Boro que les journalistes étaient allés voir pour les besoins de recoupement. C’est lui qui a donc jugé nécessaire de les introduire chez le ministre vu la gravité des accusations que contient le document.
Tout l’entretien s’est passé devant ce dernier et nulle part il n’a été question de faire chanter le ministre.
Nous avons été surpris d’apprendre par la suite que ce ministre a organisé une conférence de presse à laquelle nous n’étions pas invités, mais au cours de laquelle il s’est livré à cœur joie à des mensonges grotesques et grossiers du genre : « les journalistes de l’Informateur et de Malijet ont tenté de me faire chanter ».
Des mensonges que le Quotidien national « L’Essor » n’a pas eu honte de rapporter. Dommage que ça soit le travail de notre Quotidien national qui foule au pied désormais le minimum de respect des principes de la confraternité et s’inscrit dans la dynamique de jeter l’anathème sur des confrères.
Les temps ont vraiment changé, puisque les valeurs de l’éthique et la déontologie sont en train de périr chez les médias publics.
Mais Bruno Maïga qui est à l’origine de cette forfaiture doit savoir que la réputation des journalistes en question est mille fois au-dessus de ces piètres 50 000 FCFA qu’il leur a donnés en guise de carburant après l’entretien.
Yattara Ibrahim
Au rythme ou vont les choses IBK ne sera malheureusement jamais la fierte de ce peuple… Cela fait mal, je suis sur mais je crainds que ce ne soit la triste realite
Puisque ce ministre est mise en cause sur des “trous financiers ultra précis”, avec références comptables et montants, s’il est réellement innocent, il lui suffit de fournir les justificatifs comptables correspondants!
Point barre!…
Monsieur le Ministre, ne répondez pas à cet espèce de gens. Certains journalistes vivent de calomnies. Il (le journal) veut vous faire chanter; c’est sur qu’il a un besoin urgent d’argent et pour soutirer cette somme, il incrimine le ministre pour que ce dernier lui donne de l’argent. Cupidité quand tu nous prend. Ou bien parmi le personnel du ministère il y a un aigri, il se fatigue parce que Bruno ba yérédon, ce n’est que de la méchanceté gratuite. An ga sabali tout un chacun a une place au soleil. Bruno ta do dé séra. Bon vent M. le Ministre.
Tenez bon Mr le ministre et ne cédez point à ce vulgaire chantage que les journaliste ont bien appris ces 10 dernières années avec le général et ne leur donnez rien du tout ils apprendrons a manger leur dossiers bidons, mais faites attention à votre entourage car j’ai l’impression qu’il y’a quelqu’un la-bas qui vous veut du mal ne vous justifiez point après les politiques le peuple va s’occuper des journalistes alimentaires et pour compter d’aujourd’hui je ne lirai plus l’informateur qui n’est en fait qu’un torchon
Je serais Bruno que j’attaquerai ce ténébreux soit-disant journaliste en diffamation. Du courage Monsieur le Ministre. Les chiens aboient, la caravane passe!
HA!HA! Ya,vous avez ete Effectivement corrompu!! Mr le journaliste,il n’y a pas de ” petite corruption!” Si tu es vraiment anime par la recherche de la verite et non par mechancete OU par un interet quelconque,laisse la lettre envoyee par les”gardiens du Mali” au vegal produire ses conclusions!! CHANGEMENT oui,mais pas sur ” l’humiliation ” calomnieuse!
Pour quoi monsieur yattara vous avez parlé des 50 000 fca? Lorsque vos collègues ont été chez le Misnitre MAÏGA à quoi s’attendaient -ils?
Je suis convaincu que si le Ministre avait donné un millions de CFA, aujourd’hui, vous aurez tenu sur ce site un autre langage.
Vous êtes connus par le peuple n’essayer pas de nous faire croîre que vous un des disciples de mahomet ou de je ne sais quoi.
Courage monsieur le ministre parmi tous les ministres vous etes le seul a etre critique en longueur de journee et cela prouve que vous etes a la hauteur.Au mali c est comme ça qui a besoin d un incompetent personne dans ce pays on n aime pas la verite la seule chose que l on veut c est de supporter des voleurs et des escrocs et c est a cause de ça que le pays a ete envahi par des terroristes musulmans ou djihadistes
vraiment ces journalistes là sont abominable. pourquoi autant d’acharnement contre le ministre Bruno? Laisser le ministre travaillé.
Vraiment c’est humiliant. Mon pauvre journaliste, tu as intérêt à apprendre un autre métier. Espèce d’aigri social et mal intentionné.
Par ces mots mal placés, ce soit disant journaliste vient de prouver qu’il est un minable aigri de sa profession. A-t-on besoin d’employer des mots aussi violents pour éclairer les lanternes? N’importe quoi! On appelle cela de l’impolitesse.
Le pauvre journaliste Yattara Ibrahim confond argumenter et invectiver. En effet, il est connu de tout le monde sauf du journal “l’informateur” que l’enveloppe est un passe droit des journalistes qui sans cette pratique tirerait le diable par la queue. Ils sont exactement comme les comités AEEM au temps de la transition ATT. On chante les chefs de services et on dépose les lettres ou cartes de soutiens et tenez vous bien en précisant “aide matérielle ou financière” sur les cartes d’honneur. Malheur au directeur de service qui y oppose une résistance, il devient la cible des élèves et études à la prochaine grève. Cette pratique est héritée par certains journaux qui font la chasse aux sensationnels pour intimider les ministres et autres barrons de la REPUBLIQUE. Pas étonnant que ce soient les jeunes de l’AEEM qui sont aujourd’hui ces journaleux et qui animent la presse. Pour eux l’argent n’a pas d’odeur. 👿 👿 👿 Le Mali a vraiment du chemin à parcourir. Vive la REPUBLIQUE
Ah ah, piètres 50 000, que vois avez accepté tout de même. La dignité aurait voulu que vous refusiez cet argent qui n’est certainement pas sorti des poches du ministre mais sûrement des caisses de l’état. Vous comprendrez les conséquences de cet acte.
Je crois qu’ils n’ont pas compris! 😳
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